- 19 déc. 2019, 14:26
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Cette semaine :
Au début de nos jeux, il y a environs huit ans, j'ai fait la connaissance d'un fan de Vanessa sur son site de rencontres préféré.
Garagiste de son état et géographiquement proche, nous avons rapidement sympathisé par messagerie interposée. Au fil du temps, nous nous sommes rencontrés entre hommes pour parler bien sur de Vanessa et d'autres centres d'intéret que nous avons en commun ; les bagnoles.
J'en possède moi-même plusieurs et un jour ou j'étais confronté à un soucis technique, je l'ai invité a venir faire son diagnostique à la maison.
La consigne était claire, il rencontrerait Vanessa mais ne devait s'attendre à rien d'autre de garanti.
Toutefois, il ne lui était pas interdit de demander gentiment.
Je savais que ce n'était pas son type de mâle donc je me doutais qu'il ne se passerait rien. Néanmoins je m'attendais à ce que Vanessa lui fasse cadeau de ses seins ou un truc du genre car elle aime faire plaisir à ses fans.
Malheureusement, à peine arrivé et Vanessa à peine saluée, un voisin fit son apparition et s’incrustât tout le temps qu'il fût avec nous. Fin de l'épisode.
Nous sommes bien entendu restés en contact après cela et loin d'avoir été refroidi par cet épisode, il m'avoua etre totalement tombé sous le charme de ma petite coquine.
Au fil du temps, c'est plus devenu un copain qu'un simple fan et nous échangions assez régulièrement principalement à propos de Vanessa et un peu aussi de nos bagnoles.
Il y a plus ou moins une semaine la Vanessamobile se comporte bizarrement en route et je lui en fait donc part le soir même. Au bout de quelques minutes, on diagnostique un problème de boite.
Heureusement il a des contacts sait faire rapidement un échange standard.
Vanessa doit donc lui amener sa bagnole. Par soucis de clarté et de correction je lui rappelle donc nos accords lors de sa première visite et rassure Vanessa sur le fait qu'il ne s'agit pas d'un piège.
Prix d'amis oui mais prix quand même. RDV pris.
Mais Vanessa n'est pas une oie blanche et je sais qu'elle saura se montrer reconnaisante envers son fan. Je sais qu'il va l'avoir ce sein qu'il convoite tant. Peut être même plus. Il les caressera certainement à loisir. Peut être lui montrera elle son joli cul. Sa petite chatte ? En fait j'en sais rien. Et je ne mesure pas encore à quel point je l'ignore.
Vanessa est sans ambiguités. Me laisse gérer le contact et l'organisation avec lui et s'amuse de cette relation de clientèle avec son plus vieux fan.
J'en fais part à S lors de de nos discussions de fin de soirée. Lui, ne me cache pas son bonheur d'enfin la rencontrer en vrai sans le voisin. Et bien entendu, pervers que je suis, je ne lui cache pas ma conviction qu'il pourra probablement lui dégrafer le soutien gorge. De toutes façons, à ce stade, Vanessa me l'a elle même confirmé par un « on verra » assortit d'un large sourire coquin qui ne laisse planer aucun doute.
Vanessa s'en va donc conduire sa voiture Lundi vers treize heures et absorbé par mon boulot, j'en oublie même ce rdv sur le moment.
C'est la photo de sa queue dans la main de ma femme reçue par messagerie qui ma l'a rappelé !
Mais quelle salope !
Ma femme est vraiment une belle salope et je réalise instantanement à quel point j'aime ça. A quel point ça m'excite et à quel point je l'aime cette petite garce.
Amusé et excité, je fais remarquer à ma petite salope de femme que je lui ai organisé un plan pour sa voiture. Pas un plan cul.
Elle me répond simplement que c'est sa nature et qu'elle ne résiste jamais longtemps a une queue bien dure pour elle.
Mes messages suivants restent sans réponse. Les electrochocs commencent dans mon cœur et dans mon slip.
Rentré à la maison, la petite salope joue avec moi comme un chat avec sa proie. Oscille entre suppositions, sous entendus, sourires provocateurs et évocateurs et conclut en m'envoyant chercher l'info auprès de mon ami garagiste...
Lui de son côté reste assez évasif et se montre bien moins loquace que ces derniers jours. Il a l'air embêté et cela se ressent dans ses messages.
Heureuse de son effet, Vanessa entreprend alors de me raconter ce qu'il s'est passé :
« Quand je suis arrivée à son garage nous étions tous les deux assez intimidés. Moi parce que je savais qu'il m'avait vue sous tous les angles et qu'il connaissait notre vie intime. Lui impressionné d'être avec moi sachant qu'il pouvait tenter mais n'osant pas.
Nous sommes partis tester la voiture pour confirmer le diagnostique. En cours de route, il a posé sa main sur ma cuisse. Je ne l'ai pas retirée. Alors, il a fini par s'arreter sur le bas côté dans un coin assez calme et m'a embrassée en me disant que cela faisait des années qu'il fantasmait sur moi. Il était très touchant dans sa sincérité alors, j'ai pris sa main et l'ai glissée dans mon soutien gorge. Il a posé la mienne sur sa braguette pour que je constate la véracité de ses dires.
