- 16 sept. 2022, 04:47
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Depuis la nuit avec Thierry, Bérénice et moi avons été très sages, sans aucun invité, sans quasiment de sms, sans voir personne, même pas un tour dans la forêt.
Il faut dire que la dernière nuit avec Thierry a été vraiment sympa et parfaite, plutôt tendre et sensuelle, voire érotique. Nous avons fait l’amour dans un beau mélange de trio, bien équilibré ou Bérénice a vraiment été le centre, avec quand même du sexe hard par moment.
J’oserai presque écrire comme deux hommes amoureux de la même femme. On bandait pour elle, nous l’avons longuement pénétrée dans beaucoup de positions. Bien entendu parfois on passait en mode « défonce ». Bérénice aime être défoncée, pénétrée fortement, surtout à la missionnaire. Et sans faire le frimeur ni le fanfaron Thierry et moi nous sommes bien montés, pour les amoureux des chiffres je suis presqu’à 20 cm, Thierry un de plus (Un jour Bérénice nous a mesuré) et 5 cm de large. Cela n’a rien à voir avec Camille qui a une poutre entre les jambes, je n’ai jamais vu ça de ma vie de libertin.
Bérénice m’a dit plusieurs fois, j’adore voir Camille bander, ça me fait peur et j’en ai envie. Elle m’a racontée aimer être sur le dos à la missionnaire, lui au-dessus presqu’à la prendre, elle me dit je relève ma tête, je vois son sexe, je suis « effrayée » et je veux qu’il l’enfonce en moi. Lorsqu’il me sodomise j’ai très mal et je n’ose pas dire non.
Donc la nuit avec Bérénice a été plutôt tendre, bien entendu nous l’avons prise en double, Thierry dans son cul, moi dans son vagin. Elle est plaquée sur moi, on se regarde avec intensité et malgré les années de libertinage elle me murmure, « ta petite femme se fait enculer, tu la sens dans mon cul ? »vNous avons presqu’éjaculé ensemble, bien coordonnés. Il y a eu la petite pause, on va boire un verre à poil dans le frigo, passage au pipi, passage à la salle de bains, retour au lit, on discute de tout de rien. de sexe. Bérénice au milieu nous masturbe ensemble, en cadence, dans le noir je devine que Thierry la doigte, elle me roule une pelle, il la couvre, elle écarte ses cuisses. Il est en elle. Et il me dit Seb, « qu’est-ce que c’est bon de baiser ta femme ». Bérénice lui chuchote un truc. Il se retire, petite pause.
Bérénice me caresse, tout doucement elle me fait et me demande de pivoter, elle me glisse un oreiller sous le ventre et elle me dit à l’oreille, « fais-le j’ai envie de voir encore ». Elle me caresse les fesses, ses doigts s’enfoncent lentement longtemps avec du gel, je l’entends dire, oui tu peux, c’est bon, attends j’écarte. J’ai le poids de Thierry en partie sur moi, je sens le gland, il pousse millimètre par millimètre. Bérénice a son visage juste à côté du mien, elle me murmure des laisses toi faire, laisse faire, laisse toi enculer. C’est la seconde fois qu’il me sodomise, j’ai un peu mal ; puis c’es agréable. Bérénice passe sa main sous mon ventre, attrape mon sexe, elle murmure « tu bandes ». Bérénice me roule une pelle. Dans la pénombre elle me regarde droit dans les yeux et elle me dit, j’ai sucé Thierry dans ma voiture le premier jour de notre rencontre. Thierry ajoute, elle n ’osait pas te le dire, c’était tellement bon que j’ai joui dans sa bouche, j’en étais gêné. Je réalise que de candaule durant un peu plus d’un mois j’ai été vraiment « cocu ». Et celui qui baisait ma femme en cachette me sodomise lentement, profondément. Bérénice me dit je ne sais pas pourquoi j’avais trop envie de Thierry sexuellement, j’ai ressenti le besoin de ne pas te le dire immédiatement.
Bérénice a bougé, je devine qu’elle a passé sa main entre nos cuisses, elle caresse nos couilles. Thierry ne bouge plus, il gémit et me murmure ta femme m’a mis sa langue dans le cul. Le rythme a été plus rapide, j’entendais Bérénice qui répétait oui vas-y, oui vas-y . Thierry a eu un gémissement de jouissance en disant ça y est, oui ça y est. La sortie a été un peu désagréable, Bérénice a doigté en me disant Chéri mon doigt s’enfonce tout seul.
On a dormi, le levé a été assez tard, on a pris le petit déjeuner, normal, j’avais un peu mal au cul.
Puis Bérénice s’est levé en prenant la main de Thierry, elle m’a dit on va dans la chambre, ne vient pas. Bérénice avait son peignoir blanc léger. Et Thierry uniquement son boxer, en se levant j’ai vu que sa queue était déjà grosse et gonflée sous le tissu. Dans notre jeu candaule il m’a dit je vais baiser ta femme, reste dans le salon.
La porte de la chambre a été fermée, je n’entendais que le bruit de la baise, les gémissements, les soupirs, des phrases que je ne comprenais pas. Bérénice qui jouissait. Ils ont fait l’amour un peu plus d’une heure. Ensuite Thierry a pris sa douche et il est parti. Depuis nous ne l’avons plus revu. Bérénice m’a dit que c’était vraiment la dernière fois. Elle a émis l’idée plus tard d’un éventuel trio avec Camille, mais ce n’est pas certain.
Demain soir nous allons à la soirée multicouples + hommes seuls.