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#2696572
M’étant réveillé tard, le lit était vide, Victoire n’est pas là. Les enfants jouaient dans leur chambre, seuls. Par la porte laissée légèrement entr’ouverte j’entendis qu’elle était conversation avec P... Tout en frappant j’ai poussé le battant, elle était là en petite nuisette, allongée sur le lit, laissant plus que deviner sa nudité. Sans la moindre gêne, pivotant sur elle-même, elle se leva en dévoilant le haut de ses cuisses et la moitié de ses fesses, et sortit.. « Je vais prendre une douche, tu viens me savonner ? ». Pensant que cette invite s’adressait à moi à tout, je l’y ai accompagnée. Elle en rit encore : elle avoua que ce n’était pas moi qu’elle voulait avoir avec elle sous la douche, mais lui bien sûr ! «Idiot, tu as été le plus rapide, malheureusement ! » Après avoir pris le petit déj, la petite n’ayant plus de fièvre, Victoire déclara vouloir retourner à l’étang et y passer la matinée. Elle confia les deux petits à leurs grands-parents pour la journée, et nous voilà en selle sur les deux trials. Cheveux au vent Victoire rayonnait (les casques n’étaient pas encore obligatoire), agrippée à son pilote et amant. On roula lentement dans les bois, l’air est encore frais mais la chaleur arrive. Voilà l’étang et son ilot ; les lieux étaient déserts, je n’y ai jamais rencontré personne. La baignade était tentante mais il faisait encore frais. Allongés sur le ponton nous jouissions de la chaleur du soleil. Victoire s’installa entre mes jambes en se servant de mon torse comme dossier. P.. alluma un joint qu’il partagea avec nous. On parla de pêche et de poissons, mais je sentais que ce n’est qu’un prétexte. Soudain P.. se leva et déclara qu’il allait au jus. Pas de maillots. P.. se déshabilla déjà et queue fièrement dressée, marcha sur le ponton, descendant dans l’eau. Victoire clama « moi aussi j’y vais » .. elle retira son tee shirt, découvrant ses seins, dégrafa sa jupe et se retrouva en petite culotte. En pensant à sa fente épilée, je lui dis mezzo voce : « gardes ta petite culotte, ça me gêne qu’il te voit épilée» « Non mais, t’es ridicule ! Ça fait un an qu’on baise ensemble, tu penses s’il connaît mon anatomie.. ! Et j’ai pas envie de remettre un slip mouillé ». Elle la retira et plus nue que nue, alla le rejoindre au bout du ponton en se dandinant des fesses. Je la trouvais très belle, et je réalisai subitement que ça m’excitait beaucoup qu’elle se montre à lui, impudique. .. Il l’attendait dans l’eau ; Victoire s’accroupit puis se laisse glisser face à lui. Il la saisit par la taille et la prit dans ses bras; elle lui entoura le corps de ses cuisses avant de la laisser glisser dans l’eau. L’idée de la queue raidie de P.. comprimant le bas-ventre de ma chérie me fit fantasmer.. Victoire nageait une brasse vigoureuse, suivie de près par son amant. En tendant le bras il lui agaçait de la main l’entre-jambe. Elle se mit à protester en poussant des cris : « Arrête, je vais couler si tu continues » J’hésitais à me mettre à l’eau à mon tour, je ne voulais pas venir troubler ce jeu amoureux qui s’amorçait et m’excitait fort. Ils ont nagés jusqu’à l’ilot qu’ils devaient contourner pour revenir, mais je ne les vis pas réapparaître ; « ils font probablement une pose à l’abri des regards » pensais-je. Pour en avoir le cœur net je me mis à l’eau et nageai dans une autre direction mais qui me permettrait de voir de loin ce qu’ils faisaient. L’eau était délicieuse et j’en profitais pour nager sur le dos, lorsque je les aperçus… Victoire appuyait les deux mains à la berge pendant que P.. la pénètrait en la tenant par les hanches… mais je n’étais pas le seul à les mater : j’aperçus sur la rive opposée un homme qui ne perdait rien de la scène, d’autant moins qu’il les regardait avec une paire de jumelles ! Il les braqua sur moi quelques instants et j’en profitai pour lui faire signe en levant le pouce ; il me répondit pareil, par complicité. Ayant vu ce que je voulais voir, je revins vers le ponton pour me préparer à accueillir Victoire. L’eau fraîche avait réduit mon sexe à son minimum ce qui me désola. Pour ne pas risquer une comparaison que je savais être en ma défaveur depuis la scène de la piscine, j’enfilai mes jeans. Assis au bout du ponton je perçus deux petits cris. C’était elle j’en suis sûr. J’attendis quelques minute, les appelant, la réponse fuse : « oui oui on arrive ! » Tu nageais sur le dos et la vue de tes deux seins dépassant à la surface de l’eau comme deux mines magnétiques m’excita. P.. te faisait avancer en te poussant les pieds, avec une vue imprenable sur ton entrejambe.. .
N’ayant que mon Tee-shirt en guise de serviette je m’en servis pour t’essuyer le dos, les cuisses, le ventre et en profitai pour introduire, comme par accident, deux doigts dans sa fente – « Mais diiiis, t’as pas fini non ? »- : elle était ouverte, mouillée, et ça glissait ! « S’est-il passé quelque chose là-bas derrière l’île ? ». Elle me regarda par dessous en me disant « Non ! tu crois ? » P..se rhabilla de son côté ; mais comment faisait-il, malgré l’eau froide, pour que sa queue resta si imposante ? Il est circoncis comme moi mais son gland rouge-violacé me paraissait hors norme ; heureusement je n’avais pas eu à souffrir de comparaison. Retour à la maison. Sieste l’après-midi ; j’étais dans la chambre et t’attendais, j’avais envie de toi. P.. était couché dans le gazon dans le jardin. De la fenêtre je la voyais le rejoindre et s’allonger près de lui. Il la faisait rire en la taquinant. Victoire se passait de moi quand il était là, je n’existais pas. D’humeur contrariée teintée de jalousie, je préfèrai partir plutôt que de les espionner : j’allai faire un tour à moto en forêt pour trouver des champignons. Personne ne demanda où je allais et je ne dis rien. Le temps chaud était à l’orage. Des nuages arrivaient : c’est sûr que ce serait pour ce soir. Je revins avec quelques champis. Elle dessinait avec la gamine, le garçon roulait à vélo sur le tennis, et P.. lisait sur la terrasse. « Où étais-tu ? » me demande-t-elle. Je répondis vaguement en bredouillant. « Tu es de mauvaise humeur ? ». Non, j’étais dans un trip mi-jaloux, mi-excité, je ne m’expliquais pas bien ce que je ressentais, mais il y avait beaucoup d’érotisme dans l’air. Je me doutais bien qu’elle voudrait coucher avec lui cette nuit et je me demandais comment elle allait s’y prendre, cette petite coquine ! On prépara les champis avec des toasts. On but du vin, un peu trop ! On mangea peu, les enfants étaient fatigués et difficiles. Déjà des éclairs luisaient à l’horizon. Dehors il faisait lourd, mais ça semblait fraîchir un peu; on sortit pour en profiter. Il allait pleuvoir, le ciel était très menaçant. Victoire alla mettre les enfants au lit pendant que P.. m’aida à ranger. On parla comme si de rien n’était, comme deux amis que nous étions. « Je vais peut-être repartir ce soir » dit-il sans trop y croire; en m’étonnant moi-même je m’entendis le lui déconseiller, et insister pour qu’il passe la nuit ici, en pensant à toi.
PetitPisseux, mika007, gullihom et 20 autres a liké
#2696636
Un vrai délice de lire le détail des interactions entre chacun, tes ressentis aux teintes mêlées. Indéniablement, Victoire maîtrise à merveille l'eau et le feu candauliste <3 :x <3

