©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Présentation des membres candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
  • 1
  • 14
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • 45
#2565189
par @Patrice63 Attention, @Dionysos06 poursuit une campagne de charme ravageur sur les jolies coquines du forum. Que tous les maris se méfient bien, il va toutes les attirer chez lui et nous serons seuls à tourner en rond :) :) :)
Ses mots, son charme sont des armes redoutables, que pouvons nous faire contre cela ? :(
Il faut envisager rapidement un conseil de guerre afin de trouver une parade... :) :) :)
Le problème, c'est que même .nous, les candaulistes, nous serions ravis de lui confier nos coquines alors c'est cuit, il va pouvoir continuer de sévir ici... ET C'EST TANT MIEUX !!!! :x


Pareil éloge méritait, bien évidemment, une réponse appropriée. La voici. Pour une fois, ce n'est pas une jolie femme de ce forum qui m'inspire, mais son mari :x lol

Le poète et les maris,

Au plus profond d’une sombre forêt de mots,
Touillant consonnes et voyelles dans un pot,
Les mettant à l’endroit aussi bien qu’à l’envers,
Vivait un original composant des vers.

Des mâles du village, en le voyant écrire,
Ne pouvait s’empêcher de railler et de rire.
Ils étaient persuadés de son innocuité
Pour leurs épouses dans l’art de la volupté.

S’estimant mieux bâtis, ces braillards de maris
Vaquaient à leurs tâches se croyant à l’abris,
Délaissant leurs chéries, de plus en plus souvent.
Pleins de certitudes, ils ignoraient leurs tourments.

Par sa magie des mots, le ténébreux aède
Leur administrait un implacable remède.
Tous les jours il sortait son stylo enchanté,
Et attendait, matois, comme le chat botté.

Les femmes délaissées, entendant son appel,
Se ruaient vers son corps, pour en faire leur miel,
Abeilles déchaînées en arrivant au but,
Reines infidèles volant vers Belzébuth.

Tous ces maris hâbleurs, se pensant plus malins,
Avaient négligé l’attrait de l’alexandrin.
Leurs mies recluses qu’ils dépeignaient ingénues,
Chevauchant le poète, les faisaient cocus.

IMG_6365.jpg



marine 8.jpg

Marine 1.jpg

IMG_6129.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Bri, pat45, fredcandaule et 4 autres a liké
#2565835
En réponse aux formidables aventures { viewtopic.php?p=2565499#p2565499de ; viewtopic.php?p=2565505#p2565505 } @fredcandaule et @Brigittecandaule et aux exploits multiples, variés et cocufiants de ce duo aussi remarquable dans les cabrioles candaulistes que dans les bandes dessinées. Voici donc deux poèmes, en miroir, pour le prix d'un, pour les anniversaires de Brigitte (le premier) et de Fred (le second).

Pour son anniversaire,

Mes très chers invités, je vous ai réunis
Pour donner du relief à la cérémonie.
Voici une journée qui sort de l’ordinaire,
Puisque ma femme fête son anniversaire.
Comme je vous sais tous gentilshommes galants,
Je puis taire de ma mie le total des ans.
Pour choisir son cadeau, pas le moindre tourment,
Puisque je lui offre la queue de son amant
Et de quelques amis. En guise de bougies,
Brigitte, de gros pieux, s’offrira une orgie.
Moi le mari cocu, c’est ma grande fierté
Que la toison cuivrée de sa féminité
Soit labourée, pour les plus grandes occasions,
Par d’autres que moi. Je la veux en pâmoisons,
Épouse libérée, éperdue de plaisir,
Ne sachant plus parler, mais seulement gémir.
Sur ces draps de lin, faites qu’elle se déchaîne ;
Usez de votre science, qu’elle soit fontaine.
Messieurs, servez-vous de vos bouches et de vos mains
Pour que ses beaux tétons jaillissent de ses seins.
Si fièrement de très belles cornes j’arbore,
J’ai le privilège, pour très longtemps encore,
De tirer le dernier coup du feu d’artifice
En déposant le final dans son orifice.

