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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
#1847990
Bonjour,

J'ai un fantasme de candaulisme, motivé par plusieurs choses :
- ma femme aime la double pénétration
- elle m'a confié qu'elle aimait me rendre jaloux
- elle aime se sentir désirée, au besoin elle a plaisir à "allumer" pour reprendre ses propres termes
- parler de situation de candaulisme pendant nos ébats l'excite vivement. Nous avons souvent parlé de situations chaudes, parfois dans un contexte d'interdit moral, auxquelles elle s'est livrée en compagnie de partenaires zélés et que nous introduisons dans nos échanges "sur le vif", simulant des scenarii en convoquant le nom et le souvenir de tels ou tels messieurs
- de mon côté, j'ai beaucoup de mal à éjaculer en elle, j'obtiens ma jouissance principalement en me touchant pendant qu'elle se caresse et/ou me donne son sein avec lascivité
- elle aime se faire jouir sur moi quand je débande, elle m'a dit une fois que j'avais "passé l'heure" et que c'était tant pis pour moi... ce qui avait eu pour effet de me faire rebander et de lui offrir la présence de mon gland entre ses lèvres pendant qu'elle se caressait ardemment le clito et jouissait sans vergogne
- elle m'a dit une fois que je n'étais pas capable de la mettre en levrette, position qu'elle adore. Ce matin, j'étais sur elle (la plupart du temps je la pénètre en la faisant venir sur moi), elle m'a dit qu'elle aimait ça, que je sois sur elle... malheureusement j'ai débandé trop rapidement lors de la pénétration
- nous avons parlé assez longuement d'une cage pour mon petit vermisseau qui parfois devient gros, nous avions même trouvé un modèle, cela nous a excité mais c'est relativement inutile car je suis absolument incapable de jouir hors de sa présence
- pour finir, j'aime qu'elle jouisse, j'éprouve un plaisir presque maladif à la "vider", je peux parfois la faire jouir 4, 6,8, 10 fois au cours de nos ébats. Elle jouis très facilement et je ressens cela comme une chance énorme et précieuse qui m'est donnée. Ce matin je l'ai fait jouir 4 fois en 20mn, elle est venue très rapidement et cela l'a beaucoup détendue avant d'aller travailler.

Il convient cependant de préciser que ma femme ne se sent pas prête à passer le pas du candaulisme dans la réalité, pour des raisons d'estime personnelle (image d'égoïste, de salope) et par peur de me faire souffrir, elle a même souvent peur que je ressorte frustré de nos ébats (bien que ce sentiment me semble conflictuel en elle), quand bien même elle m'a confié un jour, en pleine action, que nous ferions quelque chose à trois le moment venu mais que je ne devais pas la brusquer.

Elle adore jouir en voiture, vêtue de manière très suggestive, garés en ville ou en roulant mais elle a besoin d'un minimum d'anonymat (pas trop de lumière, pas trop de monde autour). La caresser au cinéma lui plait beaucoup mais elle préfère que nous nous mettions au dernier rang...

Cette semaine elle s'est vêtue de manière sexy, avec un plaisir visible, pour se rendre à un rendez-vous avec un praticien chargé de lui soulager le dos. Rien de particulier ne s'est passé si ce n'est ce plaisir partagé qu'elle se soit trouvé joliment apprété en compagnie masculine, pour une séance de manipulations tout en douceur.

Nous nous aimons profondément. Je ne sais pas comment notre sexualité va évoluer mais j'aimerais vraiment qu'elle connaisse le plaisir d'être pénétré et possédée comme elle le mérite, suffisamment longuement, avec jouissance et éjaculation à la clé. Son partenaire devrait être à la fois rassurant et fougueux (elle aime être un objet, qu'on la force). Cela suppose beaucoup de discussion auparavant, pour que l'expérience ne prête à aucun malentendu et aucun manque de respect. C'est une femme qui mérite vraiment de connaître les plaisirs les plus intenses sans que cela entre en conflit avec ce besoin d'altruisme profond qu'elle porte en elle dans la vie de tout les jours.

Ce message n'est pas un appel à candidature. Ma femme n'aimerait même pas que je l'expose en photo. Nous sommes il me semble encore relativement éloigné d'un passage à l'acte. Mais j'ai besoin de m'ouvrir sur ce désir que je sens bouillonner confusément en nous. J'ai besoin de mettre un peu plus en forme nos fantasmes.

Si cela appelle chez vous une quelconque réaction, j'aurais plaisir à recueillir vos commentaires et avis ainsi qu'à bénéficier de l'expérience des uns et des autres. Merci d'avance.
#2005235
Bonjour,

Je reviens à vous car oui, il y a eu des évolutions, pas dans le sens du candaulisme, mais dans le sens d'une plus grande découverte de soi que ma femme et moi avons fait ensemble. Bien sûr, convoquer de temps en temps par la parole le regard des autres lors de nos jeux érotiques ajoute cette poussée d'adrénaline qui fait exploser notre plaisir en un grand feu d'artifice.

La pensée des autres nous excite. Je suis dans une phase actuellement où je bande à la commande mais où j'éjacule plus difficilement. Le sexe vit sa propre vie. Quand je l'ai fait jouir 3, 4, 5, 6 fois et qu'elle se sent vidée, voyant que je me paluche elle se touche les seins, me les fait goûter, m'abreuve de propos salaces et tendrement méprisants jusqu'à ce que je jouisse en tout sens, en une giclée, deux giclées, trois giclées... Elle n'hésite à me faire dire combien j'aimerais défoncer ma chef alors que je souffle tellement fort que je peux à peine parler. De mon côté, j'aime lui rappeler que je me suis marié avec la reine des salopes et tout ce que son consentement lors de la cérémonie signifiait de débauche déclarée publiquement, même si non explicitée. Elle adore ça et c'est 1000 fois mérité.

Elle était belle en diable le jour de notre mariage, une belle robe d'été soulignant le galbe de ses seins qui sans être monstrueux sont parfaitement outrageants (imaginez quand elle les serre l'un contre l'autre en vous allumant...). Je lui ai d'ailleurs offert tous les sous-vêtements que je jugeais dignes d'eux. je me souviens aussi de son bonheur sur son visage et de son regard assuré, parfaitement provoquant pour qui sait deviner ce qu'une femme de caractère signifie lorsqu'elle consent à laisser parler son corps.

