- 29 août 2023, 23:46
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Le jour dit je vins la prendre chez elle pour l’emmener chez son écailler. Elle était très nerveuse, elle s’était maquillée, elle était ravissante ! Je lui fis le compliment et en rougissant elle me dit qu’il fallait que la bête soit présentable avant son sacrifice !
« Tu sais » me dit-elle, « c’est parce que vous m’avez eue tous les deux que j’accepte de le faire, jamais je ne le ferais avec un inconnu.. même avec vous je flippe, promets-moi d’arrêter si je te le demande car j’ai pas entière confiance en P.., il est trop fougueux ! »
P.. nous attendait attablé, sirotant un Ricard en devisant avec le patron. Nous passâmes commande d’un tourteau pour Lison et d’un plateau de fruits de mer, arrosé d’un blanc de Loire. Prudemment nous bûmes modérément P.. et moi. Nerveuse, Lison n’eût pas faim et, la peur au ventre, elle fut la première à se lever : « Alors, on y va ? » demanda-t-elle un peu nerveuse.. Arrivés chez elle, elle prit encore un verre pour se donner du courage, disait-elle !. Nous bandions déjà fermement avant même d’être nus ; en lui enlevant le peu de vêtements qu’elle portait, je découvris, en lui ôtant sa petite culotte, qu’elle ne s’était pas rasée comme je le lui avais suggéré. Prévoyant, j’avais apporté le matériel nécessaire à l’opération. « Vous voulez absolument que je sois rasé là en bas? » P.. le voulait, et moi aussi : elle serait non pas rasée mais épilée à la crème dépilatoire. Nous la couchâmes sur le lit. Ayant étendu un drap de bain en tissu éponge, je lui fis écarter les cuisses pour avoir accès à toutes les parties pileuses. D’un certain nombre de feuillets de Kleenex je fis un rouleau que j’insérai dans sa vulve en lui écartant les lèvres, afin que la crème n’y pénètre pas. Puis j’enduisis d’une bonne couche son pubis, ses lèvres, jusqu’à la naissance des cuisses de crème dépilatoire Vichy, la meilleure et la plus douce ! Emballée dans le tissu éponge, on laissa agir cinq à six minutes, puis en raclant l’enduisage avec une spatule souple, il ne restait plus un poil ! L’emmenant à la douchette de la baignoire, après lui avoir retiré le rouleau de Kleenex détrempé par la cyprine qui s’écoulait de sa vulve, car l’opération l’avait fait mouiller, je lui rinçai le bas ventre puis une fois séché je lui vaporisai un peu d’eau thermale pour adoucir l’épiderme : le résultat fut parfait, ses lèvres rosées, gonflées par l’excitation étaient resplendissantes. P.. prit une photo du résultat mais Lison protesta qu’elle ne voulait pas : ni photo ni vidéo.. Quel dommage pensais-je, en faisant signe à P.. de ne pas en tenir compte ! L’alcool l’ayant désinhibée elle déclara que ça l’excitait d’être toute nue entre deux hommes habillés ! « Maintenant à mon tour je vais vous déshabiller moi-même, je commence par P.. puis ce sera ton tour mon chéri ! » Elle nous mit nus, l’organe pointé vers le ciel !
