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C'est dans cette partie réservée du forum cando que les membres sont invités à partager et échanger toutes sortes de contenus médiatiques en lien avec le candaulisme.

Ici, les amateurs de ce fantasme sont encouragés à poster et mettre en ligne des vidéos coquines, des photos suggestives, des enregistrements sonores évocateurs ou toute autre production visuelle et auditive représentant des scènes candaulistes.

Que ce soit pour montrer fièrement sa propre compagne ou épouse, pour exhiber le cocu de service soumis à cette pratique, pour commenter et discuter autour de ces contenus ou simplement pour jouer et interagir grâce aux images, vidéos et sons érotiques publiés, cette section du forum regroupe tout ce qui a trait de près ou de loin au candaulisme.

C'est un espace privilégié pour celles et ceux qui souhaitent partager leur intérêt pour cette déviance sexuelle, échanger sur leurs expériences et fantasmes, se découvrir de nouvelles pratiques ou plus simplement se délecter du plaisir coupable que procure l'observation de ces contenus tabous.

Bref, tout amateur de candaulisme, du plus timide au plus assumé, trouvera ici de quoi assouvir sa curiosité et nourrir ses fantasmes les plus intimes. Cette partie du forum cando est entièrement dédiée au partage et à la mise en commun de tout ce qui touche de près ou de loin aux images, vidéos et sons à caractère candauliste.
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#2162503
Isabelle ne bouge plus. Elle attend sagement. Quelles pensées doivent traverser son esprit à ce moment-là ? Elle se demande sûrement ce qui l’attend ensuite… Mais l’expérience qu’elle a de mon imagination ne lui permet d’avoir de certitudes. La surprise est un des fondements de notre relation à trois. Jean et moi sommes très complices et prenons beaucoup de plaisirs à la surprendre.
Et comme être surprise décuple son excitation. Toutes les surprises, mêmes les plus inconvenantes… Comme se faire sodomiser par Jean dans les toilettes de l’institut du monde arabe, pendant une conférence, puis y retourner avec moi pour m’y soulager avec sa bouche. Avant de revenir s’assoir sagement, l’anus encore palpitant et le gout de ma semence sur sa langue…
Et qu’elle est belle, agenouillée là devant moi, frémissante d’angoisse…
A la voir ainsi, mon excitation monte encore d’un cran.

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Le bruit d’une fermeture éclair qu’on actionne troue le silence de la pièce.
A ce bruit, Isabelle détourne la tête. Elle commence à deviner la suite…

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Je sais les images qui doivent défiler dans sa tête… Mais en est-elle sûre ?
N’est ce pas là une des fausses pistes que je me plais à inventer pour lui faire perdre pied ?
Je m’approche d’elle, sans un bruit, sans un mot.

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« Regardez droit devant vous Isabelle… et levez la tête… »
Elle redresse lentement la tête. Elle est passée dans un autre monde…
Un monde ou les règles et les convenances sont au service du plaisir…
Le plaisir des autres et le sien…

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Dans un instant, tout va basculer…
Je fais durer encore cet instant. J’approche d'elle, replace son bandeau sur ses yeux, pour être sûr qu'elle ne voie rien, puis j’effleure sa joue de mon gland. Une micro seconde...

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A ce contact furtif, elle a un sursaut. Mais ne bouge pas.
Toujours aussi tendue, mais immobile.
Elle attend. Elle redoute. Elle espère aussi…
Un peu des trois. Le cocktail est parfait…

A suivre
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#2162532
Je découvre ce superbe récit tres érotiques et beaucoup de perversité dans l'approche. Une superbe créature docile et tres belle qui va être pervertie par les deux complices mari et amant, un duo de choc et de perversité. Vivement la suite
#2164192
Je la taquine un peu en effleurant son visage. Ses joues, ses lèvres. Elle ne sait jamais d’où va venir le contact.
Elle devine, mais sa surprise la fait sursauter à chaque contact.

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Puis je précise mon intention en mettant mon gland au contact de ses lèvres.
« Allons Isabelle, ouvrez moi votre bouche… On y est si bien… »
Elle ouvre la bouche. En apnée…
Je m’octroie le privilège de la première pénétration de la soirée.

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Je m’introduis doucement dans sa bouche. Tout doucement. Elle resserre instinctivement ses lèvres autour de mon sexe.

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Je reste à l’orée de sa bouche, profitant de la caresse suave de ses lèvres sur mon gland.
Délicieux. Elle ne bouge pas, mais ses lèvres s’arrondissent.

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« Ouvrez plus grand, Isabelle… Vous savez comment j’aime prendre votre bouche… »
Elle marque un temps d’arrêt puis elle fait ce que je lui demande.