J'aime bien aussi les éléments de contexte qui donnent une patine au récit. Bravo.
michpat, olch, sergio a liké
#2696731
merci @trestigres pour toutes ces histoires et merci de continuer à poster quelques photos. Après, je trouve que certaines photos ne sont pas forcément dérangeantes si c'est clairement expliqué. On peut effectivement retrouver à certain moment des photos intimes de parents et grand parents quand ceux ci partent rejoindre les anges. Quand on tombe sur des lettres d'amour en rangeant leurs affaires et des fois on tombe sur quelques anciennes photos sur lesquelles mamie pose nue, à 25 ans dans une crique déserte. Et la on se dit qu'elle était belle, qu'elle a su profiter de la vie, que Papi (ou un autre ?) lui a donné du plaisir qu'elle a rendu.
Je ne trouve pas ça si indécent.
Mais peut etre que les nouvelles générations ne comprennent pas cela et après, bien évidement, si ce sont des enfants, c'est compliqué.
Mais voila mon avis :)
maxou501, Wysiwyg a liké
#2696838
familleplage a écrit :merci @trestigres pour toutes ces histoires et merci de continuer à poster quelques photos. Après, je trouve que certaines photos ne sont pas forcément dérangeantes si c'est clairement expliqué. On peut effectivement retrouver à certain moment des photos intimes de parents et grand parents quand ceux ci partent rejoindre les anges. Quand on tombe sur des lettres d'amour en rangeant leurs affaires et des fois on tombe sur quelques anciennes photos sur lesquelles mamie pose nue, à 25 ans dans une crique déserte. Et la on se dit qu'elle était belle, qu'elle a su profiter de la vie, que Papi (ou un autre ?) lui a donné du plaisir qu'elle a rendu.
Je ne trouve pas ça si indécent.
Mais peut etre que les nouvelles générations ne comprennent pas cela et après, bien évidement, si ce sont des enfants, c'est compliqué.
Mais voila mon avis :)


Oh que votre commentaire me fait plaisir! J'y répondrai plus tard, je doius m'en aller . Encore merci
gullihom, michpat, sergio et 1 autres a liké
#2696916
- "Quoi, qu'est-ce qu'il a dit sur les photos ?"
- "Il les floute !"
- "Il les floute ? Oh flute !!! Moi j'aimais bien le visage de Victoire.
Et au fait, il a donné des nouvelles comment va-t-elle ?"

