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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#126945
Voilà, voilà, j'avance dans l'écriture alors je vous livre l'épisode 15. Et n'oubliez pas, les petits mots d'encouragement font toujours plaisirs aux auteurs. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
L’aveu.

« BHV » la laissa repartir après qu’elle eut signé le fameux contrat. Il sentait bien qu’elle voulait qu’il la prenne, là, de suite dans son bureau. Mais elle n’osa pas le demander et de toute façon il lui ordonna de partir et surtout, de me prévenir. Sans cette partie le contrat n‘était pas valable. Elle devait non seulement me faire le récit de sa journée, mais me convaincre de venir voir « BHV » au château.
Dès qu’elle fut partie, « BHV » s ‘empressa bien sur de m’appeler. Il fallait que je soit en mesure de vérifier qu’elle me dirait tout.
- Ah ! Mon cher Laurent ne vous avais-je pas dit que j’en ferai une belle soumise. Vous voyez que je les flaire. Je vous l’avais dit, je suis un expert.
- Oui, en effet, vous l’aviez dit. Mais je ne suis pas vraiment surpris non plus, j’avais moi aussi remarqué son tempérament et de mon côté j’ai fait ce que j’ai pu pour vous aider.
- Oui c’est vrai je le reconnaît. Vous avez respecté votre partie du contrat.
- Donc elle a signé ?
- Absolument. Elle sort à l’instant de chez moi avec pour première mission et pas la moindre, vous informer de son nouveau statut. Je crois que là aussi il vous faudra manœuvrer prudemment. C’est un moment hyper difficile pour elle. Vous pourriez tout gâcher. Soit elle abandonne la soumission immédiatement, soit vous la perdez. Si vous voulez qu’elle devienne vraiment votre chienne, allez-y doucement, ne la brusquez pas. Ne vous braquez pas contre elle, même si ce n’est qu’un rôle pour donner le change.
- Croyez-vous que je dois lui avouer que j’étais au courant et même que j’en suis pratiquement l’instigateur, même si c’est vous qui m’avez tendu la perche si je puis dire ?
- Je ne sais pas trop. Peut-être. Vous connaissez votre femme mieux que moi, du moins psychologiquement. C’est à vous de réagir selon les évènements. En fonction de la façon dont elle va aborder le sujet, vous verrez ce que vous avez à faire. La vérité n’est pas toujours bonne à dire, mais c’est vous qui voyez.
- Oui, vous avez raison, je vais voir comment cela se passe et j’improviserai.
- En tout cas c’est une mordue de sexe. Elle adore ça. Je ne pense par contre pas qu’elle soit sensible à la douleur. Elle supporte bien un petit peu quelques bricoles, mais son truc c’est le sexe. Je vais donc l’orienter vers ça. Lorsque vous viendrez me voir avec elle, je vous ferai mon petit cinéma. N’en tenez pas compte bien sur. Nous nous reverrons ensuite plus tard tous les deux afin de discuter des suites à donner. J’ai quelques idées à vous soumettre mais bien sur, nous conviendrons de tout ça ensemble.
- Salut chérie, je suis crevé ? Quelle putain de journée ! J’en ai marre de ces cons au bureau. Heureusement que je t’ai mon amour, tu es mon rayon de soleil.
- Oui, salut.
- Holà ! Qui y-a-t-il ? Tu as l’air toute drôle. Es-tu souffrante ?
- Non, non.
- Ben on dirait.
- Non, non.
- Oh mais ça m’a l’air sérieux. Que se passe-t-il ? Encore un souci avec « BHV » ?
- Non, non, c’est pas ça. Ou plutôt si. Enfin non.
- Chérie !? C’est oui ou c’est non ?
- Il faut que je te dise quelque chose.
- Tu es enceinte ! C’est ça hein ?
- Mais non. C’est autre chose. Je ne sais pas comment te le dire. Je ne sais pas par où commencer.
- Peut-être par le début…
- Oui, bien sur. Mais ce n’est pas facile.
- Calmes-toi ma chérie. Je peux tout entendre tu sais bien. Je t’aime plus que tout et je n’aime pas te voir ainsi.
- C’est que tu vas m’en vouloir et peut-être même que tu ne vas plus m’aimer.
- Ah non, ça, ce n’est pas possible. Quoi que tu me dises je t’aimerai toujours.
- C’est ce que tu crois.
- Chérie ! Quoi que tu aies à me dire, rien ne changera entre nous, je te le jure.
- Oui… Bon… De toute façon il faut que je te le dise, alors, on verra bien après.
- Vas-y Margot, dis-moi.
- Tu sais mes séances de pose. Holà là ! Je ne vais pas y arriver.
- Mais si, mais si. Prends ton temps. Raconte depuis le début, calmement.
- Bon et bien mes séances de pose. En fait, elles se sont assez vite transformées en séances de sexe.
- De sexe !!!???
- Oui tu as bien entendu. De sexe.
- Tu veux dire que tu as baisée avec « BHV » ?
- Oui et pas seulement.
- ???
- Il a deux assistants, si on peut appeler ça comme ça.
- Tu veux donc dire que tu t ‘es faite sauter par trois hommes ?
- C’est un peu ça en effet. En fait, « BHV » m’a initiée au sexe sous toutes ses formes. Il est très équipé en matériel de toutes sortes.
- Mais attends, je ne comprends pas tout. Comment cela a-t-il commencé ? Il fallait bien que tu sois d’accord tout de même ? Il ne t’a pas violée j’espère ?!
- Non, non, j’étais consentante. Je me suis laissée piéger en fait. Cela a commencé sous prétexte de poses plus ou moins osées et Karim, un de ses assistants, m’a plus ou moins caressée et je me suis laissée faire et ça a été l ‘engrenage. C’était de plus en plus chaud et j’ai aimé faire ça. Après ils m’ont fait faire un tas d’expériences sexuelles différentes et je suis devenue accroc.
- Et maintenant que va-t-il se passer ? Je suis où moi dans tout ça ?
- Et bien c’est assez simple en fait. Moi je ne peux plus me passer de ça et j’ai donné autorité sur moi à « BHV » qui est en quelque sorte mon Maître « es » sexe. Toi, je t’aime toujours autant si ce n’est d’avantage et si tu veux toujours de moi tu restes mon mari et tu pourras si tu le souhaites participer à mes expériences futures.
- Si je comprends bien, en résumé, tu obéis sexuellement à « BHV ». Pour le reste du temps je suis ton mari et enfin si je suis d’accord je peux assister voir participer à tes orgies ?
- Je crois que c’est à peu près ça en effet.
- Et, tu attends quoi de moi exactement ? Je dois donner mon accord ou la chose est déjà entendue ? Si par exemple je dis que je ne suis pas d’accord, tu me quittes ?
- Ce n’est pas aussi simple chéri ! Je ne souhaite pas du tout te quitter. Je t’aime. Mais je suis devenue folle du sexe et pour tout dire, je ne voudrai pas que tu me poses un ultimatum. Je sais pertinemment que je te demande beaucoup, peut-être même trop, pourtant je voudrai vraiment que notre vie continue ainsi. Je n’ai pas anticipé ta réponse et dans le cas ou tu ne serai pas d’accord, je ne sais vraiment pas encore quelle sera ma réaction, mais …
- Oui, je crois que je comprends ce que tu veux dire.
- Chéri ! Reconnaît que dans certains de tes fantasmes si j’en crois ce que tu m’as déjà dit, tu n’es pas contre l’idée de me voir avec d’autres hommes. De plus je vois bien ton regard lorsqu’on regarde mes fesses ou même autre chose.
- C’est vrai. Tu as raison chérie. C’est juste que de passer du fantasme à la réalité c’est quand même un grand pas et que j’ignore si je suis capable de l’assumer.
- Laurent mon amour, est-ce que tu veux bien nous donner une chance de vivre ça et peut-être d’être très heureux ainsi ?
- À une condition !
- Oui, laquelle ?
- Je veux profiter de tes nouvelles aptitudes tout de suite.
- Oh !!! Espèce de petit pervers !
KneelDown a liké
#128796
Oh Milli! Pas de fausse modestie je vous en prie. Vous écrivez vous-même fort bien comme je crois vous l'avoir dit dans un petit message. Je viens d'ailleurs de lire la suite de votre récit. C'est une nouvelle fois un régal. Je vous assure que votre écriture est un régal. Que ce soit au niveau de la forme comme du fond au demeurant très envoûtant, très érotique.
Et bien sur, un grand merci à tous les autres qui me font la gentillesse de laisser un petit commentaire. C'est encourageant.
Amitiés à tous et toutes.
#130573
Bonjour à tous et une nouvelle fois, un grand merci pour vos petits mots d'encouragement.
Voici l'épisode 16. J'espère qu'il vous plaira aussi. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
C’est vraiment maintenant que tout commence.

- Vous voyez mon cher Laurent, je ne m’étais pas trompé, ni sur vous, ni sur Margot. Ou plutôt si, sur une chose. Je ne pensais sincèrement pas qu’elle y viendrait aussi vite. En quelques jours la carapace s’est fissurée et en quelques semaines elle est devenue accroc. Et pas qu’un peu. De plus, avec de sacrés clients si je puis dire. N’êtes-vous pas étonné ?
- Oui et non. Bien sur un peu quant à la rapidité. Je suis de votre avis, je ne m’attendais pas à ce que cela soit si « facile ». Je reconnais qu’elle a plongé là-dedans avec délice bien plus vite que je l’imaginais et même plus vite que peut-être je le souhaitais, je l’avoue. Sans doute une pointe de jalousie pour l’incorrigible macho que je dois être. Mais en même temps pas vraiment surpris non plus. Comme je vous l’avais dit, elle n’a jamais eu peur de se montrer nue. Elle n’a jamais fait la fière quand on la matait dans la rue ou ailleurs. Avec moi, même si on n’a jamais fait la moitié du quart de ce qu’elle a fait avec vous, elle n’a jamais rechigné à faire l’amour et elle n’a jamais craint de parler de ses fantasmes. Vous aviez aussi sans doute raison lorsque vous disiez que j’avais peut-être inconsciemment deviné ses aptitudes et que c’est ça qui nourrissait mes propres fantasmes. En tous cas je vous remercie beaucoup pour ce que vous avez réussi à faire avec elle. Elle est devenue la salope dont je rêvais en secret.
- Oh mais mon cher Laurent, ne me remerciez pas déjà. Certes c’est un premier cap de franchi, mais en fait, c’est maintenant que tout commence.
- Comment ça tout commence ??! N’avez-vous pas réussi à faire d’elle la salope affamée de sexe dont nous avions convenu ?
- Pardonnez-moi mon cher Laurent mais si vous relisez votre contrat vous constaterez que nous avions convenu d’en faire une « chienne ». Hors je suis tout à fait d’accord avec vous, pour l’instant elle n’est qu’une salope aimant le sexe. L’exemplaire du contrat que vous possédez porte également ma signature et tout comme vous je suppose, je tiens mes engagements. J’en ai fait une salope je vous l’accorde, mais maintenant je vais en faire une chienne comme d’ailleurs vous me l’avez demandé.
- Bon, bon, très bien, je suppose que vous avez raison, je ne discuterai pas le sujet. Mais devenir chienne, dans votre langage, cela implique quoi exactement ?
- Mais justement Laurent, c’est pour cela que nous sommes réunis tous les deux aujourd’hui. Nous devons fixer les limites. Hier c’était pour le folklore. Pour que Margot se sente importante, qu’elle ait l’impression d’être vraiment actrice de sa destinée. Il s’agissait aussi que vous la voyiez en action afin de conclure votre accord définitivement. Il fallait qu’elle voit que vous aviez compris et accepté que je sois son Maître. Ainsi elle a confiance en nous deux et même si elle ne connaît pas notre relation ni bien entendu nos accords, elle pense désormais que nous sommes conscients de la situation et que chacun accepte l’autre.

