- 17 juil. 2010, 20:59
#58921
Episode 1 - Un petit phantasme à la maison
Comme beaucoup de maris à l'esprit partageur, il m'a fallu beaucoup de temps et de patience pour obtenir de ma chère épouse qu'elle commence à envisager, juste envisager, de se laisser aller à quelques... écarts extra-conjugaux.
Mes premiers efforts s'étaient pourtant déployés dans un registre tout à fait soft et classique : chaque fois que possible, j'orientais nos conversations sur son contexte de travail, et surtout... sur ses collègues les plus proches : certains d'entre eux étaient-ils un peu plus... machos que les autres, un peu plus dragueurs, attentifs à lui plaire ? Ne lui arrivait-il à elle pas de craquer un peu, parfois, même sous la forme de pensées coupables, pour l'un ou l'autre ?
Ces tentatives m'avaient bien attiré quelques fois des réactions irritées, mais le plus souvent les réponses de ma belle étaient restées évasives, sans que je parvienne à distinguer si les raisons de cette sérénité étaient à trouver dans son indifférence à d'autres hommes que moi ou bien, bêtement, dans l'absence de mâles un peu motivants au sein de son entourage professionnel. On voit que j'écartais d'emblée la troisième hypothèse : celle qui consiste à penser qu'elle ne manquait pas de dragueurs aux petits soins avec elle, mais qu'elle préférait évidemment ne rien me dire de leurs manoeuvres ni de leur succès éventuel...
Pour dire vrai, convaincu de l'absolue fidélité de ma belle, je penchais plutôt pour la première hypothèse : Anne n'avait d'yeux que pour moi. Et puis je trouvais plein d'excellentes raisons pour que son lieu de travail ne devienne un lieu de débauche : Anne est en effet très jolie femme, la quarantaine toute fraîche, grande, de jolies rondeurs, le cheveu auburn coupé au carré, des lunettes marrantes, un look bcbg, des petits tailleurs de rigueur, bref, un pur phantasme pour tout prédateur qui se respecte, mais le contexte qui est le sien ne favorise pas les aventures : elle occupe en effet un poste de direction dans une grande administration et j'avais souvent constaté à quel point ce statut pouvait - bien malgré elle - la rendre intimidante pour ses collègues de travail, qui sont pour la plupart ses subordonnés. De fait, je ne l'imaginais pas facilement se mettre dans une position difficile avec l'un ou l'autre.
Enfin, tout ceci ne m'empêchait pas d'imaginer et d'évoquer avec elle les situations les plus chaudes et les plus scabreuses susceptibles d'être vécues avec ses collègues. Cela donnait du piment à nos ébats amoureux et je me disais, que peut-être, à force... sait-on jamais ? En tous cas, ne manquant pas de boniment ni d'invention, je suis parvenu plusieurs fois à la faire hurler de rire ou d'horreur dans ces évocations... et même, plus récemment, à ma grande surprise... à la troubler tout-à-fait !
L'anecdote est simple : étant passé un soir la prendre à son bureau - nous devions aller dîner avec des amis - je la surpris alors qu'elle était encore en réunion avec un type. Un grand brun, nord-africain, très chic, à l'allure raffinée, et qui allait quitter son bureau au moment où j'y entrais. Anne parut un instant déstabilisée, se reprit très vite, me présenta : "Marc, mon mari..." et après une hésitation, lâcha le prénom de son collaborateur : "Sofiane, directeur de la communication". Il y eut quelques mots polis, des regards échangés, et le beau Sofiane s'éclipsa. J'étais à la fois alerté et ravi de découvrir que finalement l'horizon de ma chère et tendre n'était pas constitué uniquement de types absolument "transparents". Nous allâmes donc dîner, mais d'un bout à l'autre de la soirée, en présence de nos amis, il me fut difficile de faire mention de ce surprenant "Dir. Comm." entrevu dans son bureau.
