- 20 nov. 2014, 15:19
#1698517
Le débarquement
Lundi 10 novembre 2014
Marc n’avait toujours pas vu mon stagiaire en personne, bien qu’il fût au courant de ses faits et gestes par mon rapport quotidien de l’activité de l’agence.
Son intégration au sein de ma petite équipe commençait à se détendre, il prenait de plus en plus d’assurance dans son éducation sexuelle. Son endurance commençait même à devenir acceptable.
Chaque mercredi, je lui demandais de baiser Émilie en travaillant les positions : levrette, missionnaire, couché sur le coté etc… A en discuter avec mon assistante ce jeune homme commençait à devenir un bel étalon. Elle ne simulait quasiment plus.
Cette simulation du désir était imposée par mon autorité, pour qu’il se sente en confiance. Ca en était même devenu un petit jeu avec Émilie qui avait l’impression de faire l’actrice de films pornographiques.
Marc nous invita tous les trois à diner chez lui afin que je lui présente mon petit protégé.
C’est donc tous les trois dans ma voiture que nous nous rendions à notre rendez vous chez notre patron respectif. Maxime était anxieux de rencontrer le grand responsable de l’agence, je ne sais qu’elle idée il pouvait s’en faire, mais une chose est sure il appréhendait cette rencontre.
Nous arrivâmes dans la cour de la demeure de Marc et la voiture de Jean Pierre y était garée. Cela faisait une éternité que je ne l’avais revu et j’étais excitée à l’idée de le revoir.
« Hey salut mes chéries ! Quel plaisir de vous revoir. Ca fait une éternité. »
« Ben c’est ce qu’on se disait avec Émilie dans la voiture. Très heureuse de vous voir. »
« Ma parole ma petite Manue mais tu es devenue une véritable femme en quelques mois. Quelle métamorphose ! Tu es sublime »
« Je suis touchée merci »
« Alors où est ce petit stagiaire ? » Marc fit irruption dans le hall d’entrée de sa grande maison en tendant la main vers Maxime.
« Bonsoir Monsieur, Maxime. Ravis de vous rencontrer. »
« Bon c’est bien mon garçon. Ravi de même. Allez entrez, on va prendre l’apéritif au bord de la piscine. Les autres nous rejoindrons. »
Quand il parlait des autres, je su quelques minutes après notre arrivée, qu’il avait aussi convié Mathias, Audrey et Frédéric. Comme pour renouer avec le bon vieux temps comme il disait.
Je n’avais pas revu Frédéric depuis ma petite mise en scène avec le type d’internet. Il évitait mon regard et baissait les yeux à chaque fois que nous nous croisions.
Mathias et Audrey étaient contents de me revoir aussi, c’est vrai que depuis mes nouvelles fonctions je les avais un peu délaissé au profit de mon travail.
Tous autours du bar nous échangions nos dernières actualités, l’ambiance détendue et conviviale étaient de mises.
Les bouteilles de champagne se succédèrent et l’ivresse de ces petites bulles commençait à se faire sentir.
Il était temps que nous passions à table pour éponger ce spiritueux, mais bien entendu le repas que nous avait concocté Marc était aussi grassement servi en vin.
Les explosions de rire et les haussements de voix témoignaient de l’ivresse de la tablée.
« En tout cas les amis ca me fait plaisir de nous voir tous réunis. Cela devenait trop rare ! » Il attrapa la main au passage d’Émilie qui s’était levée pour aller chercher une bouteille d’eau dans la cuisine.
« Hein et toi tu es heureuse chez ta nouvelle patronne ? »
« Oh oui, mais vous resterez toujours mon patron aussi. » lui répondit elle en s’asseyant sur ses genoux pour l’embrasser langoureusement.
Ses mains se baladaient sur le corps de la jeune fille, il était en train de reprendre ses marques. Il la pelotait pendant nous spectateurs continuions à vider nos verres de vin.
La tentation d’Audrey commençait à se faire sentir, cela faisait longtemps que nous nous n’étions pas câlinées et le désir était là. Je me levai donc de ma chaise pour aller me lover à elle, elle m’amena dans le salon pour prendre nos aises dans le grand canapé. Très vite rejoint pas Mathias.
Pendant qu’il se dirigeait vers nous, il fît un petit signe de tête à Jean Pierre.
