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Nicole, ma meilleure amie, l'est devenue à la suite d'une soirée mémorable, il y a plus ou moins sept ans. Elle était la compagne d'Eric, un copain de mon mari. Un soir, nous avons commencé par souper. Elle était craquante: blonde, bouclée, la peau naturellement dorée. Elle portait un top à fines bretelles, rose pale sur un jeans et des baskets. Elle avait de petits seins dont les pointes étaient très "expressives" sous le fin coton.
Après le repas, nous sommes passés au bar. Eric était ce que j'appelle un bavard avec les mains… quand il s'adresse aux femmes. Je suppose qu'il avait remarqué pendant que je servais le repas, le léger balancement de deux seins qui avaient mon chemisier comme seul rempart.
Installés sur les tabourets dans la pénombre, nous avons commencé à parler. Eric a commencé à essayer de me déboutonner mon chemisier, en commençant par le bas, le haut étant déjà assez largement ouvert. J'ai repoussé une ou deux tentatives. Finalement je l'ai laissé faire. Quand le dessus du décolleté à rejoint le bas, je me suis dit qu'il valait autant l'enlever; c'est ce que j'ai fait. Curieusement, ça a plutôt calmé mon visiteur de me voir seulement en pantalon de toile. Mon homme à moi faisait le grand numéro de charme auprès de Nicole qui s'amusait au point je crois de remarquer à peine l'originalité de ma tenue.
Vers deux heures, j'ai entendu ce morceau d'anthologie de Joe Cocker. J'ai commencé à danser, sagement, à deux mètres de mon partenaire. Mon mari m'a regardé faire. Nos regards se sont croisés et j'ai pensé que si je voulais être cohérente, Kim Bassinger allait plus loin et je devais la suivre. Mon pantalon a glissé. Je me suis retrouvée en slip. Je me suis rapprochée entre eux et fait glisser discrètement le dernier morceau de tissu. J'ai reculé rapidement, nue. La musique diabolique était finie et remplacée par une série de slows. Eric avait l'air sidéré. J'ai invité Nicole a danser, simplement pour la tranquilliser et rendre fous mes deux spectateurs. Il m'a fallu peu de temps pour qu'elle laisse glisser ses bretelles et que son top soit autour de sa taille. Eric et mon mari étaient séparés par un tabouret. Nous sommes revenues. Je me suis mise du côté d'Eric, en me laissant partir en arrière sur le tabouret pour y poser les reins. Dans cette position arquée, je présentais mon ventre à Eric et ma bouche et mes seins à Pierre. Eric m'a pénétrée, Pierre a occupé ma bouche. Nicole était contre mon flanc droit, ce qui m'a permis de lui faire glisser son pantalon.
Pierre s'est retiré, l'a penchée en avant et l'a prise. Elle était sur moi, ventre contre ventre. Ma main gauche lui caressait les seins. A chaque coup de reins de Pierre, je sentait son corps bouger sur le mien. Impression extraordinaire. L'alcool ralentissant la montée chez nos deux mâles, nous avons eu droit à tout ce nous pouvions rêver, avant qu'ils ne se retirent.
Nicole a pris ma place, j'ai placé un second tabouret devant elle pour y poser le ventre et avoir le sien devant ma bouche. Pierre n'a pas hésité à lui mettre la verge en bouche, comme je l'avais eue auparavant. Eric m'a prise par derrière et chose surprenante pour une première rencontre, au plus étroit. J'ai fait à Nicole ce que j'aime qu'on me fasse: langue loin à l'intérieur, petits coups sur le clitoris. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle jouisse. Pierre m'a appelée, je savais ce qu'il voulait, je me suis un redressée, ce qui lui a permis de viser mon visage et mes seins, en arrosant ceux de Nicole ainsi que son ventre. Derrière moi, mon pilon avait commencé à s'occuper aussi de mon sexe. J'ai pu ainsi atteindre mon plaisir en sentant moins la douleur. Le moins que l'on puisse dire est qu'il a pris son temps.
Presque sur le matin, nous nous sommes quittés.
Le lendemain j’étais fière de moi.
J’ai reçu la douche froide aussitôt. Pierre m’a dit que ce genre de soirée est « une friandise pour récompenser la bête pendant son dressage ».
Il voulait offrir mon image pour le plaisir des yeux, mon corps pour le plaisir des sens de qui en voudrait…
« Commentaires :
Pascale a essayé dans les jours qui suivaient de montrer qu’elle était capable de me satisfaire, en oubliant que se soumettre, ce n’est pas faire ce qui n’est pas demandé….Il faisait beau, j’étais assis dans le jardin, en train de lire. Elle est arrivée en maillot bustier et une serviette autour de la taille, en paréo, tenue en main.
Elle s’est allongée sur le ventre, sur le lit de jardin et a défait l’attache dans le dos. Couchée à plat, rien à dire. Le voisin pouvait tondre sa pelouse sans risquer l’accident.
Ella a commencé à me parler en se mettant sur les coudes : ce n’était pas un hasard et elle savait très bien que ses seins commençaient à être visibles. Elle m’a fait remarquer qu’elle se trouvait peu habillée, avec juste une serviette posée sur les fesses. Je lui ai dit de se retourner ; ce serait plus confortable…
Elle s’est retournée d’un bloc, rejetant ainsi la serviette, complètement nue. J’en ai profité pour passer le dos de la main sur sa chatte : elle était trempée. Je n’ai pas hésité, j’ai enfoncé le majeur et l’index, le pouce sur son clitoris. Elle s’est littéralement écartelée pour faciliter ma tâche. Quand elle est arrivée au moment fatidique, elle m’a, hypocritement, demandé d’arrêter « pour ne pas crier ». Je lui ai répondu qu’elle l’avait cherché. Elle a pris un pied phénoménal…
Elle s’est levée et m’a demandé si on pouvait rentrer, elle ne s’est pas recouverte. Elle est partie vers le garage, elle m’a attendu en me demandant si une telle conduite ne méritait pas une punition. Elle s’est mise sur la pointe des pieds, sous la structure de la porte de garage, après m’avoir tendu une corde pendue au mur. Je l’ai attachée très tendue et j’ai commencé à la fesser. Les deux ou trois premiers coups sont timides, ensuite, on se grise. Après que j’ai vu ses fesses écarlates, le chanvre irritant la peau, en plus des coups, je l’ai retournée en disant : là aussi !
Ses nichons ont doublé de volume, ses mamelons étaient comme des fraises, j’ai alors entrepris de lui transformer la chatte en aubergine. Je crois qu’elle était prête pour continuer.
A être dressée vraiment…»

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