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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#109470
Bonjour à tous et merci de vos appréciations. C'est agréable de savoir que ça plaît.J'espère qu'il en sera de même pour la suite. Voici l'épisode 11. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
De nouvelles sensations.

« BHV » l’avait laissée récupérer. Ils étaient maintenant assis tous les deux côte à côte sur le bord du lit. Margot semblait ailleurs, perdue dans ses pensées. Elle était toute molle. Les mains posées sur ses cuisses toujours ouvertes, le dos vouté, molle quoi. « BHV » lui s’était rhabillé. Il attendait patiemment qu’elle recouvre ses esprits.
Il comptait l’amener habilement à se dévoiler en la questionnant mine de rien sur ce qu’elle venait de vivre, afin d’orienter dans un sens où dans l’autre son dressage et d’en faire une soumise plutôt SM ou essentiellement sexuelle. Il se demandait comment amener le sujet. Quelle serait sa première question. Mais il ne s’attendait surement pas à ce que ce soit Margot qui aborde le sujet et en plus de façon direct.
- Bertrand, je voudrais vous remercier. Vous venez de me faire vivre des sensations dont je ne me doutais pas qu’elles puissent exister. Déjà hier, la main de Karim était extraordinaire. Mais aujourd’hui, j’ai joui comme jamais. Bon d’accord j’ai un peu mal à mon petit cul, mais franchement c’était génial, j’ai pris un pied d’enfer. J’ai adoré être attachée sur cette croix. Je n’avais jamais connu un truc pareil auparavant. Je vous soupçonne d’avoir un peu prémédité tout ça. Mais je ne vous en veux pas, soyez tranquille, j’ai vraiment aimé. Et ce gros gode, ouah !! Je n’en ai pas de si gros à la maison mais ça va changer. Vraiment Bertrand merci, merci beaucoup.
- Margot je suis ravi si vous êtes comblée. Je ne demandais que ça. Mais je vous dois la vérité Margot. Il est vrai que j’avais vu en vous ce potentiel érotique. Ce n’est effectivement pas par hasard si je vous ai proposé ces séances de pose. J’ai ce modeste talent de déceler chez certaines personnes les aptitudes à la sensualité. J’avais senti chez vous ce besoin de contact charnel. Je n’ai fait que mettre les outils nécessaires à votre disposition, finalement c’est vous qui avez tout fait. J’ai juste fait se croiser les circonstances, c’est tout.
- Oh, le modeste !!! Vous avez fait beaucoup plus oui. Merci encore.
- Et bien Margot, et maintenant, que voulez-vous faire ?
- Ce que je veux faire ? Comment ça ? Continuer à poser, c’est ça ?
- Oui, si on veut.
- Ah ! Je vois.
- Que voyez-vous Margot ?
- Cela vous ferait plaisir que l’on continue à essayer ces engins ? C’est bien ça non ?
- Comme je vous l’ai déjà dit je ne veux pas vous forcer. Tout ceci est à votre disposition. Je peux continuer à vous initier à leur utilisation et même d’avantage.
- Je suis d’accord.
- Vous … Vous êtes d’accord ?
- Oui, c’est ce que je viens de dire.
- Alors rendez-vous demain.
Cette fois-ci, le retour lui fut agréable. Elle se repassa le film de la séance dans sa tête et si d’autres automobilistes ou passants l’ont un peu observée, ils devaient tous se demander pourquoi elle avait se sourire au lèvres et même parfois pourquoi elle éclatait de rire comme une fada.
Quand elle y repensait, nom de dieu quel pied elle avait pris. Elle n’en revenait toujours pas que son trou du cul soit si élastique. Incroyable que si rapidement elle ait pu se faire défoncer l’oignon par une si grosse queue. Déjà il lui semblait que « BHV » lui avait inséré trois doigts pour la dilater afin d’y fourrer son mandrin boursouflé. Et se disant cela elle regardait sa main en joignant trois de ses doigts pour avoir une idée de se qui lui avait fendu le cul. Merde, quand même se dit-elle, c’est pas rien. Oh et puis ce gros gode noir, vraiment super. Que c’était bon aussi. Faudra que j’essaie un vrai. Mais qu’est-ce que je dis, ça va pas non, t’es folle ma vieille !! Mon Laurent me baise très bien, j’ai pas besoin d’une grosse queue de black. Mais quand même putain, c’était bon !!!