IMG_6465.jpg

IMG_5666.jpg


Pour mon anniversaire,

Mon très cher invité, nous sommes réunis
Pour donner du relief à la cérémonie.
Voici une journée qui sort de l’ordinaire,
Puisque, moi, Fred, je fête mon anniversaire.
Comme je te sais un gentilhomme galant,
Je puis garder secret le total de mes ans.
Pas de tourment pour ce qui est de ton cadeau !
Comme toutes les fois, tu m’offres le plus beau.
En preux chevalier, souviens-toi de ton serment !
Sois plus qu’un invité, mais un parfait amant.
Et saches que si je me suis donné la peine
De te faire venir, c’est afin que les veines
De ta queue bandée fassent palpiter ma femme
Remplissant d’émotions et mon cœur et mon âme.
De mon anniversaire, tu es la bougie
Que soufflera ma chérie, en guise d’orgie.
Moi le mari cocu, c’est mon rêve éveillé ;
Que la toison cuivrée se retrouve émaillée
Par les longs filaments de ta chaude semence
Dont tu la gratifies en toutes circonstances.
Baise-la ! N’attends plus ! Fais qu’elle se déchaîne.
Use de ta science, fais jaillir sa fontaine !
Alors, sors ta bite des grandes occasions
Mon plus beau cadeau ? qu’elle soit en pâmoisons !
Et fais preuve d’esprit ! Si j’ai loué ce lieu,
C’est pour que tu la baises partout, pas qu’au pieu !
Si fièrement de très belles cornes j’arbore,
J’ai le privilège, pour très longtemps encore,
De tirer le dernier coup du feu d’artifice
En déposant le final dans ses orifice.

images.jpg

IMG_8032.jpg .jpg

IMG_8033.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
fredcandaule, hixxos, Bri et 4 autres a liké
#2565907
L'anniversaire de la cocufieuse de plus en plus libérée qu'est @MissSaxoJaune, sans oublier son cocu magnifique @Saxojaune :cuck: mérite également un poème. Je leur dédie cette fable que je pense en situation.

Le savetier,

Un savetier se réjouissait
De tout son soûl. Il ne cessait
De claironner son grand bonheur,
Lui qui fut longtemps près des pleurs.

Il avait cherché le royaume
Où la routine est un fantôme.
Mais sa quête avait été vaine,
Errant sur le golfe des peines.

À la vue d’un unijambiste,
Surgit l’idée libératrice.
Il allait jeter aux orties
Le duel et ses impérities.

La nouvelle déclinaison
Lui donnait belles pâmoisons.
Il lisait toutes les grammaires,
Épluchait tous les dictionnaires.

Hier fourni, aujourd’hui cigale
Sa joie s’avérait sans égale ;
Désirant danser tout l’été
Pour honorer la nouveauté.

images.jpg


@#&&.jpg




#@&&.jpg

((##.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#2566104
Je m'aperçois, avec horreur que le poème dédié à @MissSaxoJaune et @Saxojaune est tronqué. Il en manque une partie. Voici donc la version intégrale. Toutes mes excuses pour cet oubli involontaire.

Le savetier,

Un savetier se réjouissait
De tout son soûl. Il ne cessait
De claironner son grand bonheur,
Lui qui fut longtemps près des pleurs.

Il avait cherché le royaume
Où la routine est un fantôme.
Mais sa quête avait été vaine,
Errant sur le golfe des peines.

À la vue d’un unijambiste,
Surgit l’idée libératrice.
Il allait jeter aux orties
Le duel et ses impérities.

La nouvelle déclinaison
Lui donnait belles pâmoisons.
Il lisait toutes les grammaires,
Épluchait tous les dictionnaires.

Hier fourni, aujourd’hui cigale
Sa joie s’avérait sans égale ;
Désirant danser tout l’été
Pour honorer la nouveauté.

Le savetier avait compris
Pourquoi leur plaisir avait fui.
Leur bête n’avait que deux dos,
Amenuisant la libido.

Pour que sa mie touchât le ciel,
Sa douce source d’hydromel,
Dont il est le gardien farouche,
Coulerait dans une autre bouche.

Notre homme, ému, lança le jeu ;
Sa femme le rendit heureux.
Trouvant à son goût le complice,
Elle l’accueillit entre ses cuisses.

Le temps du duel avait vécu,
Sa vie serait d’être cocu.
Comme cadeau d’anniversaire,
À la mer, à trois, ils s’aimèrent.

AA2.jpg

AA1.jpg

AA-3.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#2566109
Il était sérieusement tronqué en effet, surtout que la toute fin me fait frémir de plaisir.
Dionysos06 a écrit :Comme cadeau d’anniversaire,
À la mer, à trois, ils s’aimèrent.

Screenshot_2021-11-13-22-01-59-77.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#2566468
Les cartes postales de @Saxojaune nous racontant le merveilleux week-end que sa chérie et lui ont passé en compagnie d'Abel (voir lien ici : viewtopic.php?p=2566400#p2566400), m'ont inspiré ce poème que je leur dédie ainsi qu'à tous les autres couples de ce forum.