La veille, j’étais venu avec Margot au château. Elle portait une petite robe sans manche très moulante, un peu comme certains tee-shirts, qui ne lui cachait en vérité pas grand chose. Le moindre geste laissait apparaître le bas des fesses et par conséquent sa chatte lisse comme un œuf depuis quelques jours. « BHV » l’avais exigé. Donc plus de ticket de métro. Dans la voiture, en position assise je ne vous raconte même pas. J’imagine que les routiers qu’on a doublés lentement dans les embouteillages devaient conduire avec un second levier de vitesse.
Bref, comme à l’accoutumé, c’est le larbin à l’air de croque-mort qui est venu nous ouvrir dès le premier coup de sonnette. Il nous a conduit dans le bureau de « BHV » et a refermé la porte en sortant.
« BHV » était installé dans un fauteuil du petit salon qu’il avait dans son bureau. Il a aussitôt fait venir Margot près de lui et a passé sa main entre ses cuisses. Sans doute pour vérifier en « Maître » et devant moi qu’elle n’avait pas mis de culotte. Il a dû faire un peu plus puisqu’il lui a tendu ses doigts pour qu’elle les suce. Ce qu’elle a d’ailleurs fait sans broncher avec toutefois un petit coup d’œil vers moi, sans doute pour voir quelle tête je devais faire. Satisfait du résultat, il la fit asseoir à ses pieds et me proposa l’autre fauteuil.
- Mon cher Laurent, si vous êtes là c’est que votre femme, Margot, vous a expliqué le changement de situation qui est intervenu dans sa vie.
- Oui, en effet. Elle m’a dit que c’est vous qui lui dictez sa conduite sexuelle, du moins en dehors de notre vie conjugale si j’ai bien compris.
- C’est à peu près ça en effet. Mais pour que les choses soient bien claires je dois vous dire qu’en fait, je décide quand elle baise, qui la baise, par où on la baise, avec combien elle baise. Je décide également quand elle m’accompagne à des soirées chez mes amis ou si elle reste ici lorsque je reçois. Est-ce que c’est bien clair pour vous car Margot a accepté et signé un contrat pour ça ?
- Oui, absolument, c’est très clair. Je ne veux pas la perdre et je lui ai dit que j’acceptais sa nouvelle condition sans restriction d’aucune sorte.
- Alors parfait ! Nous allons fêter ça dignement.
A ce moment là, « BHV » saisit une petite clochette qui était posée sur la table basse à côté de lui et l’agita. A peine trente secondes après la porte du bureau s’ouvrit. Je m’attendais à voir surgir le larbin chargé d’une bouteille de champagne et de trois flutes, mais c’est Karim qui entra et qu’il me présenta. Le marocain était déjà à poil en semi érection. Il vint s’asseoir sur le bord du bureau, face à nous, les bras en appui de chaque côté sur le bois. « BHV » dit à Margot de se lever et d’aller le sucer. Sans un mot, sans un regard pour moi, elle se leva et en deux pas fut devant Karim. Elle s’agenouilla devant lui mais « BHV » la reprit aussitôt en lui disant : « Non, pas comme ça ! ». Elle se releva donc et cette fois-ci se courba seulement et emboucha le membre qui déjà relevait la tête. Elle se mit à sucer l’engin tout en triturant les couilles de son partenaire. C’est le moment que choisit Romain pour faire son entrée. Même si je m’attendais à quelque chose dans ce goût là, j’avoue avoir été surpris par l’entrée de notre deuxième protagoniste. D’autant plus surpris qu’il est entré aussi nu que Karim mais lui, avec son braquemard en plein développement. Putain ! Quel gourdin. « BHV » m’en avait parlé et j’avais vu les photos, mais en vrai c’est quelque chose. J’avais les yeux comme des soucoupes. Je me disais que c’était impossible qu’un truc pareil entre dans un des orifices de ma si petite Margot, si fragile, si étroite, si … Nom de dieu ! Où va-t-il lui enfiler ça ? J’avais mal pour elle. Instinctivement je serrais les fesses. Comme si ce machin m’était destiné. Pourtant il avançait vers ce cul offert que la position rendait presque obscène. Il se positionna derrière elle, lui saisit les fesses et de ses énormes pouces les écarta. Son trou du cul devint apparent, grotesque, étiré par ces doigts d’ébène. Il relâcha une fesse et attrapa le tube de gel qui trônait sur le bureau à côté de Karim. Il dégagea le bouchon d’un coup d’ongle et cracha une giclée du produit sur la rondelle de ma chérie, de mon amour, de ma douce épouse, de ma salope de femme oui !!!
Après avoir reposé le flacon Romain repris possession des deux lobes laiteux et les écarta de plus belle. Ses deux pouces pénétraient le trou du cul afin d’y faire entrer un peu de lubrifiant. Il malaxait l’anneau en faisant des arcs de cercle. Sous l’effet du massage, les muscles se détendaient et il en profita pour présenter son gland à l’entrée de la béance naissante. Son pieu était raide comme la justice. La tête fut avalée en une seconde. Je n’en revenais pas. Je m’aperçus que j’avais la bouche ouverte comme un gosse devant un sapin de noël. Je reprenais mes esprits et refermais mes mâchoires. Romain était immobile. Sachant l’effet que produisait son dard il attendait un instant afin que l’étroit passage s’habitue. Puis petit à petit je vis son énorme pieu s’enfoncer centimètre par centimètre et disparaître complètement dans le cul dilaté de ma salope.
Oui de ma salope ! J’avoue que je ne savais plus trop comment l’appeler désormais. De ça j’en avais rêvé. Et maintenant c’était devant moi. Alors p’tit gars, qu’est-ce que t’en dis, hein ? Tu la vois bien ta grosse truie se faire démonter la rondelle par cette bite énorme de black ? Et cette queue de marocain qui lui chatouille les amygdales, tu la vois bien s’enfoncer ?
Et oui, ça y était. Elle était finalement devenue ce que j’avais fantasmé durant des mois. Et alors t’en penses quoi ? J’en pense quoi, j’en pense quoi, je pense que c’est bandant et malgré tout je sens bien qu’une pointe de jalousie me titille la poitrine. Mais ma perversité doit être la plus forte parce que je bande vraiment devant ce spectacle orgiaque.
Maintenant Romain fait des vas et viens d’anthologie. Parfois il sort complètement sa queue et un gros trou béant, rougit par le frottement reste en place un bon moment avant de commencer à se refermer légèrement. Mais il remet son pieu aussitôt et reprend son défonçage de cul à vive allure.
Sur un signale de « BHV », Karim retire sa queue de la bouche de Margot et s’allonge sur la moquette. Romain se retire aussi et attrape Margot par les hanches, la soulève et vient l’empaler sur la bite dressée du marocain. Puis à son tour il se met à genou derrière elle et l’encule de nouveau. A tour de rôle les deux queues s’enfoncent dans les orifices dilatés. De part et d’autre les gémissements deviennent ahanements, puis grognements. Romain le premier décharge dans le caoutchouc que chacun avait bien entendu enfilé auparavant. Il est suivi de Karim et de Margot qui explose dans un cri presque inhumain. Elle jouit comme jamais je ne l’avais vu jouir et s’effondre sur le torse de Karim avec toujours les deux bites en elle.

- Oui mon cher Bernard je pense que vous avez raison. Désormais Margot est convaincue que les choses sont acceptées en l’état par chacun de nous. Maintenant il reste en effet à déterminer jusqu’où nous pouvons tenter de la faire aller.
- Mais oui, c’est ce que je vous dis. La question que vous devez vous poser c’est : « qu’est-ce qui est supportable pour elle et pour moi ? ». Si vous trouvez la réponse à cette question, nous trouverons alors comment y parvenir. Et soyez gentil, ne me donnez pas carte blanche. Vous devez absolument être impliqué. D’autant plus que tôt ou tard c’est vous qui aurez les rênes. Alors réfléchissez et tenez moi au courant.
- OK. J’ai déjà ma petite idée mais je vais peaufiner tout ça à tête reposée et je reviens vers vous. Cela dit quand je vois ce qu’elle a pris hier dans la chatte et dans le trou du cul, ça ouvre des horizons si je puis dire.
- Oui comme vous dites. Honnêtement, je crois qu’on peut faire de très belles choses avec elle. Elle est costaud physiquement et moralement. C’est plus à vous que je pense Laurent. Saurez-vous être à la hauteur de votre femme ?
KneelDown, coq a liké
#130828
superbe suite attendue et surprenante en même temps. Encore merci pour le plaisir que cette histoire nous donnent. et vivement la suite avec toujours plus d'impatience, mais aussi de la compréhension pour que la création de ce récit reste dans la même optique.
Merci.
#133047
Voici pour vous chers lecteurs l'épisode 17. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Sur le bon chemin.

- Ah ! Laurent bonjour. Je vais avoir besoin de votre réponse mon ami. Ce week-end j’ai besoin de Margot. Je l’emmène chez des amis en province, nous partirons vendredi après-midi. Ce n’est pas que je veuille vous presser mais je dois savoir ce que vous souhaitez afin que je m’adapte.
- Bonjour Bernard. N’ayez crainte c’est pour cette raison que je suis là.
- Très bien, alors je vous écoute.
- En fait c’est relativement simple. Je ne veux aucune brutalité ni violence d’aucune sorte. Elle peut être attachée, encagée, suspendue, ligotée, etc, un peu comme ce que vous avez déjà fait dans votre cave. Je ne veux pas qu’elle soit prêtée à d’autres sans votre présence ou la mienne. Je refuse les chantiers, les clochards et autres traînes savates douteux. Vous ne fréquenterez avec elle que les gens de votre monde. Il peut y avoir des exceptions avec des inconnus si vous jugez qu’ils sont dignes de confiance. En dehors de ça, elle peut servir de vide-couilles quand vous le voulez. Compte tenu de ce que j’ai déjà vu, je n’ai aucune restriction sur la taille de ce que vous voudrez lui introduire dans les orifices, mais je vous demande de respecter sa volonté si elle trouve que c’est exagéré et qu’éventuellement elle a mal au moment de l’intromission. Voilà, je crois que je n’oublie rien. Cela vous convient-il ?
- Absolument. C’est à peut près ce que j’envisageais pour elle. Cela dit, j’ajouterai deux petits détails. Premièrement je vais lui faire poser un piercing sur la chatte. C’est un signe d’appartenance en quelque sorte. Dans mon monde comme vous dites, chacun saura qu’elle est ma soumise. C’est aussi une garantie de sécurité. Personne ne cherchera à lui nuire. Deuxièmement vous ne viendrez pas avec nous pour cette première. L’expérience me commande de vous laisser à l’écart. Elle risque d’être très gênée si vous êtes présent et ça compliquerait ma tâche. N’y voyez rien contre vous, de toute façon vous aurez le compte rendu et les photos du week-end et puis il y aura d’autres réjouissances. Est-ce que tout est OK pour vous ou voulez-vous d’autres détails ?
- Euh, non, je ne crois pas. Je pense que tout est très clair. C’est vrai que j’aurai bien aimé être présent mais si vous dites qu’il ne vaut mieux pas, je vous fais confiance.

