- 26 juin 2010, 18:47
#52375
Nous sommes un couple de la cinquantaine. Dernierement nous avons eu une expérience inattendue et très perverse de cuckold avec un homme de 15 ans plus agé que nous.
Au départ nous cherchions sur ce site des hommes beaucoup plus jeunes, tant pour le plaisir de ma femme, que pour le mien – quoi de plus humiliant que de voir sa femme jouir avec un homme qui a quelque chose que je ne peux offrir, la jeunesse, un sexe rigide, l'endurance? -
Comme d'habitude, ma femme m'a laissé carte blanche : elle trouve cent fois plus excitant de découvrir au dernier moment son amant.
Pour de multiples raisons – concours de circonstances, eloignement géographique, pas d'affinités, fantasmeurs, etc... -, je ne suis pas arrivé à trouver un amant correspondant à notre recherche. Par contre, un peu par hasard, j'ai rencontré un homme de 65 ans sur la meme longueur d'onde que nous. Sportif, viril, il ne faisait pas son age.
Il nous a invité vers 18h à l'apéritif dans sa villa.
Nous ne nous étions pas mis d'accord sur un scénario précis, mais par tél. ou internet il m'avait posé avant le rendez vous des questions sans cesse plus perverses et précises pour que je lui livre avec un grand luxe de détails notre vie sexuelle, nos expériences, nos fantasmes. Il a fini par tout savoir, la durée moyenne de nos rapports, les sex toys que nous utilisions le plus, les amants que ma femme avait préféré, la taille de ma verge... Cet interrogatoire poussé que je racontais à ma femme nous excitait terriblement et plusieurs fois ma femme m'a fait l'amour en imaginant que c'était sa verge qui la pénétrait.
Le jour J, nous étions comme d'habitude un peu nerveux en nous garant dans sa villa. Il nous a conduit vers le sous-sol aménagé en appartement d'amis. Ma femme et lui se sont assis sur un canapé, moi dans un fauteuil en face. Nous avons pris l'apéritif, discutant de choses et d'autres. Tout en parlant, il lui effleurait la cuisse comme par inadvertance, l'enlacait furtivement... Je faisais semblant de ne rien voir... Et puis petit a petit il s'est rapproché d'elle, ses caresses sont devenues plus ostensibles, tout en me regardant et en continuant à discuter comme si de rien n'était. Je me suis mis à baisser la tête pour éviter de voir; il a commencé à monopoliser la conversation. Et puis au fur et à mesure que l'apértif se prolongeait, ses caresses plus fréquentes, plus lourdes, plus intimes, j'ai fini par avoir le regard presque constemment baissé.
Et brutalement, cela a basculé : Il bavardait sur des thèmes sans intérèt – les travaux de sa villa je crois -, avec moi qui ne pipait mot regardant la moquette. Et soudain il a saute du coq à l'ane :
- Vous m'avez dit que vous étiez peu excité par votre femme... - Sa voix était devenue rauque – Et que vous aviez du mal à la satisfaire sexuellement. C'est bien exact?
J'ai levé les yeux. Sa main disparaissait sous la jupe de ma femme. Cuisses ecartées, cou tendu, rigide sur son siege, elle respirait les narines frémissantes. J'ai compris qu'il la masturbait.
- Vous savez très bien qu'en ce moment j'ai deux doigts dans l'organe génital de votre femme... Et vous ne dites rien... En fait vous êtes une lopette... Votre femme doit être prise par d'autres...
J'ai du bafouiller quelque chose d'incompréhensible. Je bandais. De plus en plus.
- Vous savez que je vais très loin, là? Elle se dilate, elle mouille... Vous avez honte... Et ce n'est rien à côte du moment ou je vais la posséder... Ou je vais remplir son sexe avec mon membre... Et ou elle va crier de plaisir...
Elle se trémoussait en gémissant, ses seins oscillant en rythme sous son corsage.
- Votre femme aime les hommes bien membrés, vous savez. Et je suis bien membré...
Vous devinez la suite... Il a bien baisé ma femme et m'a soumis avec beaucoup de vice.
Moralité : Nous cherchions plutôt un jeune mais cet homme mûr , tres expèrimenté manifestement, endurant et bien membré nous a fait vivre des moments d'une rare perversité : l'age lui donnait beaucoup d'assurance et d'autorité, et il nous a sans doute mieux pris en main que quelqu'un de plus jeune.