Merci de vos partages...
#2696937
Je pris un bain tiède pendant que P.. prenait une douche; Victoire lui apporta une serviette et s’attarda un peu ; je les entendis rire. J’imaginai un instant qu’elle se serait jointe à lui sous la douche, mais non, elle revint près de moi : laissant tomber sa robe sur ses pieds elle était nue en dessous ; aussitôt elle se plongea dans l’eau. J’aime bien prendre le bain avec elle. Lui savonnant le dos, les fesses, le ventre, je lui fis une petite caresse de mes doigts sur sa fente épilée mais elle me repoussa; « Pas ce soir !». Bon bon… Je pensais bien qu’ on n’aurait pas fait l’amour ce soir, mais j’avais l’impression de te préparer pour ton amant ! Elle sortit. Je la regardais nue, ruisselante, elle était belle ! Son mont de Vénus était gonflé et ses lèvres lisses, épaisses, saillantes. Elle s’enroula dans la grande serviette, puis sèche, enfila une petite nuisette raz de la touffe (qu’elle n’avait plus !), très sensuelle. Elle s’apprêta à sortir mais hésita, elle désirait me dire quelque chose… Et là, elle lâcha: « Je peux aller dire bonsoir à P.. ? ». Nous y voilà ! Ne sachant que dire de plus que : « c’est juste un bonsoir, ou bien c’est plus que ça ? » Elle répondit « c’est le cadeau d’anniversaire qu’il m’avait promis, c’est pour ça qu’il est venu…alors tu veux bien ? » Puis elle ajouta dans un souffle .. » le vrai cadeau, c’est de me féconder, j’ai même arrêté de prendre ma pilule, mais je ne me sens pas prête à ça!»… Hallucinant ! Et que répondre alors que j’ai très envie de l’avoir pour moi ? Je passai sur l’idée saugrenue de fécondation, ce n’était pas le moment de discuter de cette folie. « OK, mais ne reviens pas trop tard, pas plus tard que minuit…» ; « je verrai » me dit-elle, en m’embrassant du bout des lèvres. « Mais en tout cas reviens avant que les enfants se réveillent! ». »Promis ». Je croyais rêver !!! Qu’avais-je fait !! J’étais d’accord pour qu’elle couche avec son amant dans la chambre voisine de nos enfants !! J’avais subitement le cœur qui battait à grands coups. J’étais ému et heureux pour toi, envieux, un peu jaloux mais surtout très excité à l’idée qu’elle allait se donner corps et âme à lui . Ce n’est pourtant pas la première fois puisque vous étiez amants depuis un an ! Et ce n’est pas non plus la première fois que cela se passe chez nous. J’étais désemparé, je ne savais que faire ; c’est sûr, je ne dormirais pas tant que tu ne seras pas revenue. Et cette folle idée de fécondation? Ruisselant, je me suis emballé dans la serviette et sortis sans faire de bruit ; j’écoutai à la porte, vous parliez mais n’entendais pas ce que vous disiez. La petite fenêtre coulissante donnant sur l’escalier était restée ouverte, et assis sur une marche, l’oreille au aguets je vous ai entendu parler de la journée et du bain dans le lac.. « Pourquoi il n’est pas venu se baigner avec nous ? » dit P... « Je crois qu’il ne voulait pas de comparaison désavantageuse, surtout que lui, dans l’eau froide, il devient tout petit petit». Puis P.. dit: « en tout cas c’est sympa de prêter sa nana! ». Elle: « j’ai permission de minuit, mais extensible jusqu’à 7h ! » ; Elle rit ! « Et s’il avait refusé ? » Elle : « je serais quand même venue, j’aurais attendu qu’il dorme, comme on avait fait chez toi en Provence». Tiens tiens ! C’était donc bien convenu à l’avance ! Il y avait eu d’abord mon ami L.., puis P.. avec un ami et puis moi : quatre hommes pour une femme, et tout ça en une nuit !
Il ne faisait pas nuit noire que déjà l’orage approchait. J’avais entendu du bruit et cru qu’elle allait sortir ; je me précipitai dans la chambre des enfants ; par la petite fenêtre de côté je vous voyais de profil sur le balcon, regardant les éclairs ; quelques grosses gouttes tombaient : il était à côté d’elle, nu, et l’enserrait contre lui. Il lui fit passer la nuisette par dessus la tête, se plaça derrière elle et l’enserra dans ses bras, les mains coiffant les seins en les frottant doucement. Je savais que l’orage était un aphrodisiaque pour elle. Un lent mouvement marqua son corps, elle devait frotter ses fesses sur sa queue, je le voyais bien, parce qu’il la tenait maintenant par les hanches et accompagnait le mouvement. J’étais excité un max’ et je voulais voir la suite. J’allai jusqu’à la porte de la chambre pour l’entrouvrir et faire le voyeur ; l’excitation me rendit imprudent : je m’avançai audacieusement sur ce maudit plancher qui craquait, jusqu’à la porte-fenêtre, masqué par le rideau. Je voyais tout: il fléchit les jambes et elle, cambrant le corps, saisit sa queue dressée, la guidant vers ses fesses ; elle se pencha en avant, agrippant la balustrade pendant que d’une poussée du bassin il la pénétra. Commença un lent va-et-vient mais elle l’interrompit en plaquant les mains sur ses fesses pour qu’il resta au plus profond d’elle, bien remplie, sans bouger. Elle renversa la tête, il en profita pour l’embrasser dans le cou. Elle lui tendit ses lèvres et ils s’embrassèrent fougueusement, provoquant chez moi une crise de saine jalousie teintée d’excitation. Il pleuvait vraiment fort maintenant, elle avait l’air d’aimer ça : elle leva la tête pour recevoir la douche sur sa figure. Je me retirai prudemment dans la chambre des enfants en regardant par la fenêtre. La pluie augmentant, vous êtiez rentrés trempés. Nue, elle sortit de la chambre, alla chercher une grande serviette dans la salle de bain ; je me cachai prudemment en pensant qu’elle pourrait bien venir voir si les enfants n’étaient pas découverts. Mais non, elle avait autre chose en tête ; en revenant emballée dans la serviette, elle laissa négligemment la porte entr’ouverte. Je savais que ça allait me faire mal, mais l’excitation était la plus forte : sous mes yeux, P.. l’avait pénétrée, là sur la terrasse, et ça allait continuer au lit ! Ça me faisait bander dur, je dégoulinais d’envie.. Je ne savais pas comment j’allais encaisser. Je revins dans notre chambre et me mis sur le lit en essayant de me calmer un peu . Mais n’y résistant pas, je sortis et me mis à écouter. Je l’entendis gémir doucement ; furtivement je vins derrière la porte sans oser la pousser. Par le trou de la serrure, comme il y avait peu de lumière, je ne devinais que des parties de corps : Je voyais P.. de dos, à genoux sur le lit, elle avait les fesses en l’air « en levrette » ; je poussai très doucement la porte et glissai un oeil : c’était une première ! Je ne l’a vais jamais vue en train de se faire prendre : il la tenait par les hanches et la pilonnait en faisant claquer son ventre sur ses fesses qui vibraient à chaque poussée. Elle couinait comme une lapine chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. « Laisses-moi venir sur toi, j’aime mieux » ; vite, je battis en retraite mais revins aussitôt : maintenant elle le chevauchait comme elle aimait bien le faire avec moi. Si j’entrouvre la porte un peu plus, pensais-je, je ne serai pas vu. Je la poussai doucement et glissai un regard. Les éclairs se succédaient et illuminaient ses fesses rondes d’une lumière blafarde . Elle dansait sur sa queue nue et luisante qui allait et venait, il la tenait par les hanches et l’aidait dans le mouvement. Une onde parcourait ses fesses chaque fois qu’elle s’empalait à fond sur lui.. Elle se pencha en arrière et de la main gauche lui saisit les couilles ; il fit « aaah » Elle s’inclina sur lui ; je ne voyais pas ses seins, mais il devait sucer ou pincer ses tétons car elle réagissait par des petits cris. Puis elle se coucha sur lui et la vision de la pénétration dans son corps de cette queue épaisse et cramoisie, enserrée par ses lèvres gonflées me mit au comble de l’excitation ; j’avais le cœur qui cognait comme un fou ! Il prenait ses fesses, les pétrissait de ses mains. Il la pilonna de plus en plus vite, elle gémit de plus bel. J’allai prudemment fermer la porte des enfants. Un éclair suivit d’un fracas effroyable provoqua une coupure de courant plongeant la scène dans le noir ! Frustration! Heureusement les éclairs se succédèrent révélant leurs ébats. Je restai un bon moment scotché à la fente de la porte. Ses rapides coups de queue lui arrachaient des gémissements coupés de sanglots ; je l’entendais dire dans un souffle : «oooh, encoore, encooore.. plus fort !» : mais elle ne se lâcha pas complètement, par crainte des enfants. Elle allait jouir, je la connaissais, ça n’allait pas tarder. Un cri, ça y était ! Mais il continua, elle ne gémit plus, elle hulula doucement. En se couchant sur lui, comprimant ses seins sur sa poitrine elle lui dit : « viens toi aussi, là, dans mon ventre, féconde-moi, c’est mon fantasme! » mais il répondit « non pas encore» ; « mais tu m’as épuisée.. » ; « mais on a à peine commencé »
Les éclairs luisaient parfois longuement, illuminant la scène! Il la bascula sur le côté et je dus me retirer précipitamment, de peur d’être vu. J’attendis un peu puis tentai un œil ; à ce moment un long éclair illumina son corps. J’eus juste le temps de voir qu’elle était sur le ventre, cuisses écartées, je voyais sa fente béante, son vagin dilaté… Que c’était beau ! Il allait la prendre par derrière, mais sans lumière, je devinai plus que je ne vis la suite. Je l’entendis pousser un gémissement sourd, comme un hmpf !, signifiant qu’il s’était enfoncé en elle. L’éclair suivant me le montra. Il la prenait en chevauchant sa cuisse gauche; la cadence était rapide, je voyais ses couilles s’agiter en tout sens. L’obscurité revenue, j’entendis un bruit de clapotis, de succion et de claquement sur les fesses : c’était très évocateur ce que l’obscurité me cachait. Plusieurs éclairs se succédèrent, je n’en pouvais plus de la regarder se faire baiser A chaque éclair je voyais sa queue une fois à fond, une fois dehors. elle ne disait rien, pas un gémissement, silence complet. Le tonnerre roulait au loin. La lumière revint au moment où, ressortant trop, sa queue sortit ; plaintivement tu as dit: « oh non, encore, encore,… oui, comme ça ! » pendant qu’il la refourrait. A force de suivre l’action j’avais passé toute la tête par la porte ; je me retirai un peu pour rester dans l’ombre. Il continua à bourrer sa chatte à coups de queue, j’entendais quelques « han » chaque fois qu’il s’enfonçait à fond en elle tout en lui donnant des claques sonores sur les fesses. Il accéléra la cadence, sentant peut-être qu’il venait ; un éclair suivi d’un formidable coup de tonnerre éclatèrent ; la foudre était tombée tout près sans pour autant couper le courant ; j’eus peur que les enfants ne se mettent à pleurer, interrompant les ébats. Mais non, ils dormaient !. Les roulements du tonnerre n’en finissaient pas : soudain, cambrant le dos en prenant appui sur ses mains, redressant la tête, les jambes tendues, de toutes ses forces elle exhala un brame profond, sauvage, bestial, une fois, deux fois, trois fois pendant que le tonnerre roulait. Je n’avais jamais entendu exprimer sa jouissance de façon aussi animale ! Son orgasme provoqua celui de son amant qui poussa un grognement sonore et se vida au fond de son ventre comme une bête sauvage. J’étais au comble de l’excitation et mon cœur battait à toute vitesse. Je bandais très dur, j’avais une furieuse envie de prendre la place de P.. .. Il bascula sur le côté et l’attira contre lui, sa main gauche saisissant un sein, le bras droit entre ses cuisses, la main sur le mont de vénus. Essoufflé il dit quelque chose que je n’entendis pas mais que je devinai ». Essoufflée elle aussi, répondis : « non.. jamais ». « Même avec ton mari ? » Elle gémit : «non, jamais,, c’est la première fois…, y’a que toi P.., y’a que toi qui me fait jouir comme ça… peut-être même que tu m’en as fait un ! Très excité et ému par ce que je venais de voir et d’entendre, je me sentis très envieux de son amant qui avait réussi à provoquer chez elle un orgasme aussi puissant, et à la fois j’étais heureux qu’elle ait éprouvé un tel plaisir. J’avais très mal aussi : je n’étais pas à la hauteur de ce mâle dominant, son expérience, ses mensurations, votre complicité… font que je n’étais pas dans la même catégorie que lui : je me suis senti hors jeu !. J’étais complètement désemparé. J’avais à la fois honte de mater ma femme au lit avec son amant, excité de la voir baisée par lui, et heureux pour elle de l’avoir vue jouir comme jamais elle n’a joui avec moi. Qu’est ce qui faisait que j’éprouvais autant de plaisir ? Est-ce que j’arriverais encore à la satisfaire après ce que j’avais vu et entendu ? Se contenterait-elle encore de ma queue qui aurait du mal à la remplir comme elle l’a été sous mes yeux, et avec quel résultat ? Je restai dans le lit ; j’étais si perturbé qu’il était hors de question de dormir. Je laissai la porte ouverte espérant qu’elle allait revenir rapidement. Mais l’attente se prolongea ; elle ne vint pas à la salle de bain comme je l’espérais. Il était onze heures et je n’avais pas sommeil. Je voulus aller les espionner, c’était plus fort que moi ; la porte était telle que je l’avais laissée ; la lampe de chevet était allumée et je vous voyais enlacés, nus : vous dormiez entortillés dans le drap, c’étais émouvant ! Revenus à la chambre, j’essayai de lire sans comprendre ce que je lisais. J’attendais qu’elle aille à la salle de bain puis qu’elle vienne me retrouver. Je voulais la prendre à mon tour ; je sais qu’elle n’aimait pas que je la pénètre après lui, qu’elle ne me sentirait pas trop, et puis que son esprit était encore avec lui. Mais je devais reprendre possession de son corps et me plonger dans son vagin si doux quand elle a été prise par un autre : ça aussi c’est plus fort que moi. Comme je n’arrivais pas à lire, j’essayai d’écrire sous forme de brèves notes ce que je venais de voir et d’entendre. Il était presque minuit, j’entendis quelques bruits provenant d’une des chambres ; je me précipitai pour intercepter un enfant qui voudrait aller faire pipi, mais c’était le silence de ce côté. Ce furent de légers grincements de lit que j’entendis : vous remettiez ça, c’est sûr ! Je glissai un œil par la fente de la porte, vous étiez en « petites cuillères », il était en elle et la tenait fermement par les hanches pour l’attirer à lui et la pénétrer plus profondément. Elle avait replié les cuisses contre son ventre et gémissait doucement : « encore, encore ! ».. Je voyais cette queue épaisse et luisante qui coulissait entre ses lèvres en lui bourrant le sexe, ses doigts caressant son clitoris. Je n’arrivais plus regarder, je n’aurais plus supporté de la voir jouir encore ; je revins dans la chambre, épuisé et anéanti, envahis par un plaisir intense mais déconcertant..
#2696967
@trestigres tout simplement somptueux, extraordinaire, fascinant, incroyablement puissant d'émotions violents et contradictoires. La nature autour de vous, apaisante puis violente, l'orage qui électrise les amants et les rend encore plus beaux et sexuellement magiques. Et les photos de Victoire complètent et illustrent du bien ces récits. Qui ne deviendrait pas fou d'envies et de désirs pour elle ?
sergio a liké
#2696971
Dionysos06 a écrit :@trestigres tout simplement somptueux, extraordinaire, fascinant, incroyablement puissant d'émotions violents et contradictoires. La nature autour de vous, apaisante puis violente, l'orage qui électrise les amants et les rend encore plus beaux et sexuellement magiques. Et les photos de Victoire complètent et illustrent du bien ces récits. Qui ne deviendrait pas fou d'envies et de désirs pour elle ?