Elle rentra à la maison tout guillerette. Jeta son sac sur le bureau de l’entrée et se rua sur moi. Elle me sauta au cou les jambes autour de mes hanches. Je dus l’attraper par les fesses pour la soutenir même si elle n’est pas très lourde.
- Et bien dis-moi, tu as l’air heureuse. Que se passe-t-il ? T’as gagnée le gros lot ?
- Mais non gros béta, je suis juste contente de te retrouver, c’est tout.
- Ah bon, ben d’accord, c’est que d’habitude tu n’es pas autant expansive.
- Ah bon ? Et bien aujourd’hui je suis sans doute encore plus en forme que d’habitude. Tu veux voir ?......
- Je te vois venir grosse cochonne. Mais dis donc, si je ne m’abuse je ne sens pas de string sur ces grosses fesses de dévergondée, hein ?!
- Oh à quoi bon puisque tu me le retires toujours.
- C’est pas faux.
- Bon alors on fait quoi ? On baise et on prend l’apéro ou le contraire ?
- Et bien Margot, je te vois sous un nouveau jour ! Sont-ce tes séances de pose qui ont cette influence sur toi ? Tu commences à m’inquiéter.
- Mais non. C’est que je vais bien. Je suis heureuse, je t’aime et j’ai envie de toi, c’est tout. Tu n’as pas envie de moi, toi ? Je ne te plais plus ?
- Mais si, bien sur, que vas-tu chercher là. Je t’aime, je t’adore même. Je suis tellement heureux que tu sois épanouie et que tu sois une grosse cochonne. Allez, viens, on va baiser.

Le lendemain au château, c’est ainsi que Margot et moi nous appelions la demeure de « BHV », elle arriva avec dix minutes d’avance. « BHV » qui l’avait vue se garer devant le perron avait eu un grand sourire. Décidément se dit-il, je crois que ça va aller plus vite que je ne le pensais. Cette petite salope en redemande. Et bien elle va être servie. Il la laissa seule aller dans l’atelier se déshabiller. Il la guettait et la vit redescendre rapidement dans son antre moyenâgeux. On dirait qu’elle n’a plus peur de l’escalier de pierres pensa-t-il. Karim ne devrait plus tarder, ni Romain d’ailleurs.
Eh oui ! La petite salope allait avoir une petite surprise aujourd’hui. Elle disait avoir pris son pied hier, et bien elle allait voir aujourd’hui ce qu’était la jouissance avec deux pieux dans le ventre. Et pas des petits gabarits.
Le temps de régler quelques détails avec ses deux acolytes et il descendit, avec Karim, retrouver Margot.
- Vous êtes déjà là ma chère Margot ? Quel empressement dites-moi.
- Oh, c’est un hasard, ça roulait beaucoup mieux aujourd’hui.
- Très bien, très bien. Alors nous allons pouvoir commencer si vous le voulez bien, Karim est avec nous aujourd’hui, ça ne vous dérange pas au moins ?
- Pas du tout, bien au contraire.
- Ah ! Parfait alors. Dites-moi que voudriez-vous tester comme engin aujourd’hui alors ?
- Je ne sais pas trop. Il y en a certain dont je n’ai pas vraiment d’idée précise sur leur utilisation.
- Que diriez-vous dans un premier temps de vous retrouver dans la peau d’une suppliciée du moyen âge ?
- Pourquoi pas, ça consiste en quoi ?
- Oh, c’est tout bête, vous serez entravée dans ce carcan c’est tout.
- C’est tout vraiment ?
- Oui enfin, peut-être que Karim votre bourreau vous fera subir quelque châtiment. Mais je vois dans vos yeux que cette éventualité ne doit pas vous déplaire, je me trompe ?
- Oh ! Maître ! Vous me faites rougir.

« BHV » ne pris pas la peine de répondre et l’empoigna par un bras, Karim saisissant l’autre. Ils la courbèrent afin que son cou repose dans l’échancrure destinée à cet effet, ainsi que les poignets de part et d’autre. Le carcan se referma et fut claveté.