A notre retour à la maison, nous avions pas mal bu, ma douce était un peu pompette, et son abandon, associé à sa tenue bcbg (...bcbg dessus, mais que je savais largement contredite par ce qu'elle portait dessous...) la rendait des plus sexy. Effondrés dans notre large canapé, sirotant un dernier verre dans la pénombre du salon, je décidai donc de jouer un peu avec elle, en me servant de l'événement du jour : l'apparition du beau Sofiane. Sans grande surprise, elle se montra au début réticente à ce jeu... Sofiane ? Il était tout nouveau... elle le connaissait à peine... non, elle n'avait vraiment pas pensé à m'en parler... et puis elle se lâcha un peu : oui, bon, c'est vrai, il n'était pas trop mal... toutes les nanas du bureau craquaient d'ailleurs pour lui... oui, d'accord, elle avouait qu'elle aussi, le trouvait pas mal du tout... non, elle n'était pas sensée travailler directement avec lui, mais, bon, il était nouveau, et il venait souvent la voir afin de progresser plus vite dans sa connaissance du milieu...
Anne me répondait avec une pointe d'agacement, réel ou affecté. Mais le jeu m'amusait, et j'insistai un peu... Elle qui se plaignait de la monotonie de son environnement... Sofiane n'allait-il pas le chambouler un peu ? Soit, c'était vrai, elle ne pouvait complètement le nier, ça la changeait un peu... et... - elle se fit songeuse - elle devait m'avouer une chose, tout à fait anecdotique bien évidemment : elle était fascinée par... ses mains ! Avais-je remarqué ses mains ? Ses mains ??? Un peu désappointé, je lui avouai que non... mais je m'emparai de suite de ce détail troublant pour glisser les miennes sous sa jupe, en lui sussurant : "hmmmmmm... les mains de Sofiane... ses mains, le long de tes jolies jambes...". Je m'attendais vraiment à une rebuffade, et même pire. Anne, les yeux mi-clos, rêvassait, mais à ma plus grande surprise, ses genoux s'écartèrent très légèrement, comme pour faciliter la caresse. J'étais sidéré. Le coeur battant, j'étais tiraillé par un mélange d'excitation et de doute jaloux : était-il possible que la seule évocation du dit Sofiane motive ce début d'abandon ? Ma caresse se fit progressivement plus hardie, remontant vers le haut du bas, frôlant la jarretelle, atteignant la peau si douce du haut de la cuisse. Quelle autre option que de poursuivre mon jeu ? Je continuai donc à murmurer suggestivement... "...imagine... ...les doigts de Sofiane... jouant avec la limite de tes bas... ...et même... (je progressai un peu vers le haut) ...avec la lisière de ta jolie culotte de soie...". Très vite, ma Miss se mit à haleter doucement, et les doigts qui s'immiscèrent dans sa petite dentelle, puis dans les tendres replis de son sexe chaud et humide (que ces doigts soient les miens ou ceux, phantasmés, du beau Sofiane) revinrent imprégnés d'un jus épais et abondant, d'une abondance que je jugeais bien rapide et prématurée par rapport à la réceptivité que ma belle réservait d'ordinaire à mes caresses ! Incroyable. Quelle petite s... ! Bref, horriblement frustré mais ravi de la situation, je décidai de prendre tout-à-fait la place du Sofiane en question, tant j'y étais encouragé par le consentement tacite de ma femme, et aussi... par un détail des plus troublant : son obstination - très inhabituelle chez elle - à garder les yeux fermés, comme si elle ne voulait pas me voir, et ne pas être ainsi "détrompée". Ma connaissance de son boulot me permettait d'utiliser dans mon discours, et entre mes carresses, quelques détails authentiques, qui n'auraient pu venir que de son cher collègue, placé "pour de vrai" dans la situation présente. A demi-mots, chuchotés à son oreille, déguisant un peu ma voix, je suggérai donc un départ du mari (moi) pour son travail à l'étranger, un dîner au restaurant avec lui, Sofiane, un raccompagnement à la maison, une invitation à boire un dernier verre... En même temps, je la déshabillais dans le plus grand désordre, mes mains, devenues "autres" s'emparant successivement de son sexe humide, de son soutif, de ses seins honteusement