Suite... Février 2015 bis
Elle s’offre, de plus en plus chaude, de plus en plus obscène.
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Soudain, elle se fige puis s’avance lentement vers moi. Elle s’assoit sur le lit face à ma chaise, tout près... J’entends son souffle saccader entre ses lèvres à peine entrouvertes. Fermant les yeux, elle se laisse aller en arrière, allongée sur le dos, cuisses bien écartées. D’une main, elle saisit un de ses seins et se met à le pétrir lentement tandis que son autre main descend vers son sexe. Lentement elle se caresse, ses doigts jouant avec ses lèvres intimes puis son clitoris. Sa chatte est maintenant béante, brillante de la douce liqueur que j’aime tant lécher. De son majeur, elle se pénètre doucement, entamant un mouvement de va et vient terriblement excitant.
_ J’adore te regarder te branler devant moi... Je suis sûr que tu aimerais le faire devant d’autres mecs... Pas vrai ?
Elle ne répond pas mais son souffle s’accélère un peu tandis que son doigt continue ses allers-retours.
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J’en peux plus ! Mes testicules me font mal tant j’ai envie de la prendre. Je me lève et me met à genou sur le sol. Plaçant mes mains de chaque coté de ses cuisses, je les ouvre au maximum. Le doigt s’arrête et se retire. Le souffle court, Marine attend, sa vulve béante totalement offerte à mon désir. Je me penche et commence à la lécher. Son jus abondant m’enivre. Je n’oublie aucun recoin avant de plonger ma langue le plus profondément possible. Immédiatement elle gémit et plaquant ses mains sur ma nuque, appui mon visage contre sa chatte.
Je recule ma tête, sors ma langue de sa vulve et la remplace par mon majeur. Tout en la branlant, je la lèche de nouveau. J’adore aller et venir avec mon doigt tout en lui suçant le clitoris.
Elle n’est plus que gémissement et se cambre afin de s’offrir sans aucune retenue. Je sens parfaitement les contractions de son vagin et sais quand je dois ralentir voir arrêter afin de la garder juste au sommet de la vague de plaisir qui la submerge. Je ne veux pas qu’elle jouisse maintenant, pas encore.
Elle me supplie de continuer que c’est une torture pour elle mais cela m’est égale, c’est moi qui dirige le jeu ! Elle est ma soumise et de nouveau je lui parle d’un autre. Je perds le peu de raison qui me restait :
_ J’ai trop envie de voir un autre mec te lécher le cul ma belle, trop envie de te regarder te faire baiser par une autre queue... Je suis sûr que tu aimerais ça, te faire mettre par nos deux bites, l’une après l’autre... Comme une vraie petite salope...
Elle gémit plus fort et se tortille sur le lit.
Soudain, j’arrête tout, me relève et me met à genoux sur le lit au dessus d’elle, de son visage. A bout de souffle, les yeux entrouverts, elle regarde ma queue tendue devant elle. Sa main s’en saisit et l’approche de sa bouche puis la prend entre ses lèvres.
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_ Imagines... nous sucer l’un après l’autre ou ensemble... Deux queues, rien que pour toi.
Elle me lèche les testicules puis me pompe de plus en plus vite en serrant de plus en plus fort ses doigts autour de ma verge. Je suis suffisamment conscient pour remarquer qu’à chaque fois que je lui parle en évoquant un autre homme, son excitation semble augmenter.
Je glisse ma main sous sa nuque, saisi ses cheveux afin de lui imposer mon rythme. J’accélère la cadence et au moment où je vais exploser, je me retire de sa bouche gourmande. Nos regards se croisent pendant que nous récupérons notre souffle.
Je recule et me remet à genoux sur le sol. Tirant sur ses jambes, je l’amène au bord du lit, mes hanches entre ses cuisses ouvertes. Je suis à la bonne hauteur. Marine se redresse toujours allongée sur le dos, le buste en appui sur ses coudes et me regarde, bouche entrouverte, le souffle court. Je saisis ma queue, avance mon bassin et frotte mon gland contre les lèvres trempées de son sexe. La tête penchée en arrière, les yeux fermés, elle gémit doucement.