« Tu viens JP, je crois qu’on ne sera pas trop de deux pour elles. »
« Comment refuser cette si belle invitation. » Il aurait fallut être aveugle pour ne pas voir que son pantalon était déjà sur le point d’exploser tellement son sexe hors norme était déjà tendu par l’excitation du moment.
Maxime et Frédéric restèrent en retrait ne sachant vraiment où se situer. Frédéric ne cessait de regarder en ma direction, je voyais bien que cela l’enquiquinait de me voir ainsi libre maintenant. Et je dois dire que le fait de me sentir ainsi épiée ne faisait qu’accroitre mon désir d’en faire plus.
Je déboutonnai le pantalon devenu trop petit de Jean Pierre et le sexe à peine sorti l’avala au fond de ma gorge. C’était la première fois que Maxime me voyait en action et cela semblait lui plaire aussi.
Ma bouche ne cessait d’aspirer le membre dur et épais du sexagénaire, ma mâchoire s’essayait d’être la plus grande possible pour qu’elle puisse en prendre le maximum.
Maxime était terré dans son coin voyeur et admirateur du spectacle auquel il était en train d’assister. Qui de sa promotion allait connaître cela pendant son stage ? C’est à cet instant où il mesura la chance qu’il avait d’être tombé dans cette agence.
L’idée de le faire participer me vint pour deux raisons : la première, parce qu’il n’y avait pas de raison que ce ne soit qu’Émilie qui puisse le consommer et la deuxième, de voir Frédéric ainsi trépigner je savais que çà allait encore plus lui en mettre un coup.
Je m’accordai donc une petite pause pendant ma caresse buccale pour m’adresser à lui.
« Approche toi ici, je vais te montrer comment on suce. »
Ne comprenant pas tout de suite que c’était à lui que je m’adressai il tourna la tête vers Frédéric, qui venait de se liquéfier à cette annonce. Ce petit jeunot allait baiser devant lui son ex tandis que lui resterait là les bras croisés.
Le stagiaire s’approcha timidement ne comprenant pas trop où il devait se positionner.
« Bah si tu restes habillé comme çà, cela va être difficile. Allez retire moi tout çà. »
Il se dévêtit dans la minute. C’est Audrey qui prit la relève pour s’occuper à son tour de Jean Pierre et de son homme. Je me déplaçai donc pour leur laisser un peu d’espace et surtout pour être bien en vue de mon pauvre cocu.
Il n’osait me toucher, c’est donc moi qui due aller à lui, je le pris en bouche sans même y poser une main. Mes lèvres l’aspirèrent et sa verge finit de gonfler instantanément au fond de ma bouche. La taille de son sexe était sensiblement la même que Frédéric, comble du hasard. Pas de quoi en avoir peur donc. Je m’amusai à le prendre en gorge profonde en gardant bien les yeux ouverts pour tenir fixée mon jaloux.
« Hey voilà comment j’aime voir le travail accompli. Tu t’es bien assumée dis moi ma petite Manue. » me félicita Marc en me voyant entreprenante ainsi. Il savait que je faisais çà pour rendre jaloux celui qui m’avait mise dans l’engrenage du sexe assouvi.
« Reste pas planté là Fredo, tu vois bien que tu n’as plus la main mise sur elle. Viens je te file un bout de la rousse ! Vient lui prendre son petit cul elle n’attend que çà ! »
Par dépit il accepta l’invitation de l’hôte et se déshabilla et quelle fut pas ma surprise de voir son sexe ainsi édifié. Même jaloux, cette situation l’excitait toujours autant. Entendu, çà l’excitait et bien continuons alors.
« Toi aussi tu vas me prendre par derrière. Et tu as tout intérêt à assurer. »
Je me retournai, pris la position et me cambrai pour lui ouvrir mon entre jambe.
« Allez, vient doucement me la mettre. »
« Mais je n’ai jamais fait çà Madame. Ne va t’il pas être douleur pour vous. »
« Arrête avec la sémantique Maxime. Je te dis tu m’encules alors tu m’encules. T’occupes pas de moi t’es pas le premier à me la foutre et tu ne seras pas le dernier. »
Voyant le jeune décontenancé par mon ton autoritaire, Jean Pierre quitta un instant le sexe d’Audrey pour venir en aide au petit nouveau.