OUi je le fus aussi: fou! je n'étais pas le seul! Et à vous lire, si vous l'aviez connue à cette époque vous en auriez été aussi: fou!
Je laisserai ces photos jusqu'à dimanche soir, après elle seront supprimées..
Danimendu, Dionysos06, michpat et 2 autres a liké
#2696981
Superbes photos, très belles dans un environnement aquatique notamment. Et superbes récits aussi, qui nous font vivre ces épisodes presque comme si on était présent. Je peux comprendre les sentiments que tu décrits à la fin , en effet, tout cela devait être très excitant et quelque peu déconcertant aussi, te laissant avec une foule de questions.
Quoi qu'il en soit, tes récits sont vraiment dignes d'un écrivain, et je trouve que tu as un réel talent. Bravo à toi et merci de nous faire partager tous ces beaux souvenirs.
#2696989
Merci @trestigres pour ces récits de votre vie libertine dans ces années 70/80 très riches en ressentis et en adrénaline (doutes, craintes,interrogations mélangés avec désirs,plaisirs,excitation) .
Mais avec une femme belle, tellement naturelle ,à l'aise avec la nudité et transparente sur ses envies sexuelles fait que ça fonctionne et que ca a duré puisque vous nous le racontez ensemble. Bravo à vous 2 ;)
Danimendu, sergio a liké
#2697051
Un grand talent dans l'écriture associé à celui de savoir associer des sentiments ressentis à cette même lecture.
Malgré des moments très chauds, l'érotisme ressenti n'est jamais vulgaire.
Et que dire de ces belles photos...
Vraiment un grand merci.
Danimendu, michpat a liké
#2697176
Magnifiques récits. Tout semble se dérouler simplement dans un maestrom de sensations contradictoires, intenses et pourtant globalement positives et cohérentes. L'aveu dans l'instant des fantasmes les plus profonds de Victoire sont intensément troublant comme ta franchise à accepter la situation que tu as généré. Votre histoire actuelle démontre qui est votre indiscutable réussite d'une vie candauliste intense. Merci. Merci . Merci <3

