Bonjour à toutes et tous,
Je reprends mon clavier, et je profite d'un peu de temps libre, car comme dans le récit que je vais vous détailler je suis loin de chez moi depuis 2 mois, une nouvelle fois, je laisse derrière moi, femme et enfants. Ce qui a aussi conduit et construit mon penchant pour le candaulisme, c'est cette absence répétée, je ne peux m’empêcher de profiter des bonnes choses de la vie, famille, amis, bouffe, sexe... Alors, mon caractère et mes envies se sont forgés de tels façons a pouvoir profiter de tout à chaque instant.. Pour le sexe, c'est facile, on a des envies, des fantasmes, il faut les assouvir... Si j'avais été tout le temps à la maison, aurai je eu envie de savoir ma femme dans les bras d'un autre, aurai je tant développer ce sentiment de partage ?? Je ne sais pas...
Guillaume, le beau gosse du collège.Le récit de G. et de Déborah qui va suivre ne sera malheureusement pas aussi bien détaillé que les derniers, ce souvenir remonte a 11 ans, les détails s'effacent, mais ce sentiment de bien être, d'avoir partager la femme qu'on aime, résonne encore en moi.
Il est donc 17H, Guillaume sonne. Son appartement est situé au centre ville, une petite résidence de 3 étages, elle se situe au 2eme étage.
Il s'installe sur le clic clac acheté durant les études de ma belle, vous savez, celui qu'on achète, qui grince, qui n'est pas confortable... Mais qui peut servir quand même de support de "baise".
Celui ci en avait vu défilé quelques un, quasiment tous ses copains de l'époque. Ce n'était pas encore un démon à l'époque, les pratiques, et figures du kamasutra n'étaient peu ou pas maîtrisés, ce clic clac faisait figure d'un "novice" par rapport aux futurs canapés ...
Ils s'installent cote a cote, café à la main. Un peu trop chaud pour le boire. Ils posent délicatement le breuvage su la table basse, et se jette littéralement l'un sur l'autre. S'en suive de longs baisers fougueux. Déborah, avait un jean et un petit bustier. Rapidement, Guillaume déboutonna les premiers boutons du Jean, et passa sa main entre ses jambes.
Je ne sais pas vous, mais moi quand une femme écarte volontairement ses jambes au contact d'une main baladeuse, pour moi cela veut tout simplement dire : "vas y prends moi, je t'offre mon corps et mon intimité". J'ai ce sentiment de puissance, elle est à moi...
Guillaume, enfonça ses deux doigts, dans ce trou déjà bien humide d'excitation. Qu'était elle en train de faire? Elle passe un cap, elle m'aime mais se laisse fouiller par Guillaume. Tout un tas de questions se sont bousculés dans sa tète... mais plus il fouillait, plus il l'embrassait à pleines bouches, et plus elle se laissait aller aux assauts sexuels de son premier amant.
Il ne tarda pas à se plonger entre ses cuisses, largement ouverte, laissant place à son abricot provoquant, des lèvres délicieusement dessinée, un rasage parfait, suintant de mouille. Il s’exécuta, sa langue balayait l’intérieur de son vagin. Il ne mis pas les doigts au grand désespoir de ma belle. Il fouille ainsi l'antre de Déborah, elle prend du plaisir, elle gémit et ça encourage G.
De longues minutes s’écoulent (autant que la mouille abondante de Deborah

), il se redresse, le sexe dure, se dressant au dessus d'elle. Elle se jeta alors sur son nouveau sex-toys, deux mois sans sexe à 23 ans ce n'est pas viable... Elle le pris en bouche, et à joué avec pendant de longues minutes.
Il enfila un préservatif, et pénétra Déborah, le plus simplement et le plus naïvement du monde, une seule position : le missionaire. Les deux amants, sont jeunes et ne maîtrisent pas cette situation "d’adultère", ils sont timides, mais terriblement bien (en tous cas pour elle).
A ce moment là, je suis en mission sur le terrain en Afrique, je n'arrive plus à me concentrer sur les routes défoncées, mon blindé vacille de gauche à droite, mes pensées sont avec Déborah. Qu'est qu'il lui fait? Est elle en train de tomber amoureuse ? Va t'elle me tout me raconter ? A t'elle joui ? En as t'il une plus grosse que moi ?
Leurs ébats n'ont pas duré très longtemps, je dirai que ce fut une simple baise, rien de bien hard, rien de bien jouissif en soit. Mais ce fut le premier rendez vous, les premières remises en question de sa part et de la mienne. Est t on fait pour être ensemble ? Suis je vraiment candauliste ?
Il se retire, le préservatif rempli, ils se rhabillent , et discute un petit moment avant de partir.
Je rentre de mission quelques heures plus tard, et je m'empresse de lui téléphoner. Je sens à sa voix qu'elle est heureuse. Un vrai soulagement, ses mots sont apaisés, une sérénité se dégage de ses paroles.. Je la bombarde de questions, peut être trop, je ne suis pas encore habitué.
Je veux qu'elle me raconte tout: les positions, la taille de son sexe, est ce qu'il a eu le droit à la sodomie, combien de temps pour le cuni, la fellation? Est ce qu'il lèche mieux que moi, est ce qu'il baise mieux que moi , et encore un nombre incalculable de questions. A l’époque je ne savais pas que ma façon de la questionner était peut être trop oppressante.
Elle est resté calme, et a répondu à toutes mes questions. La conversation a duré des heures. Mon excitation était à son paroxysme, ce débriefing m'a rassuré et excité. Je sais que certains candaulistes ressentent de l'excitation avant, pendant et apres, mois c'est différent. C'est un mélange entre excitation et souffrance, en tous cas pour les premiers rendez vous.
Vous voulez certainement savoir, si Déborah a joui, honnêtement je ne me souviens plus, et elle non plus. J'en suis désolé !! Il est vrai que pour tout libertin qui se respecte, la jouissance et le bien être féminin est une priorité, mais ce souvenir s'est volatilisé avec bien d'autres malheureusement.
Veut elle continuer ? Je ne sais pas encore sur le moment, une chose est sure c'est qu'elle a apprécié de se faire baiser, et de pouvoir aimer quelqu'un d'autre en même temps. A cet instant, je lui ai ouvert les portes de la liberté. Ses ex petits amis, étaient plus traditionnels, voire même jaloux et possessifs. Avec moi, elle pouvait jouer de son charme, et avec son cul.
Vous vous doutez bien , qu'a mon retour, nous avons énormément reparlé de sexe, et de cette situation. Voullait elle continuer ? La réponse est oui ...
C'est alors que j'ai entrepris des recherches sur le net, j’étais inscrit sur un bon nombre de sites, et je ne cherchais plus que ça. C’était devenu ma priorité. Je lui ai fait découvrir mon terrain de jeu, celui dans lequel je me sentais le mieux... Je la harcelais de questions chaque jour, pour savoir ce qu'elle voulait, je lui montrait un tas de mecs, j'en venais même à choisir n'importe qui. Elle a fini par me lâcher un fantasmes du moment : Baiser avec un total inconnu, sans le voir, les yeux bandés... Quelques jours m'ont suffit pour choisir Alexandre, c’était en octobre 2006 ...
Je vous poste 2 photos qu'elle a fait quelques jours avant le rendez vous avec Guillaume, par un de ses amis photographes, en guise de cadeaux de St Valentin... Il y a peut être une vingtaine de photos, j'en garderai certaines pour avoir l'exclusivité

Candauliment,
Victor
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