Fluidité,

J’en avais rêvé depuis si longtemps.
J’avais rongé mon frein bien patiemment,
En jetant aux orties les conventions,
Priant pour cette concrétisation.

Maints échecs, puis cela est arrivé.
Et je demeure ébloui, bouche bée.
Mes yeux admirent un spectacle si beau
Que j’ai du mal à trouver les bons mots.

Ce tableau vivant est si naturel,
Que pour un peu, je le crois irréel.
La fluidité de tous leurs mouvements,

Crée un ballet sensuel et excitant.
Pour moi, tout est parfait, de nuit, de jour,
Quand ma femme et son amant font l’amour.

avec les hommes_10.jpg


IMG_5115.jpg .jpg

IMG_8082.jpg

IMG_8084.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
FB57, Saxojaune, Michel3132 et 8 autres a liké
#2567529
Emmêlés,

Pour décrire l’union d’un homme et d’une femme,
Tant de poètes parlent d’ondoyantes lianes
Bercées sur la mer de l’amour par le zéphyr
Des souffles mêlés de tous les dieux du plaisir.
Certes, l’image est belle et même romantique,
Mais tant de préciosité devient pathétique.
Sortons donc de derrière notre petit doigt :
Écrivons « fornication » et non plus « émoi ».
Et disons-le tout net, notre ultime aventure
C’est la fente rougie, brillante de luxure.

Quand je t’ai découverte, tu étais vêtue ;
Et plus nous discutions, plus je te voulais nue.
Mon cerveau reptilien me pressait pour agir ;
Mon néocortex m’incitait à réfléchir.
Nous avions envie de faire l’amour, alors
Pourquoi être trop vif pour investir ton corps ?
Puis, tu en eus plus envie que moi. J’ai foncé.
Nous vivions un moment fou, inouï, insensé
Où ton mari, quoique présent, était absent
De cet instant où je devenais ton amant.

Nous étions si humains, que nous étions en rut,
En infligeant aux bonnes mœurs des uppercuts.
Tu réclamais, non pas une liane ondoyante
Mais ma queue raidie par ma poussée pénétrante ;
Tes gémissements en guise de mélopée ;
Pas de mer éthérée, mais ta chatte trempée ;
Point de longs discours, mais des « baise-moi plus fort ! » ;
En guise de rosée, la sueur de nos corps.
Faire l’amour, n’est jamais vulgaire ; c’est beau.
Soyons donc réalistes, employons les vrais mots.

Abel-3.jpg

IMG_5297.jpg

IMG_5510.jpg

Abel-10.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Saxojaune, FB57, diouee et 3 autres a liké
#2567620
@canlib m'a fait un beau cadeau et je l'en remercie beaucoup. Pour illustrer la scène ci-après : viewtopic.php?p=2567007#p2567007, j'ai eu droit à une vidéo où sa femme se fait baiser à fond en levrette par son amant. Ses seins sont ballotés, elle gémit, il grogne. Bref, une séance de baise torride où la gentille épouse/maman se mue en une vraie salope déchaînée. Pour vous donner mes impressions et mon ressenti, voici une fable.
NB : les photos proviennent du net et pas de la scène décrite.

La maman et le taureau,

Dans sa maison du centre-ville,
Vivait une femme tranquille,
Respectée et déjà maman.
Famille et amis, cependant,
Méconnaissaient sa face obscure
De prêtresse de la luxure.
Celle qu’ils imaginaient sage
Chérissait le libertinage.
Et même plus ! Avec son homme
Ravi, nom d’un petit bonhomme !,
Elle accueillait entre ses cuisses
Pour leur bonheur, pour leur délice
Partagés de vigoureux mâles.
Justement, un énorme pal,
En ce moment précis la prend
Un homme vigoureux, ardent.
Il l’a pénétrée en levrette
De sa queue souveraine, experte.
C’est qu’il connaît bien le chemin
Ce puissant visiteur coquin.
Et à chaque fois la maman
Prend un pied d’enfer en criant :
« Plus loin, plus fort, j’en veux encore ! »
L’amant obéit, la perfore
Tant et plus, que ses seins secoués,
Tremblent de façon saccadée.
Sa poitrine, vraie gélatine,
Vibre au rythme des coups de pine.
Le mari prêteur est fort aise
D’admirer une telle baise.
Ce qu’il aime par dessus tout
C’est voir bouger ses seins dans tous
Les sens, soumis à la tempête
D’une prodigieuse levrette.
Alors, surexcité, il filme
Le coït de sa légitime.
Et plus il la voit, l’entend jouir,
Plus lui, l’époux voyeur, chavire.
Le jeune aimant est déchaîné,
Il n’a pas cessé d’enchaîner
Les longueurs de bassin en elle.
La maman s’est mue en femelle
Enflammée d’un feu lycanthrope,
L’amant taureau saillit Europe.

