- 06 avr. 2010, 19:00
#30645
Bonjour,
Un petit récit trouvé sur le net que je gardais sur mon HD. Un peut hard je trouve mais sympa
Par contre je ne suis plus sur du site (peut être Revebebe avant qu'ils ne changent de politique et enlèvent les récits trops hard).
Mais celui-ci colle bien avec l'esprit du forum
L'appartement
Cette histoire date de l'année dernière, peu de temps après notre mariage, Isabelle et moi. A cette époque je vivais un véritable rêve. J'avais créé avec un copain de promo une société autour de la construction de sites Internet pour des entreprises. Cà marchait fort, très fort. Peu de temps après, je rencontrais Isabelle chez des amis. Ce fut le coup de foudre immédiat. 22 ans, une plastique parfaite, mignonne, blonde, des jambes magnifiques, Isabelle était une jolie soubrette comme jamais je n'aurais imaginé en rencontrer une. Il n'y avait que sa timidité qui m'énervait. Et au lit cette timidité se traduisait par une certaine frigidité. Mais personne n'est parfait, non ? On se maria le mois suivant dans le bonheur et l'insouciance des jeunes qui ne connaissent pas encore les problèmes de la vie. On prit, pour l'occasion, un appartement en location dans les beaux quartiers de la capitale. 8000 F par mois. C'était une somme rondelette. Mais pour notre bonheur, rien n'était trop cher. Et là, les problèmes ont commencé. Le copain-associé est parti avec la caisse à l'étranger me laissant des dettes colossales. Comme Isabelle ne travaillait pas, nous nous sommes retrouvés sur la paille. Des projets, j'en avais d'autres mais la confiance des banquiers avait disparu. Mais ce qui nous effrayait le plus, c'était les loyers impayés qui s'accumulaient. 3, 4 puis 5 mois sans verser un seul sou à notre propriétaire. Celui-ci, à force de s'impatienter finit par nous menacer, par lettre, d'abord, puis au téléphone directement. On se mit à chercher un autre appartement plus petit mais toutes les agences nous demandaient des justificatifs de salaire qu'on n'avait plus. Nos parents respectifs habitant en province, ne pouvaient nous accueillir. On était complètement coincés. Six mois après notre mariage, on se voyait déjà sdf à dormir sous les ponts. Et comme cela ne suffisait pas, un jour, le propriétaire débarqua chez nous ! ! C'était un riche agriculteur qui avait eu idée d'investir dans l'immobilier dans la capitale. Lorsqu'on le vit dans l'encadrement de la porte, on resta les yeux écarquillés. C'était une véritable armoire à glaces, un torse herculéen, des mains larges comme des battoirs. Il arriva en fulminant, en nous menaçant de nous envoyer tous les huissiers de France. Isabelle et moi étions tétanisés, bloqués par la peur. C'était pas le genre d'homme qu'on avait envie de contredire. A chaque fois que j'essayais de bégayer un mot, il s'énervait. Nous étions dans une situation où nous n'avions que le droit de nous taire, c'est tout. - " C'est pas des jeunes cons comme vous qui allez m'apprendre ce que je dois faire. Alors, les amoureux, vous pouvez payer ou vous pouvez pas payer ? " - " Heu... en fait... on ne peut pas... " bredouillai-je. - " Bon, alors, demain, les huissiers et vous dégagez " Il se leva, se dirigea vers la porte, puis s'arrêta pensif. Il se retourna vers Isabelle. - " A moins que... la mignonne... " ricana t'il d'un air pervers. Il s'approcha d'Isabelle qui se mit à trembler en voyant cette masse arriver sur elle. Il la regarda d'un air salace. - " T'as l'air bonne, toi... Tu devrais faire l'affaire..." Il se tourna vers moi : - " Demain, ta femme, je la veux en mini-jupe, talons, pas de soutien-gorge et pas de culotte... compris le p'tit pédé ? Et si elle sait s'y prendre, vous aurez droit à une semaine de rab pour régler vos dettes... Sinon les huissiers, demain... " Il quitta l'appartement. Nous étions abasourdis. Toute la soirée et toute la nuit, nous avons discuté Isabelle et moi. Ce n'était pas possible. Il fallait quitter cet appartement au plus vite, mais pour aller où ? On n'avait plus d'amis, plus de copains. L'hôtel était trop cher. Nous avions peur, peur de cette brute épaisse, peur du lendemain. De toute façon, si l'on fuyait, il nous retrouverait, lui ou la police... Après des heures de tergiversation, la mort dans l'âme, je conclus qu'il valait mieux céder... Isabelle n'était pas