Elle aime toujours les stimulations multiples. Nos ébats ne se terminent que rarement sans qu'elle ait joui avec mes doigts et ma queue en même temps. Parfois même elle se touche toute seule, alors que je peine à jouir bien que bandant terriblement, me laissant juste assez de liberté de mouvement pour lui rappeler qu'une queue continue de la pistonner pendant ses ascensions clitoridiennes (ce que je lui rappelle bien sûr à haute voix, sur un ton un peu pervers). Etre salope ne lui fais pas peur, elle en est fière. Elle sait combien c'est précieux et excitant pour moi. Elle se dit vraiment salope, pourquoi inventer un autre mot sous prétexte que tant de cons l'utilise animés de mauvaises intentions. Ce fut un long travail de lui prouver qu'elle pouvait et devait tout lâcher pour que nous vivions notre bonheur totalement.

Il m'est arrivé de lui doigter l'anus mais hier soir, je l'ai enculée. D'où cet émoi qui me conduit à écrire aujourd'hui. Je sais qu'elle fantasme toujours sur le fait d'être entourée et embrochée par une kyrielle de queues, de voir des types se palucher en cercle autour d'elle alors qu'elle distribue sa bouche aux plus hardis, ceux qui parviennent à se frayer un chemin jusqu'à elle. Je sais que son plaisir est multiplié quand je lui parle d'avoir deux ou trois queues qui la liment en même temps.

Je ne sais pas si je suis réellement prêt à ça. Elle n'y semble pas prête non plus. Mais le fait est, cela nous excite. C'est une souminatrice, vous voyez ce que je veux dire? Il lui faut s'assurer du parfait respect de son partenaire vis à vis d'elle, mais elle aime qu'on lui serre le cou, qu'on lui tire la tête en arrière ou sur le côté en lui empoignant les cheveux pendant qu'elle se fait dévorer la bouche ou démonter, oui proprement démonter, par dessus, par dessous, par derrière, généralement tout à la fois.

Quand elle est entreprise, ou quand elle entreprend (ce qui est fréquent), cela va très vite. Elle part la plupart du temps à 100 à l'heure sans que je cesse de m'en étonner. Je pense à ces hommes qu'elle a connu avant et qui n'ont pas su deviner la femme qui était face à eux, qui ne l'ont pas regardé avec le soin qui leur aurait assuré le plus parfait don qu'une femme peut faire d'elle-même. Je suis incroyablement chanceux.

Mais revenons, et terminons par cette nuit dernière. Elle avait ses règles, ce qui me contrarie peut-être autant qu'elle. Mais je l'ai embrassée et elle s'est laissée emporter dans un déchaînement vertigineux (elle aussi me tire les cheveux en fouillant toute ma bouche de sa langue vicieuse), me provoquant en revendiquant son titre de salope et me poussant à lui empoigner les seins au point de les allonger comme ceux des femmes africaines, dans certaines tribus dites sauvages, qui ont beaucoup allaité (la consistance en plus : il faut presser fort!). Je lui tirais les seins et ça la faisait gémir et se tordre de plaisir. A un moment je l'ai regardée et lui ai proposé de l'enculer. "J'ai envie de t'enculer? Tu veux?" "Oui mon amour" (les mots délicats se mélangent avec les mots crus lorsque nous nous oublions, le mélange est savoureux).

Je voulais juste vous le dire : je suis rentré en 3 secondes après avoir fait un simple aller-retour avec mon doigt mouillé. Je croyais devoir engager une lutte féroce contre un sphincter rebelle mais elle m'avait tellement astiqué, j'étais si raide et elle était si détendue et confiante que je suis rentrée sans aucune résistance. Quand je dis trois secondes, j'exagère un peu. Il a fallu quelques allers-retours et m'enfoncer avec un minimum de précaution. Mais en, allez, 30 secondes, j'étais au fond, lentement mais surement, en n'ayant pour ainsi dire pas préparé son anus. Et ça lui a plu, au point que j'étais surpris que cet acte sois finalement si naturel. Elle a joui 3 fois. je pensais qu'elle l'avait fait 4 fois ce qui m'a un peu frustré. Je l'ai invité à m'astiquer à niveau, elle l'a fait par intermittence, jouant également de ma dureté comme un enfant le ferait avec un culbuto. Je venais de l'enculer et je me voyais en homme objet. Cela m'a fait regrossir comme il faut et je lui ai dit de se remettre en position. Il n'est pas possible de se représenter comment elle se tord pour me tendre la croupe sous le meilleur angle possible pendant que je la remets et la redéfonce. Enfin si, peut-être. En tout cas moi, il faut que je le sente pour le croire. Son cul m'appartient enfin, son bon gros cul de salope sainte-nitouche. Je me suis complètement écrasé sur elle pour les derniers coups de boutoirs. Cela a suffi à la faire jouir une 4e et dernière fois.

Je te possède, tu me possèdes... nous restons à jouer dans notre chambre mais vous tous, messieurs, dotés d'un gros chibre et d'une grosse envie de fourrer qui lisez ces lignes, sachez que vous êtes présent quand elle m'offre d'être sa pute d'amour. Vous êtes tantôt loin, tantôt près, parfois même vous la défoncez à travers mes mots et démultipliez son plaisir. Si vous étiez présents physiquement, je peux vous garantir qu'anatomiquement il y'aurait de la place pour de bien plus grosses queux que la mienne. Et son corps, ses hanches, sa cambrure, son cul, ses seins, sa langue, SON REGARD et SES MOTS vous feraient mettre au garde à vous en moins de temps qu'il n'en faut pour courir un 100 mètres.

J'espère n'être pas trop sorti du sujet du forum. Peut-être qu'un jour je serai en plein dedans. C'est un fantasme lointain plus qu'une obsession, je suis hélas victime de ma trop grande possessivité. Ma femme m'a avoué une fois qu'elle sentait que cela pourrait être dangereux pour nous. Franchir le pas est donc exclu en l'état actuel, mais qui peux prédire l'avenir? Les années passent et la complicité se renforce sans cesse davantage.

Je plaide l'indulgence pour le côté décousu de mon compte-rendu : tellement de choses se bousculent encore dans ma tête.

J'espère que vous êtes nombreux à avoir dépucelé le cul d'une vraie dame pleine de sensualité et de fougue, pas une personne dont le coeur et le corps sont déconnectés, et à en avoir retiré le plaisir qui me berce encore, 14 heures plus tard.

Je n'écris pas pour recevoir de commentaires déplacés mais pour partager mes émotions, à défaut de partager ma femme, et pour l'honorer. J'espère que quelque part, à un moment ou un autre, quelqu'un se soulagera avec mon consentement bienveillant en l'imaginant. Moi je ne sais pas si je réécrirai à nouveau : laissons le chant libre à l'oiseau.
#2005369
Quelle saine et belle lecture !
Dommage cette possessivité, vous avez tout du couple candauliste parfait. ^^
D'autant qu'en effet, ainsi décrite ta femme a l'air d'être terriblement excitante et de mériter bien des acrobaties.