B9WZUHppX4RGUEVEFfSvNRx-3_SjtN8mbaGfMCQwbeNO41p-RRA34shCVyCAb21mgyUoWyvu9oIybvniH3HXZk-6QMq7obLdJYeOfjw.jpg

miniature.jpg

images.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Bri, Patrice63 a liké
#2567623
Un grand MERCI pour ce retour d'une telle qualité !!!
Tu as TOUT compris et TOUT retranscrit... tu as vu et entendu ce que j'ai vu et ressenti...
Tu as mis en phrases et en rimes ces émotions !!!

Oui... elle lui a demandé la levrette !!! elle la voulait, elle l'a eue !!!
Il l'a réellement perforée, défoncée... d'un air: tu as demandé, tu vas recevoir...
Tel un métronome il la défonce ainsi...
Elle crie tellement son plaisir...
et... moi... CE tableau que j'aime TANT !!!
Un certain "admirateur" sur le Tchat aime les "mamans"...
il préfère baiser les "mamans" dit-il...
Mais moi... Ce que j'aime... Ce sont voir ses seins de maman se balancer ainsi !!!
Cela peut paraître con... Mais c'est un excitant démoniaque pour mes neurones !!!

MERCI MERCI... merci...
Tu avais bien mérité cette "récompense" en vidéo...
Mais alors... que dire...
Je ne sais pas ce que les autres en pensent... Mais il mérite bientôt une autre récompense ce poète si coquin... Non ?
Je sens que je penserai à lui quand je monterai la vidéo de la 3ème rencontre...
hum... car... oh... je sais EXACTEMENT la séquence que je pourrais lui envoyer tiens...
oui... LA séquence... de cette rencontre pour moi...
Mais il faudra un jour que je l'écrive d'abord...

MERCI !
#2569499
Les rencontres candaulistes sont des moments hors du temps, fantastiques et magiques. Voici le récit de l'une d'elle. Pour une fois, j'écris en prose, ayant trop de matière pour un poème, fut-il long.

Féria féerique,

Chapitre I

Un soleil resplendissant se lève sur la mer bleue ; le jour J est enfin arrivé. Ou plutôt, les jours J, car la rencontre se déroule sur un week-end. Quitte à se voir, autant faire durer la chose.

Le nouveau rendez-vous a été soigneusement planifié ; le lieu choisi avec soin, un hôtel de charme blotti au creux d’une ville à la beauté réputée. Au fur et à mesure, la pression monte, les échanges s’échauffent , les envies vibrent. L’attente est toujours beaucoup trop longue quand il s’agit de se donner du plaisir.

Nous avons convenu de pimenter le scénario. Pour nos retrouvailles, je rejoindrai madame dans la chambre pendant que le mari prêteur s’éclipsera pour n’arriver que plus tard. Autant dire que son imagination battra la campagne à la vitesse d’un guépard lancé à pleine vitesse. Comment nous trouvera-t-il ?

Mon cerveau phosphore également ; surtout quant à la tenue que porterait mon amante, et tout particulièrement ses dessous. Découvrir une femme, belle et apprêtée pour mes yeux, surtout lorsque son homme l’a aidée à se préparer, est un plaisir indicible. Le sentiment très masculin que nous la possédons vraiment, même si ce n’est que temporaire ; sentiment bien entendu faux, les femmes n’appartenant qu’à elles-mêmes.

Chapitre II

Mon téléphone tinte. Le message tant espéré du mari éclate sur l’écran ; elle m’attend. Sa conclusion est un ordre auquel je vais m’empresser d’obéir : « baise la ! ».

Je me dirige vers la porte, excité, impatient, calme, heureux. Je toque, elle m’ouvre. Son visage s’illumine d’un sourire sublime et ravageur ; ses yeux brillent comme une mine de diamants. En un instant, cette chambre embaume de nos désirs sexuels les plus primaires et les plus intenses.

Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse goulûment. Nos langues se nouent, nos salives s’échangent. Ses mains explorent directement mon entrecuisses. Pas de panique ma belle, le matériel est bien à sa place. Nos lèvres se détachent et je découvre enfin sa tenue : une robe noire, simple, mi-longue, avec de fines bretelles et des bottes noires.