d'accord, bien sûr. J'utilisais tous les arguments possibles pour essayer de la convaincre. Une semaine, lui dis-je, cela pouvait suffire pour persuader un mécène à me sponsoriser pour un nouveau projet que j'avais déjà établi... Le lendemain, il entra dans notre appartement comme en terrain conquis et lorsqu'il vit la manière dont était habillée Isabelle, il s'assit sur un fauteuil qui trônait au milieu de la pièce et s'alluma un cigare qui empesta la pièce. - " Approche-toi, mignonne, viens me montrer tes trésors ". Ma femme était vêtue d'un corsage transparent qui voilait à peine deux seins magnifiques gros comme des pêches, une mini-jupe courte plissée et des talons aiguilles qui rehaussaient des jambes nues, longues et galbées, au mollet finement musclé et à la cuisse interminable. Sa silhouette de rêve se dirigea, dans une démarche hésitante et tremblante, vers le géant qui ne perdait pas une miette du spectacle... Isabelle n'avait pas l'habitude de s'habiller ainsi. Elle qui d'ordinaire était réservée, effacée avec moi, devait tenir un rôle d'exhibitionniste devant un inconnu qui la bloquait complètement. - " C'est comme çà que j'aime les greluches, c'est quand elle ressemble à des salopes" ricana-t'il d'un rire pervers et grossier. - " Sers-moi un whisky, p'tit pédé, j'ai soif " - " Et toi, la mignonne, marche un peu que je vois comment tu remues ton cul " Ma jeune épouse obéit à la voix de stentor du géant et se mit à marcher autour de la pièce. Son déhanchement et le balancement de ses fesses à peine cachée par la jupe courte était, à eux seuls, une provocation. Je disparus dans la cuisine préparer un whisky. Lorsque je revins, l'homme avait éteint son cigare et se masturbait tranquillement en regardant ma femme qui allait et venait dans la pièce. Elle sécha une petite larme qui coula le long de ses yeux. Il avait un braquemart de cheval à la mesure de son impressionnante carcasse. Lorsque je posais le verre de whisky près de lui, je pus remarquer la taille démesurée de son engin, noueux comme un tronc d'arbre. - " Est-ce que cela vous plaît " bredouillais-je craignant toujours un accès de fureur possible de la part du monstre. - " Dis à ta femme de s'approcher et de me montrer son cul". - " Ma chérie, cesse de faire la timide. Monsieur ne te veut aucun mal. Allez approche... et tourne-toi..." Tremblante, Isabelle s'exécuta, malgré elle, et se tourna, le dos face au voyeur, jambes écartées et fesses tendues. Elle sentait que j'étais énervé et elle me demanda : - " Cà va comme çà " - " C'est très bien, ma chérie, reste dans cette position" répondis-je. L'homme souleva la mini-jupe d'une main et découvrit tel un joyau le cul magnifique de ma femme. Deux petites fesses grosses et rondes comme des melons qu'il ne put s'empêcher de saisir et de palper grossièrement. Isabelle voulut échapper à la prise de l'homme et je dus insister en durcissant mon regard pour qu'elle s'offre à la main de l'inconnu. Celui-ci commença à caresser l'intérieur puis le haut des cuisses. Isabelle sursauta et lâcha un petit " non " presque inaudible. - " Allez, ma chérie, un peu de courage, c'est pour nous que tu le fais... " Isabelle se calma et l'homme reprit ses caresses dans un interminable va-et-vient le long des lèvres intimes de ma femme. Confortablement installé avec son verre de whisky, il n'avait qu'à lever la main pour toucher, palper, caresser. Il parlait fort et faisait des commentaires humiliants et dégradants à l'encontre de ma femme. Il l'insultait par plaisir, la traitait de salope, il disait qu'il allait se la baiser et s'amusait à lui faire peur. Isabelle, un court instant, en fut prise d'un vertige tellement la situation devenait folle. Jamais un homme ne lui avait parlé comme çà, sur ce ton-là, mais elle se sentait tellement dominée... Elle continua. Elle se sentait pute pour la première fois de sa vie. Il n'arrêtait pas de se masturber en regardant les fesses dévoilées par la mini-jupe retroussée, la toison blonde et accueillante ainsi que les petites lèvres d'Isabelle, rosies par la friction des doigts rugueux. - " Tiens, p'tit pédé, masturbe-moi la bite pendant que ta femme va se caresser la chatte devant moi " Ce Goldorak avait tous les droits, mais là il me demandait l'impossible. Devant mon hésitation, il me prit par