Amitiés à tous.
Au départ nous cherchions sur ce site des hommes beaucoup plus jeunes, tant pour le plaisir de ma femme, que pour le mien – quoi de plus humiliant que de voir sa femme jouir avec un homme qui a quelque chose que je ne peux offrir, la jeunesse, un sexe rigide, l'endurance? -
Comme d'habitude, ma femme m'a laissé carte blanche : elle trouve cent fois plus excitant de découvrir au dernier moment son amant.
Pour de multiples raisons – concours de circonstances, eloignement géographique, pas d'affinités, fantasmeurs, etc... -, je ne suis pas arrivé à trouver un amant correspondant à notre recherche. Par contre, un peu par hasard, j'ai rencontré un homme de 65 ans sur la meme longueur d'onde que nous. Sportif, viril, il ne faisait pas son age.
Il nous a invité vers 18h à l'apéritif dans sa villa.
Nous ne nous étions pas mis d'accord sur un scénario précis, mais par tél. ou internet il m'avait posé avant le rendez vous des questions sans cesse plus perverses et précises pour que je lui livre avec un grand luxe de détails notre vie sexuelle, nos expériences, nos fantasmes. Il a fini par tout savoir, la durée moyenne de nos rapports, les sex toys que nous utilisions le plus, les amants que ma femme avait préféré, la taille de ma verge... Cet interrogatoire poussé que je racontais à ma femme nous excitait terriblement et plusieurs fois ma femme m'a fait l'amour en imaginant que c'était sa verge qui la pénétrait.
Le jour J, nous étions comme d'habitude un peu nerveux en nous garant dans sa villa. Il nous a conduit vers le sous-sol aménagé en appartement d'amis. Ma femme et lui se sont assis sur un canapé, moi dans un fauteuil en face. Nous avons pris l'apéritif, discutant de choses et d'autres. Tout en parlant, il lui effleurait la cuisse comme par inadvertance, l'enlacait furtivement... Je faisais semblant de ne rien voir... Et puis petit a petit il s'est rapproché d'elle, ses caresses sont devenues plus ostensibles, tout en me regardant et en continuant à discuter comme si de rien n'était. Je me suis mis à baisser la tête pour éviter de voir; il a commencé à monopoliser la conversation. Et puis au fur et à mesure que l'apértif se prolongeait, ses caresses plus fréquentes, plus lourdes, plus intimes, j'ai fini par avoir le regard presque constemment baissé.
Et brutalement, cela a basculé : Il bavardait sur des thèmes sans intérèt – les travaux de sa villa je crois -, avec moi qui ne pipait mot regardant la moquette. Et soudain il a saute du coq à l'ane :
- Vous m'avez dit que vous étiez peu excité par votre femme... - Sa voix était devenue rauque – Et que vous aviez du mal à la satisfaire sexuellement. C'est bien exact?
J'ai levé les yeux. Sa main disparaissait sous la jupe de ma femme. Cuisses ecartées, cou tendu, rigide sur son siege, elle respirait les narines frémissantes. J'ai compris qu'il la masturbait.
- Vous savez très bien qu'en ce moment j'ai deux doigts dans l'organe génital de votre femme... Et vous ne dites rien... En fait vous êtes une lopette... Votre femme doit être prise par d'autres...
J'ai du bafouiller quelque chose d'incompréhensible. Je bandais. De plus en plus.
- Vous savez que je vais très loin, là? Elle se dilate, elle mouille... Vous avez honte... Et ce n'est rien à côte du moment ou je vais la posséder... Ou je vais remplir son sexe avec mon membre... Et ou elle va crier de plaisir...
Elle se trémoussait en gémissant, ses seins oscillant en rythme sous son corsage.
- Votre femme aime les hommes bien membrés, vous savez. Et je suis bien membré...
Vous devinez la suite... Il a bien baisé ma femme et m'a soumis avec beaucoup de vice.
Moralité : Nous cherchions plutôt un jeune mais cet homme mûr , tres expèrimenté manifestement, endurant et bien membré nous a fait vivre des moments d'une rare perversité : l'age lui donnait beaucoup d'assurance et d'autorité, et il nous a sans doute mieux pris en main que quelqu'un de plus jeune.
Amitiés à tous.