- 18 mars 2012, 15:17
#1033877
Coucou,
Voici le récit de notre seconde rencontre de vendredi avec Eric (Jackattaque). Pour ceux qui n'auraient pas suivi, la première est racontée dans les moindres détails un peu plus haut ( en suivant ce lien: presentation-de-madame-fantasmes-t35732-260.html#p1018244 ). Je ne vais pas vous raconter toute la rencontre en détail, aujourd'hui, je vais vous raconter uniquement le début, que j'ai trouvé particulièrement sensuel et excitant.
Nous n'avons qu'un seul regret à propos de ce vendredi, c'est que ce ne soit plus la première fois. Oui, la première fois génère une foule de sentiments tellement forts qu'on donnerait tout l'or du monde pour pouvoir la revivre. Mais la seconde a ses avantages aussi. On connaissait l'homme; il n'y avait donc pas cette petite inquiétude, qu'on essayait d'enfuir, de ne pas se plaire. Pour parler personnellement, je me sentais aussi mieux préparé. Comme la première rencontre avait été plus loin que prévu, certains détails qui peuvent paraitre anodins m'avaient marqués, pas vraiment choqués, mais ils n'étaient pas passés inaperçus. Par exemple, lorsque j'ai vu leurs langues se mélanger, j'ai eu un petit pincement, je n'avais pas voulu les arrêter. Ou bien lorsqu'Eric a demandé pour pouvoir jouir sur le corps de Manon, je ne me sentais pas prêt à le voir. Eux en avaient envie tous les deux, ils ont acceptés de ne pas le faire, ce qui nous conforte tous les trois dans le fait que notre relation est vraiment basée sur le respect et la confiance. Pour cette seconde rencontre, j'avais envie de voir Manon l'embrasser, j'avais envie de voir Eric signer le corps de Manon de sa semence.
Nous ne nous souvenions pas du chemin pour rejoindre le studio, on avait donc prévu avec Eric de se retrouver à 19h45 à notre point de rencontre de la première fois : sur le parking d'une petite gare. Nous avions élaboré un petit scénario à l'avance. Manon porterait un manteau lui arrivant à mi-cuisse, en dessous duquel elle porterait des dessous sexy, mais rien d'autre. J'avais envie que ce soit une surprise pour Eric, mais Manon avait peur que ça ne lui plaise pas, qu'elle ait l'air trop salope. J'étais persuadé du contraire, mais sous son insistance on lui avait donc expliqué à l'avance. Il n'y a que l'esprit d'une femme pour imaginer que ça puisse ne pas plaire, bien entendu qu'il était ravi de cette idée. On voulait aussi que sur le parking de cette gare, nous sortions tous les trois de la voiture et que Manon nous embrasse à tour de rôle. Eric était plus réticent à cette idée parce que la gare n'est pas très éloignée de chez lui et il ne voulait pas qu'on le reconnaisse. Il devait faire noir à cette heure, mais on se garde donc cette partie du scénario sous réserve des conditions du moment.
--
Ce vendredi est une journée de congé pour nous deux. Question productivité pour le travail de la maison, c'est zéro pointé, nous n'avons qu'une seule chose en tête, qu'il soit 19h, qu'on démarre la voiture pour rejoindre Eric. En début d'après-midi, avant le retour des enfants, Manon prend un long bain pour se préparer intimement, son téléphone à côté d'elle, elle envoie un SMS à Eric en lui expliquant qu'elle est dans son bain en train de se caresser le clito en pensant à lui.
Manon a vraiment envie d'être dans un état d'excitation avancé lors de notre rencontre, et après son bain on met ses boules de geisha en place. Un petit moment câlin pendant lequel j'en profite pour l'exciter encore ... mais pas pour la faire jouir.
Le temps avance à la vitesse d'un escargot. Les enfants vont rentrer, Manon devra les conduire à leur cours de natation, à leur retour elle passera chercher la baby-sitter, un petit quart d'heure pour reprendre une petite douche et se préparer et nous serons enfin en route.
