- 08 juil. 2010, 17:09
#56204
Bon, ben voilà, c'est fait deux d'un coup !
Hier nous sommes allés marcher avec ma femme (C.)dans les chemins environnants. Temps superbe, bonnes chaussures mais tenue légère.
On se promène souvent et je l'émoustille en la carressant ou en lui proposant des coquineries.
Hier donc, après un bon quart d'heure de marche, alors que nous passions près d'un champ, un camion de la commune est arrivé en face sur le chemin, il avancait lentement à cause des ornières et on s'est mis sur le coté moi du coté conducteur et C. de l'autre coté. Arrivé à notre hauteur le chauffeur s'est arrêté et on a discuté du coin, du chemin etc... de l'autre coté, C. papotait avec le plus jeune. Je l'ai entendu lui dire "et vous vous promenez souvent comme ça ? Toujours avec votre mari ?"
Je ne sais pas ce qu'elle a répondu, j'ai terminé avec le chauffeur, et j'ai fais le tour. Ils discutaient :
- C'est vrai qu'il fait chaud, ça fait du bien et puis je bronze !
- Habillée comme ça, vous ne devez pas bronzer beaucoup
- Quand on est seuls j'ouvre mon chemisier, ou j'enlève mon teeshirt
)
- Hum j'aimerai passer à ce moment !
Et là, j'ai sauté sur l'occasion
- Ben là, C. tu n'as pas assez chaud ?
- Euh... un peu mais..
- Si ça te fais plaisir soit sympa, ouvre un peu ton chemisier
Elle a ouvert deux boutons, puis trois, à part les tétons, ses seins étaient presque entièrement visibles, le gars ne s'est pas démonté, il est descendu et la peloté direct.
Elle m'a regardé, j'ai souris, "ben au moins il est direct"
- Des seins pareils, faut en profiter !
- Allez-y, elle est d'accord
Il lui a léché les seins comme un goinfre en les malaxant, la poussé contre le marche pied du camion et a commencé à relever sa jupe.
Le chauffeur est arrivé,
- Ben, alors on s'amuse ici !
J'avais le sexe en érection, je me suis écarté pour le laisser approcher.
Trente secondes plus tard, C. était penchée sur leurs bites, et les sucaient chacun leur tour, les fesses et le seins à l'air. N'ayant pas de capotes, je leur ai dit qu'elle n'irait pas plus loin
- Et toi, tu peux la baiser en même temps ,non ?
- Et me voila en train de la fourrer, par derrière, ma bite qui disparait entre ses fesses, une excitation incroyable. Le plus jeune s'est retiré de sa bouche pour éjaculer, il lui a envoyé des longs jets de sperme sur la figure et dans les cheveux, il a du voir ça dans un film car il ne sait pas ce qu'il rate, le plus ancien lui a envoyé tout son foutre en pleine bouche, la laissant pomper et aspirer jusqu'à la dernière goutte. Je me suis vidé dans son sexe, elle ruisselait de sueur et ses fesses se dandinaient devant mon sexe. Les deux gars l'ont peloté encore un peu, lui léchant les seins et présentant leur bite un peu dégonflée devant sa bouche. C. les a pompé encore un peu, mais ils n'ont pas réussi à redémarrer !
Heureux mais un peu gênés, ils sont remontés dans leur camion et ont filés comme des voleurs.
On s'est allongé dans le champ pendant un bon quart d'herue avant que C. ne recouvre ses esprits, je lui ai essuyé le sperme qu'elle avait un peu partout. Elle m'a remercié, mais on s'est dit qu'on ne passerai plus par ce chemin ! C'était exceptionnel et elle ne voulait pas qu'on organise un truc pareil.
Dommage !
En cadeau, une petite photo (pas d'hier, on n'était pas équipé) mais jsute de C. et de moi
Hier nous sommes allés marcher avec ma femme (C.)dans les chemins environnants. Temps superbe, bonnes chaussures mais tenue légère.
On se promène souvent et je l'émoustille en la carressant ou en lui proposant des coquineries.
Hier donc, après un bon quart d'heure de marche, alors que nous passions près d'un champ, un camion de la commune est arrivé en face sur le chemin, il avancait lentement à cause des ornières et on s'est mis sur le coté moi du coté conducteur et C. de l'autre coté. Arrivé à notre hauteur le chauffeur s'est arrêté et on a discuté du coin, du chemin etc... de l'autre coté, C. papotait avec le plus jeune. Je l'ai entendu lui dire "et vous vous promenez souvent comme ça ? Toujours avec votre mari ?"
Je ne sais pas ce qu'elle a répondu, j'ai terminé avec le chauffeur, et j'ai fais le tour. Ils discutaient :
- C'est vrai qu'il fait chaud, ça fait du bien et puis je bronze !
- Habillée comme ça, vous ne devez pas bronzer beaucoup
- Quand on est seuls j'ouvre mon chemisier, ou j'enlève mon teeshirt

- Hum j'aimerai passer à ce moment !
Et là, j'ai sauté sur l'occasion
- Ben là, C. tu n'as pas assez chaud ?
- Euh... un peu mais..
- Si ça te fais plaisir soit sympa, ouvre un peu ton chemisier
Elle a ouvert deux boutons, puis trois, à part les tétons, ses seins étaient presque entièrement visibles, le gars ne s'est pas démonté, il est descendu et la peloté direct.
Elle m'a regardé, j'ai souris, "ben au moins il est direct"
- Des seins pareils, faut en profiter !
- Allez-y, elle est d'accord

Il lui a léché les seins comme un goinfre en les malaxant, la poussé contre le marche pied du camion et a commencé à relever sa jupe.
Le chauffeur est arrivé,
- Ben, alors on s'amuse ici !
J'avais le sexe en érection, je me suis écarté pour le laisser approcher.
Trente secondes plus tard, C. était penchée sur leurs bites, et les sucaient chacun leur tour, les fesses et le seins à l'air. N'ayant pas de capotes, je leur ai dit qu'elle n'irait pas plus loin
- Et toi, tu peux la baiser en même temps ,non ?
- Et me voila en train de la fourrer, par derrière, ma bite qui disparait entre ses fesses, une excitation incroyable. Le plus jeune s'est retiré de sa bouche pour éjaculer, il lui a envoyé des longs jets de sperme sur la figure et dans les cheveux, il a du voir ça dans un film car il ne sait pas ce qu'il rate, le plus ancien lui a envoyé tout son foutre en pleine bouche, la laissant pomper et aspirer jusqu'à la dernière goutte. Je me suis vidé dans son sexe, elle ruisselait de sueur et ses fesses se dandinaient devant mon sexe. Les deux gars l'ont peloté encore un peu, lui léchant les seins et présentant leur bite un peu dégonflée devant sa bouche. C. les a pompé encore un peu, mais ils n'ont pas réussi à redémarrer !
Heureux mais un peu gênés, ils sont remontés dans leur camion et ont filés comme des voleurs.
On s'est allongé dans le champ pendant un bon quart d'herue avant que C. ne recouvre ses esprits, je lui ai essuyé le sperme qu'elle avait un peu partout. Elle m'a remercié, mais on s'est dit qu'on ne passerai plus par ce chemin ! C'était exceptionnel et elle ne voulait pas qu'on organise un truc pareil.
Dommage !
En cadeau, une petite photo (pas d'hier, on n'était pas équipé) mais jsute de C. et de moi