La soirée du 31 avait été programmé depuis septembre ou octobre par le couple organisateur. C’était notre 4ème participation chez eux. C’est une superbe villa d’architecte, genre loft-duplex qui se prête super bien aux soirées culs.
Il y avait 10 couples entre 30 et 45 ans, nous ne connaissions qu’un couple. Je n’avais jamais vu une soirée privée où les femmes étaient toutes vraiment belles, visage, corps. Sur le moment j’ai hésité en voyant une des participantes qui me faisait penser à une personne que j’avais déjà vu mais sans savoir où. Il m’a été confirmé que c’était bien « elle » et qu’il ne devait y avoir aucune fuite sur sa présence. On la voit à la TV. On ne connaissait aucun des hommes seuls. Emmanuel m’a dit qu’ils ont mis 4 mois à faire le casting, de 25 à 35 ans, bien sur tous très sympa, ils présentaient bien, des sportifs. L’invité mystère était en min jupe fendue, un chemisier rouge noué, des bottes et rien d’autre. Je l’ai baisée avec Bérénice et un jeune étalon au milieu de la nuit. Lorsqu’elle va passer sur le petit écran je n’aurais plus la même vision d’elle !
Il y avait un « dress-code » très précis les femmes devaient être hyper sexy et chic. Bérénice à une robe moulante noire complétement transparente, un string, des bas autocollants, pas de soutien gorge. Les hommes c’étaient pantalon de ville, chaussures, tee-shirt interdit, que des chemises unies. Lorsque la soirée a débuté, les maris et moi on a vu qu’ils portaient tous un boxer blanc translucide c’était dans leur dress-code, ils avaient tous le même !
Je passe sur le buffet, les boissons à gogo, les lumières tamisées, la musique, tout était parfait. Le ticket d’entrée 200€ pour tous, couples et hommes seuls. Au début tout est très genre soirée cocktail, sauf la tenue des femmes, on boit, on grignote, on discute, on dans un peu d’une façon chaude, on caresse les femmes sans restriction, on se roule des pelles, les femmes caressent le dos, les fesses, voire la main en coquille sur la queue par-dessus le pantalon. Presque toutes les femmes ont dansé entre elles en se caressant, roulage de pelle. Le mari organisateur a proposé un comprimé du Sidegra, purée l’effet, explosif ! au bout de 30 à 40 minutes. Puis l’organisatrice vers 22h00 a demandé aux hommes seuls de se mettre debout en rang dans le salon et elle a invité toutes les épouses à les mettre absolument nus devant les maris. Chaque femme s’est positionnée, Bérénice a choisit un gars de 30 ans environs, presque en face d’où j’étais assis. La lumière a baissé et c’est cette ancienne musique French Kiss qui a été envoyée. Les femmes ont super bien strip-teasé les hommes en passant devant derrière, en allant doucement, en leur roulant des pelles de temps à autres. Elles se regardaient pour être un peu coordonnées. Lorsqu’ils ont été torse nu elles s’étaient mise dans leur dos et elles ont enfoncé leur mais sous la ceinture vers la braguette on ne voyait que les bras et le mouvement des mains qui pelotaient les queues. Ils se sont retrouvés en slip, c’est là que je me suis aperçu qu’ils avaient tous le même, un boxer blanc transparent et surtout qu’ils étaient tous super montés. Plus tard le mari m’a dit aucun en dessous de 18 cm et deux étaient à 22. L’organisatrice a demandé aux femmes de se placer à genoux devant les hommes pour descendre le boxer. Au bout de deux minutes, toutes les femmes suçaient y compris l’invitée « surprise » Avec ou sans la pilule je bandais comme un âne. Comme tous les maris je me suis nu, j’avais vu une jolie brune et je suis allé. Elle m’a sucé avec l’autre homme. J’avais Bérénice monter à la mezzanine avec son étalon et le mari du couple organisateur. J’ai proposé à la femme qui nous suçait de monter baiser, elle a dit oui, sans hésiter une seconde. Je me suis penché à son oreille et je lui ai dit « tu veux qu’on te baise » elle a répondu un simple « oui ». Nous sommes allés à la mezzanine qui était un immense lit sur le sol. Il devait y avoir 5-6 matelas en 180, recouvert par un immense tissu genre velours rouge. Nous étions 30 sur ce carré, la partie cul a vraiment démarré, personne n'a parlé de capote.
Modéle de la robe de Bérénice et le style que portait les hommes seuls
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