La coquine me pousse vers le lit. Je me déshabille en un tournemain ; elle fait glisser sa robe et me rejoint. Et je découvre ses dessous. Quelle beauté ! Un porte-jarretelles transparent à motifs noirs moule ses beaux seins lourds et ses hanches bien formées ; des bas noirs gainent superbement ses longues jambes. Sitôt que je vois cet ensemble, mon sexe rime avec Fernande. Elle passe langoureusement sa langue sur ses jolies lèvres humides. Sa surprise est réussie.

Chapitre III

Pour moi, l’égalité hommes/femmes ne doit pas rester un slogan creux. Aussi, j’aide ma belle à se dévêtir pour devenir nue comme moi. Elle défait langoureusement ses dessous, ne gardant que ses bas noirs ; Dieu qu’elle est belle et sexy. Sa toison claire est taillée à la perfection, mince et soyeux ticket de métro menant, en cabine de luxe, vers son jardin d’Éden qui ne m’est plus inconnu. Rarement l’expression « mont de Vénus » n’aura aussi bien porté son nom.

Nous sommes en rut. Nous avons envie de baiser. Maintenant. Sans plus attendre. Elle engloutit mon sexe et le suce avec une incroyable gourmandise gloutonne. Sa bouche lèche mon mât dressé, l’aspire, l’avale ; sa langue titille mon gland qu’elle cajole avec finesse. Mes testicules ne sont pas négligés. La belle les soupèse, les lèche, les prend en bouche comme des fruits dont elle ne veut surtout pas se priver. Les yeux clos, je suis au Paradis. Cette pipe ne me laisse pas de bois.

Mais j’ai été assez égoïste et je me dois de lui faire plaisir et de faire travailler ma bouche qui piaffe d’impatience. Moi, le cancre en mathématiques, je suis un adepte pratiquant et zélé du 69. Ma langue et mes doigts se posent sur ses lèvres charnues qui s’ouvrent comme une fleur rouge d’émotion et de désir. Elle est déjà trempée, son nectar savoureux coule dans ma gorge.
La chambre retentit de ses gémissements et de mes râles. L’odeur du sexe sature la pièce. Nous n’en pouvons plus. Sans un mot, nous arrêtons les préliminaires. Elle écarte le cuisses. En une seule poussée, je m’enfonce en elle, jusqu’à la garde.

Chapitre IV

Ma queue raide a retrouvé son abris favori. Quel pied absolu que de lui faire de nouveau l’amour ! ; ou plutôt de baiser comme des fous, comme si notre dernière heure était arrivée. Qui en a le plus envie ? Elle, femelle brûlante qui gémit, s’agite, prend mes fesses à pleines mains pour que j’aille encore plus loin ? Moi, mâle en feu qui la pilonne en grognant, tenant fermement ses jambes posées sur mes épaules ?

Nos yeux sont rivés dans ceux de l’autre. Nos bouches se soudent en un baiser passionné. Nos corps claquent frénétiquement, symphonie érotique en constant crescendo. Nos peaux se couvrent de sueur.

Pendant ce temps, toi le mari prêteur, tu arpentes la ville, seul, des idées folles plein la tête, le cœur palpitant à tout rompre.

Madame me réclame, entre deux baisers, sa position préférée, la levrette. Comment refuser une requête si bien formulée ? Elle se positionne face à la porte de la chambre, fixant résolument l’huis par lequel son mari va arriver d’un moment à l’autre. Son cul qui pointe vers moi, offert, impudique, est un monument de beauté et de béatitude, un pur condensé de féminité. Je n’y tiens plus, et j’investis cette chatte trempée qui bée d’envie. Elle crie « Oui, vas-y ! Baise-moi ! ». Son ordre est mon désir et je la bourre comme elle le souhaite. Elle danse du cul pour accompagner mes va-et-vient. Pour l’exciter davantage, je lui titille le clitoris en même temps. Effet garanti, elle se cabre, le souffle court, poussant une plainte rauque et continue. Elle est au bord.

Chapitre V

D’elle-même, elle interrompt la levrette. Elle ne veut pas jouir sans que son cocu ne la voie, ne l’admire.

Nous soufflons brièvement. Nous sommes en nage. Elle souhaite venir s’empaler sur moi. Je m’allonge sur le lit de plus en plus défait, elle me suce par gourmandise, puis se laisse tomber sur ma bite si raide qu’elle me fait presque mal. Elle tourne le dos à la porte.