Pour nous lecteurs, c'est une immersion totale. Les récits génèrent des images précises, erotiques à souhaits. Les dernières images et leurs courtes légendes génèrent à leur tour un flot d'idées et récits.

Un grand merci à vous deux
Danimendu, sergio a liké
#2697329
Dionysos06 a écrit :@trestigres ces récits formidables m'ont inspiré ce poème : viewtopic.php?p=2697246#p2697246


Ouragan,

L’orage teinte la nuit de son encre noire,
Plongeant sans cesse son fiel dans mon écritoire.
Tout s’est accumulé pour inonder mon âme
De sensations mêlées qui se choquent et s’enflamment.

Les bruits que je connais bien me tiennent éveillé ;
Et leur rythme échevelé m’a ensorcelé.
Tremblant de toute part, il me faut réagir.
Ignorer ou voir ? Dans les deux cas, c’est subir.

Je croyais tout savoir, mais je suis bouche bée
Devant cette scène qui m’a rétrogradé.
À la lueur des éclairs, ma femme se donne
À cet amant qui, sans relâche, la pilonne.

Sous mes yeux, le plus inaccessible trésor :
La beauté irréelle, absolue, de leurs corps.
Je me sens si petit, que j’en deviens jaloux.
Plus tu jouis, plus je t’aime. Je sais que c’est fou.

Hypnotisé et vaincu, je quitte les lieux ;
Plus que jamais cocu, plus que jamais heureux.
La voir si épanouie est mon plus grand bonheur.
Et puis…elle me reviendra dans quelques heures.

Victoire très émue par l'évocation poétique de cette nuit mémorable. "Quel talent !" me dit-elle, "c'est un homme comme lui que j'aurais voulu rencontrer, un poète qui m'aurait prise en vers et à l'envers, puisque j'ai lu qu'il aime la sodomie que je te refuse.." Petite garce, va!
#2697332
Victoire et moi vous remercions pour vos commentaires si élogieux. Elle est ma muse, je ne suis que son scribe!.. C'est elle qu'il faut encenser et admirer, à moi de rédiger les annales de ces années de braises que nous revivons, moi plus qu'elle, grâce à vous, amis lecteurs. Sans FC et vous tous, ces récits seraient enfermés sous le couvercle de l'histoire et nuls autres que vous n'en auraient eu connaissance.
C'est une κάθαρσις bienfaisante que je pratique, car en les exprimant, je me libère enfin à quatre-vingt ans (il était temps!) de mes angoisses existantielles, de mes passions proto-candaulistes et des mes rêves (et cauchemars) érotiques.