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A suivre
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#2164419
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J’aime ce moment qui symbolise, à mon sens, toute la mécanique complexe de notre relation à trois.

A travers moi, Jean domine Isabelle. Et Isabelle se livre à Jean en se soumettant à moi.
Nous y trouvons tous trois un plaisir intense.

Jean et Isabelle entretiennent une relation amoureuse très forte. Mais leurs sentiments forment paradoxalement une espèce de barrière qui les empêchait d’explorer seuls une partie de leurs fantasmes respectifs. Un réflexe inconscient et compréhensible.
Même s’il ne s’agit que de jeux, comment un homme qui aime sa femme peut-il admettre et surtout avouer son envie de la traiter rudement ? Comment lui dire qu’il veut la dominer, en faire son jouet sexuel, alors qu’il la respecte plus que tout au monde ?
Comment une femme moderne, forte, libre et intelligente pourrait-elle avoir envie d’être traitée et rabaissée de la sorte ? Quand bien même elle en aurait envie, comment pourrait-elle avouer une chose pareille à l’homme qu’elle aime ?

Dans un couple, il y a toujours une part d’ombre. Des choses, des peurs et des envies inavouables. Des choses qu’on garde en soi de peur de blesser l’autre. On appelle ça pudiquement son « jardin secret ».
On l’ouvre et on le partage en partie avec celui ou celle qu’on aime. Mais il reste toujours une cabane au fond de ce jardin dont on garde la clé bien cachée.
C’est cette clé de leurs fantasmes les plus secrets qu’Isabelle et Jean ont tous deux accepté de me confier.
Je ne suis que le traducteur et le metteur en scène de ces fantasmes. Jean ne peut pas traiter Isabelle comme je la traite et Isabelle n’accepterait jamais que Jean la traite ainsi.
M’offrir ainsi sa bouche est à la fois un signe d’acceptation de la part d’Isabelle, mais aussi de son pouvoir. Elle se soumet à mes désirs mais garde toujours une forme de contrôle. Au fond, c’est elle qui maitrise la situation à ce moment précis.
Ne jamais oublier que c’est la soumise qui fait le maître, et pas l’inverse….

Au tout début de notre relation, il s’agissait juste de les aider à communiquer ensemble sur leur sexualité. Je n’imaginais pas alors ce que j’allais découvrir dans leur cabane à fantasmes respectifs et ou cela nous mènerait. J’y reviendrais sans doute dans un autre post.
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#2164450
Vaste débat @jeanrp
Il y a autant de cas qu’il y a de couples, de femmes et d’hommes. C’est dire 
Etre et rester amant et maîtresse en étant mari et femme est bien évidemment le secret.
Cela demande une communication et une attention constante.
Beaucoup d’écoute et de respect de l’autre.
Des concessions aussi parfois. Mais jamais de sacrifice.
Faire quelque chose pour faire plaisir à l’autre peut se concevoir. Mais ça ne peut être que ponctuel et, en tout cas, éphémère.
Le ciment du couple réside dans les points communs et les intérêts communs.
Plus ils sont nombreux, plus le ciment est solide.
Et sur le sujet qui nous intéresse, il faut aussi être capable d’accepter ses fantasmes comme ceux de l’autre et réussir à en parler sans retenue, ni non-dits.
C’est le point crucial qu’on n’ose pas toujours aborder, par honte parfois. Par peur de décevoir voire de perdre l’autre. Alors, le couple est préservé, mais passe parfois à côté de quelque chose d’extraordinaire, toute une vie durant. Pire, le couple se brisera parce que ce qui lui manque résidait dans ces fantasmes communs inavoués.
Il faut donc choisir entre deux philosophies que je résumerais en deux proverbes :
« Toute vérité est bonne à dire »
« Il vaut mieux un doux mensonge qu’une amère vérité »
Chacun choisira son camp. Il n’y en a pas un meilleur que l’autre.
Juste un qui correspondra le mieux à votre caractère.
candau73 a liké
#2164935
Je m’attarde un moment à l’orée de sa bouche. Isabelle ne bouge pas.

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Elle se raidit, attendant la suite… Elle sait ce que je veux.
J’avance lentement le bassin. Elle ne recule pas la tête mais arrondit ses lèvres et ouvre encore sa bouche pour m’accueillir plus profondément.

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Je pose ma main sur sa tête. Elle inspire longuement.
Puis je m’enfonce plus loin dans sa bouche, très lentement. Sa respiration devient saccadée.

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« Allez Isabelle, encore un effort, vous pouvez la prendre plus profondément… »
J’appuie lentement pour m’enfoncer entièrement dans sa gorge.
Quand mon gland atteint sa luette, elle est secouée de la tête au pied par des spasmes.
Elle tente de contrôler ses haut-le-cœur.