le col : - " Si tu me masturbes pas, j'encule ta petite femme chérie... " J'étais tellement tremblant de peur que j'obéis. Je pris son braquemart énorme dans ma main et commença un va-et-vient qui le calma. Jusqu'où ira ce monstre, pensais-je, en masturbant l'engin dans un mouvement mécanisé et régulier. Isabelle faisait face à l'homme et, les jambes écartées, caressait son entre-cuisses comme il le lui avait demandé. Après plusieurs minutes, Isabelle, enfin, commençait à s'enhardir un peu comme si elle s'habituait à l'exhibition. Mais, en fait, c'est surtout parce qu'elle ne voulait pas déplaire. Ni à moi, ni à l'homme inconnu. Et qu'elle avait peur, par-dessus tout, d'une brutalité physique. Les hommes exigeaient, elle obéirait. Elle finit, même, par demander à l'homme si çà lui plaisait comme çà. J'étais un peu surpris mais finalement très satisfait de son comportement enfin plus coopératif. L'homme ordonna, alors, qu'elle entre ses doigts dans sa vulve. Il voulait la voir copieusement mouillée. Ma jeune épouse obéit aux ordres de l'homme et entra ses doigts fins et menus sous sa douce toison. Après quelques minutes, il demanda à Isabelle de se caresser avec plus d'amour. Elle obéit, à nouveau, et se masturba en faisant la vamp, en lançant des regards amoureux à son tortionnaire, en se pourléchant la bouche avec une langue perverse, en se suçant un doigt comme une bite imaginaire. Elle remuait le ventre comme si elle était prise en levrette. Elle ferma les yeux comme si elle était baignée de plaisir. J'étais, même, médusé de la voir ainsi. Isabelle me fit découvrir des talents cachés, elle, qui, d'habitude, se montrait plutôt prude et effacée. - " Accélère, p'tit pédé, accélère... " m'ordonna l'homme. Dans l'espoir de le voir éjaculer avant qu'il ne baise ma femme, j'accélérais frénétiquement le mouvement de friction sur la bite géante. L'homme était affalé dans le fauteuil, les bras ballants. Comme un vrai nabab, il se délectait du spectacle érotique d'une femme qui se caressait amoureusement pendant qu'il se faisait masturber par le mari. Un spectacle inédit dont il était le seul spectateur. Après quelques minutes de ce traitement, Isabelle, se prenant à son jeu, avait la chatte luisante de cyprine. Elle-même ne savait plus très bien si elle gémissait pour de bon. L'homme se mit soudain à empoigner les seins de mon épouse au point de lui arracher un petit cri plaintif. Puis il s'en prit à son vagin qu'il pénétra d'un doigt ferme et autoritaire et constata qu'il était trempé. Le corps de ma femme était offert, l'homme pouvait en disposer comme il le voulait. Quelques minutes passèrent pendant lesquels il s'amusa à pénétrer Isabelle avec un doigt, puis deux doigts, à jouer avec son clitoris en le titillant et en le pinçant entre ses doigts. Sous la contrainte de ce plaisir forcé, Isabelle, par moments, laissait échapper quelques spasmes dans un hoquet de plaisir. Une sorte de début de complicité finit par s'instaurer entre eux dû, sans doute, aux jeux érotiques qui les animaient. - " Viens là, tu vas me sucer maintenant" ordonna l'inconnu. Il la saisit par la chevelure pour la forcer à se mettre à 4 pattes devant lui. Isabelle, obéissante, ne se posait plus de questions. Les yeux fermés, sa bouche fondit sur le membre violacé par le plaisir et commença à le sucer avec application. Elle ne pouvait enfoncer très loin sa petite bouche sur ce dard énorme mais faisait tout ce qu 'elle pouvait pour satisfaire au maximum le plaisir de cet homme qui la dominait. Elle voulait lui montrer qu'elle serait obéissante. Qu'elle n'avait plus peur. Qu'il serait fier d'elle. La main de l'homme posée sur la tête d'Isabelle, donnait le rythme qu'il voulait imposer à ma jeune épouse. - " Va baiser ta salope" m'ordonna-t-il " Je la veux à bonne température.". Sans bien comprendre le pourquoi de la demande de l'homme, je me levais, me positionnais derrière mon épouse pour la pénétrer comme il me l'avait été demandé. Celle-ci pompait tout ce qu'elle pouvait, la bouche complètement déformée par le gland monstrueux. Après quelques minutes, mon épouse, bâillonnée par le membre de chair, poussa des gémissements sourds. Sa vulve était complètement ruisselante de cyprine, j'accélérais la cadence la sentant proche de l'orgasme tout comme moi. - " Eh, là, p'tit