Comme convenu, Margot est allée chez « BHV » le vendredi après-midi. Il avait prévu qu’ils partiraient de chez lui, les amis chez qui ils allaient étaient plus près qu’en partant de chez nous. Margot laisserait sa voiture au château et ils prendraient la sienne, conduite par le « croque-mort ».
Installés à l’arrière de la limousine alors que celle-ci quittait le parc du château, « BHV » contrôla aussitôt la tenue de Margot. Il y avait bien longtemps qu’elle ne mettait plus de sous-vêtement et du coup, les ordres de son Maître sur ce point là n’étaient pas contraignants. Satisfait sur ce point, il n’insista pas et s’installa confortablement.
Après quelques instants de route où le silence régnait, Margot tenta une approche afin d’en savoir un peu plus.
- Maître, que devrais-je faire chez vos amis ?
- Cela ma princesse, tu le sauras plus tard. Et cette fois ci je ne te dirai rien, mais sache qu’à l’avenir je t’interdis de me poser ce genre de question. Tu feras ce que je te dirais, quand je te le dirais, avec qui je te dirais. Est-ce bien compris ?
- Oui Maître, pardonnez-moi Maître, je ne le ferais plus.
- Il vaut mieux pour toi en effet. Maintenant tais-toi. Nous avons encore une petite heure de route et je veux être tranquille. D’ailleurs pendant que j’y pense, tiens, mets-toi ce plug dans le fion, ça t’occupera. Tu le gardes jusqu’à ce que je te dise de le retirer. Allez, oust, en position. Dernier détail du moins pour l’instant, tu n’es plus Margot lorsque nous sommes ensemble. Tu es ma soumise et tu t’appelles « Perle ». C’est ainsi que je vais te présenter à mes amis. Ne leur dis jamais ta vraie identité. Ne conclus jamais aucun accord avec qui que ce soit sans ma présence, d’ailleurs tu ne conclus rien du tout, je m’occupe de tout te concernant. En principe tu n’as rien à craindre de qui que ce soit là où nous irons mais de toute façon j’assure ta protection et rien ne te sera fait sans mon accord.
Le reste du voyage se poursuivit dans le silence. Margot, euh, non, Perle en profita pour regarder le paysage mais on pouvait voir son regard se perdre dans la cime des arbres, bien au delà de sa vision. A quoi pensait-elle ? Sans doute à cette première expérience de soumise à ce Maître qui lui avait fait découvrir tant de ressources sexuelles cachées en elle. Sans doute aussi à ce week-end qui s’annonçait érotique. Comment allait-elle réagir ? Que lui ferait-on faire ? Avec qui ? Seraient-ils aussi bien membrés que ses initiateurs ? Peut-être allait-elle aussi découvrir de nouveaux instruments ou machines infernales ?
La voiture s’était arrêtée mais elle était toujours dans ses pensées, ne se rendant compte de rien. Il fallut que « BHV » lui prenne le bras doucement pour la sortir de sa rêverie.
- Perle, ma chérie, nous sommes arrivés.
L’automne était déjà bien avancé, Margot frissonna et resserra son col de manteau en sortant de la voiture. Les premiers pas qu’elle fit en se dirigeant vers la maison en suivant « BHV » lui rappelèrent qu’elle avait un objet contondant dans l’anus. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres, rapide et furtif, elle se disait que cette sensation lui était plutôt agréable finalement. Depuis qu’elle avait découvert la sodomie elle y avait vraiment pris goût et elle pouvait en jouir très fort parfois.
La grande porte s’ouvrit sur leurs hôtes. Un couple fort bien assorti. Lui un grand gaillard à l’air jovial, bien bâti, le cheveu brun court, les yeux clair, un large sourire accroché à une mâchoire carrée, puissante. Sa femme, plus petite, brune également mais les cheveux jusqu’au milieu du dos, des yeux noir de jais et tout aussi souriante que son homme. Plutôt mince mais avec des rondeurs là où il faut. Les seins hauts peut-être pas d’origine se dit Margot. En tous cas les cuisses que laissait voir une mini jupe en cuir étaient magnifiques. Musclées et encore bronzées. « BHV » fut accueilli à bras ouvert avec, sembla-t-il à Margot une pointe de déférence. Elle se dit tout d’un coup que SON « BHV » devait être une pointure dans ce monde. Une fierté nouvelle l’embrasa et instinctivement elle se redressa faisant saillir sa généreuse et ferme poitrine.
- Mon cher Bernard, quel plaisir de vous revoir. Mais que nous amenez-nous là ? Vous avez l’art de découvrir les plus ravissantes personnes qui soient.
- Mes amis, je vous présente Perle. Ma fierté. Ma plus belle réussite.
- Bonjour Perle, venez, nous n’attendions que vous deux. Les autres sont tous au salon. Allons les rejoindre avant qu’ils aient vidé toutes les bouteilles.

Margot qui s’attendait en tant que soumise à un accueille plus distant fut agréablement surprise. L’idée qu’elle se faisait de sa nouvelle situation, aidée par quelques lectures ou photos piochées ça et là sur internet ou autres, lui avait laissé penser qu’elle devrait sans cesse baisser les yeux, être attachée par une laisse, devoir entrer à quatre pattes ou bien d’autres turpitudes. Mais là, rien. Elle était accueillie comme la compagne de « BHV », on était gentil avec elle, on ne lui demandait rien de sexuel d’entrée, bref, elle prenait confiance et se disait qu’elle était finalement très heureuse de son choix. Sans doute plus tard devrait-elle se soumettre à la volonté des invités, mais n’était-ce pas pour ça qu’elle était là ? Et puis ce plug qui lui massait le trou du cul à chaque pas lui rappelait qu’elle aimait se faire prendre par tous les trous et même qu’elle en était devenue gourmande. Parfois lorsqu’elle repensait à sa vie d’avant, elle n’en revenait pas de ce qu’elle était capable de faire maintenant. Elle aimait bien faire l’amour, ça oui. Elle aimait bien le naturisme, cette sensation de liberté, ça aussi. Même si à l’époque elle ne l’aurait pas avoué, elle aimait bien aussi qu’on la mate. Mais là, le chemin qu’elle avait parcouru en quelques mois la laissait pantoise. En y repensant tout de même, putain, qu’est-ce qu’elles étaient grosses ces queues que je me suis prise dans les trous !! Merde, je mouille se dit-elle alors que « BHV » la ramenait une nouvelle fois à la réalité.

Le salon !!!! C’était Versailles oui ! Du moins pour la taille. Immense, haut de plafond. Et le style, incroyable ! On était à Marrakech ! Des zelliges partout de la mi-hauteur des murs jusqu’au plafond. Plafond fait de poutres dans un sens et de petits rondins de bois de l’autre. Le reste des murs était en tadelakt de plusieurs tons selon les pans de mur. Au sol du carrelage caché en partie par des dizaines de tapis marocains. Et puis partout des poufs, des sofas, des canapés, des tables basses, des plantes exotiques, des minis palmiers et au centre, une fontaine magnifique. Une grande vasque dans laquelle un homme nu, mais pas en érection, tenait au dessus de lui, un peu comme Héraclès tenant le monde, une autre vasque plus petite d’où tombait l’eau en cascade permanente. C’était assez féerique et surprenant au fin fond de cette province. Dans ce décor hollywoodien de petits groupes déambulaient ou discutaient, un verre à la main. Des larbins masculins et peu vêtus proposaient leur plateau de victuailles ou de verres pleins en slalomant entre les groupes et les tables.
Margot découvrait tout ça en arrivant du hall d’entrée déjà assez impressionnant car le salon était en contrebas et une vue plongeante permettait d’embrasser toute la scène. Un larbin qu’elle n’avait pas vu, plongée dans la contemplation de ce spectacle qu’elle était, lui prit son manteau et du même coup la ramena une fois de plus à la réalité. Elle allait de découverte en découverte avec « BHV » et elle se demandait bien jusqu’où tout ceci allait aller. Mais pour l’heure, il lui pris le bras et l’entraîna dans les quelques marches qui les conduisirent jusqu’au reste des convives.
Curieusement, tout en avançant, elle voyait bien des hommes, des femmes, mais comment savoir s’il y avait d’autres soumises comme elle. Ou bien était-elle la seule et par là même l’attraction de la soirée ? L’angoisse la saisit. C’est impossible ! Je ne vais pas servir à tous ces gens ! Si tous me baisent ou m’enculent, je vais finir en charpie. Mais qu’est-ce que je fais ici ?!!!
- Perle. Perle !!
- Euh, oui Maître.
- Perle, que se passe-t-il ? Tu sembles apeurée.
Margot se rapprocha discrètement de « BHV » afin de n’être pas entendue par les plus proches voisins.
- Maître, suis-je la seule, euh … La seule soumise ?
« BHV » la serra dans ses bras et l’emmena un peu à l’écart. Il lui caressa les cheveux comme on fait à un enfant qu’on veut consoler d’un gros chagrin.
- Ne soit pas inquiète. Je te rappelle qu’il n’y a Maître ou Maîtresse et soumis ou soumise que si les deux sont en harmonie. Un Maître comme moi n’existe que par sa soumise comme toi. Les trois quarts des gens que tu vois ici sont des soumis ou soumise. Nous ne sommes pas une secte, ou je ne sais quoi d’autre, mais au fil du temps et des soirées de ce genre nous nous sommes tous trouvés des affinités. Notre Maître mot c’est le respect. C’est pourquoi tu ne vois personnes, ni hommes, ni femmes, en laisse ou avec des signes distinctifs visibles. Certains couples sont mariés et l’un ou l’une est le soumis ou la soumise de l’autre. Mais d’autres couples sont comme nous. Aussi, chacun a sa vie privée, son job, des enfants, une femme, un mari et personne, dans notre conception, ne doit entraver cette vie. De plus, aucun des Maitres ou Maitresse que tu vas découvrir ici ne te touchera. Il n’y aura de sexualité qu’entre soumis et soumises sur ordres et consentements des Maîtres et Maîtresses. Par contre, je te prêterais surement à d’autres Maîtres ou Maîtresses, mais seulement chez moi et en petit comité. Voilà, es-tu rassurée ?
- Oui, Maître, merci. Je ferai ce que vous voulez.
KneelDown, coq, Noste a liké
#133380
dignité, respect, compréhension et sensualité. Cette histoire me plait depuis le début et continue encore avec cet épisode, dans une lignée qui nous invité à vouloir lire la suite, que nous attendons avec impatience, tellement l'histoire est captivante. Vous êtes le maître de cette écriture et nous sommes les soumis de sa lecture.
Merci.
#133591
totof vil flatteur! Mais ça fait du bien. merci de vos compliments à tous. j'y suis sensible. D'un autre côté j'espère au fil des épisodes être à la hauteur de vos attentes.À bientôt pour le prochain épisode.
#136021
Bonjour à tous. Voici l'épisode 18. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Première épreuve.

