Retour à chaud de mon après-midi avec BS : j’ai le goût de la nicotine dans la bouche de l’avoir embrassé, les jambes un peu fébriles par manque de sucre et de l’avoir serré avec mes cuisses…
BS, 1.95, dans les 100 kg, musclé mais pas trop, grand noir avec des dreadlocks jusqu’à la moitié du dos, la cinquantaine - qui petite anecdote a le même prénom et la même année de naissance que mon Schtroumf préféré, pour ne pas le nommer
@titou2020, ce qui fait qu’à la maison avec
@pleasecuckme nous en sommes arrivés à dire T et T le belge, voir le belge, ce qui fait très french connection des années 70/80 à Marseille
– il a la peau très douce, la bouche active et une poigne à faire remuer le sang…
Je pars donc vêtue de mon bodystocking, d’une redingote, de bottines à talons aiguille
et un manteau par-dessus car il fait 7° dehors.
J’arrive à l’appart, je le sonne (l’appelle sur son GSM), il descend, petite blague, on monte les 4 étages à pieds, en gentleman il passe devant pour ne pas voir mes jambes.
On arrive dans l’appartement, il me dit qu’il a 1m2 à finir de peindre. Il a fini, va se changer, se laver. On rentre dans la pièce, il me dit que cela fait bizarre, je découvre que, sous ses airs de grand cool, il est assez timide et pudique. Je me retrouve devant lui et on commence à s’embrasser. Très vite on se retrouve sur le lit car il est très grand et c’est plus pratique. On s’embrasse, nos mains touchent le corps de l’autre : moi ses fesses sous son shorty et son dos, lui le haut de mes jambes et mon sexe, j’ai gardé mon bodystocking. Très vite il me doigte, on s’embrasse de plus en plus fougueusement, ses mains sont de plus en plus viriles aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur… On se touche, cuni, 69, … il me pénètre. Son sexe, « stop aux fantasmes » n’est pas si large, long oui 20cm environ, légèrement courbé en érection avec un gland plus large que le reste de sa verge. En missionnaire, il atteint des zones qui ne sont pas visitées habituellement, c’est bon, même très bon. Il sort, me prend en levrette, ses mains prennent possession des mes fesses, son sexe va et vient de plus en plus fort. Je change de position en m’offrant plus ou moins à lui, en me cambrant ou en m’allongeant sur le lit…
Petite pause, petite panne. On se repose quelques minutes, comme tout homme il trouve un prétexte à ce moment de faiblesse, je l’embrasse et le chauffe, nouveau doigtage, nouveau cuni, il me prend aussi par le cul, je jouis avec ses doigts. Nos étreintes reprennent de plus belle. En missionnaire encore, sur le côté, face à face, mes jambes remontent sur le siennes à califourchon, je l’attrape par les fesses et me colle à lui pour qu’il aille au plus profond, il me prend ainsi pendant plusieurs minutes, on est à bout de souffle, petite pause, il me prend en cuillère, je redresse le torse pour le sentir encore mieux, je jouis, il y va de plus en plus fort, je l’entraîne dans sa fougue jusqu’à ce qu’il jouisse en moi. On reste allongés en cuillère, tout contre, reprenant notre souffle.
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Puis on se lève, se rhabille.
C’était une jolie pause d’après-midi d’1h15 non stop : l’après-midi c’est bien, même très bien! Retour à la maison, toujours sans culotte.
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