pédé, je t'ai demandé de la baiser pas de la tirer. Casse-toi de là..." L'homme se leva, me repoussa et se positionna, à genoux, derrière mon épouse qui était restée immobile à quatre pattes, un peu dépitée d'être passée si près de l'orgasme. Il ressemblait à un colosse et ma femme à une miniature. Il posa ses mains puissantes sur les flancs d'Isabelle qui attendait le final. Il prit son engin triomphant dans sa main, le pointa en direction de la chatte magnifique et l'appliqua contre la vulve luisante de plaisir. Il s'enfonça dans l'intimité offerte de ma femme qui, comme pénétrée par un tronc d'arbre, s'ouvrit au maximum. Elle laissa échapper un gémissement de plaisir en sentant cet énorme corps étranger la pénétrer. La friction intense sur les parois vaginales la faisait mourir de plaisir. L'homme continuait son va-et-vient et n'arrêtait pas de parler grossièrement pour augmenter son plaisir : - " Elle est à la bonne température ta femme. Juste ce qu'il faut pour ma bite. Tends bien tes fesses, salope " Le vagin complètement distendu, Isabelle, obéissante, creusa ses reins et offrit ses petites fesses rondes aux coups de boutoir qui la fourraient jusque dans ses entrailles. - " Regarde ta femme, p'tit pédé, comme je me la saute bien. Regarde comme elle aime çà. Tu vois mon pieu comme il rentre bien dans sa petite chatte. Regarde comme elle a envie de jouir avec ma bite. Elle n'en peut plus. C'est elle qui bouge sur ma bite. Tu vois comme elle bouge. Regarde-là ta jeune salope comme elle te fait bien cocu. Regarde comme elle a la tête en arrière de plaisir. Elle est au bord. J'en fais ce que j'en veux. Regarde bien, p'tit cocu, comme je me la défonce, comme je me la bourre. Il suffit que j'accélère un tout petit peu, et elle se met à jouir sur ma bite". Puis s'adressant à Isabelle : - " Tu veux que j'arrête ou que je continue ? " - " Continuez, continuez, ne vous arrêtez pas " - " Tu préfères que ton mari te reprenne ou que je continue à te baiser " - " C'est vous que je veux, vous et votre engin énorme " - " Tu promets d'être toujours obéissante, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Tu feras tout ce que je te demande, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Qui veux-tu dans ton lit, cette nuit ? Moi ou ton mari ? " - " Comme vous voudrez, c'est vous qui déciderez... " - " Mais si je viens dans ton lit, cette nuit, qu'est ce tu me feras ? " - " Je ferais tout ce que vous voudrez... " Puis en s'adressant à moi, de nouveau tout en continuant à pilonner ma femme : - " Alors, p'tit cocu, j'ai l'impression que tu es en train de perdre ta femme. Je vais en faire une parfaite petite servante, une chienne bien dressée pour mon plaisir. Et quant j'en aurai marre de la sauter, je te la renverrai..." - " Regarde bien, maintenant, ouvre bien grand tes yeux, tu vas la voir comme jamais tu l'as vue " L'homme accéléra son pilonnage. Ses couilles battaient la mesure dans les fesses de ma femme. Celle-ci s'arc-bouta, aussitôt vers lui, submergée par une tornade de petits orgasmes qui lui parcouraient tout le corps. Son visage grimaçait, elle se mit à gémir violemment de plaisir. L'homme accéléra encore. Un autre orgasme envahit ma femme qui criait maintenant de toutes ses forces. Son corps se tordait sous l'emprise d'un véritable électrochoc de plaisir. Le pilonnage s'intensifia encore. L'homme saisit ma femme par les cuisses pour se coller à elle. Les coups de piston frénétiques tambourinaient au fond du vagin. Ses spasmes devenaient complètement incontrôlables. Le mandrin de l'homme avait augmenté de volume et défonçait dans une cadence folle les fesses meurtries par le traitement. Ma femme se mit à jouir à nouveau lorsqu'elle sentit les giclées de sperme remplir son vagin en feu. Elle tomba inanimée sur le sol, le souffle haletant. Ses cuisses écartées laissait échapper le jus blanchâtre de l'homme. "Alors, p'tit cocu, t'as aimé, on dirait... " Je n'avais pas vu que j'avais joui en les regardant faire l'amour. L'homme se leva, alla chercher son porte-feuilles, me donna un billet et me dit : - " Prends-toi une chambre d'hôtel et ne revient que demain matin. J'ai encore beaucoup de choses à dire à ta femme... " Interloqué, je pris le billet, me rhabillai et je ne sus pourquoi, je sortis sans dire un mot...