L’ambiance était bon enfant. Les gens discutaient, passaient de groupe en groupe. Il est vrai que pour un non initié il était impossible de deviner qui était qui. Même pire, quelqu’un d’étranger à cette soirée serait arrivé inopinément, n’aurait pu deviner la nature des relations qui réunissait tous ces gens. Comme l’avait souligné « BHV » aucun signe distinctif n’était apparent.
Après les verres, quelques plateaux de denrées plus solides sont passés dans la salle aux mains des larbins peu vêtus, seuls anachronismes à cette soirée. L’ambiance s’échauffait. L’alcool et la nourriture contribuaient à faire monter la température. Maintenant on pouvait voir quelques mains s’égarer qui, sur une braguette, qui sur une croupe rebondie. Mais toujours discrètement.
Puis le Maître et la Maîtresse des lieux s’avancèrent en haut des marches surplombant le grand salon.
- Mes chers amis, maintenant que vous voilà restaurés, je vous propose de passer dans l’autre pièce. Qui m’aime me suive selon l’expression consacrée.
Margot regarda « BHV » d’un œil interrogateur et s’informa de cette fameuse « autre pièce ». Il lui dit qu’elle allait le savoir tout de suite mais qu’elle ne serait probablement pas dépaysée.
De fait, Margot et son mentor suivaient le mouvement. Une bonne vingtaine de couples se dirigeaient donc vers une extrémité du salon, en direction d’un escalier assez large qui conduisait vers un sous-sol qui avalait petit à petit la petite foule des invités.
Comme prévu, Margot ne fut pas dépaysée. La pièce ressemblait étrangement à celle de « BHV ». Celle de la cave, pas l’atelier du haut où elle avait commencé à poser. Mais là par contre, elle faisait bien trois fois celle du château. En fait, elle devait faire la superficie du salon juste au dessus. Des piliers en arches soutenaient un plafond tout en pierre. Malgré tout il y régnait une douce chaleur. Et comme chez « BHV », des engins de toutes sortes trônaient un peu partout. Des anneaux métalliques fixés aux murs, des potences, des chaines, enfin de quoi s’amuser. Il y avait aussi des canapés, des sofas, des lits ronds ou rectangulaires. Des chaises aussi, mais sembla-t-il à Margot, un peu bizarre. Les couples se dispersaient au hasard. S’installaient ça et là. Certains corps se dénudaient, pas toujours intégralement d’ailleurs. Puis c’est la Maîtresse de maison qui cette fois-ci prit la parole.
- Mes biens chers amis, je vois que certains ont déjà pris leurs aises, mais si nous sommes réunis ce week-end, je vous le rappelle, c’est pour fêter une petite nouvelle parmi nous. Je vous demande donc de lui faire le meilleur accueil. Vous connaissez tous notre grand ami et Maître à tous. Je veux parler bien entendu de « BHV ». C’est donc avec lui que vous verrez les détails mais je vous demande de rendre inoubliable cette première soirée pour sa protégée. Je vous présente donc « Perle».
Tout le monde se mit à applaudir le couple qui accaparait l’intérêt. Margot se rapprocha de son Maître comme pour se mettre à l’abri. Elle ne s’attendait tout de même pas à ça. Elle qui pensait être noyée dans la foule se retrouva exposée et regardée par tous les participants. Elle commença même à se demander ce qui allait lui arriver. Est-ce que tous allaient venir les saluer. Complimenter « BHV » pour le choix, la beauté et la classe de sa nouvelle protégée. Ou bien tous les mâles allaient-ils la baiser, l’enculer ? C’est que quand même, ils sont bien nombreux. Bon d’accord j’aime ça se dit-elle, mais là, ça fait beaucoup !
« BHV » lui prit la main et l’entraina vers le centre de la pièce. Une espèce de petite estrade, environ deux mètres carrés, semblait les attendre. Instinctivement la foule des autres convives fit le cercle tout autour. « BHV » fit monter Margot sur l’estrade en la tenant par la main. Il lui demanda de tourner sur elle-même. Puis lui fit signe de faire tomber la frêle robe qui lui cachait à peine le corps tant elle était transparente. Elle continua à tourner encore un instant alors qu’on discutait en bas, autour de « BHV ». Il lui fit signe de redescendre, ce qu’elle fit. Il la reprit par la main et, nue, l’entraina vers un autre bout de la pièce.
Il y avait un banc. Un banc tout simple. Pas en bois brut quand même. Il y avait un habillage en cuir rembourré qui devait le rendre plus confortable. On la pria de s’y allonger. Le banc était suffisamment large pour qu’elle y tienne sans risquer de basculer d’un côté ou de l’autre. Deux soumis déjà nu lui prirent chacun une cheville et les montèrent jusqu’à amener ses jambes de part et d’autre de sa tête, exposant ainsi sans pudeur toute son anatomie. « BHV » lui demanda de tenir ses jambes et on lui attacha chaque main à chaque cheville avec un rouleau de papier adhésif. Impossible pour Margot ainsi ficelée de pouvoir se relever et même de faire le moindre geste.
Elle fut ensuite tirée vers le bout du banc, rendant ses parties génitales plus accessibles. Une soumise fut invitée à lui bouffer la chatte et deux autres devaient s’occuper de ses nibards. Margot avait beau être un peu dans l’inconnu, la situation la fit quand même mouiller abondamment. Les soumise devaient bien s’y prendre car elle gémissait de plus en plus. La soumise qui lui bouffait le clito commença à lui enfiler ses doigts dans la chatte. La stimulation la dilata rapidement et c’est la main entière qui disparut dans le vagin trempé. Après quelques vas et viens, un jet de cyprine gicla sur le visage de la soumise qui fit son possible pour tout lécher. Margot avait les yeux fermés et tournait la tête de gauche à droite, elle jouissait.
Puis, de sa main pleine du jus de Margot, la soumise commença à faire le même traitement à son trou du cul. Elle lui branla la rondelle avec son index. Le majeur rejoignit l’autre et elle s’appliqua à faire des mouvements circulaires, rendant le muscle plus souple. Un troisième doigt accompagna les deux premiers. Elle força l’anus en faisant des rotations avec son poignet alors que le petit doigt et le pouce entraient à leur tour. De son autre main elle stimula encore le clito de Margot alors que son trou du cul avalait le bras jusqu’au dessus du poignet. Margot eut un violent orgasme dans un cri rauque alors que sa chatte crachait un nouveau jet de cyprine qui arrosait copieusement la soumise.
« Elle est prête » Déclara « BHV »
Les trois filles se relevèrent et deux soumis, la bite en avant les remplacèrent. L’un d’eux présenta sa queue à l’entrée du vagin et l’enfonça d’un coup jusqu’au couilles. La chatte mouillait tellement que l’intromission de ce beau calibre ne présenta aucune difficulté. Il se mit aussitôt à faire des vas et viens en cognant à chaque fois son pubis sur celui de Margot. L’autre à peu près en même temps avait investi la bouche. Il lui tenait la tête et s’en servait comme d’une chatte. Margot avait des hauts le cœur à chaque fois que la bite s’enfonçait dans sa gorge. Des larmes perlaient au bord de ses yeux. On voyait bien qu’elle avait du mal à respirer mais le rythme ne changeait pas pour autant.

