Comme beaucoup de couples libertins, nous avons été initiés, alors que nous avions à peine 30 ans, au libertinage par un couple expérimenté. Puis au fil des années de découvertes en déconvenues parfois, nous avons testé le candaule et bien sur le cuckold. J’aime le plaisir sexuel, connaitre d’autres partenaires et j’ai la chance d’avoir une épouse qui adore le sexe libertin sous toutes ses formes. Y compris celle de m’avoir guidé dans les relations bi où j’ai été receveur. Ma bouche et mes fesses ont connu d’autres émotions.
Samedi soir, Camille un régulier qui avait été présenté à Bérénice par Thierry est venu chez nous. Il avait apporté une boite de petits gâteaux de toutes sortes. On a fait un café. Bérénice m’avait demandé de faire une soirée 100% candaule. Ils étaient donc assis sur le canapé, quant à moi sur le fauteuil restant, car le second avait été glissé dans un angle de notre chambre. Comme toujours nous avons discuté de tout et rien, de l’inflation, du chauffage et du carburant concernant les cuves vides. Ce qui a fait dire à Camille que lui en revanche les avait bien pleines qui a engendré un « hummm intéressant » de Bérénice, qui a eu pour effet de faire glisser la main de Camille entre les cuisses de ma femme.
Nous avons parlé de Lucie et Régis et de notre expérience différente pour Bérénice et moi. Camille a enfoncé sa main entre les cuisses de mon épouse, en lui disant « alors tu n’as pas mouillé ? » Je devinais qu’il la doigtait sous sa jupe et il lui a dit « là tu mouilles ». Ils se sont roulé une pelle, Bérénice lui a dit on va dans la chambre. Ils sont passés devant et je suis arrivé dans la chambre 1 minute après. Débout coller l’un contre l’autre ils s’embrassaient. Bérénice qui n’avait qu’une jupe et chemisier et aucun sous-vêtement, a été nue en 3 minutes. Je voyais Camille qui debout contre elle lui doigtait copieusement la chatte d’une main et la raie du cul de l’autre. Il a descendu Bérénice, la faisant mettre accroupie. Elle a défait la ceinture, la braguette, le boxer. Avec la lampe de chevet ça faisait un peu ombre chinoise. Cela doit faire 5-6 fois que je vois Camille. Sans frimer je me savais BM, mais avec lui je suis toujours surpris par le volume de sa bite épaisse et longue comme je n’avais jamais vu. Bérénice non plus d’ailleurs. Accroupie elle l’a sucé, j’étais assis dans le fauteuil, je pensais à me mettre nu, je bandais grave. Camille se tourne un peu vers moi et me dit « elle suce vraiment bien ta femme et elle aime les grosses queues » Je n’ai répondu que « oui, oui, elle suce bien ». Ils se sont allongés sur le lit et il y a eu tout ce que les maris candaule ont déjà, les baisers, les caresses, les doigtés, les cuni, fellations, 69. Ils savent faire durer le plaisir. Puis ma femme sur le dos, ses cuisses ouvertes, ses jambes écartées. Camille vient sur elle son bassin relevé avec sa queue raide comme une poutre juste à l’entrée du vagin, ils se regardent, ma femme d’une main guide la queue. Bérénice gémit elle doit sentier son vagin s’ouvrir avec le gland gros comme une mandarine. Je bande, je me caresse en regardant. L’instant du mari candaule lorsque l’amant libertin va baiser l’épouse. Il s’enfonce lentement, doucement, Bérénice écarte encore plus ses cuisses. Elle ne masque pas son plaisir par ses gémissements, ses petits cris, « ses oui vas-y, encore, oui, continues » Et comme lors de notre toute 1ere nuit échangiste il y a 9 ans, je vois les fesses d’un mec, son bassin, ses couilles qui montent et descend. J’ai cette excitation jamais disparue de voir un mec baiser ma femme, et réaliser qu’elle aime ça, qu’elle prend son pied avec une autre queue que celle de son mari. Il y a eu tous les changements de positions, missionnaire du début, levrette, elle sur lui, sur le côté, au bord du lit, debout empalée portée juste en face de moi. En alternance avec des pipes, cunis, 69. Autant Sofiane baise en mode défonce et plusieurs fois que Camille fait dans la durée. Camille se faisait sucer sur le lit lorsqu’il m’a demandé le gel. Bérénice était à genoux en levrette entre ses cuisses et il m’a demandé de mettre le gel et de la préparer. Doigts après doigts avec le gel en douceur je lui ai mis 3 ils entraient presqu’en entier. Camille a soulevé le visage de Bérénice qui le suçait encore, et simplement il lui a dit « je vais t’enculer, allonge-toi ». Bérénice était à plat ventre il a glissé deux oreillers sous son ventre. Il lui a dit écarte-toi les fesses ce qu’elle a fait. Il est venu au-dessus de ma femme, je voyais sa queue en ombre chinoise. La pénétration a été longue, lente, Bérénice gémissait, criait parfois. Il y a eu le grand cri lorsque le gland passe en s’enfonce vraiment dans l’anus. Je connais ce cri pour l’avoir moi-même provoqué, dont Lucie. Bérénice lui disait « attends ne bouge plus, ne bouge plus » Lentement il enfonçait le reste de sa queue, sa bouche collée contre l’oreille de Bérénice il lui a dit « ça y est tu là en entier, comme les autres fois »
Lentement avec des ondulations courtes et pénétrantes il faisait crier ma femme. je me branlais. Elle me regardait les yeux perdus dans le vague, sa bouche ouverte. Parfois elle crispait son visage, de plaisir de douleur ? Elle me regardait avec insistance. Je n’ai pas compris le message qu’elle voulait me faire passer. Camille avait son visage dans le cou et le creux de l’épaule de ma femme, je l’entendais gémir doucement à chaque fois qu’il s’enfonçait. J’étais excité de voir, ma femme à plat ventre le bassin cambré par l’oreiller sous son ventre, entrain de se faire sodomiser. J’ai trouvé que la sodomie a durée longtemps. Puis Camille a changé le rythme, pour celui qui sent l’éjaculation monter. Bérénice a du aussi comprendre, elle lui a dit « non « sous-entendu pas dans mon cul. La sortie du cul de Bérénice n’a pas été facile je voyais son visage se crisper. Dans la pénombre j’ai aperçu que son cul me semblait ouvert. Elle s’est mise sur le dos, Camille est venu sur elle juste sous ses seins. Bérénice avec ses deux mains a comprimé sa poitrine, la queue de Camille entre. Il se branlait entre, puis il s’est redressé il a tenu sa queue et son sperme a giclé sur le visage de Bérénice. Je la devinais la bouche ouverte, car j’ai vu que d’une main il dirigeait sa queue comme pour bien viser la bouche. Ce qui en effet était le cas.
Moi je me suis vidé sur mon ventre. Ils sont restés ensuite un long moment allongé cote à cote sans bouger, Bérénice sa main en coquille sur les couilles et la queue de Camille. Je suis allé dans le salon, j’ai regardé la pendule 2h de baise non-stop. J’ai entendu la douche couler, Bérénice m’a rejoint, Camille était dans la salle de bains. Elle m’a embrassé, elle sentait la bite et le sperme. Elle m’a dit « je me suis régalée, as-tu aimé me voir ? » j’ai répondu oui. 30 minutes plus tard Camille est parti.
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