dressés (90c !), de sa petite culotte, de son petit trou déjà attendri et ouvert... Elle avait toujours les yeux clos, haletait de façon de plus en plus violente (et inaccoutumée), gémissait, approuvait de "houiiiii" et de "continue..." chuchotés. J'eus l'idée de m'emparer d'un dessous de table en soie qui ornait un guéridon près du canapé et de lui en bander les yeux... Elle commençait à présent à râler, de plus en plus fort, sous mes caresses... Mais il m'en fallait juste un peu plus... Passant au vouvoiement, je l'abreuvais de mots doux... "...ma chère Anne... vous êtes si séduisante... j'ai eu envie de vous dès le premier jour où je vous ai vue, au bureau... c'est un vrai supplice de vous avoir pour collègue, Anne... ...j'ai envie de vous tout le temps... j'ai imaginé cent fois vous sauter sur votre bureau... vous sodomiser sur la moquette ...j'ai envie de vous baiser... et vous... voulez-vous que je vous baise, dites-le moi... ?". Hum... Etait-ce raisonnable ? Ma douce épouse ne semblait pas prête à confirmer autrement que par ses soupirs sa participation à cet excitant phantasme... Ma frustration grandissait quand tout à coup, d'une petite voix étranglée : "Oui, hhoui... oh oui, baise-moi...". Allait-elle donc le dire clairement ? J'étais au comble de l'énervement et décidai de l'encourager un peu, et ajoutai, d'un souffle : "Hmmmm... vraiment, baise-moi ? Mais baise-moi... QUI ?". Court silence, étais-je allé trop loin ? Au vu des ondulations qui agitaient ses hanches, je ne pouvais le croire... Elle s'anima : "- ouiiiii, oh oui, vas-y, vas-y...baise moi... ...bais-se moi... ". Et moi : "Oh mais oui, Je vais bien vous baiser chère A....". Elle me coupa enfin, n'y tenant plus : "So... Soooo.... SOFIAAAAAAAANE !".
Je n'y croyais pas. La situation était totalement excitante... A partir de cet instant, ma femme, d'habitude peu bavarde pendant nos ébats, et à qui j'avais toujours reproché de ne pas souvent m'appeler par mon prénom, n'arrêta pas une seule seconde de m'encourager, gémir, supplier, en me donnant du "SOFIAAANE !" sur tous les tons, de la voix la plus douce aux cris les plus sauvages, en passant par les murmures les plus amoureux. Je ne l'avais jamais vue et "eue" comme cela, je vous l'assure ! Elle eut un orgasme violent, au tout départ, dès l'instant où je la pénétrai, son vagin et son ventre secoués de contractions incroyables, pendant de longues secondes, un orgasme qu'elle accompagna évidemment en hurlant "son" prénom, à l'Autre... Emporté par ce régime, je dois avouer que je ne tîns pas le coup très longtemps, la laissant assez vite... en plan (aïe !).
Après que j'aie déchargé, et me sois affalé au pied du canapé, elle mit un très long moment à se remettre de ses émotions. Elle était allongée tout en travers du canapé, à court de souffle, et je voyais ses seins dressés, son ventre palpiter, son bassin s'animer de mouvements spasmodiques, de celle qui "en veut" encore et encore... Elle avait caché son visage dans son coude replié. Le foulard était emmêlé dans sa sombre chevelure, je le retirai doucement. Elle ouvrit alors les yeux, me fixa d'un regard trouble et neutre, par dessous son bras. J'ai eu l'impression un peu difficile qu'elle revenait sur terre, prenant progressivement conscience qu'elle n'avait sous ses yeux rien d'autre que son doux mari...
Au bout d'un long moment, elle se leva gracieusement, fonça à la salle de bain, et s'enferma sous la douche un bon quart d'heure. Elle revint enfin, en peignoir, se planta devant le canapé où j'avais pris place, et, l'air à peine aimable, me lança : "Bon... On va se coucher ?". Plus de "Sofiane" en perspective, et une fois au lit, ma Miss s'endormit en quelques minutes sans m'accorder plus d'attention que cela !
Tout ceci se passait en Mars dernier et Je ne me doutais pas que commençait pour moi une période d'aventures... inédites, pleine de surprises, et dont je ne suis apparemment pas près de sortir...
(...et en effet, cette aventure a eu des suites torrides - que je poste au fur et à mesure, ci-dessous...) .