Après son bain, nous faisons les essayages. Nous avions prévu que Manon porte son porte-jarretelle rouge et des bas noirs, son redresse-sein, et le string assorti sous son manteau ( comme sur la photo en première page de sa présentation, le string en plus : presentation-de-madame-fantasmes-t35732.html#p853786 ). Ce n'est pas très concluant, le redresse-sein n'a pas la taille idéale pour sa poitrine (d'ailleurs si vous en trouvez prévu pour les bonnets E, faites nous signe
), et après quelques mouvements ce n'est plus très élégants. On opte donc pour des bas sans porte-jarretelle, une petite robe sexy achetée vendredi passé, un petit string tout mimi que vous ne connaissez pas, pas de soutien-gorge ( comme sur la photo de notre dernier message : presentation-de-madame-fantasmes-t35732-310.html#p1033775 ).
Evidemment, il n'est pas question de quitter la maison et de se montrer dans cette tenue devant les enfants et la baby-sitter. Manon passe donc des vêtements comme pour notre soirée officielle, un petit resto en amoureux. Dès que nous sommes sur l'autoroute, elle se déshabille dans la voiture et passe sa petite robe et son manteau.
Au premier parking, nous nous arrêtons pour qu'elle puisse sortir de la voiture et placer correctement ses vêtements. Ce n'était pas bien nécessaire, mais le jeu est excitant. Nous nous arrêtons sur les emplacements voitures, à un endroit isolé, mais juste devant une quinzaine de cabines de camions garés de front. J'aurais pensé qu'elle hésiterait à sortir de la voiture, mais à peine le moteur coupé, elle ouvre sa portière et sort. Je la rejoins, passe mes mains sous son manteau pour vérifier que sa robe est bien mise et repositionne le col de son manteau. La nuit n'est pas encore tombée, entre chien et loup, nous restons discrets, n'étant pas habitué aux exhibitions, nous ne savons pas comment va réagir cette bande de routiers qui étaient en train de discuter.
Je demande à Manon de marcher jusque sous le réverbère à une dizaine de mètres et revenir, mais elle ne veut pas, plutôt pressée d'aller retrouver Eric, nous étions déjà cinq minutes en retard avant de s'arrêter. J'ai une pensée pour Lise, c'est vraiment la situation idéale pour réaliser le cap-ou-pas-cap qu'elle a proposé, mais, même sans en parler, je sens que Manon n'en a pas envie, moi-même je n'aurais pas été très rassuré.
Pendant le reste du trajet, Manon répond aux messages d'Eric, ils sont impatients tous les deux. Manon a peur de ne pas être assez mouillée, elle se caresse le clito, je l'entends gémir. Nous arrivons sur le parking de la gare, la voiture d'Eric n'est pas encore là. Le parking est peu éclairé, il y a quelques voitures vides, mais pas un chat, à cette heure, cette petite gare secondaire est bien calme. Je gare la voiture en laissant une grande place à droite pour Eric. Manon me demande si on attend dans la voiture ou dehors. Je ne peux pas m'empêcher : "Ecoute, tu as vraiment une tenue pour l'attendre à l'extérieur, viens, on sort". Le temps de nous enlacer, quinze secondes plus tard, Eric arrive en nous faisant des appels de phares.
Voyant le parking désert, il embrasse immédiatement Manon, passe une main sur sa cuisse par dessous son manteau et d'un air ravi : "Ca, c'est vraiment osé ma petite salope". Manon l'embrasse de nouveau, puis se retourne pour m'embrasser. Elle aime passer d'une bouche à l'autre. En s'adressant à Eric et en empoignant la boucle de la ceinture qui ferme son manteau : "Tu veux voir ?". Le manteau ouvert, quatre mains sur son corps, deux bouches gourmandes pour elle, Manon est aux anges. Je bois leur dialogue : - "Tu sens quoi ?" - "Tu bandes mon cochon". Manon caresse nos pantalons. Elle commence à frissonner, nous nous mettons en route pour le studio.