Un petit récit trouvé sur le net que je gardais sur mon HD. Un peut hard je trouve mais sympa
Par contre je ne suis plus sur du site (peut être Revebebe avant qu'ils ne changent de politique et enlèvent les récits trops hard).
Mais celui-ci colle bien avec l'esprit du forum
L'appartement
Cette histoire date de l'année dernière, peu de temps après notre mariage, Isabelle et moi. A cette époque je vivais un véritable rêve. J'avais créé avec un copain de promo une société autour de la construction de sites Internet pour des entreprises. Cà marchait fort, très fort. Peu de temps après, je rencontrais Isabelle chez des amis. Ce fut le coup de foudre immédiat. 22 ans, une plastique parfaite, mignonne, blonde, des jambes magnifiques, Isabelle était une jolie soubrette comme jamais je n'aurais imaginé en rencontrer une. Il n'y avait que sa timidité qui m'énervait. Et au lit cette timidité se traduisait par une certaine frigidité. Mais personne n'est parfait, non ? On se maria le mois suivant dans le bonheur et l'insouciance des jeunes qui ne connaissent pas encore les problèmes de la vie. On prit, pour l'occasion, un appartement en location dans les beaux quartiers de la capitale. 8000 F par mois. C'était une somme rondelette. Mais pour notre bonheur, rien n'était trop cher. Et là, les problèmes ont commencé. Le copain-associé est parti avec la caisse à l'étranger me laissant des dettes colossales. Comme Isabelle ne travaillait pas, nous nous sommes retrouvés sur la paille. Des projets, j'en avais d'autres mais la confiance des banquiers avait disparu. Mais ce qui nous effrayait le plus, c'était les loyers impayés qui s'accumulaient. 3, 4 puis 5 mois sans verser un seul sou à notre propriétaire. Celui-ci, à force de s'impatienter finit par nous menacer, par lettre, d'abord, puis au téléphone directement. On se mit à chercher un autre appartement plus petit mais toutes les agences nous demandaient des justificatifs de salaire qu'on n'avait plus. Nos parents respectifs habitant en province, ne pouvaient nous accueillir. On était complètement coincés. Six mois après notre mariage, on se voyait déjà sdf à dormir sous les ponts. Et comme cela ne suffisait pas, un jour, le propriétaire débarqua chez nous ! ! C'était un riche agriculteur qui avait eu idée d'investir dans l'immobilier dans la capitale. Lorsqu'on le vit dans l'encadrement de la porte, on resta les yeux écarquillés. C'était une véritable armoire à glaces, un torse herculéen, des mains larges comme des battoirs. Il arriva en fulminant, en nous menaçant de nous envoyer tous les huissiers de France. Isabelle et moi étions tétanisés, bloqués par la peur. C'était pas le genre d'homme qu'on avait envie de contredire. A chaque fois que j'essayais de bégayer un mot, il s'énervait. Nous étions dans une situation où nous n'avions que le droit de nous taire, c'est tout. - " C'est pas des jeunes cons comme vous qui allez m'apprendre ce que je dois faire. Alors, les amoureux, vous pouvez payer ou vous pouvez pas payer ? " - " Heu... en fait... on ne peut pas... " bredouillai-je. - " Bon, alors, demain, les huissiers et vous dégagez " Il se leva, se dirigea vers la porte, puis s'arrêta pensif. Il se retourna vers Isabelle. - " A moins que... la mignonne... " ricana t'il d'un air pervers. Il s'approcha d'Isabelle qui se mit à trembler en voyant cette masse arriver sur elle. Il la regarda d'un air salace. - " T'as l'air bonne, toi... Tu devrais faire l'affaire..." Il se tourna vers moi : - " Demain, ta femme, je la veux en mini-jupe, talons, pas de soutien-gorge et pas de culotte... compris le p'tit pédé ? Et si elle sait s'y prendre, vous aurez droit à une semaine de rab pour régler vos dettes... Sinon les huissiers, demain... " Il quitta l'appartement. Nous étions abasourdis. Toute la soirée et toute la nuit, nous avons discuté Isabelle et moi. Ce n'était pas possible. Il fallait quitter cet appartement au plus vite, mais pour aller où ? On n'avait plus d'amis, plus de copains. L'hôtel était trop cher. Nous avions peur, peur de cette brute épaisse, peur du lendemain. De toute façon, si l'on fuyait, il nous retrouverait, lui ou la police... Après des heures de tergiversation, la mort dans l'âme, je conclus qu'il valait mieux céder... Isabelle n'était pas d'accord, bien sûr. J'utilisais