Comme beaucoup de maris à l'esprit partageur, il m'a fallu beaucoup de temps et de patience pour obtenir de ma chère épouse qu'elle commence à envisager, juste envisager, de se laisser aller à quelques... écarts extra-conjugaux.
Mes premiers efforts s'étaient pourtant déployés dans un registre tout à fait soft et classique : chaque fois que possible, j'orientais nos conversations sur son contexte de travail, et surtout... sur ses collègues les plus proches : certains d'entre eux étaient-ils un peu plus... machos que les autres, un peu plus dragueurs, attentifs à lui plaire ? Ne lui arrivait-il à elle pas de craquer un peu, parfois, même sous la forme de pensées coupables, pour l'un ou l'autre ?
Ces tentatives m'avaient bien attiré quelques fois des réactions irritées, mais le plus souvent les réponses de ma belle étaient restées évasives, sans que je parvienne à distinguer si les raisons de cette sérénité étaient à trouver dans son indifférence à d'autres hommes que moi ou bien, bêtement, dans l'absence de mâles un peu motivants au sein de son entourage professionnel. On voit que j'écartais d'emblée la troisième hypothèse : celle qui consiste à penser qu'elle ne manquait pas de dragueurs aux petits soins avec elle, mais qu'elle préférait évidemment ne rien me dire de leurs manoeuvres ni de leur succès éventuel...
Pour dire vrai, convaincu de l'absolue fidélité de ma belle, je penchais plutôt pour la première hypothèse : Anne n'avait d'yeux que pour moi. Et puis je trouvais plein d'excellentes raisons pour que son lieu de travail ne devienne un lieu de débauche : Anne est en effet très jolie femme, la quarantaine toute fraîche, grande, de jolies rondeurs, le cheveu auburn coupé au carré, des lunettes marrantes, un look bcbg, des petits tailleurs de rigueur, bref, un pur phantasme pour tout prédateur qui se respecte, mais le contexte qui est le sien ne favorise pas les aventures : elle occupe en effet un poste de direction dans une grande administration et j'avais souvent constaté à quel point ce statut pouvait - bien malgré elle - la rendre intimidante pour ses collègues de travail, qui sont pour la plupart ses subordonnés. De fait, je ne l'imaginais pas facilement se mettre dans une position difficile avec l'un ou l'autre.
Enfin, tout ceci ne m'empêchait pas d'imaginer et d'évoquer avec elle les situations les plus chaudes et les plus scabreuses susceptibles d'être vécues avec ses collègues. Cela donnait du piment à nos ébats amoureux et je me disais, que peut-être, à force... sait-on jamais ? En tous cas, ne manquant pas de boniment ni d'invention, je suis parvenu plusieurs fois à la faire hurler de rire ou d'horreur dans ces évocations... et même, plus récemment, à ma grande surprise... à la troubler tout-à-fait !
L'anecdote est simple : étant passé un soir la prendre à son bureau - nous devions aller dîner avec des amis - je la surpris alors qu'elle était encore en réunion avec un type. Un grand brun, nord-africain, très chic, à l'allure raffinée, et qui allait quitter son bureau au moment où j'y entrais. Anne parut un instant déstabilisée, se reprit très vite, me présenta : "Marc, mon mari..." et après une hésitation, lâcha le prénom de son collaborateur : "Sofiane, directeur de la communication". Il y eut quelques mots polis, des regards échangés, et le beau Sofiane s'éclipsa. J'étais à la fois alerté et ravi de découvrir que finalement l'horizon de ma chère et tendre n'était pas constitué uniquement de types absolument "transparents". Nous allâmes donc dîner, mais d'un bout à l'autre de la soirée, en présence de nos amis, il me fut difficile de faire mention de ce surprenant "Dir. Comm." entrevu dans son bureau.