A bientôt,
Les fantasmes
Voici le récit de notre seconde rencontre de vendredi avec Eric (Jackattaque). Pour ceux qui n'auraient pas suivi, la première est racontée dans les moindres détails un peu plus haut ( en suivant ce lien: presentation-de-madame-fantasmes-t35732-260.html#p1018244 ). Je ne vais pas vous raconter toute la rencontre en détail, aujourd'hui, je vais vous raconter uniquement le début, que j'ai trouvé particulièrement sensuel et excitant.
Nous n'avons qu'un seul regret à propos de ce vendredi, c'est que ce ne soit plus la première fois. Oui, la première fois génère une foule de sentiments tellement forts qu'on donnerait tout l'or du monde pour pouvoir la revivre. Mais la seconde a ses avantages aussi. On connaissait l'homme; il n'y avait donc pas cette petite inquiétude, qu'on essayait d'enfuir, de ne pas se plaire. Pour parler personnellement, je me sentais aussi mieux préparé. Comme la première rencontre avait été plus loin que prévu, certains détails qui peuvent paraitre anodins m'avaient marqués, pas vraiment choqués, mais ils n'étaient pas passés inaperçus. Par exemple, lorsque j'ai vu leurs langues se mélanger, j'ai eu un petit pincement, je n'avais pas voulu les arrêter. Ou bien lorsqu'Eric a demandé pour pouvoir jouir sur le corps de Manon, je ne me sentais pas prêt à le voir. Eux en avaient envie tous les deux, ils ont acceptés de ne pas le faire, ce qui nous conforte tous les trois dans le fait que notre relation est vraiment basée sur le respect et la confiance. Pour cette seconde rencontre, j'avais envie de voir Manon l'embrasser, j'avais envie de voir Eric signer le corps de Manon de sa semence.
Nous ne nous souvenions pas du chemin pour rejoindre le studio, on avait donc prévu avec Eric de se retrouver à 19h45 à notre point de rencontre de la première fois : sur le parking d'une petite gare. Nous avions élaboré un petit scénario à l'avance. Manon porterait un manteau lui arrivant à mi-cuisse, en dessous duquel elle porterait des dessous sexy, mais rien d'autre. J'avais envie que ce soit une surprise pour Eric, mais Manon avait peur que ça ne lui plaise pas, qu'elle ait l'air trop salope. J'étais persuadé du contraire, mais sous son insistance on lui avait donc expliqué à l'avance. Il n'y a que l'esprit d'une femme pour imaginer que ça puisse ne pas plaire, bien entendu qu'il était ravi de cette idée. On voulait aussi que sur le parking de cette gare, nous sortions tous les trois de la voiture et que Manon nous embrasse à tour de rôle. Eric était plus réticent à cette idée parce que la gare n'est pas très éloignée de chez lui et il ne voulait pas qu'on le reconnaisse. Il devait faire noir à cette heure, mais on se garde donc cette partie du scénario sous réserve des conditions du moment.
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Ce vendredi est une journée de congé pour nous deux. Question productivité pour le travail de la maison, c'est zéro pointé, nous n'avons qu'une seule chose en tête, qu'il soit 19h, qu'on démarre la voiture pour rejoindre Eric. En début d'après-midi, avant le retour des enfants, Manon prend un long bain pour se préparer intimement, son téléphone à côté d'elle, elle envoie un SMS à Eric en lui expliquant qu'elle est dans son bain en train de se caresser le clito en pensant à lui.
Manon a vraiment envie d'être dans un état d'excitation avancé lors de notre rencontre, et après son bain on met ses boules de geisha en place. Un petit moment câlin pendant lequel j'en profite pour l'exciter encore ... mais pas pour la faire jouir.
Le temps avance à la vitesse d'un escargot. Les enfants vont rentrer, Manon devra les conduire à leur cours de natation, à leur retour elle passera chercher la baby-sitter, un petit quart d'heure pour reprendre une petite douche et se préparer et nous serons enfin en route.