Néanmoins, au bout d’un instant, les deux mâles échangèrent leur place. Margot n’eut qu’un bref répit et se retrouva bien vite avec une nouvelle queue dans la bouche. Une queue enduite de sa mouille à laquelle elle avait d’ailleurs fini par s’habituer. Celle-ci était plus grosse mais ou moins longue ou il ne s’enfonçait pas autant. Là au moins elle arrivait à mieux respirer et elle pouvait s’appliquer à le sucer comme il faut. Quant à l’autre, il lui avait légèrement soulevé les fesses et lui avait enfilé son braquemard dans le trou du cul. D’abord un aller et retour dans la chatte histoire de lubrifier l’engin, et hop, dans la rondelle. Rondelle au demeurant encore dilatée de tout à l’heure. Certes elle s’était bien refermée un peu tout de même mais il n’avait eu aucune difficulté à forcer le passage et maintenant sa queue tendue pistonnait à fond en tapant ses couilles sur les fesses de Margot.
Tout d’un coup celui qui était dans sa bouche se retira et se branla rapidement au dessus de Margot. Dans un râle venu du fond de sa gorge, il cracha son venin. Au fur et à mesure des jets qui atteignaient leur but, une mare de sperme se formait entre les nichons de Margot et coulait vers son cou. Puis l’autre se retira aussi de son cul et éjacula aussitôt sur le ventre. Margot, attachée, ne pouvait réagir comme elle l’aurait voulu. Elle avait pris goût à se barbouiller du foutre de ses baiseurs mais là, ses mains n’étaient pas disponibles.
D’ailleurs elle n’eut pas à réfléchir très longtemps. Deux soumis l’empoignaient et la soulevaient. Dans leurs mains, Margot avait l’air d’une plume. Sur le banc, à la place qu’elle occupait quelques secondes auparavant, un autre soumis est venu s’allonger, la queue dressée comme un mat. Margot fut redescendue alors que le soumis dirigeait sa bite de façon à ce qu’elle s’insinue dans le rectum ouvert et accueillant. Le gourdin était de belle taille et Margot fit un peu la grimace jusqu’à ce qu’elle soit carrément assise, la bite au fond de son cul. Les deux soumis allongèrent ensuite Margot sur le torse de son enculeur et l’un d’eux, se posta entre les jambes des deux corps allongés et pénétra la chatte ainsi offerte. Le dernier occupa le seul trou encore disponible et les trois queues imprimèrent leur rythme de concert. L’enculeur tenait Margot par le haut des fesses afin de la soulever légèrement et pouvoir ainsi avoir le bassin plus libre pour la pénétrer. Le baiseur quant à lui, se tenait penché en avant, les mains appuyées sur le bord du banc et pistonnait la moule baveuse en alternance avec celle qu’il sentait à travers la mince paroi séparant les deux orifices. Quand l’un sortait, l’autre s’enfonçait à fond et ainsi de suite. Le troisième avait lui aussi saisi la tête de Margot et lui imposait son rythme. Sa queue était plutôt large et elle avait bien du mal à trouver sa respiration. Le cercle autour d’eux c’était un peu resserré. Quelques mains curieuses s’aventuraient sur les tétons dressés et arrogants. Dans la bouche de Margot, le rythme se fit plus soutenu. Le soumis avait la bouche ouverte, le cou tendu dont on pouvait voir les veines grossir et battre plus rapidement aussi. Dans un dernier assaut, il se figea, ressortit sa bite et déchargea son foutre sur le visage d’une Margot essoufflée, haletante mais qui pouvait enfin respirer tout son saoul. C’est le visage plein de sperme qu’elle trouva l’orgasme qui la fit crier son plaisir. Les deux autres soumis, dessous et sur elle, avaient joui en même temps dans ses entrailles. Chacun était secoué de soubresauts à chaque spasme qui laissait passer une giclée de foutre gluant. Margot qui était loin de penser à ça, à se moment précis, avait été informée que tous les soumis et soumises étaient à jour de contrôle HIV et donc, n’avait rien à craindre de quiconque.
Une fois encore, Margot fut saisie et soulevée puis reposée sur le banc après que son enculeur se fut retiré. On l’installa le plus confortablement possible vu sa situation et sur un claquement de doigts, quatre ou cinq soumises et soumis se ruèrent sur elle afin de la lécher sur tout le corps. Tous ses orifices furent visités. Chaque parcelle de peau profita des langues mâles et femelles. Toute trace de spermes disparut en un instant. Mais ces caresses eurent pour effet de réveiller le démon dans le ventre de margot et elle eut un violent orgasme alors qu’un jet de cyprine arrosait celle qui était entre ses cuisses. Cette dernière, une fois le flot tari, dû recommencer son léchage ce que semble-t-il, elle fit avec délectation. Avec ce traitement, Margot qui n’avait encore jamais goûté aux femmes se dit qu’il faudrait qu’elle tente l’expérience. Celle-ci en tous cas lui plaisait beaucoup.
Elle fut ensuite détachée et elle put, doucement, récupérer l’usage de ses membres passablement ankylosés. « BHV » la prit aussitôt dans ses bras.
- Perle, ma princesse, tu as été formidable. Tu es belle quand on te baise. Tu es belle quand on t’encule. Tu es belle lorsque tu jouis. Je suis fier de toi. Tu m’as fait honneur ce soir et maintenant, ici, tous savent que j’ai encore la meilleure soumise. Viens, je t’emmène à la douche.
Margot resta un long moment sous le jet bienfaisant. Bien que très souple, quelques douleurs persistaient compte tenu de la position qu’on lui avait fait prendre. Ce n’était pas une position inconnue pour elle mais jamais si longtemps. Sa chatte et sa rondelle étaient encore un peu sensibles mais tout ça l’avait plutôt mise en appétit et une fois ragaillardie elle se dit qu’elle remettrait bien le couvert. Les mains enduites de gel douche elle se massa les lèvres vaginales et son petit trou du cul malmené il y a peu ainsi que sa poitrine dont les tétons durcissaient déjà.
« BHV » la récupéra à la sortie des sanitaires et l’entraîna de nouveau vers le centre de la pièce où la petite foule était toujours amassée. On y voyait deux soumis pénétrer une soumise debout entre eux deux. La soumise avait les poignets reliés à une chaine qui pendait du plafond. Le soumis qui était devant était plutôt petit et alors qu’il la baisait son nez se perdait entre deux énormes nibards. En même temps, armée de cravaches, leurs deux maîtresses s’appliquaient à leurs zébrer les fesses en les encourageant à bien fourrer cette petite chienne.
« BHV » Reprit Margot par la main et l’emmena un tout petit peu plus loin. Il lui fit remarquer un carcan comme celui qu’elle avait déjà testé au château. Avait-elle compris ou pensait-elle que c’était juste pour voir, toujours est-il qu’elle se positionna et son Maître referma sur son cou et ses mains la partie supérieure de l’engin.
- Perle, j’ai fait ton éloge de bonne suceuse auprès de mes amis, alors ne me déçois pas.
KneelDown, coq, Noste a liké
#142680
Bonjour à tous. Je commencerais par présenter mes excuses à tous ceux qui me font le plaisir d'apprécier ma modeste prose pour ce petit contretemps. J'ai changé de fournisseur d'accès et l'ancien m'a coupé la connexion alors que je n'avais pas encore reçu le matériel du nouveau. Voilà pour l'explication de mon silence. Je vous invite donc à lire ou dévorer l'épisode 19 que, semble-t-il certains attendent avec impatience. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
A deux c’est mieux.

- Mon cher Laurent notre petite salope de Margot est tout à fait au point pour passer un cap. Cela fait maintenant plusieurs soirées, voire week-ends complets que je l’emmène avec moi chez mes amis. Dans mon monde comme vous dites. Je crois que je ne lui apprendrai plus rien dans ce domaine. Elle a essayé tous les instruments qu’on lui a proposés. Elle s’est faites baiser, enculer dans toutes les positions. Elle a sucé des dizaines de bites de toutes tailles et avalé des litres de foutre. Elle ne m’a jamais rien refusé, ne s’est jamais plainte et je dirai même que bien souvent elle en redemandait.
- Ma foi, je pense que vous devez avoir raison. De mon côté je n’ai jamais constaté chez elle le moindre signe de lassitude. Notre vie commune est encore plus épanouie. Je profite bien de ses progrès sexuels et maintenant j’aimerai bien participer. Je suis un peu frustré je l’avoue et ça me démange de la prendre en main réellement.
- Oui, oui, je me doute. Et bien la prochaine soirée sera pour vous l’occasion de vous lancer aussi si je puis dire. Il faudra que vous me regardiez faire seulement. Votre présence ne devrait plus poser de problème mais vous n’êtes pas encore prêt pour devenir son Maître tout seul. Je veux que vous observiez bien tout ce qui se passe dans cette prochaine soirée. Il y a des codes. Vous devrez les apprendre. Si vous voulez être respecté en tant que Maître, vous devez respecter les soumis et soumises des autres Maîtres et Maîtresses. Comme vous serez avec moi c’est déjà un avantage. Je suis assez respecté dans le milieu.
- Oh mais je n’avais aucune intention d’imposer quoi que ce soit. Je sais bien que je suis novice dans ce domaine, surtout à côté de ma femme maintenant, elle qui est devenue une experte. Je ne voudrai surtout pas faire d’impair, je me conformerai à vos instructions soyez sans crainte.
- C’est très bien Laurent. Je vais faire de vous un bon Maître.