tous les arguments possibles pour essayer de la convaincre. Une semaine, lui dis-je, cela pouvait suffire pour persuader un mécène à me sponsoriser pour un nouveau projet que j'avais déjà établi... Le lendemain, il entra dans notre appartement comme en terrain conquis et lorsqu'il vit la manière dont était habillée Isabelle, il s'assit sur un fauteuil qui trônait au milieu de la pièce et s'alluma un cigare qui empesta la pièce. - " Approche-toi, mignonne, viens me montrer tes trésors ". Ma femme était vêtue d'un corsage transparent qui voilait à peine deux seins magnifiques gros comme des pêches, une mini-jupe courte plissée et des talons aiguilles qui rehaussaient des jambes nues, longues et galbées, au mollet finement musclé et à la cuisse interminable. Sa silhouette de rêve se dirigea, dans une démarche hésitante et tremblante, vers le géant qui ne perdait pas une miette du spectacle... Isabelle n'avait pas l'habitude de s'habiller ainsi. Elle qui d'ordinaire était réservée, effacée avec moi, devait tenir un rôle d'exhibitionniste devant un inconnu qui la bloquait complètement. - " C'est comme çà que j'aime les greluches, c'est quand elle ressemble à des salopes" ricana-t'il d'un rire pervers et grossier. - " Sers-moi un whisky, p'tit pédé, j'ai soif " - " Et toi, la mignonne, marche un peu que je vois comment tu remues ton cul " Ma jeune épouse obéit à la voix de stentor du géant et se mit à marcher autour de la pièce. Son déhanchement et le balancement de ses fesses à peine cachée par la jupe courte était, à eux seuls, une provocation. Je disparus dans la cuisine préparer un whisky. Lorsque je revins, l'homme avait éteint son cigare et se masturbait tranquillement en regardant ma femme qui allait et venait dans la pièce. Elle sécha une petite larme qui coula le long de ses yeux. Il avait un braquemart de cheval à la mesure de son impressionnante carcasse. Lorsque je posais le verre de whisky près de lui, je pus remarquer la taille démesurée de son engin, noueux comme un tronc d'arbre. - " Est-ce que cela vous plaît " bredouillais-je craignant toujours un accès de fureur possible de la part du monstre. - " Dis à ta femme de s'approcher et de me montrer son cul". - " Ma chérie, cesse de faire la timide. Monsieur ne te veut aucun mal. Allez approche... et tourne-toi..." Tremblante, Isabelle s'exécuta, malgré elle, et se tourna, le dos face au voyeur, jambes écartées et fesses tendues. Elle sentait que j'étais énervé et elle me demanda : - " Cà va comme çà " - " C'est très bien, ma chérie, reste dans cette position" répondis-je. L'homme souleva la mini-jupe d'une main et découvrit tel un joyau le cul magnifique de ma femme. Deux petites fesses grosses et rondes comme des melons qu'il ne put s'empêcher de saisir et de palper grossièrement. Isabelle voulut échapper à la prise de l'homme et je dus insister en durcissant mon regard pour qu'elle s'offre à la main de l'inconnu. Celui-ci commença à caresser l'intérieur puis le haut des cuisses. Isabelle sursauta et lâcha un petit " non " presque inaudible. - " Allez, ma chérie, un peu de courage, c'est pour nous que tu le fais... " Isabelle se calma et l'homme reprit ses caresses dans un interminable va-et-vient le long des lèvres intimes de ma femme. Confortablement installé avec son verre de whisky, il n'avait qu'à lever la main pour toucher, palper, caresser. Il parlait fort et faisait des commentaires humiliants et dégradants à l'encontre de ma femme. Il l'insultait par plaisir, la traitait de salope, il disait qu'il allait se la baiser et s'amusait à lui faire peur. Isabelle, un court instant, en fut prise d'un vertige tellement la situation devenait folle. Jamais un homme ne lui avait parlé comme çà, sur ce ton-là, mais elle se sentait tellement dominée... Elle continua. Elle se sentait pute pour la première fois de sa vie. Il n'arrêtait pas de se masturber en regardant les fesses dévoilées par la mini-jupe retroussée, la toison blonde et accueillante ainsi que les petites lèvres d'Isabelle, rosies par la friction des doigts rugueux. - " Tiens, p'tit pédé, masturbe-moi la bite pendant que ta femme va se caresser la chatte devant moi " Ce Goldorak avait tous les droits, mais là il me demandait l'impossible. Devant mon hésitation, il me prit par le col : - " Si tu