Après son bain, nous faisons les essayages. Nous avions prévu que Manon porte son porte-jarretelle rouge et des bas noirs, son redresse-sein, et le string assorti sous son manteau ( comme sur la photo en première page de sa présentation, le string en plus : presentation-de-madame-fantasmes-t35732.html#p853786 ). Ce n'est pas très concluant, le redresse-sein n'a pas la taille idéale pour sa poitrine (d'ailleurs si vous en trouvez prévu pour les bonnets E, faites nous signe
), et après quelques mouvements ce n'est plus très élégants. On opte donc pour des bas sans porte-jarretelle, une petite robe sexy achetée vendredi passé, un petit string tout mimi que vous ne connaissez pas, pas de soutien-gorge ( comme sur la photo de notre dernier message : presentation-de-madame-fantasmes-t35732-310.html#p1033775 ).Evidemment, il n'est pas question de quitter la maison et de se montrer dans cette tenue devant les enfants et la baby-sitter. Manon passe donc des vêtements comme pour notre soirée officielle, un petit resto en amoureux. Dès que nous sommes sur l'autoroute, elle se déshabille dans la voiture et passe sa petite robe et son manteau.
Au premier parking, nous nous arrêtons pour qu'elle puisse sortir de la voiture et placer correctement ses vêtements. Ce n'était pas bien nécessaire, mais le jeu est excitant. Nous nous arrêtons sur les emplacements voitures, à un endroit isolé, mais juste devant une quinzaine de cabines de camions garés de front. J'aurais pensé qu'elle hésiterait à sortir de la voiture, mais à peine le moteur coupé, elle ouvre sa portière et sort. Je la rejoins, passe mes mains sous son manteau pour vérifier que sa robe est bien mise et repositionne le col de son manteau. La nuit n'est pas encore tombée, entre chien et loup, nous restons discrets, n'étant pas habitué aux exhibitions, nous ne savons pas comment va réagir cette bande de routiers qui étaient en train de discuter.
Je demande à Manon de marcher jusque sous le réverbère à une dizaine de mètres et revenir, mais elle ne veut pas, plutôt pressée d'aller retrouver Eric, nous étions déjà cinq minutes en retard avant de s'arrêter. J'ai une pensée pour Lise, c'est vraiment la situation idéale pour réaliser le cap-ou-pas-cap qu'elle a proposé, mais, même sans en parler, je sens que Manon n'en a pas envie, moi-même je n'aurais pas été très rassuré.
Pendant le reste du trajet, Manon répond aux messages d'Eric, ils sont impatients tous les deux. Manon a peur de ne pas être assez mouillée, elle se caresse le clito, je l'entends gémir. Nous arrivons sur le parking de la gare, la voiture d'Eric n'est pas encore là. Le parking est peu éclairé, il y a quelques voitures vides, mais pas un chat, à cette heure, cette petite gare secondaire est bien calme. Je gare la voiture en laissant une grande place à droite pour Eric. Manon me demande si on attend dans la voiture ou dehors. Je ne peux pas m'empêcher : "Ecoute, tu as vraiment une tenue pour l'attendre à l'extérieur, viens, on sort". Le temps de nous enlacer, quinze secondes plus tard, Eric arrive en nous faisant des appels de phares.
Voyant le parking désert, il embrasse immédiatement Manon, passe une main sur sa cuisse par dessous son manteau et d'un air ravi : "Ca, c'est vraiment osé ma petite salope". Manon l'embrasse de nouveau, puis se retourne pour m'embrasser. Elle aime passer d'une bouche à l'autre. En s'adressant à Eric et en empoignant la boucle de la ceinture qui ferme son manteau : "Tu veux voir ?". Le manteau ouvert, quatre mains sur son corps, deux bouches gourmandes pour elle, Manon est aux anges. Je bois leur dialogue : - "Tu sens quoi ?" - "Tu bandes mon cochon". Manon caresse nos pantalons. Elle commence à frissonner, nous nous mettons en route pour le studio.
A bientôt,
Les fantasmes
Notre présentation : http://www.forum-candaulisme.fr/presentation-de-madame-fantasmes-t35732.html#p853786
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