- 03 juil. 2022, 14:07
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Afin de vous donner un peu de lecture en cette belle journée de dimanche, la suite de notre récit.
J'ai transmis un à un à Lou tous vos gentils compliments.
A peine dix mètres franchis qu’elle se dirige vers le grand lit, pièce centrale de cet espace dédié aux plaisirs charnels. Je suis fasciné. Elle rejoint un homme brun et sa femme. Des Méditerranéens souriants. Elle me confiera plus tard que l’homme lui a fait un signe afin qu’elle le rejoigne. Ce qu’elle a fait sans sourciller. Elle embrasse la femme brune, sensuelle, magnifique, au parfum envoûtant. Une femme blonde allongée à côté et qui vient tout juste de se faire prendre lui demande « C’est quoi ton parfum ». « C’est mon homme qui me l’a offert ». Lou est partie s’occuper de la queue de l’homme. Elle suce avec application cette queue d’une taille raisonnable qu’elle peut enfoncer sans mal dans sa bouche pour mieux l’envelopper de sa langue et extirpe à l’homme des râles de plaisir. La femme blonde la rejoint un instant. Elles s’embrassent, mêlent leur langue autour de ce gland gonflé. Je suis allongé à côté. J’ai sorti ma queue. Je me branle en regardant ce ballet de langues autour de cette queue qui ne demande qu’à être caressée, branlée, sucée, engloutie dans un orifice ou un autre. L’homme enfile un préservatif, demande à Lou de grimper sur lui. Elle ne se fait pas prier. Elle le chevauche, les seins dressés, ces mouvements de hanches que je connais par cœur et qui me fascinent. J’imagine son clitoris qui glisse sur le pubis de sa monture.
Elle se balance, d’avant en arrière, son bassin ondule, je scrute son visage, je dévore des yeux ses épaules, son ventre plat, ses hanches et ses mains magnifiques fraîchement manucurées. Elle me prend la main, m’embrasse, tout en restant empalée, en mouvement sur l’homme qui la contemple, l’enveloppe de son regard. Autour, des femmes s’embrassent, des couples s’étreignent et se prennent. J’entends la musique de la piste de danse. Il y a des cris, des gémissements, des râles, le bruit de vêtements qu’on retire, ou que l’on remet selon l’instant, des mots qui s’échangent dans la noirceur et la moiteur ambiantes. On murmure, on susurre, on rit aussi. Le cul est joyeux. Décomplexé. Sans vraiment d’autres horizons que lui-même ici, ce soir. Lou, marque une pause. Elle se relève. Enfile ses talons hauts. « Allez, on fait une pause ». Je lui souris. Elle a son regard à cet instant. Ce regard. Plein d’assurance, de fierté, de joie et de vie. Celui qui me chavire, me bouleverse.
Retour sur une banquette au milieu d’une foule dispersée. On échange quelques mots, quelques caresses. Ma femme est belle. Radieuse. Solaire. Elle éclaire ma nuit et celle de ce lieu. Elle se lève et file sur la petite piste de danse. Accrochée à la barre alors que les lumières multicolores et mouvantes viennent caresser son corps comme d’autres quelques instants plus tôt. Je me déplace pour mieux la regarder. Je la contemple osciller, ses fesses magnifiques en mouvement. Je suis fasciné par son cul qui ondule en rythme. L’envie de le saisir, de l’embrasser. Glisser ma langue jusqu’à son endroit le plus sensible, le plus secret et le plus délicat. Je me ressaisis mais il me tarde de la prendre, de me sentir m’enfoncer en elle. Elle capte les regards alentours. Hommes et femmes la regardent. Magnétique. D’autre femmes viennent à sa rencontre. Les plus belles de la soirée. A cette instant les trois plus belles femmes du club illuminent la piste. Les regards convergent. Elle échange quelques mots avec l’une, avec l’autre. Je les vois la convoiter. Elles se sourient, se caressent furtivement. La sensualité est aussi et peut-être surtout là ce soir.
Elle revient. Pour mieux repartir. Nous décidons de retourner au coin câlins.
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