J'ai retiré les photos comme je m'étais engagé à le faire, à sa demande. Elle aime bien se montrer nue sur FC mais pas trop longtemps, par pudeur. Pudique elle l'est sauf avec ses amants; elle était opposée à ce que je la post nue avec sa petite fente épilée. Elle a finit par accepter quand je lui ai dit que vous apprécieriez la plastique de son corps, et que cette petite fente lisse, même modeste, représente tout de même "l'origine du monde" . Je vous concède que Victoire n'est pas Constance Quéniaux, et son créateur n'est pas le bon Gustave Courbet!
A tout bientôt..
#2697337
J’avais chaud et allai ouvrir la fenêtre contigüe à celle de la chambre de P.. Sa fenêtre aussi était ouverte ; en m’y penchant j’entendis des gémissements ; elle lui disait « j’aime bien quand tu me baises si fort, c’est ça qu’on appelle bourrer !» . J’entendis qu’il lui claqua les fesses plusieurs fois, même assez fort, elle dit : « claque encore, ça m’excite ». Je renonçai à entendre la suite, je n’avais plus le courage. Mais avant de me retirer, les claques sur les fesses reprirent ; sûrement elles provoquèrent son orgasme car j’entendis une sorte de mugissement aigu, repris trois fois, de plus en plus grave. J’ai toujours aimé l’entendre jouir, même prise par un autre, ça m’a toujours existé très fort. Mais était-ce ma femme qui jouissait comme ça ? Je ne la reconnais pas. J’aurais aimé que ce fut une autre, une de ses petites amies, et que Victoire fut avec moi, ici au lit. J’espérais toujours la voir passer vers la salle de bain, mais à force d’attendre, comme je n’arrivais toujours pas à lire, je continuai mes notes en détaillant ce que je venais de vivre. Et finis par m’endormir…
« Tu as dormi avec la lumière allumée ?» Elle m’avait réveillé, il était 6h. Elle avait passé sa nuisette. J’escamotai vite fait le carnet de notes pendant qu’elle se couchait près de moi ; très ému je la pris dans mes bras. « T’as été à la salle de bain ? ». « Ben non pourquoi, on sent tellement ce que j’ai fait? … ». Bien sûr, elle sentait l’amour, le sperme, la sueur, elle avait l’odeur de son amant mêlée à la sienne. Je passai mes doigts sur sa fente : elle était encore bien ouverte, souillée et chaude ; tout son bas ventre était poisseux, collant : « qu’est-ce qu’il t’a passé !!! ». Elle me dit:« On va pas faire l’amour maintenant, il faut faire dodo ! » .« J’avais très envie d’elle, tout de suite ». « Non par pitié, j’en peux plus, je suis épuisée…! ». C’était le comble, je devais avoir pitié d’elle, elle qui venait de s’envoyer son amant.. » Au fait, vous l’avez fait combien de fois ? ». «Je sais plus… trois fois peut-être.. ». « Et tu as joui chaque fois ? ». « Oh oui, même plusieurs fois». Je lui mentis en disant que je l’avais entendue jouir depuis la chambre. « C’est vrai, j’ai fait du bruit ? Je crois bien que jamais je n’ai joui aussi fort!…,. ».. « Et j’ai entendu des claques sur tes fesses, que tu me refuses toujours ! » « Lui c’est lui et toi c’est toi !!.. allez, maintenant on dort stp ». « Mais tu vas en mettre plein les draps… ! ». »Mais non, tout est au fond de mon ventre bien au chaud , et comme ça tu pourras me prendre bien remplie, je sais que tu aimes ça… tantôt on fera l’amour, quand P.. sera parti, pas avant ». « Pourquoi pas avant ? ». « Parce que tant qu’il sera ici, je ne pourrai pas être avec toi ». « Il part quand ? ». « Il m’a dit vers 9-10h ». « Non, j’ai envie avant, dors un peu, puis je me glisserai en toi ». »Mais ce ne sera pas bon pour moi ». »Pour moi si, et tu me dois bien ça ». « Ok, mais ne m’en veux pas si je ne te sens pas très fort … ». « Tu me raconteras tout ce qu’il t’a fait ? ». « Rhôôô, mais tu le sais bien non?». « Si je te laisse coucher avec lui, tu peux bien me raconter un peu, quoi ! » . « Bon on verra, maintenant je voudrais dormir ». Je tentai malgré tout de m’introduire en elle mais elle serrait tellement les cuisses que je n’y suis pas parvenu ; « laisse-moi dormir stp ». Pendant son sommeil, j’allai me faire couler un bain dans lequel je m’endormis aussitôt. Les enfants me réveillèrent en entrant dans la salle de bain ; ils avaient soif et voulaient boire. Il était 7h et je leur ai dit qu’ils pouvaient jouer dans leur lit mais en silence parce que maman dormait encore. Revenu près d’elle, je ne résistai pas à l’envie de glisser ma main entre ses cuisses qu’elle entr’ouvrit naturellement, croyant peut être que c’était la main de son amant, et me laissa caresser son clitoris. J’introduisis deux, puis trois doigts dans son vagin dilaté et détrempé ce qui provoqua son réveil; elle dit « aïe, c’est sensible ! je préfère une queue mais pas trop grosse, la tienne par exemple, c’est plus doux ». Exécution. Je la pénétrai en bandant très fort. Son fourreau était soyeuse, d’une douceur extrême mais le fond était fangeux ce qui m’excita intensément : elle est pleine de semence que je faisais gicler sur les draps à force de la pomper. Elle est tellement remplie de sperme qu’elle ne me sentit presque pas, dommage. « Plus fort » disais-tu, alors que je étais déjà à fond. J’agite ma queue dans tous les sens, mais elle me dit qu’il vaudrait mieux attendre que son vagin se repose un peu. « Il m’a fort élargie avec sa queue et son gros gland, c’est pour ça que je ne te sens pas fort ». Je sais, je sais, elle me l’avait déjà dit.. Mais ça m’excitait tellement que je jouis instantanément, ajoutant une dose de semence à celle de son amant.
J’avais levé et habillé les enfants ; j’avais changé le lange de la petite qui était bien souillé. On avait déjeuné ensemble, avec P.. qui était pressé de partir. « Elle dort encore », disais-je. Il m’a dit merci pour tout. . « Embrasse Victoire pour moi, ce fut un week-end super, elle a été satisfaite… ». Gonflé mon ami d’enfance ! Elle s’était levée tard. J’avais l’impression d’être transparent, elle semblait ne pas me voir! « Il est parti ? » dit-elle ensommeillée. « Vers 10h comme prévu ». « Ah zut.. ». « Il m’a chargé de t’embrasser ». « C’est gentil; bon, moi je vais prendre une douche » dit-elle. « Bonne idée, tu sens le foutre » ; elle se retourna et me tira la langue ! Elle m’appela pour lui frotter le dos. Je le lui lavai avec vigueur ainsi que les fesses, l’entrejambes, les cuisses, le ventre, les seins, tout ce qui avait été parcouru par son amant. Des restes de sperme s’écoulaient encore le long d’une jambe. Je n’osais pas lui dire que pour la première fois j’avais fait le voyeur, que je l’avais vue baisée par son amant.

