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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par jabac76
#756745
- L’idée est toujours mauvaise ?
- Très.
- Mais pourquoi ? A cause du voisin,
- Oh ! le voisin…
- Ben alors… le veilleur ?
- Le veilleur ?
- Le veilleur de nuit, pardi. Qui t’a passé la communication. Il n’a pas raccroché et a écouté notre … conversation.
- Comment sais-tu ça, toi ?
- Je m’en doutais. Maintenant, j’en suis sûr : tu n’as pas entendu, il y a quelques secondes, le petit clic ? Il a raccroché en m’entendant parler de lui.
- Je ne m’étais rendu compte de rien. Ca va être un peu gênant demain matin.
- Non, pourquoi ? La première chose que tu fais en descendant, c’est de te diriger vers lui. Tu le regardes droit dans les yeux, avec un léger sourire, et tu lui demandes une remise sur facture. Crois-moi, il sera plus gêné que toi, et te l’accordera. C’est qu’il a du se donner les mêmes satisfactions que moi, le bougre. Mais dans son cas, la morale réprouve. En attendant, je donne ma langue au chat (si j’ose dire) : qu’est-ce qui te chagrine, à la fin ?

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