- 16 févr. 2011, 18:28
#236429
Mes désirs de relations "nature" se précisent. Un amant, récemment rencontré, semble appelé à me satisfaire en ce sens. S'il est amoureux de sa femme, il ne cache pas ces sentiments pour moi. Et je ne cache pas les miens pour lui : cela n'en est que meilleur, je suis ce que l'on appelle une femme polyamoureuse...
Hier, après avoir pris un verre ensemble en ville, j'ai eu envie de l'emmener chez moi. Je ne sais ce qui me motive en pareil cas : l'envie de faire entrer un homme un peu plus dans mon univers... le désir d'une complicité plus grande, moins anonyme que les chambres d'hôtel habituelles. Il se trouve que mon mari était à la maison. J'ai des amants depuis une dizaine d'années. Hormis de petits dérapages au début de mon libertinage, je peux dire que je l'ai "cocufié" sans répit, mais que jamais je ne l'ai trompé. Sa dépendance amoureuse envers moi, associé à la liberté franche avec laquelle je vis mes escapades, n'ont fait qu'étendre sa tolérance à mes échappées sensuelles.
Il est cependant étrange de constater comment l'apparition des sentiments que j'éprouve pour un homme peut me délivrer de toute gêne - et même de morale - envers celui avec qui je vis... tandis que, plus jeune et moins aguerrie à l'exercice de la liberté, ces sentiments m'enfermaient au contraire dans la culpabilité.
Toujours est-il que mon amant et moi arrivons à la maison main dans la main. Après des présentations volontairement rapides avec mon mari, nous montons dans la chambre et nous jetons l'un sur l'autre comme des adolescents. Sans gêne ni retenue. Dans le clignotements de la jouissance, le fait de savoir mon mari dans la maison agit comme un aphrodisiaque supplémentaire : tantôt je l'oublis, tantôt je m'en délecte. Deux fois, mon bel amant vide son sperme en moi. Moi qui souffre de ne pouvoir faire l'amour que protégée, c'est comme une délivrance. Les jets semblent venir jusque sous mon cerveau. Et c'est comme si, suivant le mouvement du fluide, je devenais liquide à mon tour, comme fondue dans le métal précieux de son sperme...
Il y a bien, ici, une femme, un homme, qui me comprendront...
Hier, après avoir pris un verre ensemble en ville, j'ai eu envie de l'emmener chez moi. Je ne sais ce qui me motive en pareil cas : l'envie de faire entrer un homme un peu plus dans mon univers... le désir d'une complicité plus grande, moins anonyme que les chambres d'hôtel habituelles. Il se trouve que mon mari était à la maison. J'ai des amants depuis une dizaine d'années. Hormis de petits dérapages au début de mon libertinage, je peux dire que je l'ai "cocufié" sans répit, mais que jamais je ne l'ai trompé. Sa dépendance amoureuse envers moi, associé à la liberté franche avec laquelle je vis mes escapades, n'ont fait qu'étendre sa tolérance à mes échappées sensuelles.
Il est cependant étrange de constater comment l'apparition des sentiments que j'éprouve pour un homme peut me délivrer de toute gêne - et même de morale - envers celui avec qui je vis... tandis que, plus jeune et moins aguerrie à l'exercice de la liberté, ces sentiments m'enfermaient au contraire dans la culpabilité.
Toujours est-il que mon amant et moi arrivons à la maison main dans la main. Après des présentations volontairement rapides avec mon mari, nous montons dans la chambre et nous jetons l'un sur l'autre comme des adolescents. Sans gêne ni retenue. Dans le clignotements de la jouissance, le fait de savoir mon mari dans la maison agit comme un aphrodisiaque supplémentaire : tantôt je l'oublis, tantôt je m'en délecte. Deux fois, mon bel amant vide son sperme en moi. Moi qui souffre de ne pouvoir faire l'amour que protégée, c'est comme une délivrance. Les jets semblent venir jusque sous mon cerveau. Et c'est comme si, suivant le mouvement du fluide, je devenais liquide à mon tour, comme fondue dans le métal précieux de son sperme...
Il y a bien, ici, une femme, un homme, qui me comprendront...
Modifié en dernier par cassandra le 17 févr. 2011, 08:38, modifié 8 fois.