Ainsi courbée mais retenue par le support de bois, elle n’avait pas le poids de son corps à soutenir et ne souffrait pas trop des reins. « BHV » vint derrière elle et lui écarta les pieds un peu plus. Au passage il glissa sa main dans la raie et pu constater que cette petite mijaurée avait déjà sa moule baveuse. Voilà qui est de bon augure se dit-il, on va pouvoir faire une belle séance.
Karim remplaça Bertrand et pelota la croupe tendue de Margot. Il lui semblait que celle-ci se cambrait d’avantage sous sa main caressante. Karim se dit lui aussi que cette petite pouliche promettait bien. En plus un cul pareil ce n’était pas une contrainte pour lui. Il en avait baisé des plus moches. Margot était sympa, gentille, elle avait des nibards bien durs, des fesses fermes, une chatte qui appelait la bite et un trou du cul accueillant alors que demander de plus ? Ma foi, rien se disait-il en fourrant deux doigts dans sa chatte luisante. Quelques va et vient plus loin il lui enfonce le pouce dans la rondelle. Du coup son érection devient complète et il se dit qu’il se ferait bien sucer par cette petite salope. Il fait le tour et présente sa queue dressée. Margot n’hésite pas un instant et ouvre la bouche afin de laisser Karim investir sa gorge.
Comme la prisonnière ne peut pas bouger, Karim lui baise la bouche comme il le ferait de l’autre côté. Il se tient au bois du carcan et donne de grand coups de rein entre les lèvres de la suppliciée qui semble avoir quelque peine à respirer. « BHV » le voit et freine un peu les ardeurs de l’étalon marocain.
- Du calme mon ami. Je comprends bien qu’elle te fasse de l’effet mais il faut savoir te contenir. Vas-y doucement, laisse la respirer tout de même. Tu oublis un peu la taille de ton engin on dirait.
- Oui, pardon Maître, mais elle m’excite tellement.
- Je comprends, je comprends, mais vas-y mollo. D’ailleurs maintenant tu devrais plutôt aller lui enfiler sa petite chatte qui doit ruisseler. Moi je m’occupe de devant, allez, vas-y.
Alors que Karim retirait sa pine de la bouche de Margot pour retourner derrière, « BHV » achevait de se déshabiller à son tour. Il se branla un peu afin de fortifier son début d’érection et profita que Margot ouvrait grand sa bouche au moment où Karim lui enfilait ses bons vingt centimètres dans le con, pour à son tour lui foutre sa queue dans la gorge.
Prise de chaque côté, Margot respirait tant bien que mal par le nez et malgré tout, de petits cris sourds de plaisir sortaient de sa bouche, ponctués par les coups de reins de Karim dans son arrière train.
Vu de profil le trio devait être assez cocasse. Margot pliée en deux et prise dans un étau alors que deux bites lui emplissaient les orifices dans un ballet alternatif et régulier.
« BHV » devenait cramoisi et les veines de son cou proéminentes. Il ahanait comme un bûcheron et déchargea le premier au fond de la bouche de Margot, dans un bruit de gorge venu d’on ne sait où. Il fit quelques derniers allers et retours et sa bite ressortit toute molle entre ses cuisses. De son côté, Karim limait toujours avec acharnement. Margot ne touchait plus terre. Il lui avait pris les jambes et la tenait, telle un brouette. Il se mit à son tour à pousser des cris rauques, sa respiration devenait rapide et saccadée. Il accéléra le rythme de ses coups de rein pendant quelques instants puis stoppa complètement, poussa lui aussi un son venu du fond de ses entrailles, et remit quelques coups de bite au ralenti correspondants à chaque jet de foutre qu’il déversait au fond du vagin de Margot. Il lui reposa les jambes au sol et retira sa bite encore un peu raide d’entre les lèvres rougies par les assauts successifs.
Karim s’est assis pour récupérer alors que « BHV » libérait Margot de sa prison de bois. Elle aussi avait besoin de récupérer. D’abord à cause de la position qu’elle avait eu pendant tout cet épisode et puis bien sur, à cause des coups de queues qu’elle venait de se prendre de part et d’autre. Il lui restait du sperme sur le coin de la bouche. Karim lui en fit la remarque et « BHV » lui suggéra d’aller prendre une douche afin qu’elle soit plus fraiche pour la suite.