Je la laisse me faire l’amour. Elle ondule sur moi telle une mer belle et déchaînée à la fois. Je ressens tous ses mouvements, toutes ses vibrations. Son corps est une onde de tempête sensuelle, sexuelle. Je pétris ses somptueux seins gonflés ; j’aspire ses tétons roses et dressés. Nous nous embrassons avec une envie folle et inlassable. La belle chuchote son chant de sirène en feu. Elle sourit, elle rit presque.

Nous sommes dans notre bulle, heureux comme des amants qui avaient tellement hâte de se retrouver. Plus rien n’existe hormis nos corps emboîtés qui se donnent du plaisir. Nous avons tout oublié, à commencer par monsieur qui n’est toujours pas arrivé.

Chapitre VI

Un bruit léger, presque imperceptible, trouble le son touffu de nos ébats endiablés et passionnés. Celui d’une clé tournant dans une serrure.

Trop occupés, trop chauds, trop excités, nous ne percevons que de façon lointaine et confuse ce frissonnement métallique.

Monsieur vient d’entrer dans cette chambre ; de très longues minutes après que je suis entré dans sa femme. Il la découvre empalée sur son amant, don corps agité de vagues de plaisir, son cul et ses hanches somptueux pétris sans ménagement par son amant dont il voit la bite dressée s’enfoncer, luisante et plastifiée, dans la chatte trempée de sa femme qui s’offre sans aucune retenue.

Le spectacle l’émerveille, le fascine. Lui qui avait tant rêvé à ce moment-là, le voit, le vit. Il bande. D’autant plus fort que ni l’amant ni sa femme n’ont daigné se tourner vers lui pour le regarder. Ils vivent leur baise seuls au monde, heureux naufragés sur l’île des plaisirs libertins.

Monsieur se déplace alors le long du lit pour admirer le spectacle sous un autre angle. Maintenant, nous avons pleinement conscience de sa présence et nous le regardons, béats de jouissance.

Alors les complices changent de position. Et entament une nouvelle levrette. Face à son mari, à présent nu, elle prend son sexe en bouche et le suce goulûment ; tout en étant profondément défoncée par son amant qui a repris ses massages clitoridiens. Elle s’agrippe aux draps qu’elle serre et tord de toutes ses forces. En un rien de temps, elle se cabre, se raidit, et pousse un râle rauque et profond. Elle vient de jouir. Foudroyée par cet orgasme, elle s’écroule, les yeux clos, la bouche grande ouverte, sur le lit. Son amant la suit quelques secondes plus tard, balayé lui aussi par une jouissance inouïe. Le mari complète la scène en lâchant sur les seins de sa chérie de longues giclées de sa semence aussi chaude que le coït candauliste auquel il vient d’assister.

Les protagonistes de cette rencontre ne sont, bien sûr, pas contentés de cette partie de jambes en l’air initiale ; et se livrèrent à d’autres ébats ébouriffants. Mais ceci est une autre histoire.

IMG_0001.JPG

IMG_5297.jpg

IMG_5365.jpg

IMG_0002.jpg

IMG_5510.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#2569501
Dionysos06 a écrit :Les rencontres candaulistes sont des moments hors du temps, fantastiques et magiques. Voici le récit de l'une d'elle. Pour une fois, j'écris en prose, ayant trop de matière pour un poème, fut-il long.

Féria féerique,

Chapitre I

Un soleil resplendissant se lève sur la mer bleue ; le jour J est enfin arrivé. Ou plutôt, les jours J, car la rencontre se déroule sur un week-end. Quitte à se voir, autant faire durer la chose.

Le nouveau rendez-vous a été soigneusement planifié ; le lieu choisi avec soin, un hôtel de charme blotti au creux d’une ville à la beauté réputée. Au fur et à mesure, la pression monte, les échanges s’échauffent , les envies vibrent. L’attente est toujours beaucoup trop longue quand il s’agit de se donner du plaisir.

Nous avons convenu de pimenter le scénario. Pour nos retrouvailles, je rejoindrai madame dans la chambre pendant que le mari prêteur s’éclipsera pour n’arriver que plus tard. Autant dire que son imagination battra la campagne à la vitesse d’un guépard lancé à pleine vitesse. Comment nous trouvera-t-il ?

Mon cerveau phosphore également ; surtout quant à la tenue que porterait mon amante, et tout particulièrement ses dessous. Découvrir une femme, belle et apprêtée pour mes yeux, surtout lorsque son homme l’a aidée à se préparer, est un plaisir indicible. Le sentiment très masculin que nous la possédons vraiment, même si ce n’est que temporaire ; sentiment bien entendu faux, les femmes n’appartenant qu’à elles-mêmes.