Alors, j'ai dégrafé son pantalon et je lui ai carressé la queue pour le faire bander encore plus. Ca s'est arreté là. Nous sommes rentrés au garage ou il y avait ses ouvriers, j'ai pris la voiture de remplacement et suis rentrée. »
Mon pronostique était donc un peu en deçà des faits mais néanmoins pas érroné. Enfin du moins en apparence car en réalité les cartes avaient été redistribuées mais j'allais seulement commencer à le réaliser.
Vanessa maintenant s'était prise au jeu et ça l'excitait ce pouvoir qu'elle avait sur lui et sur moi en parallèle. Ils avaient échangé leurs numéros de tel et communiquaient maintenant ensembles, pour sa bagnole bien sur, sans passer par moi. Et surtout cet épisode avait réveillé la garce infidèle et libre qui sommeille en Vanessa.
Quant au garagiste, une fois passé le moment de malaise à mon encontre, rassuré de voir a travers nos échanges que je ne le prenais pas mal, il me raconta fidèlement ce que je savais déjà.
La petite salope me laissa supposer qu'elle achèverait la branlette entamée dans sa voiture en gage de reconnaissance et je me dis qu'au pire elle le sucerait peut être. Je ne dis rien à mon ami convaincu que ma femme faisait tout de son côté pour laisser son garagiste sous pression.
Le lendemain, Vanessa n'était pas en forme. L'hiver et la surcharge de travail en période de fêtes faisaient leur effet. Rentré à la maison, je lui demandai ce qu'il en était de sa bagnole. Elle me répondit qu'il avait encore du boulot et me tint au courant avec précision de l'etat d'avancement du chantier. Preuve que ces deux là communiquaient en direct.
L'heure avancait et en début de soirée il lui envoya un message pour lui dire qu'elle pouvait reprendre sa voiture une heure plus tard. Vanessa lui dit que ce serait préférable demain mais il lui répondit qu'il avait besoin de la voiture de remplacement pour le lendemain matin.
Elle partit donc dans le froid, pas en forme, en milieu de soirée alors qu'elle se levait hyper tôt le lendemain pour reprendre sa voiture.
En moi même je pensais qu'il venait de commettre une erreur stratégique conséquente connaissant les effets de la fatigue sur ma femme.
Une partie de moi se rejouissait de ce fait. Je me disais il aura de la chance si elle le branle jusqu'au bout mais pour la pipe ; c'est mort. Je souriais intérieurement à cette idée.
D'un autre côté je ne pouvais m'empecher de penser que c'etait con. On avait passé des jours à s'exciter tous les trois autours de ça et là, ça allait être très vite classé.
Je pensais à tout ce qu'il aurait pu faire et qu'il n'aurait pas. A tout ce que j'avais envie qu'il fasse. Je voulais qu'il carresse ses seins, qu'il prenne le temps de le faire. Qu'il en profite. J'imaginais la main de Vanessa lui carressant la queue jusqu'à la jouissance. J'imaginait que peut etre il glisserait la main dans sa culotte pour sentir son bouton d'amour s'ouvrir à son doigt... J'imaginais, j'imaginais et je ne vis pas l'heure passer.
Il commençait à se faire tard. Peut être s'est il fait sucer finalement. Après tout on ne sait jamais avec elle. Ma réflexion s'arreta a ce moment quand j’aperçus les phares de sa voiture dans l'allée de la maison.
Elle rentre, se débarrasse et moi n'y tenant plus : « Et alors ? »
Et là, elle commence à me parler de sa bagnole. Les enfants sont devant la TV elle en profite pour botter en touche. Ses paroles sont mécaniques sur le fond comme sur la forme mais ses regards sont tout autres. Tu me fais macérer. Salope, va!
Puis quand manifestement je me décide à battre en retraite. Que je me soumets à son petit jeu pervers et me décide a prendre mes interrogations en patience. Elle me dit d'un coup, qu'elle va se changer et part à la salle de bain.
Impossible de me retenir de la rejoindre presque immédiatement. Mais il ne faut pas éveiller les soupçons des enfants. Deux ados, c'est la CIA, le KGB.
Quand j'entre dans la salle de bain, elle est en soutien gorge et porte toujours son Jeans mais l'à déjà dégrafé.
Elle me jette alors un regard de salope droit dans les yeux et le soutient . Presque un regard de défi.
« Tu veux savoir quoi ? » « Ça !?» Et sans me laisser le temps de répondre, elle prend ma main et la plonge dans sa culotte.
Et là, c'est la gifle. Elle est pleine de sperme. Sa chatte dégouline et sa culotte en est trempée !
Elle me fixe et me lance un grand sourire satisfait au moment ou je réalise que, oui, il l'a baisée. Qu'il l'a fait sans capote et ne s'est même pas retiré. Cocu, quoi.
Mille questions me viennent à l'esprit. Une seule réponse :
« Tu n'auras qu'a lui demander. Moi je suis fatiguée, je vais me coucher ! De toute façon il faut que tu prennes contact avec lui pour aller payer la boite. Sauf si tu préfères que j'y ailles... »
J aime les femmes infidèles. Surtout la mienne !
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