Ozz a écrit :Bonjour à tous,
Alors que le candaulisme n'est pour moi qu'un fantasme à concrétiser pour l'heure, je m'interroge : aimerais-je qu'elle pratique avec d'autres hommes ce que nous ne pratiquons pas ensemble ?
Elle a "osé" avant moi bien des choses que nous ne faisons pas, qu'elle a aimé faire, qu'elle assume, mais qu'elle ne veut plus faire avec moi... Les ferait-elle avec d'autres ?
Curieux de connaitre vos expériences !
@Ozz Mon avis :
D'abord, il faut poser un préalable qui me parait incontournable :
Un mari et un amant, c'est incomparable, car c'est complémentaire, donc obligatoirement différent. En tous cas, ça doit l'être si on veut que les 3 personnes concernées y trouvent leur équilibre tout en vivant l'aventure le mieux et le plus intensément possible.
Si ça n'est pas vécu comme ça, pour ma part, je ne vois pas l'intérêt de se lancer dans ce genre de pratique.
En général le couple cantonaliste idéal est composé de deux personnes munis d'une sexualité et d'une ouverture d'esprit plus importante que pour la majorité des couples traditionnels.
Ça sous-entend donc qu'ils ont déjà, dans leur sexualité de couple, au moins une fois pratiqué ou essayé ensemble la totalité des actes sexuels imaginables à deux...
Il y a donc assez peu de chances pour que la femme du couple découvre des trucs totalement inconnus avec l'amant .
Par contre, à partir du moment où il s'agit d'un amant unique et régulier ( ce qui est notre option prioritaire et définitive ) il est clair que la relation extraconjugale s'approprie tous les actes les plus chauds, les plus variés et les plus intenses, dans la mesure où le but de la manœuvre est justement d'accéder à des moments déraisonnables et un peu fous qui n'ont pas forcément leur place dans une relation de couple basée sur la complicité, l'amour et la tendresse qui apportent une profondeur qui n'est pas spécialement recherchée avec l'amant, même si rien dans ces 3 états affectifs majeurs ne doit être à priori interdit entre les amants.
Ceci bien compris et admis entre les 2 composantes du couple, il devient évident qu'on ne court aucun risque à laisser l'épouse suivre son instinct et ses pulsions dans la relation complète qu'elle entretient avec l'amant,... d'autant plus si le mari est toujours présent dans les parages ( au sens large ) des ébats.
Alors ça ne devient que du plaisir pour le mari de voir sa femme s'éclater "comme une bête" et atteindre naturellement et logiquement des sommets dans le plaisir et les orgasmes bien plus fous et intenses que ceux obtenus avec lui.
De ma même manière les pratiques et actes semblables à ceux vécus en couple s'avèrent souvent très différents dans la forme et la puissance lorsqu'ils sont pratiqués avec l'amant d'une manière instinctive, spontanée et irréfléchie. Ce qui est accompli entre l'amant et l'épouse que ce soit plus ou moins impudique, immoral ou indécent garde un aspect éphémère qui ne laisse aucune trace dans la vie courante du couple. On s'aperçoit, avec le temps et l’expérience que tout cela est finalement perçu comme un jeu, certes inhabituel pour une couple "normal", mais passionnant et très gratifiant, pour la fille, bien sûr, mais aussi pour ses deux complices du moment.
Il y a une chose qu'il faut bien assimiler pour comprendre l'intérêt de la position candauliste du mari, c'est que c'est uniquement dans cette conformation inactive qu'il peut profiter de voir sa femme heureuse dans une relation à deux tant sur le plan de la complicité amoureuse que sur le plan d'une sexualité débridée. Aussi parfaits et intenses que soient ses rapports sexuels de couple, il n'a jamais le recul pour la voir véritablement action sous tous les angles possibles. Par exemple ( entre mille! ) la voir déshabiller fébrilement son amant dès son arrivée à la maison, prendre avec envie son sexe bandé en bouche, le sucer frénétiquement jusqu'à recevoir des éjaculations puissantes et abondantes dans la bouche jusqu'à ce que le sperme épais lui coule aux commissures des lèvres puis descende sur son menton et s'étale lentement dans son cou, se projetant même sur ses seins pendant qu'elle continue à le sucer avec envie, sont des moments d'une rare beauté et d'une rare intensité émotionnelle dont il serait bien dommage de se priver !
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Un autre exemple pour faire bonne mesure : On peut difficilement réprimer un plaisir indicible que l'on a voir sa femme, durant une bonne demi-heure, sucer et lécher passionnément bourses, périnée et anus de l'amant , entrant, à la fin, sa langue le plus profondément possible en lui jusqu'à ce qu'il obtienne un orgasme paroxysmique, sa bite, libre, remuant dans tous les sens et éjaculant touts azimuts des jets épais monstrueux alors qu'il hurle comme un fou et sans retenue un plaisir orgasmique totalement démesuré...
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Voilà certains des privilèges rares et précieux dont peuvent profiter ensemble 3 complices respectueux les uns des autres, se réunissant régulièrement pour partager des moments de jouissance absolument incomparables...
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mais pas
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