- 14 mars 2021, 11:39
#2508410
Bonjour à toutes et tous
Je suis un grand discret d'une cinquantaine d'année qui partage vos plaisirs et vos folies.
Tout à commencé à Aix en fac il y a 30 ans... Plus assidu aux fêtes nocturnes qu'aux bancs de l'amphi, blond 1m90 bien foutu, belle gueule, j'avais certaines facilités avec la gente féminine.
J'avais fait la connaissance de François qui était devenu mon pote de 10 ans mon aîné qui même marié était un fêtard et un polisson invétéré.
Un soir, après un bel apéro, il me fait la confidence qu'il aimait le partage avec ses copines et même son épouse avec il pratiquait l'amour libertin pluriel... Surpris, de mes 18 ans à peine éclos, j'avouais avoir déjà le goût des interdits et qu'à l'occasion on pourrait s'amuser... Quelques jours après il me demanda de lui arranger un rdv avec Hélène ma copine du moment petite brune belle frimousse avec une superbe poitrine et qu'il rendrait la pareille ... J'ai donc invité Hélène à dîner dans un resto du cours Mirabeau sans qu'elle sache quoi que ce soit ... Elle était libre de décider ce qu'elle devait faire...Elle m'attendait en prenant un apéritif en terrasse je l'observait de loin et jupe et talons la poitrine en invitation permanente ...et François est arrivé s'est assis avec elle et ils ont discuté et ont pris l'apéro ensemble ... Je suis remonté dans mon studio proche de la mairie téléphoner au resto disant je me décommandais ... Le serveur ferait la commission... et je suis redescendu en courant le cœur battant la chamade... Ils étaient toujours attablés puis ils ont dîné à l'intérieur.. Je ne les voyais plus... J'ai su plus tard que François l'a charmé en lui disant que j'étais consentant et qu'elle accepta par défi de tenter le diable pour vérifier ses dires... Ils sont ressortis du restaurant après cet interminable repas et ont pris les petites rues de la vieille ville ...Je les suivais de loin... Ils se tenaient par le coup et proche de la poste ils se sont embrassés fougueusement... J'étais jaloux et fou d'excitation mais j'ai compris là qu'ils venaient chez moi. J'ai contournais en courant par d'autres ruelles pour arriver avant eux... Dans mon studio, vite en caleçon, devant les cours en vrac sur le bureau... mais j'avais une fenêtre qui donnait sur la porte de l'immeuble d'une étroite ruelle ... vite je m'y précipite... Ils arrivent et elle hésite... Ils palabrent j'entends tout... Hélène a peur de ma réaction ... et lui la convainc en la caressant ...Il est très excité ... Moi je me branle déjà derrière mes volets ... Elle finit par accepter mais en lui demandant de ne rien brusquer et qu'elle verrait bien si je suis open ... Ils sonnent et je vais leur ouvrir ...un étage et ils ont là dans mon minuscule studio elle m'embrasse langoureusement devant François avant de me traiter pour rire de lâcheur et François expliquant qu'il avait tenté de me remplacer au mieux pour le repas et le reste..
Elle confirme :
" - oui hein heureusement qu'il y avait François qui passait par là pour éviter le "lapin" total ...il a été charmant et très sympathique mais je m'inquiétais et je voulais savoir si tu allais bien donc nous voilà ... Je n'allais pas venir seul jusqu'ici."
Je me confonds d'excuses prétextant un TD à préparer et je leur offre un digestif jet glaçons
Une c'est dire la chaise pour François en face de nous et Hélène et moi assis sur le lit moi en caleçon ... les rôles sont inversés c'est moi qui la cajole devant mon ami qui ne regarde que ses jambes qu'elle croise et décroise montrant l'ourlet de ses dim up ... moi elle m'embrasse dans le cou et me caresse le torse... Le silence d'un instant de quelques secondes est assourdissant du désir qui grandit comme mon sexe qui brise mon caleçon...
Hélène brise le silence :
"Les garçons j'ai mes pieds qui me fond souffrir : vous seriez des amours de me les masser"
Cette garce savait que j'étais déjà un fétichiste du pied féminin que je lui léchais souvent ...
Aussitôt nous sommes François et moi à genoux devant elle lui déchaussant chacun un pied et lui massant la plante sur le bas ... Les senteurs sont absolument merveilleuses : le cuir et la sueur...J'adore...Elle s’envoie en arrière sur lit en gémissements de satisfaction dévoilant son abricot nu et rasé sous sa jupe remontée.
Nous n'y tenons plus je me branle la q sur son pied et François sort le sien qui est moins épais mais plus long que le mien et circoncis ...Il frotte également sa q contre la plante du pied.
Hélène gémit et avoue d'une voie de petite garce enjouée: " de belles queues ... je ne sais pas si je peux vraiment jouer avec vous deux"
Sans lui donnant le temps de finir tous deux en cœur nous lui criant : "oui !"