Le plaisir voyeur est très fort : la voir accorder des gestes de tendresse à son homme sous la montée de son plaisir, la voir s’abandonner totalement à lui lorsqu’éclate sa jouissance inocule dans mon esprit et dans mon corps un sentiment d’émotion, de jouissance et de ravissement : c’est à mon sens le plus beau spectacle auquel le genre humain peut se livrer sous les yeux d’un spectateur.
« Dis-moi ce qui s’est passé à l’étang hier». Elle fit l’étonnée. « Ah oui, derrière l’île ? On s’est un peu papouillé, puis il m’a pénétrée, j’ai même eu un petit orgasme, et tu sais pourquoi ? Parce qu’un mec, un genre de garde forestier sur l’autre rive me matait avec des jumelles »..elle pouffa.. « eh bien l’idée qu’il nous voyait baiser, ça m’a fort excitée, et comme il ne voyait que nos fesses, je me suis tournée un peu pour qu’il puisse voir plus ! Avec ses jumelles il a dû voir le moment où j’ai joui, mais je n’ai rien dit à P.. ! ».
On était allé pique-niquer à la rivière; les enfants jouaient dans l’eau. Elle était attentionné avec moi, j’existais de nouveau ! Il n’y avait plus cette vibrante atmosphère érotico-sensuelle qu’elle créait en présence de P.. qui me mettait dans tous mes états ! L’après-midi on se baigna nus dans notre petit étang, je la pris en photo. Je ressentais comme une envie de revivre ce qui s’était passé hier à l’étang de F.. J’espérais qu’on ferait l’amour ce soir. Et on le fit. Comme mari et femme, pas comme amants. Tu n’avais pas joui. Tu avais mal, il avait fallu arrêter ; «Après ce qu’il m’a fait, je suis toute irritée ; on recommencera une autre fois » Je dis « oui oui, c’est normal.. » Il était 2h du matin. Je n’arrivais pas à dormir, encore perturbé par l’excitation et le plaisir que je venais de vivre. Je voulais continuer à noter cette aventure qui ébranlait notre couple depuis qu’il était devenu son amant régulier et qu’elle en était amoureuse. Je me faisais des réflexions : « quand il est là, c’est comme si je n’existais plus, mais je souffre délicieusement quand elle est entièrement tournée vers lui : esprit, corps, sexe… » « Elle réagit autrement qu’avec moi quand elle fait l’amour avec lui, c’est une autre femme. » « Le plaisir et la jouissance qu’il lui procure, je n’arriverais pas à les égaler. »
Il y a quelques mois elle m’avait inquiété en disant que si nous n’avions pas déjà deux enfants elle en aurait bien fait un avec lui ! J’espère qu’il ne l’aura pas fécondée la nuit dernière ; je lui avais posé la question et elle m’avais répondu : « Non mais ça va pas ? C’est un fantasme, point barre ! ». Il était 5h du matin lundi 1er septembre 1975. J’utiliserai mes notes et terminerai d’écrire cette « épopée érotique » quand je serai calmé émotionnellement, ça m’excitera et me soulagera à la fois. Il faudra que j’arrive à interpréter mes sentiments contradictoires de cette nuit peu banale ! C’était l’aurore, le soleil ne se lèvera pas avant 7 heures. Il faisait beau temps depuis des semaines, et les vacances étaient finies, plus de P.. à l’horizon, du moins pour le moment…
ChrisetElle, marc27, sergevr85 et 28 autres a liké
#2697349
@trestigres merci infiniment à Victoire pour ce compliment, l'un des plus beaux qu'on m'ait jamais fait.
Décidément, que ces récits sont admirables d'intensité, d'émotions mêlées et contradictoires ; le sexe y est incandescent, total, sans jamais être vulgaire. Une tranche de vie à une époque hélas si libre, et à jamais révolue. Et en plus, les pensées et réflexions complexes de ta femme sont très subtilement rendues.
Qui n'aurait pas craqué pour Victoire ? Dieu quelle femme sensuelle, excitante et carrément bandante !
michpat, sergio a liké
#2697364
Encore un récit fort bien écrit ! Bravo aussi pour ton beau poème. Tu as un vrai talent. Et que dire des photos, Victoire y est magnifique et resplendissante. J'avoue tout de même que la situation devait être déstabilisante pour toi car il semblait que Victoire avaki des sentiments nde plus en plus forts pour P., En plus d'apprécier au plus haut point ses assauts amoureux.
michpat a liké
#2697383
maxou501 a écrit :Encore un récit fort bien écrit ! Bravo aussi pour ton beau poème. Tu as un vrai talent. Et que dire des photos, Victoire y est magnifique et resplendissante. J'avoue tout de même que la situation devait être déstabilisante pour toi car il semblait que Victoire avaki des sentiments nde plus en plus forts pour P., En plus d'apprécier au plus haut point ses assauts amoureux.


Le poème n'est pas de moi, du reste j'en serais bien incapable! Il n'y a qu'un seul poète aussi talentueux sur FC: Dionysos, inspiré par notre petite histoire... Encore merci à lui, et à vous!
#2697632
La vie avait repris son train-train quotidien, enfant-boulot-dodo. Leur relation n’avait pas ralenti pour autant. Je rentrais souvent tard de mon boulot, les enfants étaient couchés, confiés aux bons soins de la « au pair » et Victoire parfois absente. « Madame est sortie avec des amis » me disait-elle.. Elle me laissait un petit mot en italien, en espagnol ou même en russe disant « Demain matin je rentrerai à sept heures au plus tard ». Légèrement inquiet mais aussi inquisiteur, je me risquai à téléphoner à P.. pour en avoir le cœur net. « T’inquiète, elle vient tout juste d’arriver » ajoutant avec une pointe d’humour « je m’en occupe ! ». Lorsqu’elle rentrait décoiffée et hâtivement rhabillée, inutile de lui demander ce qu’ils avaient fait. Elle savait que j’aurais envie de la prendre, bien qu’elle ne l’appréciait pas trop parce qu’elle était encore mentalement avec son amant. J’aimais la pénétrer encore toute chaude, la queue de son amant venant à peine d’en sortir. Je me plongeais en elle avec délice reprenant possession de son corps, mais ce qui m’excitait le plus était l’idée d’être complice de sa relation avec lui.
Mon plaisir aurait été triple :
- Au moment de la préparation, en l’aidant à se laver sous la douche, sachant ce qui va lui arriver m’excite fort ;
- Lorsque je sais qu’elle prendra du plaisir avec lui, ou les voir en action, ce qui est encore plus fort ;
- Quand ma coquine rentrera à la maison, me rejoindra au lit et me racontera dans le détail ses plaisirs et ses émotions, ce qui lui a plu, ses fantasmes..
Mais elle ne voulait pas, elle ne comprenait pas – pas encore ? – que je puisse en tirer du plaisir, de l’émotion et du désir. Parfois elle me disait que j’étais un pervers du sexe ! Peut-être qu’il y a un peu de perversion. Mais alors, que dire d’elle ?
Quant au spectacle de leurs ébats qui m’avait tellement ému, je me gardais bien de lui en parler ; elle accepterait à la rigueur que je les regarde baiser ensemble, mais à la condition de ne pas me montrer, ça lui gâcherait son plaisir m’avait-elle dit ! Je lui ai rappelé le plaisir qu’elle avait eu en découvrant un voyeur à jumelles pendant que P.. la baisait les pieds dans l’eau ! Elle m’a répondu que « oui, si c’est un inconnu – en plus avec des jumelles ! - ça peut m’exciter, mais pas toi »..Et participer ? Je n’osais pas encore lui poser la question, peut-être un jour viendra.