Chapitre II

Mon téléphone tinte. Le message tant espéré du mari éclate sur l’écran ; elle m’attend. Sa conclusion est un ordre auquel je vais m’empresser d’obéir : « baise la ! ».

Je me dirige vers la porte, excité, impatient, calme, heureux. Je toque, elle m’ouvre. Son visage s’illumine d’un sourire sublime et ravageur ; ses yeux brillent comme une mine de diamants. En un instant, cette chambre embaume de nos désirs sexuels les plus primaires et les plus intenses.

Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse goulûment. Nos langues se nouent, nos salives s’échangent. Ses mains explorent directement mon entrecuisses. Pas de panique ma belle, le matériel est bien à sa place. Nos lèvres se détachent et je découvre enfin sa tenue : une robe noire, simple, mi-longue, avec de fines bretelles et des bottes noires.

La coquine me pousse vers le lit. Je me déshabille en un tournemain ; elle fait glisser sa robe et me rejoint. Et je découvre ses dessous. Quelle beauté ! Un porte-jarretelles transparent à motifs noirs moule ses beaux seins lourds et ses hanches bien formées ; des bas noirs gainent superbement ses longues jambes. Sitôt que je vois cet ensemble, mon sexe rime avec Fernande. Elle passe langoureusement sa langue sur ses jolies lèvres humides. Sa surprise est réussie.

Chapitre III

Pour moi, l’égalité hommes/femmes ne doit pas rester un slogan creux. Aussi, j’aide ma belle à se dévêtir pour devenir nue comme moi. Elle défait langoureusement ses dessous, ne gardant que ses bas noirs ; Dieu qu’elle est belle et sexy. Sa toison claire est taillée à la perfection, mince et soyeux ticket de métro menant, en cabine de luxe, vers son jardin d’Éden qui ne m’est plus inconnu. Rarement l’expression « mont de Vénus » n’aura aussi bien porté son nom.

Nous sommes en rut. Nous avons envie de baiser. Maintenant. Sans plus attendre. Elle engloutit mon sexe et le suce avec une incroyable gourmandise gloutonne. Sa bouche lèche mon mât dressé, l’aspire, l’avale ; sa langue titille mon gland qu’elle cajole avec finesse. Mes testicules ne sont pas négligés. La belle les soupèse, les lèche, les prend en bouche comme des fruits dont elle ne veut surtout pas se priver. Les yeux clos, je suis au Paradis. Cette pipe ne me laisse pas de bois.

Mais j’ai été assez égoïste et je me dois de lui faire plaisir et de faire travailler ma bouche qui piaffe d’impatience. Moi, le cancre en mathématiques, je suis un adepte pratiquant et zélé du 69. Ma langue et mes doigts se posent sur ses lèvres charnues qui s’ouvrent comme une fleur rouge d’émotion et de désir. Elle est déjà trempée, son nectar savoureux coule dans ma gorge.
La chambre retentit de ses gémissements et de mes râles. L’odeur du sexe sature la pièce. Nous n’en pouvons plus. Sans un mot, nous arrêtons les préliminaires. Elle écarte le cuisses. En une seule poussée, je m’enfonce en elle, jusqu’à la garde.

Chapitre IV

Ma queue raide a retrouvé son abris favori. Quel pied absolu que de lui faire de nouveau l’amour ! ; ou plutôt de baiser comme des fous, comme si notre dernière heure était arrivée. Qui en a le plus envie ? Elle, femelle brûlante qui gémit, s’agite, prend mes fesses à pleines mains pour que j’aille encore plus loin ? Moi, mâle en feu qui la pilonne en grognant, tenant fermement ses jambes posées sur mes épaules ?

Nos yeux sont rivés dans ceux de l’autre. Nos bouches se soudent en un baiser passionné. Nos corps claquent frénétiquement, symphonie érotique en constant crescendo. Nos peaux se couvrent de sueur.

Pendant ce temps, toi le mari prêteur, tu arpentes la ville, seul, des idées folles plein la tête, le cœur palpitant à tout rompre.