Elle se redresse et prends la queue de Francois POUR LA REDRESSER TANDIS QUE JE SUIS TOUJOURS 0 TERE
Je suis un grand discret d'une cinquantaine d'année qui partage vos plaisirs et vos folies.
Tout à commencé à Aix en fac il y a 30 ans... Plus assidu aux fêtes nocturnes qu'aux bancs de l'amphi, blond 1m90 bien foutu, belle gueule, j'avais certaines facilités avec la gente féminine.
J'avais fait la connaissance de François qui était devenu mon pote de 10 ans mon aîné qui même marié était un fêtard et un polisson invétéré.
Un soir, après un bel apéro, il me fait la confidence qu'il aimait le partage avec ses copines et même son épouse avec il pratiquait l'amour libertin pluriel... Surpris, de mes 18 ans à peine éclos, j'avouais avoir déjà le goût des interdits et qu'à l'occasion on pourrait s'amuser... Quelques jours après il me demanda de lui arranger un rdv avec Hélène ma copine du moment petite brune belle frimousse avec une superbe poitrine et qu'il rendrait la pareille ... J'ai donc invité Hélène à dîner dans un resto du cours Mirabeau sans qu'elle sache quoi que ce soit ... Elle était libre de décider ce qu'elle devait faire...Elle m'attendait en prenant un apéritif en terrasse je l'observait de loin et jupe et talons la poitrine en invitation permanente ...et François est arrivé s'est assis avec elle et ils ont discuté et ont pris l'apéro ensemble ... Je suis remonté dans mon studio proche de la mairie téléphoner au resto disant je me décommandais ... Le serveur ferait la commission... et je suis redescendu en courant le cœur battant la chamade... Ils étaient toujours attablés puis ils ont dîné à l'intérieur.. Je ne les voyais plus... J'ai su plus tard que François l'a charmé en lui disant que j'étais consentant et qu'elle accepta par défi de tenter le diable pour vérifier ses dires... Ils sont ressortis du restaurant après cet interminable repas et ont pris les petites rues de la vieille ville ...Je les suivais de loin... Ils se tenaient par le coup et proche de la poste ils se sont embrassés fougueusement... J'étais jaloux et fou d'excitation mais j'ai compris là qu'ils venaient chez moi. J'ai contournais en courant par d'autres ruelles pour arriver avant eux... Dans mon studio, vite en caleçon, devant les cours en vrac sur le bureau... mais j'avais une fenêtre qui donnait sur la porte de l'immeuble d'une étroite ruelle ... vite je m'y précipite... Ils arrivent et elle hésite... Ils palabrent j'entends tout... Hélène a peur de ma réaction ... et lui la convainc en la caressant ...Il est très excité ... Moi je me branle déjà derrière mes volets ... Elle finit par accepter mais en lui demandant de ne rien brusquer et qu'elle verrait bien si je suis open ... Ils sonnent et je vais leur ouvrir ...un étage et ils ont là dans mon minuscule studio elle m'embrasse langoureusement devant François avant de me traiter pour rire de lâcheur et François expliquant qu'il avait tenté de me remplacer au mieux pour le repas et le reste..
Elle confirme :
" - oui hein heureusement qu'il y avait François qui passait par là pour éviter le "lapin" total ...il a été charmant et très sympathique mais je m'inquiétais et je voulais savoir si tu allais bien donc nous voilà ... Je n'allais pas venir seul jusqu'ici."
Je me confonds d'excuses prétextant un TD à préparer et je leur offre un digestif jet glaçons
Une c'est dire la chaise pour François en face de nous et Hélène et moi assis sur le lit moi en caleçon ... les rôles sont inversés c'est moi qui la cajole devant mon ami qui ne regarde que ses jambes qu'elle croise et décroise montrant l'ourlet de ses dim up ... moi elle m'embrasse dans le cou et me caresse le torse... Le silence d'un instant de quelques secondes est assourdissant du désir qui grandit comme mon sexe qui brise mon caleçon...
Hélène brise le silence :
"Les garçons j'ai mes pieds qui me fond souffrir : vous seriez des amours de me les masser"
Cette garce savait que j'étais déjà un fétichiste du pied féminin que je lui léchais souvent ...
Aussitôt nous sommes François et moi à genoux devant elle lui déchaussant chacun un pied et lui massant la plante sur le bas ... Les senteurs sont absolument merveilleuses : le cuir et la sueur...J'adore...Elle s’envoie en arrière sur lit en gémissements de satisfaction dévoilant son abricot nu et rasé sous sa jupe remontée.
Nous n'y tenons plus je me branle la q sur son pied et François sort le sien qui est moins épais mais plus long que le mien et circoncis ...Il frotte également sa q contre la plante du pied.
Hélène gémit et avoue d'une voie de petite garce enjouée: " de belles queues ... je ne sais pas si je peux vraiment jouer avec vous deux"
Sans lui donnant le temps de finir tous deux en cœur nous lui criant : "oui !"
Elle se redresse et prends la queue de Francois POUR LA REDRESSER TANDIS QUE JE SUIS TOUJOURS 0 TERE