me masturbes pas, j'encule ta petite femme chérie... " J'étais tellement tremblant de peur que j'obéis. Je pris son braquemart énorme dans ma main et commença un va-et-vient qui le calma. Jusqu'où ira ce monstre, pensais-je, en masturbant l'engin dans un mouvement mécanisé et régulier. Isabelle faisait face à l'homme et, les jambes écartées, caressait son entre-cuisses comme il le lui avait demandé. Après plusieurs minutes, Isabelle, enfin, commençait à s'enhardir un peu comme si elle s'habituait à l'exhibition. Mais, en fait, c'est surtout parce qu'elle ne voulait pas déplaire. Ni à moi, ni à l'homme inconnu. Et qu'elle avait peur, par-dessus tout, d'une brutalité physique. Les hommes exigeaient, elle obéirait. Elle finit, même, par demander à l'homme si çà lui plaisait comme çà. J'étais un peu surpris mais finalement très satisfait de son comportement enfin plus coopératif. L'homme ordonna, alors, qu'elle entre ses doigts dans sa vulve. Il voulait la voir copieusement mouillée. Ma jeune épouse obéit aux ordres de l'homme et entra ses doigts fins et menus sous sa douce toison. Après quelques minutes, il demanda à Isabelle de se caresser avec plus d'amour. Elle obéit, à nouveau, et se masturba en faisant la vamp, en lançant des regards amoureux à son tortionnaire, en se pourléchant la bouche avec une langue perverse, en se suçant un doigt comme une bite imaginaire. Elle remuait le ventre comme si elle était prise en levrette. Elle ferma les yeux comme si elle était baignée de plaisir. J'étais, même, médusé de la voir ainsi. Isabelle me fit découvrir des talents cachés, elle, qui, d'habitude, se montrait plutôt prude et effacée. - " Accélère, p'tit pédé, accélère... " m'ordonna l'homme. Dans l'espoir de le voir éjaculer avant qu'il ne baise ma femme, j'accélérais frénétiquement le mouvement de friction sur la bite géante. L'homme était affalé dans le fauteuil, les bras ballants. Comme un vrai nabab, il se délectait du spectacle érotique d'une femme qui se caressait amoureusement pendant qu'il se faisait masturber par le mari. Un spectacle inédit dont il était le seul spectateur. Après quelques minutes de ce traitement, Isabelle, se prenant à son jeu, avait la chatte luisante de cyprine. Elle-même ne savait plus très bien si elle gémissait pour de bon. L'homme se mit soudain à empoigner les seins de mon épouse au point de lui arracher un petit cri plaintif. Puis il s'en prit à son vagin qu'il pénétra d'un doigt ferme et autoritaire et constata qu'il était trempé. Le corps de ma femme était offert, l'homme pouvait en disposer comme il le voulait. Quelques minutes passèrent pendant lesquels il s'amusa à pénétrer Isabelle avec un doigt, puis deux doigts, à jouer avec son clitoris en le titillant et en le pinçant entre ses doigts. Sous la contrainte de ce plaisir forcé, Isabelle, par moments, laissait échapper quelques spasmes dans un hoquet de plaisir. Une sorte de début de complicité finit par s'instaurer entre eux dû, sans doute, aux jeux érotiques qui les animaient. - " Viens là, tu vas me sucer maintenant" ordonna l'inconnu. Il la saisit par la chevelure pour la forcer à se mettre à 4 pattes devant lui. Isabelle, obéissante, ne se posait plus de questions. Les yeux fermés, sa bouche fondit sur le membre violacé par le plaisir et commença à le sucer avec application. Elle ne pouvait enfoncer très loin sa petite bouche sur ce dard énorme mais faisait tout ce qu 'elle pouvait pour satisfaire au maximum le plaisir de cet homme qui la dominait. Elle voulait lui montrer qu'elle serait obéissante. Qu'elle n'avait plus peur. Qu'il serait fier d'elle. La main de l'homme posée sur la tête d'Isabelle, donnait le rythme qu'il voulait imposer à ma jeune épouse. - " Va baiser ta salope" m'ordonna-t-il " Je la veux à bonne température.". Sans bien comprendre le pourquoi de la demande de l'homme, je me levais, me positionnais derrière mon épouse pour la pénétrer comme il me l'avait été demandé. Celle-ci pompait tout ce qu'elle pouvait, la bouche complètement déformée par le gland monstrueux. Après quelques minutes, mon épouse, bâillonnée par le membre de chair, poussa des gémissements sourds. Sa vulve était complètement ruisselante de cyprine, j'accélérais la cadence la sentant proche de l'orgasme tout comme moi. - " Eh, là, p'tit