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Je reste ainsi au fond de sa gorge quelques secondes qui doivent lui paraitre une éternité.
Cette possession totale lui fait toujours un effet psychologique incroyable.
C’est le moment ou elle se sent devenir objet.
Désormais, elle va se laisser aller à ses sensations primaires.
Respirer, contrôler ses réflexes de rejet.
Ne plus penser… ne plus réfléchir. S'offrir.

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A suivre
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#2165184
Je continue un moment à alterner les temps de pause avec des va-et-vient très profonds.
Quand j’arrive au fond de sa gorge, je la maintiens ainsi quelques secondes.
Au début, Isabelle suffoque et panique.

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Isabelle n’arrive pas à retenir ses haut-le-cœur. Je ressors alors lentement pour la laisser reprendre son souffle. Elle respire bruyamment et un filet de salive coule sur son menton.

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Quand elle respire à nouveau plus calmement, je recommence.
Et comme à chaque fois, elle finit par maîtriser de mieux en mieux ses spasmes pour me permettre de profiter de toute la profondeur de sa gorge.
Je peux alors la laisser m’offrir la caresse de ses lèvres et de sa langue, en imprimant juste le rythme de la fellation.

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Mais je continue de temps à autre à m’enfoncer d’un coup au fond de sa gorge avant de ressortir aussitôt. Elle déglutit rapidement et reprend aussitôt sa caresse. Signe que cette fois, elle a basculé et est prête à s’offrir à toutes nos envies.

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A suivre
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#2171624
Je me laisse aller à la douceur de sa bouche et à ses talents de fellatrice.
Elle suce divinement bien quand elle est dans cet état.

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Elle s’applique pour masser mon gland et ma verge de sa langue et de ses lèvres.

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Je la guide au rythme du plaisir que je sens monter en moi.

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Au moment de jouir, j’attire sa tête contre mon ventre, m’enfonçant au fond de sa gorge une dernière fois. Elle pousse un petit cri vite étouffé par le bâillon de chair.

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Je la maintiens ainsi d’une prise encore plus ferme et je sens un premier jet de sperme jaillir dans sa gorge. Je la sens paniquer et tenter de refouler la semence qui envahit sa gorge...

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A suivre
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#2171766
Merci pour vos commentaires :-)
Le titre initial du post était lié à un aspect du candaulisme que je trouve insuffisamment évoqué et illustré ici : La découverte du corps de la belle par l'invité.
Souvent, on passe directement au vif du sujet et aux ébats. Je fais partie de ceux qui pensent que "l'avant" détermine le "pendant".
Offrir sa femme est un acte fort.
Imagineriez vous un cadeau de noël sans un joli paquet ? Un cadeau posé sous le sapin que celui a qui il est destiné, utilise tout de suite, sans suspense, sans surprises ?
Voir celui à qui on offre ce cadeau, le déballer lentement et le découvrir avant de s'en servir, n'est il pas un des "plaisirs d'offrir" ? :-)
C'était donc un sujet que je voulais mettre en avant ici.
Puis devant le manque de participation, j'ai décidé d'y raconter de manière illustrée, la façon dont je conçois cette offrande.
Isabelle aurait pu, ce soir là, être directement offerte à nos invités nue sur un lit.
Mais avouez que nous aurions raté quelque chose... :-)
Quant à refaire ce post entièrement dans la partie présentation du site... je ne m'en sens pas le courage... A moins que ce ne puisse être fait facilement en changeant juste de section (mais j'en doute).
Par contre, j'envisage, après la narration de cette soirée, de raconter en détails, la genèse et le déroulement de la merveilleuse liaison que j'ai entretenu avec Isabelle et Jean.
Je placerais ce post là dans la section "Présentation".
En effet, raconter cette histoire a fait remonter des souvenirs et m'a fait rouvrir ma boite à photos papier et le disque dur qui contient toutes nos photos ainsi que quelques vidéos. J'ai plus de 10 000 photos en tout qui recouvrent toute la durée de notre liaison, tous les moments et expériences que nous avons vécus et fait vivre à Isabelle.
Mais je tiens avant tout à l'harmonie entre le texte de mes souvenirs de ces moments et l'intensité de l'action. J'ai donc trié et visionné la totalité de nos clichés pour trouver la photo qui colle parfaitement à la scène. Et quand je n'en n'ai pas, je préfère prendre une illustration extérieure, si elle colle mieux. (mais ça, la plupart d'entre vous s'en sont aperçus).
Mais en faisant ce travail d'archivage et de tri, je crains de n'avoir également ouvert la boite de Pandore et réveillé en moi le démon que je croyais endormi à jamais...
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