A notre retour à la maison, nous avions pas mal bu, ma douce était un peu pompette, et son abandon, associé à sa tenue bcbg (...bcbg dessus, mais que je savais largement contredite par ce qu'elle portait dessous...) la rendait des plus sexy. Effondrés dans notre large canapé, sirotant un dernier verre dans la pénombre du salon, je décidai donc de jouer un peu avec elle, en me servant de l'événement du jour : l'apparition du beau Sofiane. Sans grande surprise, elle se montra au début réticente à ce jeu... Sofiane ? Il était tout nouveau... elle le connaissait à peine... non, elle n'avait vraiment pas pensé à m'en parler... et puis elle se lâcha un peu : oui, bon, c'est vrai, il n'était pas trop mal... toutes les nanas du bureau craquaient d'ailleurs pour lui... oui, d'accord, elle avouait qu'elle aussi, le trouvait pas mal du tout... non, elle n'était pas sensée travailler directement avec lui, mais, bon, il était nouveau, et il venait souvent la voir afin de progresser plus vite dans sa connaissance du milieu...
Anne me répondait avec une pointe d'agacement, réel ou affecté. Mais le jeu m'amusait, et j'insistai un peu... Elle qui se plaignait de la monotonie de son environnement... Sofiane n'allait-il pas le chambouler un peu ? Soit, c'était vrai, elle ne pouvait complètement le nier, ça la changeait un peu... et... - elle se fit songeuse - elle devait m'avouer une chose, tout à fait anecdotique bien évidemment : elle était fascinée par... ses mains ! Avais-je remarqué ses mains ? Ses mains ??? Un peu désappointé, je lui avouai que non... mais je m'emparai de suite de ce détail troublant pour glisser les miennes sous sa jupe, en lui sussurant : "hmmmmmm... les mains de Sofiane... ses mains, le long de tes jolies jambes...". Je m'attendais vraiment à une rebuffade, et même pire. Anne, les yeux mi-clos, rêvassait, mais à ma plus grande surprise, ses genoux s'écartèrent très légèrement, comme pour faciliter la caresse. J'étais sidéré. Le coeur battant, j'étais tiraillé par un mélange d'excitation et de doute jaloux : était-il possible que la seule évocation du dit Sofiane motive ce début d'abandon ? Ma caresse se fit progressivement plus hardie, remontant vers le haut du bas, frôlant la jarretelle, atteignant la peau si douce du haut de la cuisse. Quelle autre option que de poursuivre mon jeu ? Je continuai donc à murmurer suggestivement... "...imagine... ...les doigts de Sofiane... jouant avec la limite de tes bas... ...et même... (je progressai un peu vers le haut) ...avec la lisière de ta jolie culotte de soie...". Très vite, ma Miss se mit à haleter doucement, et les doigts qui s'immiscèrent dans sa petite dentelle, puis dans les tendres replis de son sexe chaud et humide (que ces doigts soient les miens ou ceux, phantasmés, du beau Sofiane) revinrent imprégnés d'un jus épais et abondant, d'une abondance que je jugeais bien rapide et prématurée par rapport à la réceptivité que ma belle réservait d'ordinaire à mes caresses ! Incroyable. Quelle petite s... ! Bref, horriblement frustré mais ravi de la situation, je décidai de prendre tout-à-fait la place du Sofiane en question, tant j'y étais encouragé par le consentement tacite de ma femme, et aussi... par un détail des plus troublant : son obstination - très inhabituelle chez elle - à garder les yeux fermés, comme si elle ne voulait pas me voir, et ne pas être ainsi "détrompée". Ma connaissance de son boulot me permettait d'utiliser dans mon discours, et entre mes carresses, quelques détails authentiques, qui n'auraient pu venir que de son cher collègue, placé "pour de vrai" dans la situation présente. A demi-mots, chuchotés à son oreille, déguisant un peu ma voix, je suggérai donc un départ du mari (moi) pour son travail à l'étranger, un dîner au restaurant avec lui, Sofiane, un raccompagnement à la maison, une invitation à boire un dernier verre... En même temps, je la déshabillais dans le plus grand désordre, mes mains, devenues "autres" s'emparant successivement de son sexe humide, de son soutif, de ses seins honteusement dressés (90c !), de sa petite culotte, de son petit trou déjà