Continuez de profiter, au plaisir de te relire peut-être, ce serait agréable, tu écris bien.
#2006047
Samedi après-midi mon tendre amour a pris une initiative inattendue... en pleine copulation elle s'est spontanément arrêtée et m'a dit qu'elle souhaitait sentir dans sa chatte, en plus de ma queue, un gode tout neuf reçu en cadeau cette semaine avec l'achat d'un sous-vêtement (un cadeau qui nous ne connaissions pas à l'avance). Surprise... nous avions déjà fait l'expérience des godes sans y trouver grand intérêt. Et ne voilà t-il pas qu'elle veut sentir deux mandrins en elle. J'avoue que je ne l'ai pas découragée, au contraire ! L'expérience lui a plu, quand c'est elle qui tenait le gode elle a joui par ma queue, mais quand c'est moi qui m'y suis mis c'est le gode qui l'a fait jouir... il faut dire que je fourrageais précisément là ou il faut, écrasant son clitoris en biais. Alors non, il n'est toujours pas question de caudaulisme (ou si c'est le cas, ce n'est pas verbalisé comme tel de sa part). Je ne pense d'ailleurs pas qu'on le réutilise trop fréquemment. Quand je lui ai dit que ce qu'il lui faudrait c'est deux "moi", elle n'y a même pas concédé de l'intérêt : elle ne me veut que comme son unique amour et me le répète. Je recherche l'harmonie avant tout et elle ne nous pousse pas actuellement hors du confort de la relation à deux. Mais enfin, elle souhaite être comblée de partout. Elle a bien du jouir 6 ou 7 fois, les deux avant-dernières en prenant à nouveau l'initiative de s'asseoir dos à moi, ce qui m'a permis de lui masturber profondément l'intérieur de l'anus tandis qu'elle se caressait le clito et que ma pine se contentait de quelques mouvements peu toniques, et la dernière quand elle a cru que je n'arriverais pu à la pénétrer après une pause de quelques minutes et que je l'ai mise à nouveau en missionnaire, en la regardant de cette manière un peu perverse qu'elle aime bien et en immobilisant ses bras le long de son corps, pesant de tout mon poids sur son sexe et sa poitrine. Autre chose aussi, à un moment nous nous trouvions à califourchon et je lui ai sucé l'orteil goulûment, elle a eu l'air de partir très vite et à ôté son orteil prestement. Peur d'un abandon trop vertigineux, de ce qu'il semble en ressortir. Quelque part en elle, malgré la vivacité de ses élans, il y a un désir de contrôle minimum. Il y a un jardin secret, je n'y ai pas accès, c'est normal. Je ne sais pas se qui se cache à l'intérieur, en a t-elle conscience elle-même, je ne le sais pas non plus. Ce mystère est essentiel est permet à notre désir de se renouveler dans la découverte de soi et de l'autre. Je pense que nous allons être plus calme dans les jours à venir, nous avons passé une semaine à faire l'amour tous les jours et je me sens bien incapable de tenir ce rythme en permanence. Mais il faudra que je veille, en permanence, à ses envies et ses désirs. En tout cas ce weekend elle m'a dit avoir été comblée à tous les niveaux... je prie pour être toujours à la hauteur de ses attentes.
#2007574
Nouvel émoi aujourd'hui : mon objet de désir si convoité m'a confié qu'elle aimait le terme de souminatrice. Elle s'affirme dans son côté dominatrice, l'assume alors que jusqu'ici cela la culpabilisait énormément. Et en même temps elle aime me faire des déclarations enflammées en répétant à l'envi, jour après jour, "je suis ta soumise". Elle sait que ça me fait bander... c'est tellement facile :-)

L'autre jour (mardi soir je crois), je l'ai excité un peu pendant l'amour en lui disant à l'oreille, la queue bien plantée dans sa chatte après quelques minutes de ramonage : "si tu ne me fait pas cocu, c'est moi qui te ferai cocue ma chérie". Je lui ai décrit une collègue assez bandante (quoiqu'un peu jeune) à qui j'avais prodigué une formation dans l'après-midi, une jeune femme au style savamment bourgeois et old-school, avec ces étoiles cependant qui pétillent dans le regard des femmes qui sait apprécier les bienfaits de la queue. Je l'ai fait en la fourrageant droit dans les yeux. Elle m'a pris de haut, en a rajouté, comme si j'en étais incapable (et elle avait raison, ma douce salope, elle le sentait bien) : "tu aimerais bien la baiser hein, ta petite salope ?". Je lui ai dit que oui, bien sûr, je me décomposais sous le désir en le lui répétant fébrilement (à sa demande réitérée de salope avertie), en grognant comme si j'étais en train d'essayer de fourrer 30 chattes en même temps avec ma petite queue, gigotant en tout sens, tout en l'empalant de manière totalement désordonnée.

Puis est venu un moment où j'ai empoigné ses épaules avec mes mains, l'immobilisant si brutalement que je la faisais presque se plier pour qu'elle me sente plus profondément en elle. Si elle avait essayé de résister elle aurait eu mal. Seuls nos bas-ventres bougeaient, de manière plus synchronisés, sous le rythme que j'imprimais. Elle ne souriait plus, avait l'air presque maltraitée et apeurée mais je voyais que son regard ne se décrochait pas du mien. Elle gémissait, on aurait du une femme violée mais j'ai continué de lui asséner des coups de pine brusques et profonds, alors que je voyais ses yeux s'étrécir et s'humidifier, nos regards ne se quittant à aucun instant. J'ai fini par lui donner son triomphe, ma semence allant tapisser généreusement son intérieur poisseux et ruisselant. Je l'ai sentie si en paix avec elle même à cet instant, si sereine, si sûre d'elle... je l'ai caressée jusqu'à ce qu'elle s'endorme, elle semblait sourire intérieurement, j'ai vécu un moment de grâce.

Depuis je la relance de temps en temps, je veux exciter sa jalousie pour qu'elle se rebelle, et je crois bien que ça marche un peu. Ma souminatrice se libère de sa culpabilité, elle est bien plus qu'effrontée, c'est une... reine infiniment plus forte que moi, qui déploie l'étendue de son pouvoir et de son emprise sexuelle sur mon esprit tout à la fois tourmenté, sidéré et ravi. Je suis au comble du bonheur de savoir que ma femme adorée se plaise à répéter in petto, au travail : souminatrice, souminatrice... ce qui n'est, à dire vrai, qu'un juste retour des choses.