En fait, la soirée suivante a eu lieu au château. Gros avantage pour moi, je connaissais déjà l’endroit. De plus avec tous les récits des précédentes soirées, j’avais une petite idée de ce qu’on y faisait. En principe je ne devrai pas être trop surpris.
Margot, oui moi je continue à l’appeler Margot, du moins tant que je ne suis pas son Maître officiel, avait pour cette occasion, passé des bas « DIM up », un manteau de fourrure et des talons hauts. Oui, c’est tout. Rien d’autre. Comme toujours pas de sous-vêtement, mais cette fois-ci pas de robe ou autre non plus. Je lui en fis la remarque en montant dans la voiture car pour la première fois où j’étais présent à la soirée, je l’emmenais, mais elle me dit que de toute façon c’était pour l’enlever quasiment en arrivant, alors……
Alors oui, en effet, quel intérêt suis-je bête. Je vais finir par faire des économies, moi ! Et elle ne pourra plus me dire « je n’ai plus rien à me mettre » vu qu’elle ne met plus rien précisément. Il faudra que je lui en fasse la remarque à l’occasion. Mais bref, passons. Nous sommes arrivés au château et comme à l’habitude, Monsieur « croque-mort » est venu nous ouvrir. Nous sommes allés directement au grand salon où déjà plusieurs couples devisaient en buvant une coupe de champagne.
A peine entrés, Margot me quitta pour se réfugier entre les bras de « BHV ». Là, merde, j’avoue que ça m’a foutu un petit coup au cœur. Depuis le début de l’aventure, les récits et les photos que me faisait parvenir Bernard m’avaient bien habitué à la voir ou la savoir dans d’autres bras ou plutôt avec d’autres queues que la mienne dans ses orifices. Mais là, je me retrouvais seul comme un con alors que quand même, c’était ma femme, merde ! On a beau dire, mais ça fait drôle. D’autant plus que tout le monde, y compris « BHV » m’ignorait totalement. J’avais l’air d’être un cheveu sur la soupe. En même temps je devais sans doute être le seul mec sans sa soumise, alors forcément je devais faire tache. Mais bon, tant pis. Je me ressaisis et saisis du même coup une coupe de champagne qui passe à ma portée. Au moins je pourrai me consoler en me bourrant la gueule. Bon mais qu’est-ce que je débloque moi ? Calme-toi mon pote, ça va s’arranger. Va y avoir du cul tout à l’heure et tu seras aux premières loges. Et puis tu voulais voir ta petite Margot en live se faire défoncer la rondelle ? Et ben tu vas être servi ! Alors reste calme, bois ta coupe et observe. C’est bien ce que t’a dit « BHV » non ?
Comme dans la plupart des autres soirées, après avoir discuté, rigolé, bu et mangé, tous les invités sur l’impulsion du Maître de céant se dirigèrent vers la cave aux sévices. Bien entendu Margot connaissait parfaitement les lieux ainsi que tous les instruments qui s’y trouvaient. Moi même, sans y avoir jamais pénétré, j’en connaissais pratiquement les moindres recoins par les récits et photos que l’on m’avait transmis. A peine en bas, la plupart des soumis et soumises étaient quasiment à poil. Contrairement à « BHV », je pus constater que certains Maîtres ou Maîtresses avaient mis des colliers à leur protégé. D’autres, comme Margot avaient des signes d’appartenances plus discrets.
Une fille à gros nichons fut attachée sur la croix et deux autres se mirent à s’occuper d’elle. L’une lui tétait ses gros tétons rigides tandis que l’autre s’évertuait à lui brouter le minou qui, semble-t-il, coulait déjà. Peu de temps après un soumis, un grand noir baraqué se plaça derrière et l’empala après avoir trempé sa queue tendue dans le jus de moule. Vu la grimace que faisait la fille, l’objet avait un peu de mal à se frayer un chemin dans le trou du cul à peine lubrifié. Mais le black prenait son temps et après plusieurs va et vient, il finit par l’enfiler entièrement jusqu’à la garde, ce qui, vu la taille du gourdin, devait bien représenter près de vingt cinq centimètre de chair dans les entrailles de la suppliciée. Puis, après quelques allers et retours en douceur, alors que la soumise commençait à gémir, tant sous les caresses des deux autres qui continuaient leur manège, que par l’intromission du dard d’ébène, le rythme devint plus soutenu. Le black avait saisi les hanches et c’est à grands coups de reins puissants qu’il défonçait la rondelle dilatée. Des « han » de bucheron soulignaient chaque coup de bite auxquels répondaient de petits cris rauques lorsque la bouche n’était pas occupée à rouler une pelle à l’autre soumise.
Dans un autre coin, le carcan était lui aussi occupé. Mais c’était un soumis qui s’y trouvait entravé. Une bite de belle dimension lui entrait en cadence dans la bouche et une autre lui bourrait le fondement.
Un peu plus loin, une soumise avait la tête en bas. Elle était suspendue par les pieds, eux-mêmes attachés par les chevilles à une barre métallique qui tenait les jambes écartées au maximum. Son Maître jouait avec une manivelle qui faisait monter ou descendre l’ensemble selon son bon vouloir. Il stoppa l’ascension lorsqu’il jugea la bouche de sa soumise à la bonne hauteur pour sucer la bite qui se présentait à elle. Le possesseur de cette bite était du coup lui aussi à la bonne hauteur pour lui bouffer la chatte se qu’il fit avec délectation. Il mettait de grands coups de langue qui ne tardèrent pas à faire sortir le petit bouton de son capuchon de protection. Ce dernier prit d’ailleurs de belle proportion assez rapidement. Il faut bien dire que notre ami s’en donnait à cœur joie. Entre deux coups de langue il tirait sur le clito avec ses dents ou il le pinçait entre ses lèvres et jouait dessus avec sa langue. La fille avait bien du mal, la tête en bas, à respirer avec la bite dans la bouche et ses gémissements de plaisir. Et pour couronner le tout, son Maître lui enfonça un gode énorme dans le fion après l’avoir copieusement enduit de gel lubrifiant. Lors de la dernière poussée de l’objet qui l’envoya au maximum de sa longueur, sous la douleur, elle ouvrit grand la bouche se qui permit au soumis d’enfoncer son pieu au fond de la gorge et de décharger son foutre en saccades. La pauvre fille faillit bien s’étouffer avec cette position inconfortable où, probablement il lui était impossible de déglutir. Le foutre ressortait de sa bouche et lui coulait dans le nez, c’était encore pire. Elle secouait la tête pour s’en défaire et finit par retrouver son souffle. Mais comme la nature et son Maître ont horreur du vide, un second gode tout aussi énorme que le premier lui fut enfilé dans la moule. Celui la ne sembla pas la perturber. Et puis au moins elle pouvait à peu près respirer normalement.
Je finis par tomber, enfin si je puis dire, sur Margot, euh, sur Perle, enfin comme vous voulez. « BHV » était là aussi bien entendu. Il m’a vu et m’a fait signe de me mettre dans un coin, discrètement, pour bien voir sans être vu afin de ne pas la bloquer. Il y avait aussi Karim et Romain. Ils étaient eux aussi à poil. Alors là, moi qui, sans me prendre pour un apollon, me trouve pas si mal bâti, moi qui, sans être prétentieux pense avoir une bite dans la moyenne haute. Je mesurais la vanité de ma fierté de mâle dominant et le ridicule de ma queue à côté de ces deux gaillards. Sans déconner, comment pouvais-je lutter face à ces monstres ? Je comprenais vraiment maintenant pourquoi ma petite femme si fragile, si douce, si désirable, si « salope » était devenue accroc à ces deux machines à sexe. Bien sur j’avais eu les récits de ses exploits. J’avais vu les photos aussi. Mais là, pour de vrai comme on dit, c’était autre chose. C’est bien simple, la bite du marocain pendouillait, plutôt molle et on aurait dit la mienne en érection. Du moins par la taille car quand même, je bande dur aussi. Et je ne vous parle même pas de celle de Romain. Je ne risque pas d’aller poser la mienne à côté de la sienne. C’est des coups à aller se suicider de honte.
Mais bon, revenons à nos moutons. Au centre du cercle formé par les spectateurs trônait une table. Une table normale. Genre table de salle à manger. Mais en bois massif, du chêne sans doute vu la couleur, tout à fait raccord avec le lieu. Une espèce de matelas avait été posé dessus et sur un bref signe de « BHV », Karim s’allongea dessus, sur le dos. Un autre petit signe et une soumise vint se mettre à califourchon sur le marocain, lui présentant ainsi au dessus du visage, son entre cuisses où il s’empressa de mettre son nez. Elle, se baissa et attrapa la bite molle qu’elle engouffra dans sa bouche. Rapidement l’action manifestement efficace de la suceuse redonna vigueur au membre viril. Il faut bien dire qu’elle y mettait du cœur. Elle avalait quasiment entièrement la colonne de chair car son nez se perdait dans les plis des couilles de Karim. Je suppose que le gland devait lui chatouiller les amygdales. En se retirant une dernière fois, la petite foule put admirer un pieu bien dressé et dur. « BHV » tapota la fesse de Perle qui se tenait à côté de lui. Ce fut le signe pour elle, de passer à l’action. Elle monta à son tour sur la table, un pied de chaque côté de Karim, face à la soumise qui se faisait toujours bouffer la chatte. Elle se baissa doucement au dessus du pieu dressé et s’empala à fond. Elle était carrément assise, la bite au fond du vagin. Tout doucement elle commença à se relever puis à redescendre sans jamais laisser sortir l’engin. La soumise lui attira la tête et Margot, enfin Perle, se retrouva le visage dans ses nichons. L’excitation montait. Karim donnait de grands coups de langue dans la moule béante et remontait jusqu’à la rondelle qui frémissait sous la caresse. Perle suçait les tétons faisant ressortir les bouts en les serrant avec ses mains. Parfois la soumise lui remontait le visage au niveau du sien et lui roulait de grosses pelles baveuses et passionnées. Sur un dernier signe de « BHV », c’est Romain qui entra en scène. Il monta lui aussi sur la table, derrière Perle (ça y est, je m’y fait à ce nouveau prénom. Il s’agit que je ne me trompe pas quand on sera au dehors !). D’une main il appuyait sur son épaule pour qu’elle se baisse au niveau de la cuisse de l’autre soumise, offrant ainsi un meilleur accès à son trou du cul. De l’autre il peaufinait la raideur de son membre en se branlant doucement. « BHV » lui tendit un flacon de gel lubrifiant dont il s’enduit le gland et en déposa une giclée à l’entrée de l’orifice encore disponible. L’excitation et sans doute le simple fait d’avoir senti le gel lui couler dans la raie, sa rondelle s’est entrouverte. Romain n’hésita pas un instant et en profita pour y glisser son gland fraichement lubrifié. Le muscle se détendit et avala l’objet aussitôt. Ensuite par petit peu, c’est toute la queue qui s’enfonça au fond de son cul. Je savais bien qu’elle l’avait déjà fait mais je n’en revenais pas. Devant moi, ma femme, oui ma femme, avait une bite marocaine d’une bonne vingtaine de centimètres dans la chatte et en même temps une bite toute noire de près de trente centimètre dans le rectum ! Et qu’est-ce que ça me faisait ? Étais-je jaloux ? Ben non. Étais-je excité ? Ben …. Euh, merde oui je bande bordel !! Pour moi c’était un signe. J’étais capable non seulement de le supporter mais en plus, ça m’excitait. Donc à priori, je devais être sur le bon chemin pour devenir à mon tour un Maître.
Alors que toutes ces pensées venaient de me traverser l’esprit, le trio s’était mis en branle (curieuse expression). Lorsque Karim s’enfonçait, c’est Romain qui se retirait. L’autre soumise caressait le dos de Perle et se faisait toujours bouffer le minou. Le rythme commençait à s’intensifier. La sueur perlait sur les corps, celui de Romain brillait comme s’il était huilé. Les gémissements se faisaient plus rauques. La queue d’ébène entrait et ressortait à une cadence de plus en plus rapide. Même la deuxième soumise râlait en fermant les yeux et en se triturant les nibards. Perle la première fut prise de tremblements et cria sa jouissance en se cambrant d’avantage. Romain la suivit de prêt et déchargea sa semence sur ses reins dans un cri de gorge assourdi par la crispation de ses mâchoires. Puis se fut au tour de Karim de retirer sa bite des entrailles de Perle et de lâcher un geyser de foutre qui retomba sur les fesses encore secouées de spasmes orgasmiques. L’autre soumise se mit aussitôt en devoir de lécher le sperme qui enduisait le corps repu de ma petite femme chérie. Putain, quel beau spectacle !!! C’est pourtant vrai qu’elle est magnifique quand elle baise. Il faudra que je lui dise.
Perle, non Margot, je t’aime ! Cela aussi il faudra que je te le dise.
KneelDown, Noste a liké
#142784
J'ignore si j'ai autant de talent que vous voulez tous m'en prêter, mais il est vrai que j'ai beaucoup d'amour pour ma femme qui a bien voulu que je la guide toutes ces années. Bien sur comme vous le savez cette histoire est grandement inventée, fantasmée parfois mais un peu de vécu (par nous ou des amis) vient parsemer le récit.
Merci de vos appréciations, particulièrement à toi Milli qui trouve toujours les mots justes. Mon affection t'es acquise.
Noste a liké
#145090
Vos désirs sont des ordres cher totof, voici donc l'épisode 20. Bonne lecture à tous et comme toujours, merci de vos appréciations, les auteurs en sont toujours friands. Comme le faisait remarquer Milli, très peu de commentaires au regard du nombre de lecteurs. Mais bon.........

Quand Margot devient chienne.
Et Laurent change d’avis.

- Alors mon cher Laurent, qu’avez-vous pensé de notre petite soirée ? Elle assure bien notre petite salope, non ? Qu’en pensez-vous ?
- Oh oui tout à fait ! Pour assurer elle assure. J’avoue qu’au début j’avais un peu peur, mais après une fois dans l’ambiance, je me suis trouvé à l’aise.
- Et ?
- Et ma foi tout c’est bien passé. Je reconnais que bien que je savais ce qu’elle faisait j’appréhendais bien un peu de vivre ça en live. Je pensais être jaloux, gêné, surtout quand je voyais cet énorme boudin noir lui rentrer dans le cul, j’avais mal pour elle. Et finalement rien de tout ça, c’est même le contraire, je me suis aperçu que je bandais comme un âne.
- Et bien vous voilà rassuré ! On va pouvoir s’occuper de vous maintenant.
- Euh, justement, non.
- Comment ça non ?
- Ce ne sera pas nécessaire.
- Mais si, mais si ce sera nécessaire. Bon d’accord vous avez bien observé l’autre soir mais ce n’est pas suffisant. Il y a des codes que je vous apprendrais, nous allons officier en binôme au début et peu à peu je vous lâcherais la bride. Elle est presque prête, vous allez l’avoir à votre main faites-moi confiance.
- « BHV ».
- Oui ?
- Justement je ne veux pas la prendre en main.
- Hein ?! Quoi ?! Mais pourquoi ? Je vous dis qu’elle est quasiment prête.
- Ce n’est pas ça. En fait je ne me sens pas capable d’être son Maître le soir et faire comme si de rien n’était dans la journée. Je ne pourrais pas. Je suis très heureux de vous l’avoir confiée pour en faire la salope qu’elle est devenue mais moi je ne veux que ma femme. Gardez la. Faites la encore progresser dans la soumission, mais moi je veux juste ma femme et je profiterai de ses talents quand même ce qui n’est pas si mal.
- Bon. Comme vous voudrez. En même temps j’avoue que je ne suis pas mécontent de garder une belle pouliche comme elle dans mon écurie. Si c’est votre souhait je la garde encore alors. Mais si vous voulez venir à nos petites soirées, pas de problème, ce sera quand vous voulez.
- Merci, je ne dis pas non. De temps en temps peut-être.