Je m’enfonce un peu, tout doucement, dans sa vulve gonflée de désir.
_ Je vais te baiser bien à fond.... Tu aimes ça te faire baiser pas vrai ma belle ?
Elle gémit et ondule, cherchant à se faire pénétrer plus profondément.
_ Dis le que tu aimes ça !
Elle gémit plus fort et d’une voix à peine audible :
_ Oui... J’aime ça... oh vas-y, viens !
Je la regarde tandis que je ressors avant de la pénétrer de nouveau, plus profondément mais toujours aussi lentement.
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_ J’aimerai voir une autre bite te baiser, là juste devant moi. Un autre mec te prendre ta chatte et ton cul...Je suis sûr que tu prendrais ton pied... Te faire baiser par deux mecs.
Elle gémit de plus en plus fort, la bouche grande ouverte, respirant fort. Et soudain elle parle d’une voix plus forte :
_ Oh... Baise moi, je t’en pris, je n’en peux plus... J’ai trop envie !
Je me retire et replonge encore, lentement. Et je repars dans mon délire. Tout en allant et venant entre ses cuisses écartées au maximum.
_ Imagines comme ce serait bon, un autre mec et moi, se relayant dans ta chatte et dans ton cul... Tu sucerais l’un pendant que l’autre te baiserait...
Elle ne gémit plus, elle râle tout en agitant furieusement son bassin de bas en haut. Marine a perdu la raison totalement soumise à son désir. Mes paroles semblent agir comme autant de coups de fouet sur son corps.
J’accélère et nous sommes comme deux fou furieux, imbriqués l’un dans l’autre, criant dans un orgasme qui n’en finit pas. Et soudain, je sens un liquide jaillir de son ventre en longs jets, arrosant mes bourses avant de se répandre sur le lit. Marine, complètement tétanisée, hurle comme une démente.
Je ne suis pas surpris. Déjà en de rares occasions, elle m’avait laissé voir ce coté femme-fontaine, résultant d’un lâcher prise total.
Essoufflé comme si je venais de courir un marathon, je la regarde couchée sur le coté en position fœtal, le corps agité de spasmes nerveux, la bouche grande ouverte à la recherche d’air comme un poisson hors de l’eau. J’ai l’impression d’émerger peu à peu d’un autre monde et de reprendre contact avec la réalité.
Je m’allonge à ses cotés et la prend dans mes bras, sa, tête sur ma poitrine. C’est le moment du câlin-tendresse de l’après et des confidences. Ma gorge est encore serrée, c’est d’une toute petite voix que je lui murmure :
_ Je t’aime mon ange...
En cet instant, il n’y a plus de salope, plus de coquine, juste moi et ma princesse qui revient lentement à la vie.
_ Moi aussi je t’aime, je suis bien avec toi.
Puis après un petit silence.
_ Mais tu m’as tuée !
Je pouffe de rire tout en caressant tendrement ses seins.
_ Oui, mais tu aimes bien mourir comme ça de temps en temps, pas vrai ?
A son tour de rire doucement.
_ Désolée d’avoir trempé le lit...
_ C’est rien, la preuve que tu t’es complètement lâchée, que du bonheur pour moi !
_ Oui, c’est au cas où tu ne t’en serai rendu compte.
Nous rions, complices...
_ A mon tour de m’excuser pour t’avoir traité de salope... Suis vraiment désolé mais j’avais tellement envie de sexe là que ça déborde chez moi... Tu n’es plus vraiment ma petite femme adorée dans ces moments si particuliers, tu es... Tu es...
_ Une salope ! Tout simplement. Tu sais, je ne supporterai pas que tu me traite de salope dans aucune circonstance sauf... Dans nos petits jeux coquins. Je n’ai qu’une envie alors, c’est de te rendre fou de désir pour moi. Envie de t’exciter à mort mon amour. Il n’y a rien de plus flatteur pour une femme que de faire perdre la tête à un homme, le rendre accro pendant quelques minutes. M’entendre traiter de salope par toi, ben ce n’est rien d’autre qu’une preuve de ma réussite...