Le vin ayant fait son effet, elle se sentit pleine d’audace.. Nous saisissant par le membre elle nous attira dans la chambre, poursuivie par son chien qui ne comprenait pas à quel jeu sa maîtresse voulait jouer ! « P.. à toi l’honneur ! » dit-elle en se laissant choir sur le lit. Couchée sur un côté, les jambes repliées contre les seins, P.. se mit à genoux près d’elle, embrassa et caressa tout son corps. Lison miaulait comme une chatte en chaleur, elle détendit les jambes en se mettant sur le dos, mettant en valeur son mont de Vénus bombé et lisse, laissant apparaître la commissure des lèvres de sa fente. Maquillée, les cheveux défaits, le corps légèrement bronzé, elle était ravissante et appétissante. J’enviai P.. d’être le premier à profiter de ce corps affriolant. Lison avait saisit P.. par le membre : elle le soupesait, le branlait en l’admirant ; « Ça c’est une belle queue bien épaisse et bien longue, tu ne trouves pas chéri ? » me dit-elle « je vais t’accueillir dans mon ventre mais pas tout de suite, je vais te faire languir un peu ! » souffla-t-elle à P.. Elle attrapa ses couilles de l’autre main et attira tout cet appareil vers sa bouche écarlate. « Je vais mordre ton gros gland pour que tu souffres un peu avant de me pénétrer », et elle l’engouffra entre ses lèvres, montrant les dents plantées dans la chair tendre. Elle mordit fort et P.. protestant, enfonça d’autorité sa queue plus profondément dans sa gorge. Elle le suça en lui martyrisant les couilles qui battaient sur son menton, mais ce fut trop pour P.. : il lâcha une giclée de semence qui faillit une nouvelle fois étouffer Lison ; elle avala ce qu’elle pu, recracha le reste en toussant abondamment ! « Maintenant tu devras passer ton tour, c’est mon chéri qui va pouvoir me prendre devant toi, pendant que tu récupères.. » A moi de jouer ! ; elle ouvrit les cuisses et attira ma tête contre sa fente lisse et détrempée. Une légère ivresse des sens et le petit intermède de l’épilation l’avait fait mouiller d’excitation. Introduisant ma langue entre ses lèvres, j’atteignis le petit bouton que j’agaçai tant et plus en le suçant, en l’aspirant, en le mordillant ; elle gémit en se contorsionnant de plaisir. Je gobais sa vulve et son clitoris, introduisant ma langue dans son vagin, suçotant ses petites lèvres. Son plaisir était intense, elle était prête pour la pénétration. P.. qui suivait l’action de près avait récupéré toute sa vigueur : sa queue pointant, Lison la saisit en me repoussant, la dirigea vers sa fente ouverte ; « maintenant prends-moi fort, je veux te sentir tout au fond, contre ma petite bouche… et défense de tirer trop vite hein ? » Je me sentais frustré, ce que Lison avait prévu, tandis que P.. la bourrait elle me prit dans sa bouche et me suça longuement, en faisant rouler mes testicules entre ses doigts. Je fus plus long à venir que P.. : tandis que ses coups de boutoir agitaient tout son corps, Lison dressa brusquement une jambe vers le ciel, signe que l’orgasme était imminent : retirant ma queue de sa bouche elle émit plusieurs cris de gorge, ce que voyant et entendant, me fit éjaculer sur ses seins. P.. n’en pouvant plus se vida longuement au fond de son ventre en grognant bruyamment. Déjà de la semence s‘écoulait d’abondance de son vagin; elle plaqua la main sur sa fente en guise de tampon avant de se précipiter à la salle de bain. Elle prit la douchette, aspergea son fondement et revint emballée dans sa grande serviette blanche, s’allongea sur le lit entre nous deux. « Tu as été frustré mon pauvre chéri, mais maintenant, à ton tour de venir en moi. P.. m’a ouverte, mais je te sentirai quand même. Si tu veux tu pourras introduire le petit vibro. P.. et moi avions le membre en berne, tandis que Lison était prête pour une nouvelle action ! Je branchai le vibro Hitachi muni d’une tête avec deux doigts en silicone : un pour le clitoris et l’autre pour le vagin. J’écartai les pans de la serviette de bain, écartai légèrement ses cuisses. Lison observait, dubitative. « Tu crois que tu vas arriver à me faire jouir avec ce truc ? » me dit-elle. Attends ma chérie pensais-je, tu vas voir, ou plutôt sentir.. J’introduisis le doigt de silicone enduit de gel dans son vagin, l’autre appuyant sur son petit bouton et mis en marche sur la vibration la plus faible. Lison poussa un cri « Ouh là là, c’est fort, ça va me faire venir vite.. » Je passai à la vibration supérieure, ce qui déclencha des hurlements et des contorsions violentes. Je fis signe à P.. de m’aider à lui maintenir les bras alors que je chevauchais ses cuisses, puis j’appuyai plus fort le doigt sur son clitoris. Elle poussa un hurlement profond, se débattit avec force alors que nous tentions de la maintenir fermement. Elle haletait entrecoupant ses gémissements de hurlements de bête sauvage.. « Vous êtes des salauds, lâchez-moi et arrêtez ça tout de suite, je n’en peux plus, ce truc va me rendre folle ! » Nous attendîmes qu’elle se calme un peu. « Pffff ! mais c’est démoniaque ce vibro ! j’ai eu un orgasme violent et continu, ça me troublait l’esprit, c’était presque insupportable, comme une torture, et en plus vous me mainteniez de force ! Je crois bien que je serais tombée dans les pommes si ça avait continué ». Cette séquence extrêmement érotique nous fit dresser la queue à tous les deux. Mais Lison demanda qu’on la laisse se reposer un peu.. « Plus tard tu me feras encore sentir un peu de ton truc démoniaque, mais sans me tenir hein ? ».. Elle y avait goûté et en redemanderait !