Comme promis je profite d'une insomnie pour faire un petit compte-rendu de ma deuxième soirée avec M, vendredi il y a 10 jours.
Après avoir hésité, notre relation étant récente, et avec l'accord de mon chéri, j'ai proposé à M de venir passer la soirée à la maison, ce qu'il a immédiatement accepté. J'ai dit à mon chéri qu'à cette occasion il porterait pour la première fois sa cage de chasteté en situation réelle. Je lui ai imposé une semaine d'abstinence, avec également l'interdiction de se masturber. Il était très excité à l'idée de porter sa cage, excitation mêlée à un soupçon d'anxiété.
Le vendredi soir, après sa douche je lui ai mis sa cage. La règle étant que sauf urgence, elle ne lui serait enlevée qu'à son réveil le lendemain matin. J'ai mis de jolis dessous pour M, et une robe moulante.
M est arrivé chez nous vers 20 heures. Nous nous sommes installés au salon pour un apéro dînatoire. M était nettement plus à l'aise que lors de la première rencontre. Courtois, détendu, il s'est montré charmant et a vite posé sa main sur ma cuisse. Mon chéri s'est fait tout discret. La main sur la cuisse s'est transformée en caresses. M m'a embrassée et s'est longuement attardé sur mes seins, qu'il a rapidement libérés. Entreprenant, il a initié un 69 et j'ai pu sucer sa queue toujours aussi impressionnante. Sa langue sur mon sexe m'a follement excitée. Au bout d'un moment M s'est mis assis nu dans le canapé et m'a placée dos à lui, au milieu de ses jambes écartées. Il m'a prise ainsi, sans me ménager. J'ai ressenti une subtile combinaison de sensations, un peu de douleur d'être baisée par cette énorme queue à laquelle je ne suis pas encore habituée, et néanmoins beaucoup de plaisir d'être ainsi remplie. Je regardais mon chéri, assis dans un coin de la pièce sans bouger mais n'en perdant pas une miette. J'ai joui et M, lui, s'est retiré avant l'orgasme, me demandant de le sucer, ce que j'ai fait, avalant toute sa semence.
Après un temps de repos, direction le lit conjugal, où M m'a prise devant mon chéri dans un classique missionnaire. Enfin classique pas tant que ça... M m'a baisée fort, sans douceur aucune, pendant... un long moment... Ce fut plutôt douloureux mais en même temps extraordinaire. Mes cris étaient autant de douleur que de plaisir. Je sais que c'est le top du candaulisme pour mon chéri, de voir sa femme ainsi baisée comme une salope par une queue énorme. C'est ce que je me suis sentie être, une salope qui se fait démonter. C'est ce que j'étais, à 1000 lieues de la gentille épouse et de la mère attentionnée. J'ai aimé ça mais j'avais un peu honte de moi quand même. J'ai joui deux fois lors de ce missionnaire.
M est parti peu après, et j'ai mis le week-end à m'en remettre, au sens propre du terme
Mon chéri, malgré son insistance,n'a eu droit à rien et est resté en cage jusqu'au lendemain.