Le temps était maussade. Il ne pleuvait pas mais le ciel était bas, chargé d’humidité. Il faisait froid. Dans l’atelier régnait une douce chaleur. Perle posait. « BHV » travaillait pour de vrai sur une toile.
- Maître ?
- Oui ?
- Qu’est-ce que tout ça va devenir ?
- Hein ? Quoi ?
- Je veux dire, nous. Laurent, moi, vous. Où tout cela nous mène-t-il ?
- Es-tu en train de me dire que tu veux arrêter ?
- Non, ce n’est pas ça.
- Alors quoi ? Et reprend la pose je ne vois plus ta chatte.
- Pardon, oui.
- Alors quoi ?
- Je ne sais pas trop. J’aime nos soirées. J’aime mon mari. Mais je me demande comment cela va finir. Car ça finira bien un jour, non ?
- Sans doute ma princesse, mais ce n’est pas pour demain, alors que veux-tu ?
- Je ne sais pas.
- Du changement ? De l’imprévu ?
- Peut-être, qu’en pensez-vous ?
- Il faut voir. Quelle heure est-il ? Attends je regarde. Habille toi je t’emmène déjeuner.

C’était un restaurant très cosy. Du bois, du cuivre, du cuir. Un peu anglais. Mais cuisine française, il ne faut pas déconner tout de même.
« BHV » commanda pour eux deux. Une crème brulée au foie gras pour commencer et un confit de lapin au romarin avec une petite purée de vitelottes aux noisettes. Il verrait après pour le dessert dit-il au maître d’hôtel. Le foie gras étant servi avec un verre de muscat du Cap Corse, il demanda un Chinon pour boire sur le lapin au sommelier.
Les mets étaient vraiment délicieux. Le restaurant était calme et « BHV » ne semblait pas vouloir parler. A peine s’il demandait à Perle ce qu’elle pensait du repas.
Finalement ils ne prirent que des cafés, il ne leur restait plus de place pour un dessert.
- Perle ?
- Oui Maître.
- Tu vois le monsieur seul, là bas, dans le box en face ?
- Oui, bien sur, pourquoi ?
- Je veux que tu ailles le voir.
- Hein ?! Mais pourquoi ? Je ne le connais pas.
- Justement. Tu vas t’asseoir à sa table et tu t’arranges pour lui montrer ta chatte.
- Maître, non ! Pas ça !
- Obéis ! Tu vas à sa table et tu lui dis que tu veux le sucer.
- Mais ça va pas ! Il va me gifler ! Il va me prendre pour une pute !
- Obéis ou disparais !
Perle fut un instant pétrifiée. Que devait-elle faire ? Obéir ? Partir ? Mais partir, c’était à jamais. « BHV » ne voudra jamais la reprendre après un tel affront. Alors elle se leva et commença à marcher timidement vers le box d’en face. Un regard en arrière vers l’œil noir de son Maître la décida définitivement.
- Euh … Bon … Jour monsieur.
- Bonjour jeune femme, que puis-je pour vous ?
En s’asseyant, Perle s’était arrangée pour soulever sa robe sans être vu des autres clients. Elle était assise le cul nu sur la molesquine du siège. Dissimulée par la table il n’y avait que l’intéressé pour la voir. Aussi elle releva encore un peu sa robe et là, il ne pouvait pas manquer de voir sa chatte d’autant qu’elle avait écarté ses cuisses.
- Mais que me voulez-vous madame ?!
- Euh … Si vous voulez je peux vous … Euh … Sucer.
- Hein ? Mais je n’ai fais appel à personne ! Je ne veux rien vous devoir.
- Mais c’est gratuit.
- Mais et votre mari là bas, que va-t-il dire.
- Rien du tout, il aime que je fasse ça. Alors vous voulez bien ?
- Et bien, vu comme ça, ce n’est pas pareil en effet.
- Vous me suivez aux toilettes ?
- J’arrive dans une minute.
En attendant dans les toilettes des femmes, Perle se refaisait une beauté. Elle vérifiait sa coiffure, retouchait son maquillage et ajustait sa petite robe.
L’homme ouvrit la porte et lui dit de le suivre. Elle s’exécuta et ils pénétrèrent dans les toilettes hommes. Contrairement aux soirées habituelles, le lieu était fortement éclairé et il y avait beaucoup de miroirs. De plus, « BHV » avait insisté pour qu’il la fasse venir dans les toilettes hommes pour la déstabiliser un peu plus. L’homme s’adossa au lavabo et regarda Perle. Elle n’était pas très à l’aise et regardait le bout de ses souliers.
- Alors ! Tu attends quoi ? Tu m’as bien fait venir pour me sucer ou pour me dire des poèmes ?
- Je viens monsieur.
- A poil d’abord !
- Hein ? Mais … Je …
- A poil je te dis salope !
Elle fit passer sa robe par dessus sa tête et vu qu’elle ne mettait plus rien dessous elle se retrouva complètement nue si ce n’est ses escarpins. Elle s’approcha de l’homme et commença à défaire sa ceinture. Il en profita au passage pour lui peloter les nibards. Ensuite elle défit le bouton du pantalon et fit descendre le zip de la braguette. Elle se mit à genoux en baissant le pantalon et le caleçon et découvrit une bite en semi érection de taille moyenne. Plutôt fine au bout mais plus épaisse vers le pubis. Elle léchouilla le gland du bout de sa langue. Lui, trouvant que ça n’allait pas assez vite, appuya sur sa tête et enfourna sa queue jusqu’au fond de la gorge de Perle. Elle eut un haut le cœur et faillit s’étouffer. Un réflexe de retrait lui permit de faire ressortir la bite et de reprendre son souffle. Elle repris sa besogne en lui faisant comprendre que c’est elle qui imposait le rythme. Il posa ses mains en appui de part et d’autre sur le lavabo. Il avait la tête renversée en arrière, la bouche ouverte et il râlait de plaisir.
Sa queue était devenu bien raide et les veines apparentes comme sculptées dans la chair. Perle sentait le plaisir monter dans la verge qu’elle avalait par moment jusqu’à la garde. Lui aussi sentait bien qu’il allait éjaculer. Il se retira.
- Lèves toi salope ! Mets toi contre le lavabo ! Je vais t’enculer !
- Mais ! Monsieur, non ! Ce n’est pas prévu !
- Tais toi ! Petite pute ! Penches toi sur le lavabo, oui comme ça. Et écarte tes fesses avec tes mains, voilà c’est bien.
Il passa sa main entre les cuisses de Perle et remonta dans le sillon des fesses.
- Mais tu mouilles ma salope ! T’aimes ça hein te faire enculer !
- …
- Dis le que tu aimes ça !
- Euh … Oui.
- Oui quoi ?
- J’aime ça.
- Tu aimes quoi ? Allez pouffiasse dis le que tu aimes te faire enculer !!!
- Euh … Ouuui … J’aime ça … Euh … Me faire … En … culer.
- Et ben tu vois ! Allez, écartes les bien tes fesses de pute !
Perle n’en revenait pas. Jamais « BHV » ne lui avait parlé ainsi. Même dans les soirées. Parfois c’était assez hard, mais le langage n’était jamais aussi cru. Quel salaud ce mec ! Comment il me traite. D’un autre côté elle se dit qu’elle était dans les toilettes d’un restaurant en train de sucer et de se faire enculer par un homme inconnu quelques instants auparavant. Vu de l’extérieur, que pouvait-on en dire ? Elle était bien ce qu’il disait, une pute gratuite !
L’homme s’enfonça dans sa chatte d’un seul coup. Il lubrifia son membre dans le jus que Perle distillait abondamment et présenta son gland à l’entrée de son trou du cul. Il écarta lui-même un peu plus ses fesses et entra une partie de sa queue. Il resta immobile quelques secondes et enfonça le reste au maximum. Il était tellement excité qu’après quelques va et vient il se retira vite et appuya sur l’épaule de Perle afin qu’elle se retourne, se baisse et enfourne la queue tendue qui gicla son foutre aussitôt. Elle dut avaler le sperme ; il lui tenait la tête et elle ne pouvait pas se dégager. Dès qu’elle le put, elle attrapa sa robe qu’elle remit en vitesse et s’échappa des toilettes hommes.
Arrivée en haut des marches, elle courut jusqu’au box où l’attendait « BHV » et elle se colla littéralement à lui.
Ce qu’elle ignorait bien sur, c’est que « BHV » lorsqu’il avait réservé la table au restaurant, avait aussi prévenu le patron de son petit stratagème. Et c’est précisément le patron qui avait déjeuné dans le box d’en face et qui c’était dit qu’après tout une petite pipe après le repas ne pouvait pas faire de mal.
- Alors ma princesse, tu voulais du changement, de l’imprévu. Te voilà servie non ? Et rassures toi, ce n’est qu’un début.
#146428
Bonjour amis lecteurs. Voici l'épisode 21. Bonne lecture et comme toujours, merci de vos commentaires, si rares soient-ils.

Quand Margot devient chienne.
Et la fête continue.