- La suite ?!
- Ben oui la suite ! Vous m’avez bien dit que vous vouliez essayer ces engins, non ?
- Euh … Oui, bien sur c’est ce que j’ai dit en effet. Mais laissez-moi le temps de récupérer.
- Mais je vous le laisse, c’est pour ça que je vous dis d’aller prendre une douche. Cela vous fera le plus grand bien vous verrez. Et après vous serez de nouveau en grande forme. Allez, oust !!!

Pendant que Margot s’était absentée, « BHV » et Karim préparèrent le matériel nécessaire à la prochaine séance de baise qu’à priori, elle n’oublierait pas de sitôt.
KneelDown, coq a liké
#112325
Bonjour à tous. Je vous propose l'épisode 12 de ma petite histoire. Je remercie tout particulièrement les trop peu nombreux lecteurs qui prennent le temps de mettre un petit mot d'encouragement. Ceux qui comme moi écrivent savent de quoi je veux parler. Vu le nombres de lecteurs on espère toujours avoir un peu plus reconnaissance? Mais c'est doute présomptueux de ma part. Alors bonne lecture.
Petit détail cependant, si les grévistes m'en laissent la possibilité je vais être absent quelques jours, alors dégustez bien ces quelques lignes.

Quand Margot devient chienne.
A deux, c’est mieux.

Margot revint fraiche et pimpante après une bonne douche réparatrice. Elle avait pu calmer la chaleur de sa chatte en laissant couler l’eau sur sa tête pendant un long moment. Elle se tenait aux parois de la cabine, les yeux fermés et avait laissé l’eau ruisseler caressant ses lèvres boursouflées au passage. La fraicheur l’avait apaisée et en ressortant de la douche et en voyant Karim, l’envie de baiser la reprit.
- Ah ! Vous voici de nouveau ma chère. Venez par ici je vous prie.
« BHV » la fit monter sur le lit rond au dessus duquel pendait des chaines munies de bracelets en cuir. Margot ouvrait de grands yeux, se demandant à quelle sauce elle allait être mangée. Karim lui aussi sur le lit, lui attacha les poignets avec les bracelets. « BHV » fit ensuite descendre les chaines dans un bruit métallique qui, vu le lieu aurait pu faire peur à quelque jeune pucelle. Il demanda à Margot de s’asseoir et une fois fait, Karim attacha également les chevilles avec d’autres bracelets.
Margot commençait à comprendre. Enfin, elle le croyait. « BHV » à l’aide de sa commande, fit remonter les chaines de façon à ce que les bras et les jambes de la suppliciée soient juste tendus. Puis il actionna seulement le bouton pour les bras et elle se retrouva comme assise, mais les bras tendus au dessus de la tête. Ce fut ensuite au tour des jambes de remonter. Margot se retrouvait plier en deux, c’est alors que les chaines remontèrent ensembles. Elle se retrouva suspendue toujours pliée. Les bracelets lui faisaient un peu mal, alors elle se saisit des lanières qu’il y avait entre le bracelet et la chaine, afin de se soulager un peu du poids que supportaient ses poignets.
Karim était debout devant elle. « BHV » en bas du lit régla la montée pour que la chatte de Margot soit à la bonne auteur pour la queue déjà bandée du marocain. Mais Karim se mit d’abord à genoux et commença à sucer la moule baveuse bien ouverte par la position acrobatique mais peut-être pas très confortable. Il lui mettait de grands coups de langues en partant de l’anus jusqu’à son clito qui, impatient, était déjà en érection. Décidément se dit-il, cette femme est vraiment sensible et très réactive. Il léchait, suçait, doigtait et Margot gémissait en gigotant doucement au bout de ses chaines. Tout en lui bouffant la chatte, il lubrifiât un plug qu’il lui enfila dans l’oignon. Elle eut un petit retrait de réflexe mais l’objet disparu, happé par son trou du cul gourmand. La salope coulait déjà comme une fontaine, il avait de la mouille plein le bas du visage, il décida donc que c’était le bon moment pour lui enfiler ses vingt centimètre de chair en érection.