"Si tu ne fais pas cocu c'est moi qui te ferai cocue" : je n'imaginais pas ce que cet avertissement tout simple (bien que purement vaniteux) pouvait produire. Je veux qu'elle soit persuadée que je ne peux pas tenir ma queue et que si elle m'aime, il faudra qu'elle accepte de ne pas laisser sa part aux chien(ne)s pour m'avoir tout entier. Je veux que ça vaille aussi pour l'inverse bien évidemment. Je veux que nous sentions tous les deux que si nous ne nous donnons pas sans retenue, en permanence, l'autre sera libre de satisfaire son appétit gargantuesque avec une personne moins tatillonne. Notre passé personnel respectif m'y aide beaucoup il est vrai...

Ce jeu ira t-il jusqu'à nous faire franchir le pas? Il nourrit en tout cas tellement notre complicité que l'évolution de nos rapports est palpable de jour en jour. Le candaulisme est, à n'en pas douter, un long chemin : nous verrons bien s'il sera le notre au bout du compte.
#2033258
Merci @Humiliatrixa30ans pour ce long message, il est réconfortant pour moi aussi de savoir que d'autres personnes se sentent en phase avec la façon dont nous vivons notre relation amoureuse ma femme et moi. On ne sait pas forcément pour qui on écrit, grâce à vous j'ai un début de réponse. Votre message est aussi empli d'une bienveillance et d'encouragements auxquels je suis sensible. Je l'ai montré à ma femme en intermède à nos ébats d'hier, sa réaction a été identique. Ce passage notamment ou vous avez écrit "vous pouvez/devez être fier de laisser s'exprimer la salope en elle" a résonné puissamment en nous. Elle ne souhaite cependant pas s'impliquer pour le moment dans des échanges qu'elle considère comme extraconjugaux (même en tout bien tout honneur, la moralité n'est pas la question vous vous en doutez), préférant se contenter de suivre ma démarche comme expression d'une partie de moi-même. Elle est, je suis, nous sommes timides, mais c'est néanmoins un plaisir d'avoir fait rougir quelqu'un qui, sans donner sa part au chat j'imagine, semble capter et apprécier un certain nombre de nuances. Une pensée également pour votre Petite Bite : le hasard voulait que la veille au soir, avant de vous lire, j'aie revendiqué ce titre auprès de ma femme, et qu'elle ait consenti à l'utiliser dédaigneusement pour m'offrir une très triviale et salissante jouissance. Peut-être les orgasmes se font-ils parfois écho sans même que nous le sachions.
#2033552
vous vivez un amour puissant, je suis admiratif, profitez en..... le jour où vous désirerez passer au candaulisme, il vous faudra un complice, qui récoltera les confidences et les désirs de chacun et vous aidera à franchir ce cap..... bonne chance à vous!
#2096888
Chers ami(e)s,

Je sais que vous êtes de gros cochon(ne)s tout comme moi et ma femme. Cela fait bien longtemps que je n'ai pas donné de nouvelles.

Aujourd'hui je veux vous parler du côté salope de ma femme que j'adore. Je n'ai pas envie de trop travailler le récit mais plutôt de vous dire pourquoi elle me rend fou.

En premier lieu, c'est toujours elle qui m'allume. Elle dit qu'elle m'aguiche, et elle s'en délecte visiblement. Moi elle me fait bander sur commande. Il suffit que je sente son corps pesant contre le mien sous ses pulls toujours élégants, toujours coupés avec soin, dans des matières que le bon goût bourgeois commande et approuve, ses seins lourds, ses épaules voluptueuses, ses joues gourmandes et sa frénésie quand elle m'embrasse. Il y a des signaux qui ne trompent pas bien sur, mais je ne les dévoilerai point ici car je sais qu'elle me lira et le jeu fait partie de notre intimité.

Quand elle est en chaleur c'est une vraie gamine. La femme responsable que tout le monde connait se transforme en chienne assoiffée de queue, prête à tout pour recevoir son petit biscuit fondant, et je n'ai jamais besoin de lui dire quoi que ce soit : elle sait ce qu'elle doit faire.

D'abord m'embrasser et me lécher comme si j'étais sa chose, ensuite empoigner ma queue à travers le jean et serrer avec conviction, de manière répétitive, convulsive, irrépressible.

Et à un moment, immanquablement, ma dureté lui donne envie de me sucer. Je n'ai rien à demander. C'est elle qui s'y adonne, je la sens presque déçue si je lui retire ce préliminaire. Elle veut me faire grossir encore plus et se démène comme une diablesse pour mettre ma queue au maximum de sa turgescence.

Ensuite, cela varie. Des fois je lui demande de venir sur moi. Des fois, elle me dit simplement, dans le creux de l'oreille, avec ce reste de pudeur qu'elle a besoin de maintenir par éducation, par peur, ou pour quelque autre raison que j'ignore et dont je me fous car je l'adore dans tout ce qu'elle exprime : "j'ai envie de toi".

Alors je lui dit d'enlever sa culotte, sans fioriture, sobrement, parfois fébrilement, parfois fermement. Et je fais de même avec mon jean et mon slip.

Maintenant messieurs dames, imaginez vous cette admirable, remarquable petite salope à qui on donnerait le bon dieu sans confession, imaginez-là venir se faire embrocher sur ma queue. Il arrive qu'elle soit suffisamment mouillée pour que ça glisse tout seul. Mais si je sens une résistance, je la punis, c'est bien normal. Je lui saisis les hanches et la mets jusqu'à la garde.

Croyez-le ou non, cette petite perverse ne met pas longtemps à dégouliner sous l'effet de mon autorité.

Après, et bien, la longue série de jouissances commence. Cela commence par une demande : elle veut que je lui empoigne les fesses. Les jouissances se suivent, jamais les mêmes, mais il y a toujours un moment où cette bonne petite pute se met à se branler alors que je la besogne, généralement immédiatement après une jouissance, comme pour me dire : c'est encore à moi, petit salop.

Parfois encore, et c'était le cas dimanche, elle me dite : "je pisse!", et je sens la douce chaleur de son urine se répandre dans le creux de mes cuisses, tandis qu'elle continue de s'agiter contre mon bas ventre. Elle qui déjà se plait à me palper la bidoche de partout pendant l'acte et à m'écraser la figure avec ses doigts en m'en insérant un, deux quand j'ai de la chance, dans la bouche, elle qui y trouve encore plus de plaisir quand elle vient de se faire juter pendant que je l'embroche, me demandant nonchalamment ce que je pense du goût de sa cyprine, croyez-moi, elle n'a aucun scrupule à me faire gober son ou ses doigt(s) imprégnée de sa divine urine. Imaginez-vous vous messieurs dame, avec quelle ravissement je ressers mes lèvres, la bouche bien ronde, lui empêchant de me priver de tous ses délicieux nectars trop rapidement.

