- 01 juil. 2018, 06:39
#2181557
Après quelques expériences diverses et variées, nous allons vivre notre première véritable expérience candauliste ce jeudi. Il me semble donc temps de partager avec vous notre parcours et le développement de ses/nos envies.
Tout a commencé, il y a 8 ans nous étions aux thermes naturistes. Nous fréquentons régulièrement ces endroits pour le plaisir de se détendre à deux, nus et cela avait tendance à nous donner quelques envies. Il était tard, en semaine, nous étions seuls dans le jacuzzi et nous nous sommes mis à parler des corps nus qui défilaient devant nous. Un homme retint son attention. Comme nous avons toujours eu une belle franchise et une facilité à parler de notre sexualité, je lui demanda si elle aurait envie de lui. Elle répondit "oui" mais nuança en précisant que c'est le sucer qu'elle aurait envie, rien de plus. Etonné de cette précision, je la questionna sur la raison. Elle m'expliqua qu'elle a toujours adoré pratiquer la fellation, que cela date de bien avant moi, de ses premières relations et que plus d'hommes ont pénétré sa bouche que son sexe. Pendant qu'elle m'explique son plaisir de faire venir un homme avec sa langue et ses lèvres, le brun ténébreux qui avait lancé notre conversation à son insu se dirigea vers nous. Mon sexe était déjà légèrement émoustillé par notre discussion, je lui demanda où jouissait ses amants de l'époque et elle me raconta comment elle les laissait jouir dans sa bouche mais que discrètement, la bouche ouverte, le sperme s'écoulait. J'étais donc le premier qu'elle avalait et il faut dire qu'elle est extrêmement douée et appliquée pour faire venir simplement avec ses mains et sa boucher. Quelle privilège ! Quand je lui demandai l'âge de ces amants qui avaient eu cette chance de connaître ce plaisir, elle se mit à chuchoter que le plus vieux avait eu 20 ans de plus qu'elle. L'homme brun mis alors son pied dans le jacuzzi. Je remettais mes idées en place. Je vis le visage de ma femme excité par notre conversation et cet homme qui nous regardait comme on l'avait regardé jusqu'ici. Elle se sentit un poil gênée par les désirs contradictoires qu'elle ressentait et me dit qu'elle allait sortir. Excité, je lui susurra à l'oreille de sortir lentement et de pencher ses fesses nues pour me permettre de voir sa croupe et d'offrir un petit cadeau exhibitionniste à cet homme qui n'avait rien demandé. Je revois encore la scène aujourd'hui, elle sorti sa poitrine de l'eau et ses seins passèrent sous le regard de l'homme qui fut attiré par son mouvement. Je ne regardais plus ma femme ma se réaction. Elle mis sa main gauche sur rampe de sortie et posa un pied sur une marche, son corps se tendit et sorti de l'eau, on la voyait de dos. Là, au ralentit, elle se pencha dans un mouvement naturel et tendit ses fesses à un tel point qu'il était difficile de ne pas voir son sexe fermé. Elle se redressa tout aussi naturellement, pris sa serviette et s'essuya en se tournant vers moi. L'homme ne la quittait pas des yeux, elle lui lança un regard discret presque gêné. Et elle nous laissa dans nos bulles. Il se tourna alors vers moi, me sourit agréablement, je lui répondit pareillement.
J'ai su ce jour-là que ma femme savait ce qu'elle aimait.
(photo d'époque)
Tout a commencé, il y a 8 ans nous étions aux thermes naturistes. Nous fréquentons régulièrement ces endroits pour le plaisir de se détendre à deux, nus et cela avait tendance à nous donner quelques envies. Il était tard, en semaine, nous étions seuls dans le jacuzzi et nous nous sommes mis à parler des corps nus qui défilaient devant nous. Un homme retint son attention. Comme nous avons toujours eu une belle franchise et une facilité à parler de notre sexualité, je lui demanda si elle aurait envie de lui. Elle répondit "oui" mais nuança en précisant que c'est le sucer qu'elle aurait envie, rien de plus. Etonné de cette précision, je la questionna sur la raison. Elle m'expliqua qu'elle a toujours adoré pratiquer la fellation, que cela date de bien avant moi, de ses premières relations et que plus d'hommes ont pénétré sa bouche que son sexe. Pendant qu'elle m'explique son plaisir de faire venir un homme avec sa langue et ses lèvres, le brun ténébreux qui avait lancé notre conversation à son insu se dirigea vers nous. Mon sexe était déjà légèrement émoustillé par notre discussion, je lui demanda où jouissait ses amants de l'époque et elle me raconta comment elle les laissait jouir dans sa bouche mais que discrètement, la bouche ouverte, le sperme s'écoulait. J'étais donc le premier qu'elle avalait et il faut dire qu'elle est extrêmement douée et appliquée pour faire venir simplement avec ses mains et sa boucher. Quelle privilège ! Quand je lui demandai l'âge de ces amants qui avaient eu cette chance de connaître ce plaisir, elle se mit à chuchoter que le plus vieux avait eu 20 ans de plus qu'elle. L'homme brun mis alors son pied dans le jacuzzi. Je remettais mes idées en place. Je vis le visage de ma femme excité par notre conversation et cet homme qui nous regardait comme on l'avait regardé jusqu'ici. Elle se sentit un poil gênée par les désirs contradictoires qu'elle ressentait et me dit qu'elle allait sortir. Excité, je lui susurra à l'oreille de sortir lentement et de pencher ses fesses nues pour me permettre de voir sa croupe et d'offrir un petit cadeau exhibitionniste à cet homme qui n'avait rien demandé. Je revois encore la scène aujourd'hui, elle sorti sa poitrine de l'eau et ses seins passèrent sous le regard de l'homme qui fut attiré par son mouvement. Je ne regardais plus ma femme ma se réaction. Elle mis sa main gauche sur rampe de sortie et posa un pied sur une marche, son corps se tendit et sorti de l'eau, on la voyait de dos. Là, au ralentit, elle se pencha dans un mouvement naturel et tendit ses fesses à un tel point qu'il était difficile de ne pas voir son sexe fermé. Elle se redressa tout aussi naturellement, pris sa serviette et s'essuya en se tournant vers moi. L'homme ne la quittait pas des yeux, elle lui lança un regard discret presque gêné. Et elle nous laissa dans nos bulles. Il se tourna alors vers moi, me sourit agréablement, je lui répondit pareillement.
J'ai su ce jour-là que ma femme savait ce qu'elle aimait.
(photo d'époque)