De nouveau nous rions et je la serre plus fort contre moi.
Puis c’est le silence, chacun perdu dans ses réflexions.
C’est elle qui reprend et je sens ma gorge se serrer de nouveau car le sujet me tient à cœur.
_ Tu parlais sérieusement en évoquant un autre homme avec nous ?
_ Oui, ça fait un moment que j’y pense. J’ai envie de ça et je ne peux pas t’expliquer pourquoi.
Elle lève ses yeux et me regarde. Je devine de l’inquiétude et m’en retrouve désolé.
_ Tu veux dire que tu me partagerais avec un autre ?
_ Oui, j’aimerai bien... Pour te voir jouir encore et encore.
_ Mais je joui déjà beaucoup ! Je n’ai pas besoin de plus !
Je la regarde avec un petit sourire gêné, je ne sais quoi lui répondre.
_ Tu sais, je ne pourrais pas jouir avec un inconnu... Pour cela, j’ai besoin d’avoir une confiance totale dans l’autre pour me lâcher complètement et tu es le seul, toi mon mari, avec qui je peux faire cela.
_ Pourtant, le fait d’évoquer un trio t’a fait jouir encore plus fort à l’instant, non ?
Elle pouffe de rire :
_ Oui je l’avoue volontiers, c’était très excitant d’imaginer tout cela au fur et à mesure que tu me le racontais mais j’étais encore suffisamment consciente pour l’accepter du fait que c’était purement imaginaire et donc sans conséquence. Désolée mon amour mais pour moi c’est complètement impossible de faire ce genre de chose en vrai. Je ne pourrai pas ! En plus, tu es sûr que tu apprécierais de me voir jouir avec un autre ?
Je réfléchi quelques secondes :
_ Je ne sais pas... Je pense que oui vu le nombre de fois ou je t’ai fait jouir, je pense que je ne serai, pas jaloux si un autre y parvenait aussi et puis je serai là aussi pour participer, hors de question de te laisser seule avec un autre mec, ça je ne supporterai pas. Pour moi ce doit être un partage donc je dois être là sinon ça ne servirai à rien, je serai frustré et jaloux de te savoir seule à prendre ton pied dans mon dos. Enfin, mon fantasme est comme ça, c’est tout !
_ Tu sais, je n’ai pas besoin de ça pour m’éclater complètement avec l’homme que j’aime. C’est toi et uniquement toi qui peut me prendre. Les autres n’ont que le droit de me regarder, ça je le veux bien. ca m’excite et cela ne me gêne pas de le faire car toi aussi, tu aimes ça. Je trouve que c’est déjà pas mal, non ?
_ Oui, c’est vrai... Mais tu serais d’accord pour que de temps en temps, on joue comme ce soir ? A faire semblant d’être trois... Ou quatre...
Elle éclate de rire avant de me répondre :
_ Pourquoi pas, ... Comme je te l’ai dit, c’était très excitant d’imaginer ce genre de situation... Mais seulement de l’imaginer ! Désolée si je te déçois mais nos envies peuvent diverger un peu et je ne supporterai pas de me sentir obligée de faire quelque chose que je n’ai pas envie de faire.
_ Je t’aime et te respecte trop pour t’obliger à quoi que ce soit mon amour. N’en parlons plus, nos jeux virtuels me suffisent pour être pleinement heureux avec toi!
Elle me sourit et se blotti contre moi. On est bien.
Je ne dis plus rien. Je pense que c’est déjà bien d’en avoir parlé et qu’après tout, on pourra très bien se créer des situations virtuelles pour vivre un peu ce fantasme. C’était déjà très excitant de simuler ce genre de chose ! Je commence à imaginer Marine, les yeux bandés, surexcitée en m’écoutant dire qu’il y a effectivement un autre homme à mes côtés pour s’occuper d’elle... Cela m’ouvre tout un univers de nouveaux jeux en perspective de quoi me ravir finalement ! Et puis qui sait si au fil du temps... Un autre en qui elle aurait entièrement confiance, suffisamment en tout cas pour se laisser aller... L’avenir est imprévisible.