Dimanche, elle a ainsi joui 4 fois je crois, avant de se décider à me faire rendre les armes. J'ai senti, à sa manière de bouger son bassin, qu'elle avait décidé de me besogner vraiment et avec la langueurs dont elle sait faire preuve pour me soumettre à l'état de simple mâle quémandeur et gémissant comme une pauvre petite chose dépourvue de la moindre trace d'amour-propre. Et ça n'a pas manqué, elle sait toujours trouver la récompense qu'elle recherche. mes gémissements d'abord, parfois un non, parfois deux non, parfois trois non implorants, mais ça ne l'arrête pas, jamais. Elle me réponds si avec quelque chose de pervers, de lent, de doux et de sûr dans la voix, et telle une succube, elle me fait décharger en elle après avoir fait sauter, une à une, toutes mes résistances.

Il y a un peu plus d'un mois je crois, du fait de problèmes d'ordre personnel, je n'ai malheureusement pas pu lui offrir le bonheur de juter par les voies ordinaires. En désespoir de cause, je me suis décidé à essayer autre chose : "je voudrai que tu pisses sur moi".

Ce n'est pas ce genre de choses qui la choque. Je suis allé m'allonger contre le carrelage froid, elle a plié légèrement les genoux, les pieds de chaque côté de mon corps, et pendant qu'elle m'ordonnait de me branler, et en me regardant avec un regard de certitude, de mépris, d'attention extrême, elle a pissé sur moi jusqu'à la dernière goutte.

Les ami(e)s, sans doute vous êtes vous déjà étonné, en regardant des vidéos peut-être, de tout ce qu'une femme peut contenir d'urine. Cela n'en finissait pas, et mon amour s'arrêtait, reprenait, alors que je sentais en moi monter l'orgasme. A un moment je n'en pouvais réellement plus. Je lui ai adressé cette supplication : "envoies-tout", et dans un flot abondant, ruisselant et chaud, je me suis laisser juter. sous ses commandements de me branler plus vigoureusement.

Il aurait fallu que vous puissiez voir son regard dur et pénétrant plongé en moi au moment où elle commençait. Il faudrait que vous puissiez voir de vos yeux combien les qualificatifs de pute, de salope, ne font que l'exciter encore plus.

Elle se contenterait bien de garder ça pour nous. Mais elle m'a autorisé à écrire et, comme elle est occupée à diverses tâches dans le cadre de son activité professionnelle, je me suis autorisé à déverser ma lubricité sur ce site, pour vous faire partager ces moments emplis à la fois de tendresse, de vice, de furie, d'attention à l'autre et de concupiscence partagée, comme si nous signions ensemble, à chacune de nos étreintes, un nouveau pacte plus profond, et que toute chance d'en réchapper s'éloignait un peu plus.

Ma chérie, quand tu me liras, je sais que tu aurais préféré des termes plus châtiés. mais tu m'as laissé livré à moi-même, sans savoir que faire de ma bandaison. Alors voilà ma punition mon amour. Tu es ma chienne d'amour, pour toujours, tu m'appartiens, que cela te brusque ou pas n'y change rien. Je sais que rien ne pourra jamais t'empêcher de mouiller en pensant à moi et à ma queue. Je t'aime mon amour.

Si tu es trop choquée mon amour je m'en excuse. Je saurai me faire pardonner, je saurai te faire accepter mon outrecuidance, et tu n'en seras que plus libre encore.
#2096909
Aux âmes bien intentionnées : des photos de queues bien dures devant l'écran serait un beau cadeau pour mon amour. Je lui en envoie souvent du travail, elle ne s'en lasse jamais... jamais... En revanche s'il vous plait, je vous en conjure, aucun propos blessant. C'est ma femme et je l'aime c'est vrai, mais je crois pouvoir affirmer, en dehors de cela, que c'est avant tout, réellement, une belle personne, une femme généreuse et dont j'ai à coeur de laisser la sensibilité (et la sensualité) s'épanouir librement.
#2096910
Je lui ai fait lire ma prose lorsqu'elle a quitté son travail : elle m'a dit "envoies la sauce", qu'elle s'y était retrouvé et m'a demandé de lui dire s'il y avait des réactions... Cela la gêne, l'excite et lui procure de la chaleur en même temps... à bon entendeur...
#2142119
@pralinos j'ai moi aussi à la maison une petite pisseuse professionnelle et rares sont les endroits qu'elle n'a pas déjà arrosée de son fin filet d'or (dans la rue, la piscine municipale, son bain, le jaccusi d'un camping, sur la plage, dans l'ascenseur, la cage d'escalier, à la culotte, sur le sol de la cuisine, dans des toilettes enfants d'une école maternelle, sur mon ventre, sur la figure de son amant,... Mais elle a aussi plusieurs fois fait pipi au lit, dans un pot de bébé, dans des protections pour ado énurétique, et même dans de vraies couches-culottes.

En revanche et malgré de très nombreux essais (vous vous en doutez) elle n'a jamais réussi à faire pipi pendant qu'un homme la prenait ou même la caressait : dès qu'elle éprouve du plaisir sexuel, elle se bloque et ça ne vient pas (même avec une très grosse envie).

D'après ce que j'ai pu comprendre, la tienne arrive à pisser pendant qu'elle est embrochée, c'est bien ça ?? Mais c'est mon rêve ! Comment s'y prend elle ?
#2150048
Bonjour à tous,

Cela faisait un certain temps que je ne m'étais pas connecté, aussi je vous prie de m'excuser pour ce retour tardif.

Merci beaucoup à tous ceux qui ont bien voulu réagir. Bien sûr j'ai montré tous ces posts à mon adorée, provoquant à la fois légère gêne, mais aussi grande fierté et excitation, ce qui me rend toujours plus fou d'elle.

@rocco39 merci à toi, je considère que c'est un véritable cadeau que tu fais à ma femme en lui prouvant ce qu'elle peut provoquer chez d'autres hommes. Elle apprécie d'autant qu'elle sait combien se donner n'a rien de facile, montrer sa queue en érection ou offrir son cul est un don en soi qui sort - relativement encore - des sentiers battus et demande du courage, mais vu les commentaires qu'elle m'a fait sur la taille de ta queue je pense que tu ne doutais pas trop de la belle dotation dont elle fait grâce à la nature de t'avoir pourvue. Si elle veut réagir je lui laisserai bien sûr entière liberté pour le faire, mais s'il te plaît, laisse lui le temps de choisir le moment opportun : c'est une fleur qui ne cesse d'éclore.