Madame me réclame, entre deux baisers, sa position préférée, la levrette. Comment refuser une requête si bien formulée ? Elle se positionne face à la porte de la chambre, fixant résolument l’huis par lequel son mari va arriver d’un moment à l’autre. Son cul qui pointe vers moi, offert, impudique, est un monument de beauté et de béatitude, un pur condensé de féminité. Je n’y tiens plus, et j’investis cette chatte trempée qui bée d’envie. Elle crie « Oui, vas-y ! Baise-moi ! ». Son ordre est mon désir et je la bourre comme elle le souhaite. Elle danse du cul pour accompagner mes va-et-vient. Pour l’exciter davantage, je lui titille le clitoris en même temps. Effet garanti, elle se cabre, le souffle court, poussant une plainte rauque et continue. Elle est au bord.

Chapitre V

D’elle-même, elle interrompt la levrette. Elle ne veut pas jouir sans que son cocu ne la voie, ne l’admire.

Nous soufflons brièvement. Nous sommes en nage. Elle souhaite venir s’empaler sur moi. Je m’allonge sur le lit de plus en plus défait, elle me suce par gourmandise, puis se laisse tomber sur ma bite si raide qu’elle me fait presque mal. Elle tourne le dos à la porte.

Je la laisse me faire l’amour. Elle ondule sur moi telle une mer belle et déchaînée à la fois. Je ressens tous ses mouvements, toutes ses vibrations. Son corps est une onde de tempête sensuelle, sexuelle. Je pétris ses somptueux seins gonflés ; j’aspire ses tétons roses et dressés. Nous nous embrassons avec une envie folle et inlassable. La belle chuchote son chant de sirène en feu. Elle sourit, elle rit presque.

Nous sommes dans notre bulle, heureux comme des amants qui avaient tellement hâte de se retrouver. Plus rien n’existe hormis nos corps emboîtés qui se donnent du plaisir. Nous avons tout oublié, à commencer par monsieur qui n’est toujours pas arrivé.

Chapitre VI

Un bruit léger, presque imperceptible, trouble le son touffu de nos ébats endiablés et passionnés. Celui d’une clé tournant dans une serrure.

Trop occupés, trop chauds, trop excités, nous ne percevons que de façon lointaine et confuse ce frissonnement métallique.

Monsieur vient d’entrer dans cette chambre ; de très longues minutes après que je suis entré dans sa femme. Il la découvre empalée sur son amant, don corps agité de vagues de plaisir, son cul et ses hanches somptueux pétris sans ménagement par son amant dont il voit la bite dressée s’enfoncer, luisante et plastifiée, dans la chatte trempée de sa femme qui s’offre sans aucune retenue.

Le spectacle l’émerveille, le fascine. Lui qui avait tant rêvé à ce moment-là, le voit, le vit. Il bande. D’autant plus fort que ni l’amant ni sa femme n’ont daigné se tourner vers lui pour le regarder. Ils vivent leur baise seuls au monde, heureux naufragés sur l’île des plaisirs libertins.

Monsieur se déplace alors le long du lit pour admirer le spectacle sous un autre angle. Maintenant, nous avons pleinement conscience de sa présence et nous le regardons, béats de jouissance.

Alors les complices changent de position. Et entament une nouvelle levrette. Face à son mari, à présent nu, elle prend son sexe en bouche et le suce goulûment ; tout en étant profondément défoncée par son amant qui a repris ses massages clitoridiens. Elle s’agrippe aux draps qu’elle serre et tord de toutes ses forces. En un rien de temps, elle se cabre, se raidit, et pousse un râle rauque et profond. Elle vient de jouir. Foudroyée par cet orgasme, elle s’écroule, les yeux clos, la bouche grande ouverte, sur le lit. Son amant la suit quelques secondes plus tard, balayé lui aussi par une jouissance inouïe. Le mari complète la scène en lâchant sur les seins de sa chérie de longues giclées de sa semence aussi chaude que le coït candauliste auquel il vient d’assister.

Les protagonistes de cette rencontre ne sont, bien sûr, pas contentés de cette partie de jambes en l’air initiale ; et se livrèrent à d’autres ébats ébouriffants. Mais ceci est une autre histoire.

IMG_0001.JPG

IMG_5297.jpg

IMG_5365.jpg

IMG_0002.jpg

IMG_5510.jpg


Comme a ton habitude cher @Dionysos06 tes écrits sont splendides, tu sais trouver les mots :oops:
#2569528
Ah la prose !!!
Tu manies si bien la prose !
Tellement de détails, sans trop en donner...
Mais personnellement, je ressens certains "moments".
Pourquoi ? je ne sais pas...
Cette levrette que tu décris... je la ressens, je la "vois"... Je "l'entends"...

Superbe !!!
Tu pourrais jouer le nègre !!!


merci
Dionysos06 a liké
  • 1
  • 14
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • 45

Notre boutique candauliste 100% sécurisée