« Ne me dis pas que tu n’as jamais sodomisé une fille ? »
« Non monsieur, je ne savais même pas que ca se faisait dans la vrai vie. Je croyais que ce n’était que dans les films X. »
« Et bien mon garçon, même si les films X sont des fois déconnectés de la réalité, sache que certaines choses y sont tout de même fortement inspirés. Bon commence par lui lécher la petite rondelle, prends bien soin de saliver abondamment. Normalement il faudrait du lubrifiant pour faciliter la pénétration et que cela soit moins douloureux. Mais crois-moi ta patronne en a déjà vu. Tu vois ma bite ? Et bien je l’ai déjà enculé plusieurs fois à sec. Allez vas y lèche là. »
Il s’agenouilla à son tour derrière moi et colla son visage entre mes cuisses, sa langue sortie timidement de sa bouche et commença à me fouiller gentiment mon petit orifice. En bon élève, il écoutait consciencieusement les conseils de son professeur du soir et m’inonda de sa salive.
« Voilà, c’est bon pour la salive. Vas-y maintenant glisse lui un doigt. Pas l’index, vas y avec le majeur ! »
Son majeur me pénétra et des légers allers retours se fissent sentir.
« Comme çà, fouille la bien. Fait en sorte que son petit trou s’élargisse à chaque passage. Cherche bien à ouvrir le passage. Voilà comme çà, c’est bien. Tu la sens se décontracter sous l’effet de ton doigt. »
« Oui, monsieur. »
« Et bien très bien. Vas-y mets lui l’index maintenant. Mais non ! Garde ton majeur aussi. Elle va bientôt prendre ta queue, elle peut donc se prendre deux doigts en même temps. »
Ses deux doigts étaient maintenant en moi et me fouillaient de manière très maladroitement. Ce qui n’avait rien pour me déplaire. Je tournai des fois mon regard vers Frédéric qui n’y était pas du tout à ce qui l’était. Il assistait à se dépucelage avec attention et envie. Bien qu’il était en train de baiser en levrette Émilie, pendant que Marc se faisait longuement sucer, son esprit était totalement détaché.
« Allez vas y mets toi en position. Tu vas la sodomiser. Prends ton sexe en main et viens le poser devant son petit trou. Voilà comme çà, pas trop vite. Prends ton temps. » Il était maladroit.
« Vas y commence un peu à appuyer, doucement laisse le temps à son cul de s’ouvrir »
« J’y arrive pas »
« C’est normal, tu es trop incline. Essaye de mettre ton bassin plus à sa hauteur. » Malgré ma cambrure on ne peut plus accentuée, l’écartement de mes jambes je ne pouvais l’aider plus.
« C’est çà essaye d’y aller le plus droit possible. Vas-y pousse maintenant. »
« Je comprends pas ca ne veut pas rentrer. »
« Attends laisse moi garçon, décale toi un peu. C’est pas compliqué pourtant, regarde. Tiens bien ton sexe en main pour pas qu’il se plie, tu auras comme çà plus de force ? Et avec ton gland tu pousses bien au centre. Tiens regarde ca commence à s’écarter ! »
Effectivement la vigueur de Jean Pierre faisait, que mon petit orifice commençait à céder sous sa pression. Ma petite rondelle se dilatait pour s’ouvrir à son imposant engin. Je m’efforçai ne pas gémir, ni même crier, il fallait que je fasse bonne figure devant mon stagiaire. Je mordais donc ma lèvre inférieure. Mais Jean Pierre s’arrêta net avant même ne m’avoir complètement pénétrée.
« Allez garçon, vas y reprend. Tu as compris ? »
« Oui, monsieur ! Je pense »
Il s’y reprit. Écoutant les bons conseils, il retenta l’expérience. Cette fois-ci semblait être mieux, mais sa maladresse et son trac l’empêchait d’aboutir. Était il suffisamment en érection, était il suffisamment aligné, bref à n’y rien comprendre.
« Bon laisse moi, ouvrir le passage. » Jean Pierre reprit sa place de tout à l’heure, prit soin tout de même de crachez à nouveau sur l’entrée qu’il voulait forcer. Et entama sa pénétration. Son expérience et sa vigueur n’en eurent pas longtemps avec moi. Quand son gland eu fait le premier poinçon, c’est tout son membre qui glissa à la suite à l’intérieur de moi. Il me pénétra jusqu’à la garde.
Ses grosses mains empoignèrent mon bassin pour bien me caler, et commença à me limer d’abord de manière douce et sa cadence s’accéléra au fil du temps.