@veridan envoyer une photo d'elle, clairement elle n'y es pas prête. Mais elle m'a dit être prête à montrer sa main manipulant ma pine, or je viens justement de commander un cockring à boutons-pression cette semaine, qui soutient parfaitement à la fois l'arc-boutant phallique et les couilles : un précieux accessoire d'équitation érotique apparemment :-) J'ai commandé vendredi soir, l'objet devrait donc normalement nous être livré sous une semaine maximum. Dès que j'en ai l'occasion, l'envie aussi, si elle est d'accord et si cela t'intéresse, je pourrai t'envoyer une photo.

@Bullmousson ses jets de pisse ne sont jamais volontaires pendant l'acte, peut-être est-ce la conséquence d'une rééducation périnéale écourtée après avoir enfanté ? Mais quel bonheur ! C'est donc toujours une surprise lorsque cela arrive, que ma reine a à peine le temps de m'annoncer lorsqu'un reste de lucidité le lui permet, ou bien que je découvre avec délice quand elle se révèle totalement abandonnée à ses sens. En revanche lorsque je lui demande de me pisser dessus en abondance, bien sûr cela demande une interruption et une préparation : aller s'installer ailleurs qu'au lit pour limiter la corvée du nettoyage après, mais une fois installé c'est comme tu le vis toi-même peut-être : nous n'avons plus de coït, elle pisse au rythme de son bon vouloir et de mes supplications, rapprochant son visage dur du mien, elle pisse sur ma queue, sur mon ventre, sur mon plexus, et j'avoue que je suis surpris par ses capacités de contenance (dans les deux sens du terme). Elle se maîtrise à la perfection et quand elle ouvre grandes les vannes de sa fontaine c'est vraiment toute sa chaleur qui vient sur moi et me fait venir, invariablement, au comble d'un déchaînement de masturbation incontrôlé. Dans l'excitation, je lui ai déjà demandé de pisser dans la bouche mais, pour l'instant du moins, elle s'y refuse.

Qu'évoquer outre ses quelques détails, mis à part une expérience singulière qui s'est déroulée il y a un mois et demi environ. Nous faisons parfois l'amour en voiture, comme la plupart des gens j'imagine. En général nous évitons les coins passants, sans aller jusqu'à éliminer tout risque de passage (pour tout dire, un homme a tourné une fois lentement en voiture autour de nous, mais sans que nous puissions savoir quelles étaient réellement ses intentions, entre curiosité presque innocente et lubricité assumée). À l'occasion d'un long moment intime le soir, je lui ai fait la surprise d'allumer les plafonniers en pleine action, un à un, alors qu'elle était sur moi : à chaque clic, surprise ! Un quart de seconde donc à chaque fois pour encaisser la petite provocation avant de continuer, nue, soutien-gorge rouge de belle pute baissée sur sa poitrine de succube presque arrogante et de jouir deux fois intensément dans cette position d'amazone. Puis d'autres fois encore, dans d'autres positions où j'endossais davantage la fonction de dominance. Elle a découvert alors qu'elle pouvait ressentir une excitation exacerbée dans une situation ou les risques d'être vue et observée en pleine action augmentaient significativement, et cela a représenté semble t-il une révélation bouleversante pour elle, à en croire du moins la désorientation presque folle qui se manifestait dans ses gesticulations aussi diverses que frénétiques ainsi que dans ses yeux renversés.

Je regrette cependant de me sentir tenu de tempérer les émotions de possibles impatients : elle n'est pas prête du tout, à ce jour, à se rendre dans le genre d'endroits où ces choses se pratiquent de manière notoire. Nous nous sommes plusieurs fois posés la question alors que nous roulions : la seule chose que j'en sais, c'est qu'elle l'envisage pour l'avenir, non sans excitation, mais après un cheminement qui ne reste encore, à ce stade, qu'un étrange et renversant mystère.

Ce post a été lu et approuvé par ma chère et tendre salope d'amour.
#2150498
pralinos a écrit :Dans l'excitation, je lui ai déjà demandé de pisser dans la bouche mais, pour l'instant du moins, elle s'y refuse.
la mienne a déjà pissé sur mon visage mais jamais dans ma bouche. Par contre elle l'a déjà fait dans celle de son amant ^^
#2150524
moins d'une dizaine de posts, mais quels posts ! bravo !
Entrer dans l'intimité d'un couple, et du votre en particulier, est très excitant.
Certains vous accuseront de n'être que des petits fantasmeurs, moi des grands !
De plus, je trouve que c'est très bien écrit, le texte a un rythme naturel et la lecture glisse toute seule, comme votre amour.
J'aime aussi même vos excuses lorsque vous vous trouvez confus. Elles renforcent l'impression d'une explosion des sens. C'est divinement confus, vos rapports dominés dominants sont interchangeables, et lorsque le choix est fait, chacun semble vouloir se surpasser :D
Magique !
#2166695
@tigerbuffalo2001 Bonjour tiger et merci pour ton commentaire. Tu as raison nous restons au stade du fantasme et ça m'attriste pas mal, surtout que je sens peser le poids de ma responsabilité. Je n'ai pas osé aller chercher le cockring à la poste, sur le suivi Colissimo le nom de l'expéditeur était trop évocateur (désignant un sex toy pour femme, ça m'aurait trop féminisé publiquement et ça me gênait). Ça m'a mis un coup au moral, heureusement que ma douce salope sait me remonter quand j'ai un coup de moins bien (me remonter au propre comme au figuré). Ce matin elle vient de me confier qu'elle était impatiente de me sauter, j'ai adoré ce mot dans sa bouche. Faute de savoir prendre l'initiative je me laisse guider, et ça me fait du bien. Elle m'a dit aussi qu'elle aimerait bien que je doigte une de mes collègues qui m'a l'air particulièrement vicieuse et haut de gamme, je lui ai répondu que j'aimerais bien aussi mais seulement en sa présence. Sans ma reine, ses mots ou sa présence physique je ne peux pas bander. Désolé à toi et à tous pour la promesse de photo non tenue, si j'envoie une photo de sa main s'occupant de ma queue ce sera sans cockring. C'est la honte qui m'a retenu de répondre plus tôt. Tout le meilleur pour toi et pour tous mes congénères ici rassemblés pour la félicité dans le stupre.
#2218597
Bonjour à toutes et à tous,

Je continue de ne guère écrire souvent, je le confesse. Il est vrai que ma reine et moi sommes arrivés à une sorte de "plateau" dans lequel nous nous épanouissons pleinement pour l'instant. Nous aimons toujours baiser dans le lit conjugal mais aussi dans des lieux de plein air ou dans la voiture. En journée elle m'ordonne d'aller me branler dans les chiottes du bureau, je sais trouver les photos ou vidéos qui vont me permettre de l'exciter assez pour obtenir cette permission. Par moment je ne me prive pas de le lui ordonner aussi, et nous jouissons ainsi à proximité de nos collègues en attendant de nous retrouver "pour de vrai".