attendri et ouvert... Elle avait toujours les yeux clos, haletait de façon de plus en plus violente (et inaccoutumée), gémissait, approuvait de "houiiiii" et de "continue..." chuchotés. J'eus l'idée de m'emparer d'un dessous de table en soie qui ornait un guéridon près du canapé et de lui en bander les yeux... Elle commençait à présent à râler, de plus en plus fort, sous mes caresses... Mais il m'en fallait juste un peu plus... Passant au vouvoiement, je l'abreuvais de mots doux... "...ma chère Anne... vous êtes si séduisante... j'ai eu envie de vous dès le premier jour où je vous ai vue, au bureau... c'est un vrai supplice de vous avoir pour collègue, Anne... ...j'ai envie de vous tout le temps... j'ai imaginé cent fois vous sauter sur votre bureau... vous sodomiser sur la moquette ...j'ai envie de vous baiser... et vous... voulez-vous que je vous baise, dites-le moi... ?". Hum... Etait-ce raisonnable ? Ma douce épouse ne semblait pas prête à confirmer autrement que par ses soupirs sa participation à cet excitant phantasme... Ma frustration grandissait quand tout à coup, d'une petite voix étranglée : "Oui, hhoui... oh oui, baise-moi...". Allait-elle donc le dire clairement ? J'étais au comble de l'énervement et décidai de l'encourager un peu, et ajoutai, d'un souffle : "Hmmmm... vraiment, baise-moi ? Mais baise-moi... QUI ?". Court silence, étais-je allé trop loin ? Au vu des ondulations qui agitaient ses hanches, je ne pouvais le croire... Elle s'anima : "- ouiiiii, oh oui, vas-y, vas-y...baise moi... ...bais-se moi... ". Et moi : "Oh mais oui, Je vais bien vous baiser chère A....". Elle me coupa enfin, n'y tenant plus : "So... Soooo.... SOFIAAAAAAAANE !".
Je n'y croyais pas. La situation était totalement excitante... A partir de cet instant, ma femme, d'habitude peu bavarde pendant nos ébats, et à qui j'avais toujours reproché de ne pas souvent m'appeler par mon prénom, n'arrêta pas une seule seconde de m'encourager, gémir, supplier, en me donnant du "SOFIAAANE !" sur tous les tons, de la voix la plus douce aux cris les plus sauvages, en passant par les murmures les plus amoureux. Je ne l'avais jamais vue et "eue" comme cela, je vous l'assure ! Elle eut un orgasme violent, au tout départ, dès l'instant où je la pénétrai, son vagin et son ventre secoués de contractions incroyables, pendant de longues secondes, un orgasme qu'elle accompagna évidemment en hurlant "son" prénom, à l'Autre... Emporté par ce régime, je dois avouer que je ne tîns pas le coup très longtemps, la laissant assez vite... en plan (aïe !).
Après que j'aie déchargé, et me sois affalé au pied du canapé, elle mit un très long moment à se remettre de ses émotions. Elle était allongée tout en travers du canapé, à court de souffle, et je voyais ses seins dressés, son ventre palpiter, son bassin s'animer de mouvements spasmodiques, de celle qui "en veut" encore et encore... Elle avait caché son visage dans son coude replié. Le foulard était emmêlé dans sa sombre chevelure, je le retirai doucement. Elle ouvrit alors les yeux, me fixa d'un regard trouble et neutre, par dessous son bras. J'ai eu l'impression un peu difficile qu'elle revenait sur terre, prenant progressivement conscience qu'elle n'avait sous ses yeux rien d'autre que son doux mari...
Au bout d'un long moment, elle se leva gracieusement, fonça à la salle de bain, et s'enferma sous la douche un bon quart d'heure. Elle revint enfin, en peignoir, se planta devant le canapé où j'avais pris place, et, l'air à peine aimable, me lança : "Bon... On va se coucher ?". Plus de "Sofiane" en perspective, et une fois au lit, ma Miss s'endormit en quelques minutes sans m'accorder plus d'attention que cela !
Tout ceci se passait en Mars dernier et Je ne me doutais pas que commençait pour moi une période d'aventures... inédites, pleine de surprises, et dont je ne suis apparemment pas près de sortir...
(...et en effet, cette aventure a eu des suites torrides - que je poste au fur et à mesure, ci-dessous...) .
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Modifié en dernier par CheeseCake le 31 mars 2012, 00:41, modifié 53 fois.