- 14 déc. 2009, 22:28
#12741
Nous sommes un couple libertin du 67, ma femme 34 ans , brune, yeux marron, 1m66, 64 kg, des formes pas désagréable à regarder , moi 38 ans son cocu . Nous pratiquons le triolisme et l’échangisme, mais la découverte du candaulisme par ce site est plus récente et remonte à un peu plus de 18 mois. Je lui ai présenté un jeune homme de 21 ans, à la faveur d'un détour professionnel , nous avions prévu, d’aller ce soir là au cinéma assez tôt , Il était convenu qu’elle vienne me chercher sur mon lieux de travail .Il était tard, et je croyais tout le monde parti. Mais au moment où nous passions devant le bureau d’un de mes collègues, celui ci m’interpella, me reprochant de ne pas lui dire au revoir et surtout de ne pas lui présenter ma femme, à peine gênée je fis les présentations. J’avais parler de mon fantasme d’offrir ma femme à un autre homme, et aussi sans se soucier de ma présence, il raconta a ma femme mon envie de l’offrir a des inconnues, ma femme fut surprise que j’avais dévoiler nos fantasme a cette inconnue et devin rouge de honte, profitant de la surprise il l’attira contre lui et l’embrassa sur la bouche . Ma femme, surprise, tenta de le repousser gentiment.puis plus violament ,il me dit qu'il raconterais mon phantasme a tous nos collègue si je lui ordonnais pas de se laisser faire, en échange du silence de mon collègue je lui donnas l'ordre de s’offrire a mon collégue , Il l’attira de nouveau contre lui et glissant sa main entre ses cuisses troussa ma femme jusqu’à la ceinture.
Je me mis à bander en constatant que ma femme, n’avait pas de slip et commençait à apprécier la main de mon collègue qui écartant la foret de poils avait glissé deux doigts dans sa fente. Moi, j’avais sorti ma bite et me branlais doucement. Comme elle commençait à jouir, Dominique la souleva, la fit asseoir sur son bureau et je vis ma femme troussée, jusqu’à la ceinture, se faire investir par une bite de dimensions respectables.Je ne me touchais plus et pourtant j’étais sur le point de jouir.Ma femme s’était allongée carrément sur le bureau. Mon collègue pour mieux me faire profiter du spectacle, lui avait relevé les jambes. J’étais comme fasciné par cette belle queue qui sortait presque pour ensuite disparaître en elle complètement jusqu’aux couilles.Mais le spectacle fut de courte durée. Mon collègue lui envoya son foutre en disant : « tiens prends ça ma salope ».
Ma femme habituée à ce que je la baise dans le foutre d’un autre restait allongée sur le bureau, les cuisses ouvertes, la chatte offerte dont s’écoulait un peu de foutre
Au moment où je m’apprêtais à la pénétrer à mon tour, le bruit des femmes de ménage dans le couloir m’arrêta dans mon élan et lui fit reprendre une position décente. Ce n’est qu’à la maison, avec encore devant les yeux, l’image de ma femme allongée sur ce bureau que je pu vider mes couilles en elle.
Depuis cette date mon collègue. Est devenu son amant attitré. Il la baise environ deux fois par mois , chez nous dans notre lit ou et elle se rend chez lui, je suis donc cocu régulièrement et en tire un vrai plaisir, parfois à la limite de la douleur. J’aime particulièrement me secouer la nouille en son absence.
Ce matin elle m'a avoué s'être fait prendre vigoureusement par son amant fin juillet pendant que j'étais au travail. Elle aime de plus en plus le sexe et moi mon statut de petit cocu complaisant et prêteur.
Prochainement elle doit se faire baiser par un plombier (pote de son amant) en échange d'un déplacement de radiateur de chauffage dans l’appartement de mon collègue et amant de ma femme Je constate qu'elle écarte de plus en plus facilement les cuisses avec lui .
Je me mis à bander en constatant que ma femme, n’avait pas de slip et commençait à apprécier la main de mon collègue qui écartant la foret de poils avait glissé deux doigts dans sa fente. Moi, j’avais sorti ma bite et me branlais doucement. Comme elle commençait à jouir, Dominique la souleva, la fit asseoir sur son bureau et je vis ma femme troussée, jusqu’à la ceinture, se faire investir par une bite de dimensions respectables.Je ne me touchais plus et pourtant j’étais sur le point de jouir.Ma femme s’était allongée carrément sur le bureau. Mon collègue pour mieux me faire profiter du spectacle, lui avait relevé les jambes. J’étais comme fasciné par cette belle queue qui sortait presque pour ensuite disparaître en elle complètement jusqu’aux couilles.Mais le spectacle fut de courte durée. Mon collègue lui envoya son foutre en disant : « tiens prends ça ma salope ».
Ma femme habituée à ce que je la baise dans le foutre d’un autre restait allongée sur le bureau, les cuisses ouvertes, la chatte offerte dont s’écoulait un peu de foutre
Au moment où je m’apprêtais à la pénétrer à mon tour, le bruit des femmes de ménage dans le couloir m’arrêta dans mon élan et lui fit reprendre une position décente. Ce n’est qu’à la maison, avec encore devant les yeux, l’image de ma femme allongée sur ce bureau que je pu vider mes couilles en elle.
Depuis cette date mon collègue. Est devenu son amant attitré. Il la baise environ deux fois par mois , chez nous dans notre lit ou et elle se rend chez lui, je suis donc cocu régulièrement et en tire un vrai plaisir, parfois à la limite de la douleur. J’aime particulièrement me secouer la nouille en son absence.
Ce matin elle m'a avoué s'être fait prendre vigoureusement par son amant fin juillet pendant que j'étais au travail. Elle aime de plus en plus le sexe et moi mon statut de petit cocu complaisant et prêteur.
Prochainement elle doit se faire baiser par un plombier (pote de son amant) en échange d'un déplacement de radiateur de chauffage dans l’appartement de mon collègue et amant de ma femme Je constate qu'elle écarte de plus en plus facilement les cuisses avec lui .