- 05 juin 2020, 12:42
#2426740
Une ceinture chasteté est commandée. Je n'ai plus envie de sentir mon mari en moi. Je l'aime pour mille et une choses. Je l'ai choisi pour être le père de mes enfants.
Mon mari est doux, peu musclé, ne pratique aucune activité de "mecs", il m'a toujours été soumis, incapable de s'affirmer. Il a aussi de très beaux traits, des yeux et une attention m'ont fait craquer. J'adore discuter avec lui. Je suis heureuse de partager ma vie avec lui. Il est un père formidable. Mais, porter la culotte sur tous les plans m'était devenu insupportable. J'avais besoin d'être "remise à ma place". Et c'est ce que j'ai trouvé avec mon jeune amant. Il me traite comme sa femelle et j'en avais besoin.
Je ne pensais pas qu'un homme pouvait rêver d'être encagé. Mon mari le souhaite.
La sexualité de mon mari m'échappe. J'ai dû mal à la comprendre. Il se réjouit de n'avoir que des "miettes", c'est son expression. Je comprends sa cohérence. J'en joue pour son plaisir. Un regard, une parole, il faut très peu de chose pour le faire jouir à mes pieds. Mon vagin, il peut s'en passer. Alors que moi, d'une queue, je ne peux plus.
J'offre mon corps à mon amant, et j'ai envie de lui en donner l'exclusivité. Alors, les désirs de mon mari rejoignent les miens.
La frustration le rend très agréable à vivre. A son comportement, je sais immédiatement quand il s'est masturbé. Il est moins à l'écoute, moins câlin, moins réceptif à mes désirs. Alors, après en avoir discuté, nous avons décidé de nous lancer.
Mon mari est doux, peu musclé, ne pratique aucune activité de "mecs", il m'a toujours été soumis, incapable de s'affirmer. Il a aussi de très beaux traits, des yeux et une attention m'ont fait craquer. J'adore discuter avec lui. Je suis heureuse de partager ma vie avec lui. Il est un père formidable. Mais, porter la culotte sur tous les plans m'était devenu insupportable. J'avais besoin d'être "remise à ma place". Et c'est ce que j'ai trouvé avec mon jeune amant. Il me traite comme sa femelle et j'en avais besoin.
Je ne pensais pas qu'un homme pouvait rêver d'être encagé. Mon mari le souhaite.
La sexualité de mon mari m'échappe. J'ai dû mal à la comprendre. Il se réjouit de n'avoir que des "miettes", c'est son expression. Je comprends sa cohérence. J'en joue pour son plaisir. Un regard, une parole, il faut très peu de chose pour le faire jouir à mes pieds. Mon vagin, il peut s'en passer. Alors que moi, d'une queue, je ne peux plus.
J'offre mon corps à mon amant, et j'ai envie de lui en donner l'exclusivité. Alors, les désirs de mon mari rejoignent les miens.
La frustration le rend très agréable à vivre. A son comportement, je sais immédiatement quand il s'est masturbé. Il est moins à l'écoute, moins câlin, moins réceptif à mes désirs. Alors, après en avoir discuté, nous avons décidé de nous lancer.