Ce midi cependant, j'ai ordonné à ma chérie de m'envoyer une photo de sa chatte et elle s'est exécutée si joliment que je me suis résolu à vous la faire partager. Car cette vision qu'elle a capturée, c'est exactement celle que j'ai quand je lui gobe son joli bouton d'amour, il ne manque que la sensation de sa douce, collante et tiède cyprine sur mon nez, mon menton et mes joues... Cette photo pourra sembler classique à un maniaque du clic qui passerait par là, je le comprendrais aisément. Mais il ne peut en être de même pour moi et ou pour un lecteur plus attentif. C'est ma femme qui fait reculer ces limites d'une façon qui aurait été inenvisageable il y a encore un an, c'est elle qui m'a donné son autorisation sans hésiter pour que je vous fasse partager cette vision.

Oui, il y a certainement encore loin de ce pas vers le candaulisme IRL, mais le but n'est pas tant la ligne droite que le plaisir de la découverte, n'est ce pas? Je suis certain que mon amour serait sensible à des encouragements ou compliments masculins, même si sans doute ce sont parmi vous les femmes, et en particulier celles qui avez déjà offert aux regards de la Toile votre atout le plus doux, le plus beau, le plus fragile, le plus caché mais aussi le plus certain, qui mesurez le mieux ce qu'implique ce geste lorsqu'il est accompli pour la première fois.

Messieurs, apprécierez-vous la vue de cette belle chatte poilue, celle de ma (vraie) blonde ? Qui sait jusqu'où vos témoignages au long cours pourrons nous emmener... s'ils savent véhiculer lubricité et puissante libido dans le respect, un respect non pas dicté par l'ordre moral mais par une envie vraie de contribuer à libérer la féminité de ma tendre salope et de la découvrir un peu avec moi, en même temps que moi... pour son plaisir autant que pour le votre et le mien ? Mon beau trésor saura se dévoiler toujours plus si l'on sait jouer de la bride avec une parfaite justesse, entre le relâchement et la retenue... J'en suis convaincu. 

Ceci est ta chatte ma chérie, livrée pour nous pauvres frustrés qui bandons à la seule vue d'une silhouette ou d'une parole obscène. Ta chatte pour ta liberté, pour la mienne, pour la notre, aussi bien sous forme de jus que d'une manière plus cérébrale. Que toutes gens de bonne volonté veuille bien encourager ton impudence comme il se doit, afin que tu ne cesses d'avancer dans le stupre, avant ou après moi qui ne serai jamais bien loin. Je t'aime mon amour et ne peux te résister, je sais que l'inverse est vrai aussi et c'est pourquoi nous voici entraînés dans cette spirale que toi et moi humons et goûtons dans une ivresse délicieusement coupable, en entraînant peut-être d'autres avec nous ? Du moins nous l'espérons...
#2228944
Je me permet de vous recommander @quendiratelle , qui n'est effectivement autre que moi-même ... et surtout ma reine, qui a bien voulu prêter sa poitrine généreuse en guise d'avatar... merci à ma douce et vertueuse salope...
#2234619
Coucou chers amis,

Pralinos vous revient... car pralinos est cocu ! Enfin ! 3 ans d'atermoiements pour enfin trouver l'ouverture chez madame, et là tout s'est enchaîné très vite...

Il faudrait presque que j'ouvre un post pour donner des conseils aux aspirants :D

Je précise que je n'ai pas trouvé l'oiseau rare sur ce forum, mais cela aurait aussi bien pu se faire ici j'imagine... j'ai testé un autre forum car ici je commençais à être dûment répertorié comme un bon fantasmeur... il me fallait un nouveau vivier... des regards neufs...

J'ai donc commencé par poster une vidéo de madame, qui, signe d'un changement subtil, m'a donné son accord alors que nos films finissaient très généralement à la poubelle après un petit revisionnage à deux.

S'inscrire en tant que couple débutant sur un forum et balancer comme premier post une vidéo en pleine action, je crois que c'est une bonne approche :D

Nous avons eu quelques touches, visiblement très motivées, mais un peu trop pris dans leur élan selon nous, ils en oubliaient des règles de courtoisie élémentaires...

Nous nous sommes ensuite inscrits sur une autre site non candauliste, juste pour voir... quand je dis "nous"... je vous laisse deviner qui a fait le secrétariat free-lance :D

Sur cet autre site, nous avons eu la surprise de recevoir des candidatures... d'hommes soumis! Un fantasme qui a priori n'emballait pas madame, mais auquel nous nous sommes prêtés par curiosité...

C'est ce petit passage qui me semble intéressant pour les aspirants... car madame, qui avait fort à faire jusqu'à présent avec la culpabilité qu'elle éprouvait à l'idée de me faire cocu, s'est "faite la main" sur ces valeureux soumis, qui jamais n'auraient eu la prétention de se mettre à mon niveau... la culpabilité s'est ainsi évaporée... pour une bonne part en tout cas...

Puis est venu la troisième phase... la pêche au gros :D
Madame commençant à se montrer très demandeuse, nous avons lancé quelques perches en privé, en ayant pris soin d'avoir fait certifier nos profils sur les sites.

je dois m'arrêter ici quelques instants pour m'excuser auprès des hommes à qui madame n'a pas pu accorder une discussion prolongée... j'espère qu'ils comprendront que le vin étant tiré, il fallait le boire très vite...

Nous nous sommes donc concentré sur un amant particulièrement charmant, avec des références solides, qui par surcroît s'avérait être de mon âge... et habitant une ville voisine !
Et là quand je dis "nous"... peut-être aurez-vous compris que le secrétaire free-lance avait déjà laissé place à madame pour la rédaction des messages...

Tout s'est enchaîné très rapidement, si bien qu'en moins de deux semaines (je n'ai plus le nombre exact de jours mais c'était vraiment très rapide...), nous avions rendez-vous avec cet amant très courtois, tests VIH en main, que nous avons effectué à l'arrière de la "grosse" voiture de monsieur (vous avez dit "concours de circonstances" ? :D )

Ce que j'ai adoré ? La voir se faire branler face à moi, son amant derrière, jambes arquées, la voir folle de désir en lui dévorant la bouche...

Et avant ça... qu'elle me dise "mon amour je crois que je vais devoir revenir sur mon engagement de ne pas l'embrasser"...

Et après ça... qu'elle me dise "branle toi... regarde, il est en train de me branler... et je suis en train de le branler..."

