- 11 mai 2010, 10:19
#38333
ce midi, ce n'était pas vraiment prévu. J'avais un rdv à l'extérieur. et je suis rentré vers midi trente. Le noeud au ventre, je passe à la maison. Personne. Je file à cet endroit dont je suis devenu accoutumier. un endroit dans la nature, non loin de l'eau, caché par les buissons.
Je passe devant, et sans surprise je tombe sur les 2 voitures garées le long de la voie. Celle de ma femme, et celle de son collègue et non moins amant. Je me stationne un peu plus loin, et en passant par un chemin détourné(ce n'est pas vraiment un chemin, plutot un passage parsemé de branches et végétation sauvage), j'enjambe le cours d'eau (faut pas se rater), j'arrive derrière des rochers, au delà desquels je sais être leur lieu de rdv habituel. Et cela ne rate pas. Ils sont là à papeauter et pique-niquer. Trop tard ? Que faire ? Je reste là quelques minutes (elles sont longues les minutes). Et...
... à mon grand etonnement, apparait par ma gauche un grand jeune homme torse nu, un t-shirt vert à la main. aïe, gros pépin. Sa seule issue passe par l'endroit où je suis. Je me vois obliger de quitter ma position de guet, et de repartir bredouille vers mon auto.
Je me déplace et me stationne un peu plus à l'écart, et je retourne sur les lieux. Le gars en vert semble être toujours dans les parages, une fourgonnette en atteste. Mais je ne le vois pas.
Le couple s'est déplacé et s'est enfoncé dans les buissons. Ils sont face à face, très proches l'un de l'autre. Mais leurs intentions semblent se préciser.
Quelques minutes insoutenables à me demander quelle attitude adopter. Puis, décision prise, ni une ni deux, je fais le grand tour pour arriver par devant. Entre temps, ...... le couple n'a pas perdu de temps. je la retrouve couchée sur le dos, nue à l'exception de sa jupe relevée. Lui étant au dessus d'elle, ils ne m'entendent pas approcher. je les regarde quelques instants (des secondes... des minutes ?). Je l'ai vue lui retirer son string, puis faire sauter sa boucle de ceinture. enlevé son pantalon caleçon chaussettes (dur, le passage du pied), puis venir se placer entre ses jambes. Je suis à 4 mètres d'eux, tout au plus, debout. Ils ne m'entendent pas. Scène surréaliste.
Je m'approche d'un pas décidé, je m'accroupi. lol, ils ne m'ont toujours pas entendu !!! il a fallu ma caresse sur sa jambe pour qu'enfin ils s'aperçoivent de ma présence. Difficile de rester maître de ses pensées dans ses instants. Seules celles programmées avant sont à l'esprit. De nature très calme, je propose de participer à leurs ébats. lui, décontenancé, que dire, tétanisé, s'est retirer sur le côté, et ne bouge plus, le visage blème. Elle reprend ses esprits, me demande de partir posément. On est dans l'irréalisme total. J'objecte, mais ne trouve pas les arguments. Je n'ai aucune hostilité, l'ayant évacuer en amont. Après reflexion, j'aurai du opter pour l'option violence. Parce que pour foirer, autant que cela soit dans les formes.
Tant pis pour le fantasme inassouvi. Et bonjour les dégâts collatéraux.
5 mn après mon retour à l'auto, j'ai croisé le jeune homme au t-shirt vert regagnant sa fourgonnette. Qu'à t-il vu de tout cela ? Il devait être bien caché.[
Je passe devant, et sans surprise je tombe sur les 2 voitures garées le long de la voie. Celle de ma femme, et celle de son collègue et non moins amant. Je me stationne un peu plus loin, et en passant par un chemin détourné(ce n'est pas vraiment un chemin, plutot un passage parsemé de branches et végétation sauvage), j'enjambe le cours d'eau (faut pas se rater), j'arrive derrière des rochers, au delà desquels je sais être leur lieu de rdv habituel. Et cela ne rate pas. Ils sont là à papeauter et pique-niquer. Trop tard ? Que faire ? Je reste là quelques minutes (elles sont longues les minutes). Et...
... à mon grand etonnement, apparait par ma gauche un grand jeune homme torse nu, un t-shirt vert à la main. aïe, gros pépin. Sa seule issue passe par l'endroit où je suis. Je me vois obliger de quitter ma position de guet, et de repartir bredouille vers mon auto.
Je me déplace et me stationne un peu plus à l'écart, et je retourne sur les lieux. Le gars en vert semble être toujours dans les parages, une fourgonnette en atteste. Mais je ne le vois pas.
Le couple s'est déplacé et s'est enfoncé dans les buissons. Ils sont face à face, très proches l'un de l'autre. Mais leurs intentions semblent se préciser.
Quelques minutes insoutenables à me demander quelle attitude adopter. Puis, décision prise, ni une ni deux, je fais le grand tour pour arriver par devant. Entre temps, ...... le couple n'a pas perdu de temps. je la retrouve couchée sur le dos, nue à l'exception de sa jupe relevée. Lui étant au dessus d'elle, ils ne m'entendent pas approcher. je les regarde quelques instants (des secondes... des minutes ?). Je l'ai vue lui retirer son string, puis faire sauter sa boucle de ceinture. enlevé son pantalon caleçon chaussettes (dur, le passage du pied), puis venir se placer entre ses jambes. Je suis à 4 mètres d'eux, tout au plus, debout. Ils ne m'entendent pas. Scène surréaliste.
Je m'approche d'un pas décidé, je m'accroupi. lol, ils ne m'ont toujours pas entendu !!! il a fallu ma caresse sur sa jambe pour qu'enfin ils s'aperçoivent de ma présence. Difficile de rester maître de ses pensées dans ses instants. Seules celles programmées avant sont à l'esprit. De nature très calme, je propose de participer à leurs ébats. lui, décontenancé, que dire, tétanisé, s'est retirer sur le côté, et ne bouge plus, le visage blème. Elle reprend ses esprits, me demande de partir posément. On est dans l'irréalisme total. J'objecte, mais ne trouve pas les arguments. Je n'ai aucune hostilité, l'ayant évacuer en amont. Après reflexion, j'aurai du opter pour l'option violence. Parce que pour foirer, autant que cela soit dans les formes.
Tant pis pour le fantasme inassouvi. Et bonjour les dégâts collatéraux.
5 mn après mon retour à l'auto, j'ai croisé le jeune homme au t-shirt vert regagnant sa fourgonnette. Qu'à t-il vu de tout cela ? Il devait être bien caché.[
Carpe Diem