« Mmmmmh c’est vrai que tu es bien serrée aujourd’hui ! La vache quel plaisir d’être si à l’étroit. Tu verras petit, la sodomie à l’avantage de t’offrir une pénétration des plus serrées et cela n’a que effet d’accroire ton plaisir. » Ses coups étaient rapides, il se dégageait totalement pour me repénétrer aussitôt. Mes gémissements ne faisaient qu’accroitre sa cadence.
« Oh nom de dieu, je vais déjà jouir ! » De ses mains il me recula le bassin contre lui, pour s’assurer d’être ancrer au plus profond de moi. Je sentais sa verge se gonfler et par à-coup de puissants jets de sperme me remplissaient.
« Oahhhh que c’est bon de jouir dans ton petit cul ma Manue. Ca faisait bien longtemps. C’est comment ton prénom déjà ? »
« Maxime, monsieur »
« Ok Maxime, maintenant tu peux revenir tu n’auras plus aucune difficulté. Avec tout ce que je lui au mis, je peux te dire que ca va coulisser. »
Sur le visage du jeune étudiant on pouvait lire le certain dégout face à cette obligation de devoir me pénétrer alors qu’un homme vient à l’instant de se lâcher. Mais il était trop avancé pour dire non. Il en était du même de celui de Frédéric mais dans un autre registre, il rageait à l’idée que ce petit allait enfin pouvoir m’honorer.
Maxime dans une parfaite imitation de Jean Pierre m’agrippa par les hanches et de sa main droite vint guider son sexe dans mon trou béant. Sa verge s’engouffra d’une traite, il recala sa main droite sur mon bassin et commença à me baiser énergiquement. Les bruits de succion de son sexe nageant dans le sperme se faisaient entendre, mais ne semblaient le gêner. Il était dans l’euphorie du moment. Il était en train de sodomiser pour la première une fille et de plus est sa Maître de stage. Ses mains se baladaient partout sur mon corps, elles agrippèrent ma poitrine. Il me la malaxait fermement, je sentais bien qu’il prenait son pied.
« Essaye maintenant de t’accroupir un peu au dessus d’elle. N’hésite pas à prendre appui sur son bas du dos. Et accélère la cadence tu vas voir ! » Jean Pierre savait comment me baiser avec le temps et il savait surtout comment faire pour m’entendre. Maxime se leva sur ses jambes, s’accroupi en pointant bien son sexe versa sa cible et me repénétra. Il y prenait gout le gamin. Sa vitesse s’accéléra et pour la première fois je le senti enfin bien au fond de moi et mes gémissements commencèrent à s’intensifier pour laisser place à quelques petits cris.
« Tiens tu entends, elle couine maintenant. »
« Je vais jouir Monsieur ! »
« Mais vas y mon garçon. Lâche-toi ! »
Une nouvelle rafle de foutre m’envahie, je le sentais trembler d’excitation derrière moi. Je n’étais pas fâcher de lui, il avait réussit malgré moi à me faire jouir.
Il se retira de moi pour me rendre ma liberté, j’allais me redresser quand soudain …
« Attends Manue, j’aimerai bien voir ton ex se vider en toi parmi le foutre de Jean Pierre et celui de ton stagiaire. » me demanda Marc. Il savait pertinemment qu’en me demandant çà, il rabaissait Frédéric comme le moins que rien juste bon à passer à la fin de tout le monde.
« Excusez moi Marc, mais je crains ne plus pouvoir en recevoir. Par contre je n’ai rien contre un petit nettoyage. » Son rictus en dit long !
Frédéric rageait d’être aussi humilié publiquement et surtout devant ce petit jeunot pré pubère.
Mais la tentation de pouvoir me toucher une nouvelle fois lui était trop grande, et tout penaud il vint se glisser derrière moi pour s’abreuver de foutre male !
Audrey le prit un peu en pâtit, et une fois qu’il eu terminé de me nettoyer intégralement en ayant profité pour me caresser le moindre centimètre carré de ma peau, elle s’agenouilla face à lui pour le prendre en bouche afin que lui aussi puisse avoir sa part de jouissance.
Il explosa une quantité fascinante de sperme dans la bouche de la jolie brune pulpeuse, elle faillit même s’étouffer en avalant de travers.
Je dois l’avouer que ce petit débarquement de mes amis à cette soirée fut pour le moins le plus agréable.