Comment résumer ... ? Ce serait impossible, je ne pourrais plus redécrire l'enchaînement des jouissance, des positions, des actes commis pendant 2h30 je crois... je n'ai plus le décompte exact du temps passé non plus...

Si, il y a un détail qui faut que je précise... cet amant, non content de la faire jouir à répétition et autorité en lui susurrant des paroles coquines à l'oreille... l'a fait juter sur lui, par mégarde ! Femme fontaine dès le premier soir, avouez que c'est un départ réussi !!!....

En ce moment même elle est en train de se chauffer sur Skype avec son étalon... pendant que je vous écris, elle lui exprime son désir lubrique et il répond comme un beau diable... je suis la discussion tant bien que mal... elle mouille sans la moindre gêne...

JE SUIS COCU MES AMIS !!!!
#2307905
Cela aura duré presque 4 ans... 4 ans pendant lesquels je vous aurai livré le plus profond de mon être et de mon intimité... mais voilà, tout est fini... Madame a pris la décision de divorcer, elle ne m'aime plus, ne me désire plus, elle regrette notre expérience candauliste. J'ai le terrible sentiment d'avoir aimé à mon détriment. J'en suis même à me demander si c'était de l'amour de lui permettre de vivre cette expérience. Son amant n'était pas aussi empressé que je l'étais moi-même vis à vis d'elle... il ne l'aimait pas et comment le lui reprocher, le cadre n'était pas celui-là... j'ai l'impression toutefois que Madame m'en a retrospectivement voulu que son amant ne soit pas plus demandeur de rencontre... alors que c'était sa posture de départ, par respect pour notre couple. J'ai l'impression d'avoir infligé à Madame la chronique d'une blessure narcissique annoncée. Et je m'en veux pour ça.
Tout n'a pas été idéal dans le déroulé. Madame a fait peu de cas des ressentis que je pouvais avoir, au moment de retrouver, seule, deux fois , son amant, toute à son excitation, et toute à ses obligations professionnelles après ces "sessions", qui avait lieu à la pause du déjeuner... clairement, j'avais du mal à gérer quelque chose qui m'échappait un peu trop à la fois pendant "l'avant" et pendant "l'après"...
L'intérêt pour la relation candauliste s'est étiolée, me semble t-il, des 3 côtés à la fois. Mais je ne pensais pas que Madame perdrait son désir pour moi alors qu'elle se découvrait la capacité de plaire à la gente masculine au sens large.
J'écris ce post par honnêteté, par souci de cohérence vis à vis de moi-même, pour que les lecteurs aussi sachent ce qu'il est advenu, et nourrir un peu plus la réflexion des uns et des autres sur leurs propres envies et pratiques.
J'écris ce post pour exorciser ma douleur, si c'est possible.
Ce faisant, j'omet quelque chose que sans doute, plusieurs me reprocheront ici. Alors que l'expérience candauliste vacillait, j'ai tenté de rebondir dans une expérience libertine pluys traditionnelle, basée sur l'échangisme. Je n'ai pas été plus loin que de converser sur un site spécialisé, mais Madame, après s'être montré très mal à l'aise, a décidé que je pouvais faire ce que je voulais en ce qui me concerne, comme une "obligation" de réciprocité qu'elle acceptait que je lui impose. Pour sa part en revanche, elle n'était pas emballée c'est le mons qu'on puisse dire, pas disposée à participer. Elle m'a dit récemment que je l'avis "dégoutée" en passant des soirées à discuter sur le site en question, à continuer malgré ses réserves évidentes... et pourtant, je n'ai pas été plus loin que de parler... je crois pouvoir dire que je n'ai même pas eu de franche conversation coquine... tout est resté sur le mode du questionnement, à mon sens.
Voilà, je crois que j'ai dit l'essentiel. Je perd tout, et je ne sais pas vraiment quelle leçon tirer, la tentation est grande de me dire "plus jamais ça", avec personne, en même temps ces aspirations candaulistes étaient authentiques. Comment ne pas se renier, sans devenir en même temps fou d'avoir conduit mon couple à l'échec par mes envies débridées?
D'instinct, je serais tenté de dire que les réponses seront longues à trouver et que le mot est faible... l'enfer est là et l'enfer n'a pas fini de me poursuivre.
Mais c'est un chemin solitaire, je devrai le vivre loin de ce forum, de vous, de Madame... ce n'était pas l'idée de départ, vous le comprenez bien. Merci de m'avoir accompagné, merci pour vos réactions, que j'ai trouvé, et Madame aussi, le plus souvent respectueuses et complices. Merci pour l'absence de jugement. S'il reste une idée à laquelle je m'accroche, c'est que le jugement, de qui que ce soit, n'est pas la bonne voie pour avancer dans la compréhension de l'humanité de chacun(e).
Au plaisir, même si je ne sais, n'ai jamais su exactement quand...
#2307964
Bonjour, je viens de découvrir ton post, je l'ai donc repris depuis le début pour comprendre un peu l'histoire à travers tes propos.
En premier lieu je te trouve très courageux de livrer tes sentiments en ce moment. Surtout arrêtes de te flageller, car dans ton histoire rien ne dit que ce soit ta démarche candau qui soit la raison première de ton divorce. Tu culpabilises d'avoir initié une démarche dans ton couple mais visiblement vous avez passés des moments d'excitation intenses grâce à cela.
Ceci étant reprends ton propre post: ta femme aime attirer les regards, plaire, voire allumer, c'est dans son ADN. Ben j'ai eu une femme comme ça, et les plans à trois du départ se sont transformés en plan à 2 avec moi spectateur, puis en plan à 2 sans moi... Et j'en ai eu marre car j'étais cocu mais je n'y prenais pas plaisir car exclu. C'est compliqué à gérer si tu n'as pas le caractère d'un soumis complet ou si un équilibre n'est pas respecté dans la relation du couple.
Elle te dit regretter votre aventure candau, mais en fait elle en a bien profité aussi non ?
Je pense pour ma part qu'elle a trouvé quelqu'un d'autre... Et tu n'en est pas responsable.

Mes amitiés.
#2308023
Merci à vos réponses à tous les deux. Je ne pense pas que ma femme ait trouvé quelqu'un d'autre, je le lui ai demandé. C'est une allumeuse mais dans le contexte actuel, elle dit penser surtout à gérer les effets de la séparation et cela cadre avec le sens des priorités que je lui reconnais.
Je crois que le temps passe et que les aspirations changent avec l'expérience, c'est surtout ça. Même si c'est arrivé relativement soudainement de mon point de vue, il y avait aussi des signes avant-coureurs que sans doute je n'ai pas voulu voir, ou su traiter.
Merci pour les invitations au courage, il m'en faut.

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