Je constatais un début de lassitude chez Victoire, même si elle adorait passer un week-end avec son amant en Normandie ou en Bretagne, ce que je lui accordais volontiers de temps à autres. Je décelais comme une envie d’aller voir ailleurs. Et l’occasion s’est présentée de la façon la plus fortuite.
C’était le début d’automne de cette année si chaude. Nous étions invités continuellement chez des amis en ville ou à la campagne, des soirées souvent très animées (et arrosées !). En rentrant bien beurrés nous nous racontions les derniers papots (untel sort avec unetelle, ceux-là se sont séparés, disputés, baisés, etc ..), elle me disait les mecs qui lui plaisaient, et moi les femmes.. Elle me demandait de la prendre mais l’alcool ne m’aidait pas. Voyant ma queue retomber en berne et sachant que ça m’existerait, Victoire m’agaçait en disant qu’avec P.. jamais ça ne se produirait, qu’il ne débande qu’après avoir tiré, et encore, même après il reste dur! Elle me décrivait alors comment un vrai mâle comme lui savait la baiser comme elle aimait, il lui faisait ceci et cela, des trucs que tu ne me fais pas... L’effet était immédiat, l’organe durcissait et s’engouffrait là où se trouve sa destinée. « Aah tu vois comme je la connais bien, ta queue ! » disait-elle..
Un soir, il faisait lourd et je redoutais un orage, nous étions invités à une soirée chez des amis ; il y avait une trentaine de personnes – des amis mais aussi des inconnus – invités à un dîner assis. L’ambiance était très animée, très arrosée aussi. En bout de table un convive – un bel homme du reste – n’arrêtait pas de faire rire une partie de la tablée avec des histoires cocasses et des blagues : un véritable bout-en- train. J’étais moi-même à l’autre extrémité et conversais sagement avec une jeune personne aussi sympathique que jolie.
Il commençait à se faire tard , je me sentais assez imbibé mais pas suffisamment pour ne pas remarquer que Victoire, cigarette au bec, se trouvait assise sur les genoux du convive gai-luron, en grande conversation avec lui et riant aux éclats. N’y voyant pas malice, étant occupé ailleurs je n’y ai pas prêté plus attention. Quelques temps plus tard, voyant que minuit était passé depuis longtemps, cherchant des yeux Victoire et ne la trouvant pas, pas plus que le convive, je me mis à sa recherche. Nul ne se souvenait de l’avoir vue partir..
De guerre las je suis sorti dans la nuit noire, déjà zébrée par des éclairs d’un orage approchant, faire un tour dans le vaste jardin. Je me suis éloigné de la maison, choisissant un buisson pour y exprimer un besoin naturel. Tout occupé à l’opération, dans le silence de la nuit, un bruit cadencé proche, insolite en ces lieux attira mon attention. Aidé par les éclairs j’ai progressé prudemment vers cet étrange bruit qui semblait venir du bord de la piscine. Un matelas de transat gisait sur le sol, deux ombres humaines s’y agitaient en une sorte de pugilat. En un instant très bref un éclair me fit comprendre la situation : un corps nu était allongé alors qu’un autre corps nu, celui de Victoire, dont je reconnu les fesses, le chevauchait. Je les voyais de dos. Ne m’étant ni annoncé ni découvert je suis resté tapis dans l’ombre, attendant la suite et profitant des éclairs de plus en plus fréquents pour me rincer l’œil ! Elle était bel et bien en train de se faire baiser par le convive bout-en-train, et ça lui plaisait: elle gémissait doucement pour pas qu’on l’entende, lui grognait à chaque poussée de sa queue dans son ventre. Les éclairs illuminaient par intermittence le fessier de ma Victoire et la queue de son challenger, une fois dehors, une fois dedans : c’était fascinant et excitant, je ne voulais pas gâter la partie en l’interrompant avant le bouquet final. Il ne pouvait tarder, la cavalière gémissant de plus bel tandis que son bel étalon commençait à hennir de plaisir. Il faut croire que l’atmosphère orageuse engendre chez Victoire une disposition pré-orgasmique car il a suffit d’un éclair suivi d’un coup de tonnerre tout proche pour déclencher un puissant orgasme, comme à l’origine de la création : le foutre, l’arc électrique et la vie démarra ! Profitant du grondement, Victoire poussa un long cri profond, s’affalant en écrasant ses seins sur le torse de l’homme, et resta prostrée. En m’approchant, c’était le moment d’intervenir ! « Victoire, il est temps de rentrer ma chérie »… Dans la nuit noire, après un assez long silence, elle me répondit dans un souffle : « Vas m’attendre à la voiture, j’arrive »..
Installé dans l’auto, je l’ai attendue un certain temps, à moitié endormi. Elle finit par arriver échevelée, pieds nus, le soutif sur le bras.. « Oui je sais, ne dis rien s’il te plaît ! ».
Nous avons roulé en silence, sauf lorsqu’elle a murmuré « j’ai trop bu… j’ai fumé un pétard, je suis dans le gaz… c’était comme un viol » ! « Tu m’expliqueras ? » Mais elle s’était endormie…
Je l’ai déshabillée: elle n’avait ni chaussures ni petite culotte! Avant de la mettre au lit j’ai lui ai lavé l’entrejambe et les cuisses, souillés de diverses humeurs visqueuses…
Victoire, shootée par l’alcool et le shit, dormait toujours lorsque j ‘ai levé et emmené les enfants à la maternelle et à la crèche.
DANA, Dionysos06, zztop et 22 autres a liké
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