Ce jour là encore, Perle et son mentor était au restaurant. Pas le même que l’autre jour mais un peu dans le même style. Elle se dit que « BHV » devait apprécier ce genre de décor. Et finalement, elle aussi. C’était cossu, chaleureux et tranquille, on n’entendait pas les conversations des autres clients, à peine le bruit des fourchettes dans les assiettes. En entrant, « BHV » s’est directement dirigé vers le fond de la salle, Perle dans son sillage. Un serveur qui semblait l’attendre ouvrit une porte et ils pénétrèrent dans un salon privé. À leur arrivée, trois hommes et une femme se levèrent pour les saluer. « BHV » présenta Perle un peu comme sa dernière acquisition, elle en fut vexée. Mais très vite il fit l’éloge de ses qualités ce qui lui fit bomber machinalement le torse, mettant ainsi sa poitrine en avant. Chacun la complimenta sur sa beauté et sur les talents que lui prêtait son Maître.
Perle observait chacun des convives à la dérobée, mais il lui semblait bien qu’elle ne connaissait personne. Après l’apéritif où quelques banalités d’usages sur le temps, la politique et les embouteillages furent égrenées, trois serveurs apportèrent des assiettes sous cloches devant chacun. Comme dans un ballet bien réglé, ils prirent les cloches deux à deux et soulevèrent de concert, laissant échapper les effluves épicées d’une assiettées de gambas.
Tous avaient faim aussi le début de la dégustation fut silencieux. Puis, peu à peu la conversation reprit. Maintenant c’était plus sérieux. On abordait sembla-t-il à Perle, le marché de l’art. On parlait tableaux, galeries, expositions, Tokyo, Londres, milan. Tout un tas de choses auxquelles elle ne comprenait quasiment rien. « BHV » parlait de billet d’avion, de séjour, de décalage horaire. Mais si il part je devient quoi moi ? Se demanda-t-elle. Ou alors il va m’emmener. Oui c’est ça, je vais aller avec lui dans ces galeries d’art, ces expositions à travers le monde. Il va me faire découvrir d’autres horizons, d’autres gens. Je vais me faire sauter par des chinois, des japonais, des indiens, des colombiens. Il sera fier de moi.
- Perle !
- …
- Peeerle !!
- Hein ? Oh oui, pardon. Que …
- Et bien où étais-tu ? Je t’ai appelée quatre fois avant que tu ne daignes revenir parmi nous. À quoi penses-tu ?
- Oh, rien, rien du tout. C’est votre conversation, toutes ces villes à travers le monde, je rêvais c’est tout. Excusez-moi Maître.
- Bon ce n’est rien, je te comprends d’ailleurs. Mais maintenant ces messieurs et peut-être aussi cette dame ?
- Euh, oui je veux bien. Répondit l’intéressée.
- Et donc cette dame, souhaitent avoir un petit aperçu de tes talents.
- Ah bon ? Comment ça ?
- Oh c’est très simple, tu passes immédiatement sous la table et tu satisfaits chacun de ces messieurs et madame. Peut-être d’ailleurs en commençant par elle, galanterie oblige…
- Que je …
- Oui c’est ça, allez exécution, ne m’oblige pas répéter.
- Mais …
- Perle !!! Et arranges toi pour que les habits de ses messieurs et dame ne soient pas tachés, ils doivent retourner au bureau après déjeuner.
Alors elle se coula sous la table et commença sa besogne. Comme convenu elle s’approcha des jambes de la femme. Cette dernière avait remonté sa jupe et s’était avancée sur le devant de sa chaise. Perle posa ses mains sur les genoux et caressa les cuisses en remontant jusqu’où la chair est à nue. Elle entendit des gémissements signe que ses mains étaient efficaces. Elle revint aux genoux et fit une pression vers l’extérieur pour les écarter. Elle avança son visage entre les cuisses et leur fit quelques baisers appuyés. Elle passa ensuite ses mains derrière les fesses de la femme et l’obligea à s’avancer d’avantage. Enfin à portée de langue, la coquine voyageait elle aussi sans culotte, elle enfouit son nez dans la fine toison d’où perlait déjà une chaude humidité. Perle réussit à passer ses bras sous les genoux de la femme et les posa sur ses épaules. Ainsi positionnée, la chatte était plus accessible et s’ouvrait légèrement. Perle lui mit quelques grands coups de langue de bas en haut qui la firent encore frémir. Puis elle tira sur les grandes lèvres et commença à titiller le petit bouton qui sortait de sa cachette. Il devint rapidement gros et un flot de cyprine arrosa Perle qu’elle s’efforça d’avaler entièrement. La femme venait de jouir.
Elle s’attaqua, si on peut dire, à l’homme qui se trouvait à la droite de la femme. Il avait déjà sorti sa bite de sa braguette et se branlait en attendant son tour. En faisant un rapide tour d’horizon elle constata qu’il en était de même pour les deux autres. Elle se saisit donc de la première bite et continua de la branler. Celle-ci n’était pas bien grosse au regard de ce qu’elle avait pris l’habitude de chevaucher. Elle s’appliqua néanmoins à lui donner du plaisir et avala en totalité le foutre au demeurant peu abondant de son premier candidat.
Elle passa au second sans attendre et constata que celui la était déjà près de l’apoplexie tant sa bite était violacée. De fait elle n’eut pas beaucoup à sucer qu’il se déversait déjà dans sa gorge. Et pas une goutte à coté. On a sa fierté …
Le troisième avait un braquemard de belle taille. Elle se cogna d’ailleurs la tête sous la table en voulant le prendre en bouche. Elle dû la tirer vers elle pour pouvoir l’emboucher plus aisément. Là, par contre elle dû s’employer un bon moment avant de le faire cracher son venin. L’intéressé avait réussi à passer ses mains sous la table et tenait la tête de Perle afin de l’obliger à faire des gorges profondes qui avaient le don de lui donner la nausée, surtout lorsqu’elle était forcée. A son rythme, ça allait, elle maîtrisait sa respiration. Finalement elle réussit à se dégager et fit jouir le troisième et dernier.
Le bruit des zips qu’on remonte fut le signal pour elle de revenir à la surface. Elle n’osait regarder personne. Honteuse. Mais « BHV » la félicita et tout le monde loua ses talents. Même la femme fit son éloge et assura que personne ne l’avait si bien léchée depuis longtemps et la remercia de l’avoir fait jouir si fort. Chacun se leva ensuite afin d’ajuster ses vêtements. Tous saluèrent et remercièrent « BHV » en le félicitant encore pour sa soumise hors paire.
Restés tous les deux dans le petit salon, le silence devint rapidement pesant. Perle n’osait rien dire et attendait la suite des évènements. « BHV » semblait réfléchir puis se leva à son tour et fit signe à Perle de le suivre.
Ils quittèrent le restaurant toujours en silence. La voiture n ‘était pas loin, en les apercevant à la porte le « croque-mort » démarra et vint se poster devant eux. Ils s’y engouffrèrent et ce n’est qu’une fois installés que « BHV » se décida.
- Perle.
- Oui ?
- Ne m’interrompt pas je te prie.
- Pardon Maître
- Je suis très déçu …
- Mais qu’est-ce …
- Je t’ai demandé de ne pas m’interrompre !... Je reprends. Je suis très déçu. Tu sembles ne pas vouloir m’obéir comme je le souhaite. C’est très désagréable pour moi, surtout devant mes amis. Je te demande certaine chose et tu hésites. Je sens même que parfois tu es sur le point de refuser. Je ne peux tolérer une telle attitude. J’avais confiance en toi. Je t’ai toujours bien traitée me semble-t-il. J’ai toujours veillé sur toi. Et toi pour me remercier tu me ridiculises devant mes amis. De plus, lorsque je te dis d’aller sucer quelqu’un, ce n’est pas pour te faire enculer comme l’autre jour dans les toilettes sans mon autorisation. Je ne peux pas continuer ainsi, aussi je ne vois que deux solutions. Ou bien tu rentres chez toi et tout s’arrête ou bien …
- Non Maître !!! Ne me laissez pas je vous en supplie ! Punissez-moi ! Faites ce que vous voulez de moi mais ne m’abandonnez pas. Dites-moi ce que vous voulez je le ferai. N’importe quoi, j’obéirai c’est promis. Je ferai la pute pour vous si vous voulez. Vous me voulez salope je le serai. Dites-moi Maître, dites-moi.
- Effectivement, il y a cette solution. Je peux te punir. Puisque c’est ce que tu sembles vouloir je vais y réfléchir.
- Oh oui Maître punissez-moi ! Dites-moi !
- Je t’ai dis que j’allais y réfléchir, alors ça suffit.

« BHV » laissa passer quelques jours. Il ne la fit pas venir chez lui, ni ne l’appela. Il la laissait mijoter. Elle devait être tourmentée se disait-il à se demander ce qu’il allait bien pouvoir lui trouver comme punition. C’était une bonne chose. On pouvait même considérer que cela faisait partie de la sanction. En même temps il se demandait ce qu’il allait bien pouvoir trouver comme punition. La faire baiser ou enculer lui donnerait plus de plaisir que de peine, même de façon intense. Et puis même pour la punir il ne voulait pas l’emmener n’importe où ni avec n’importe qui, alors ? Que faire ? A priori il ne lui restait plus qu’une seule option : « la douleur physique ». Oui, c’est ça. Je vais la faire un peu souffrir. Pas trop fort tout de même. Mais il faut qu’elle y goûte. C’est même une très bonne idée de punition. Comme elle n’aime pas ça, ce sera encore plus dur pour elle. Je ne serai pas trop méchant mais il faut qu’elle le croit. D’abord pour ma crédibilité et puis on ne sait jamais, elle peut y prendre goût. Allez, c’est décidé, on y va pour les douleurs physiques.
Après ces réflexions, « BHV » attrapa le téléphone et m’appela.
- Bonjour mon cher Laurent, comment allez-vous ?
- Bonjour Bernard, fort bien et vous même ?
- Très bien aussi je vous remercie.
- Qu’est-ce qui vous amène, rein de grave j’espère ? Il est si rare que vous m’appeliez.
- Non, non, rien de grave rassurez-vous. Margot ne vous a rien dit ?
- Euh, non. Comment ça ? A quel propos ?
- Par rapport à elle.
- Non, pas que je sache.
- J’ai décidé de la punir.
- Ah bon, pourquoi ?
- Elle ne m’a pas obéi comme je le souhaitais.
- Ah ? Et ?
- Et bien je l’ai menacée de ne plus m’occuper d’elle et elle m’a supplié de la punir mais de la garder.
- Ah bon. Très bien. Et que viens-je faire là dedans ?
- Et bien je voulais vous prévenir d’une part et d’autre part vous demander votre avis aussi.
- Mon avis !??
- Oui votre avis car j’ai pris une décision mais je voudrais quand même votre approbation.
- Ah ? Et que dois-je approuver ?
- Et bien je me suis dis qu’une punition tournant autour du sexe pur ne serait pas vraiment une punition pour elle vu comme elle aime ça.
- Oui je me doute, alors ?
- Alors j’ai pensé avoir recours à la douleur.
- La douleur !!!?? Comme vous y allez !
- Ne vous emballez pas. Je ne lui ferai rien de très dur rassurez-vous. Je ne suis pas fou non plus. Mais je me dois de marquer le coup de manière assez nette. Je pensais à quelque chose d’assez soft. Quelque chose qui ne laisse pas de marque vous voyez ?
- Ah je préfère ça. Nous étions bien d’accord, pas de violence.
- Non, non, pas de souci de ce côté. D’ailleurs si vous le voulez vous pourrez être présent. Même caché.
- Euh, je ne sais pas. Je vais voir, peut-être. Enfin je ne crois pas avoir envie de la voir souffrir, même si c’est juste un peu. Je vous dirai ça plus tard. Au fait, vous avez prévu ça quand ?
- Ce week-end.
- Très bien.

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