pédé, je t'ai demandé de la baiser pas de la tirer. Casse-toi de là..." L'homme se leva, me repoussa et se positionna, à genoux, derrière mon épouse qui était restée immobile à quatre pattes, un peu dépitée d'être passée si près de l'orgasme. Il ressemblait à un colosse et ma femme à une miniature. Il posa ses mains puissantes sur les flancs d'Isabelle qui attendait le final. Il prit son engin triomphant dans sa main, le pointa en direction de la chatte magnifique et l'appliqua contre la vulve luisante de plaisir. Il s'enfonça dans l'intimité offerte de ma femme qui, comme pénétrée par un tronc d'arbre, s'ouvrit au maximum. Elle laissa échapper un gémissement de plaisir en sentant cet énorme corps étranger la pénétrer. La friction intense sur les parois vaginales la faisait mourir de plaisir. L'homme continuait son va-et-vient et n'arrêtait pas de parler grossièrement pour augmenter son plaisir : - " Elle est à la bonne température ta femme. Juste ce qu'il faut pour ma bite. Tends bien tes fesses, salope " Le vagin complètement distendu, Isabelle, obéissante, creusa ses reins et offrit ses petites fesses rondes aux coups de boutoir qui la fourraient jusque dans ses entrailles. - " Regarde ta femme, p'tit pédé, comme je me la saute bien. Regarde comme elle aime çà. Tu vois mon pieu comme il rentre bien dans sa petite chatte. Regarde comme elle a envie de jouir avec ma bite. Elle n'en peut plus. C'est elle qui bouge sur ma bite. Tu vois comme elle bouge. Regarde-là ta jeune salope comme elle te fait bien cocu. Regarde comme elle a la tête en arrière de plaisir. Elle est au bord. J'en fais ce que j'en veux. Regarde bien, p'tit cocu, comme je me la défonce, comme je me la bourre. Il suffit que j'accélère un tout petit peu, et elle se met à jouir sur ma bite". Puis s'adressant à Isabelle : - " Tu veux que j'arrête ou que je continue ? " - " Continuez, continuez, ne vous arrêtez pas " - " Tu préfères que ton mari te reprenne ou que je continue à te baiser " - " C'est vous que je veux, vous et votre engin énorme " - " Tu promets d'être toujours obéissante, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Tu feras tout ce que je te demande, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Qui veux-tu dans ton lit, cette nuit ? Moi ou ton mari ? " - " Comme vous voudrez, c'est vous qui déciderez... " - " Mais si je viens dans ton lit, cette nuit, qu'est ce tu me feras ? " - " Je ferais tout ce que vous voudrez... " Puis en s'adressant à moi, de nouveau tout en continuant à pilonner ma femme : - " Alors, p'tit cocu, j'ai l'impression que tu es en train de perdre ta femme. Je vais en faire une parfaite petite servante, une chienne bien dressée pour mon plaisir. Et quant j'en aurai marre de la sauter, je te la renverrai..." - " Regarde bien, maintenant, ouvre bien grand tes yeux, tu vas la voir comme jamais tu l'as vue " L'homme accéléra son pilonnage. Ses couilles battaient la mesure dans les fesses de ma femme. Celle-ci s'arc-bouta, aussitôt vers lui, submergée par une tornade de petits orgasmes qui lui parcouraient tout le corps. Son visage grimaçait, elle se mit à gémir violemment de plaisir. L'homme accéléra encore. Un autre orgasme envahit ma femme qui criait maintenant de toutes ses forces. Son corps se tordait sous l'emprise d'un véritable électrochoc de plaisir. Le pilonnage s'intensifia encore. L'homme saisit ma femme par les cuisses pour se coller à elle. Les coups de piston frénétiques tambourinaient au fond du vagin. Ses spasmes devenaient complètement incontrôlables. Le mandrin de l'homme avait augmenté de volume et défonçait dans une cadence folle les fesses meurtries par le traitement. Ma femme se mit à jouir à nouveau lorsqu'elle sentit les giclées de sperme remplir son vagin en feu. Elle tomba inanimée sur le sol, le souffle haletant. Ses cuisses écartées laissait échapper le jus blanchâtre de l'homme. "Alors, p'tit cocu, t'as aimé, on dirait... " Je n'avais pas vu que j'avais joui en les regardant faire l'amour. L'homme se leva, alla chercher son porte-feuilles, me donna un billet et me dit : - " Prends-toi une chambre d'hôtel et ne revient que demain matin. J'ai encore beaucoup de choses à dire à ta femme... " Interloqué, je pris le billet, me rhabillai et je ne sus pourquoi, je sortis sans dire un mot...