- 23 mai 2020, 12:18
#2423360
Sans dévoiler de grands secrets hier, Brigitte et moi avons partagé un apéro en visio avec @Schat et @pleasecuckme
Je connaissais déjà le charme et l'élégance de Schat qu'on ne peine à imaginer au travers des multiples photos dont nous gratifie Pleasecuckme (faudra vraiment le rebaptiser). Mais ce qui m'était inconnu, c'était sa voix. Or une voix peut tout gâcher, tout briser. Un peu trop aigrelette et nous avons l'impression d'avoir affaire à une femme enfant que l'on a davantage envie de cajoler, de protéger que d'embrasser avec fougue. Un peu trop grave, et on aura la sensation de partager son intimité avec une fumeuse de gitanes maïs qui éveillera vos penchants bisexuels quand elle vous glissera un "c'est bon chérie"avec la voix de Barry White. Un accent un peu trop prononcé et nous voilà plongés dans ces émissions de téléréalité d'NRJ12 ou de W9.
Or la voix de Schat s'est révélée d'une parfaite sensualité tant par le timbre que par le phrasé et m'a immédiatement renvoyé 30 ans en arrière quand la belle Angélique m'avait d'une même voix enjôleuse invité à danser un slow dans une de ses soirées copieusement arrosées qu'on organisait à l'époque. Alors ado mal dégrossi de 15 ans, cette beauté de 20 ans me semblait totalement inaccessible. Elle sortait avec un dealer, une petite frappe locale qui n'hésitait pas, paraît-il, à jouer du canif. Alors que j'étais au bar et que je la regardais se trémousser avec classe sur la piste de danse dans sa robe blanche moulante, elle s'approchait de moi comme dans un rêve et me lançait : "Oh, mais tu es le petit Candaule (nom d'emprunt évidemment )! La dernière fois que je t'ai vu tu portais encore des couches. Tu es devenu un vrai mec maintenant !" suivi d'un petit rire mutin qui vous déchire les tripes de désir.
Un peu plus tard elle m'invitait à un slow dont je me souviendrai toute ma vie. Sous le regard noir et désapprobateur(?) de la petite frappe locale, elle se collait à moi en balançant avec vigueur son bassin, frottant ainsi son minou avec vigueur contre mon membre durci par le désir. Sa bouche effleurait mon visage quand elle me parlait et son souffle tiède me caressait le cou, les joues, les lèvres La fin de la danse était la bienvenue car j'étais véritablement à deux doigts d'inonder mon falzar.
30 ans après je me demande si le voyou n'a pas pris du plaisir à voir sa copine allumer un petit jeune en pleine soirée. En tous cas c'est la seule explication que je trouve pour expliquer le fait que je sois toujours en vie.
Merci Schat pour cette madeleine. Une voix peut évoquer tant de choses, et la tienne fait partie de ces voix qui invitent à l'onirisme.
Je connaissais déjà le charme et l'élégance de Schat qu'on ne peine à imaginer au travers des multiples photos dont nous gratifie Pleasecuckme (faudra vraiment le rebaptiser). Mais ce qui m'était inconnu, c'était sa voix. Or une voix peut tout gâcher, tout briser. Un peu trop aigrelette et nous avons l'impression d'avoir affaire à une femme enfant que l'on a davantage envie de cajoler, de protéger que d'embrasser avec fougue. Un peu trop grave, et on aura la sensation de partager son intimité avec une fumeuse de gitanes maïs qui éveillera vos penchants bisexuels quand elle vous glissera un "c'est bon chérie"avec la voix de Barry White. Un accent un peu trop prononcé et nous voilà plongés dans ces émissions de téléréalité d'NRJ12 ou de W9.
Or la voix de Schat s'est révélée d'une parfaite sensualité tant par le timbre que par le phrasé et m'a immédiatement renvoyé 30 ans en arrière quand la belle Angélique m'avait d'une même voix enjôleuse invité à danser un slow dans une de ses soirées copieusement arrosées qu'on organisait à l'époque. Alors ado mal dégrossi de 15 ans, cette beauté de 20 ans me semblait totalement inaccessible. Elle sortait avec un dealer, une petite frappe locale qui n'hésitait pas, paraît-il, à jouer du canif. Alors que j'étais au bar et que je la regardais se trémousser avec classe sur la piste de danse dans sa robe blanche moulante, elle s'approchait de moi comme dans un rêve et me lançait : "Oh, mais tu es le petit Candaule (nom d'emprunt évidemment )! La dernière fois que je t'ai vu tu portais encore des couches. Tu es devenu un vrai mec maintenant !" suivi d'un petit rire mutin qui vous déchire les tripes de désir.
Un peu plus tard elle m'invitait à un slow dont je me souviendrai toute ma vie. Sous le regard noir et désapprobateur(?) de la petite frappe locale, elle se collait à moi en balançant avec vigueur son bassin, frottant ainsi son minou avec vigueur contre mon membre durci par le désir. Sa bouche effleurait mon visage quand elle me parlait et son souffle tiède me caressait le cou, les joues, les lèvres La fin de la danse était la bienvenue car j'étais véritablement à deux doigts d'inonder mon falzar.
30 ans après je me demande si le voyou n'a pas pris du plaisir à voir sa copine allumer un petit jeune en pleine soirée. En tous cas c'est la seule explication que je trouve pour expliquer le fait que je sois toujours en vie.
Merci Schat pour cette madeleine. Une voix peut évoquer tant de choses, et la tienne fait partie de ces voix qui invitent à l'onirisme.