Une fois debout, la bite au garde à vous, « BHV » ajusta la hauteur pour que Karim puisse pénétrer Margot et faire des va et vient aisément. Karim attrapa Margot par les hanches, ce qui la fit frissonner et gémir, et commença l’intromission de son membre viril par à-coups successifs jusqu’à ce que les pubis se touchent. Il demanda au Maître de baisser un peu la suppliciée car il était un peu obligé de se mettre sur la pointe des pieds pour la baiser à fond de chatte.
Après à peine quelques coups de bite bien sec de Karim, Romain fit son entrée. Romain était un beau black d’à peu près la même taille que le marocain mais doté d’un engin plus long et surtout plus épais. Il était un vrai black. Vous voyez ? Un black à la peau très noire et brillante. Musclé sans excès avec un visage sympathique et rieur. Margot ne l’avait pas vu entrer, elle était dos à la porte. Par contre elle savait que quelqu’un était arrivé. Elle essayait de tourner la tête afin de voir quelque chose, mais elle réussissait seulement à se détruire les cervicales. Elle n’insista donc pas et Karim lui rappela vite qu’une grosse queue butait dans le fond de son vagin.
Le togolais qui se masturbait dans un coin en regardant la scène depuis un petit moment avançait vers le lit le gourdin en avant. Et quel gourdin !!! Il monta à son tour sur le lit et se posta derrière Margot qui ne l’avait toujours pas vu. « BHV » se dit que la petite salope n’avait pas encore vu son deuxième baiseur mais elle allait le sentir. Romain commença par la caresser sur les flancs. Il lui faisait des bisous dans le dos en descendant vers ses fesses qu’il écartait et malaxait. Ensuite il se baissa d’avantage afin d’atteindre la jolie étoile brune avec sa langue pointue et inquisitrice. Les couilles du marocain lui battaient le menton à chaque coup de boutoir. Il préféra éviter ça et se releva. Debout derrière Margot, il plia légèrement les jambes pour que la tête de son gros nœud se retrouve à l’entrée de la grotte secrète, enfin plus tellement secrète. Il pris quand même soin de lubrifier l’engin avec un peu de gel et prenant sa queue à pleine main, il enfonça le gland. Margot, comme tout à l’heure avec le plug eut un réflexe et tira inconsciemment sur les chaines, ce qui la remonta un petit peu. Mais Karim d’un côté et Romain de l’autre eurent eux aussi le même réflexe en même temps, à savoir tirer leur proie vers le bas. Si bien que les deux « boas » s’insinuèrent l’un au fond du vagin et l’autre au fond du trou du cul de Margot qui poussa un cri, de douleur probablement. Le baiseur et l’enculeur restèrent un court instant immobiles afin que Margot, ou du moins ses cavités, s’habituent aux deux membres qui la remplissaient. Puis, à tour de rôle, il reprirent leur va et viens.
Et elle s’était habituée la salope !!! Maintenant elle couinait de plaisir. Quand Karim sortait presque toute sa queue de la chatte gluante de cyprine, c’est Romain qui enfonçait la sienne dans la rondelle dilatée. Parfois il sortait même entièrement, laissant un trou béant du diamètre de sa bite turgescente, puis la replongeait aussitôt dans les profondeurs abyssales.
Le manège dura un bon moment. Ils tenaient la route les bougres ! Mais « BHV » voyant qu’il arrivait bientôt à terme si je puis dire, il leur fit signe de se retirer et appuya sur le bouton qui fit descendre d’abord les jambes de Margot, puis les autres chaines. Elle se retrouva à genoux mais les bras toujours en l’air. Ainsi exposée, elle attendait que ses deux tourmenteurs qui se branlaient de concert, l’aspergent de leur foutre. C’est seulement là qu’elle se rendit compte que Romain était noir et surtout de la taille de l’engin qu’elle venait de se prendre dans le fion. D’ailleurs, alors qu’elle observait en détail la queue du black, c’est Karim qui cracha son venin le premier. Margot prit la première giclée dans la bouche et les autres vinrent s’écraser sur sa joue, son nez, sa poitrine et même ses cheveux. Elle venait juste d’avaler quand Romain, à son tour déchargea la purée. Mais lui contrairement à Karim, enfonça sa grosse queue dans la bouche de l’infortunée Margot. Pleine de cette bite, elle ne pouvait rien faire d’autre que d’attendre qu’il ait fini de déverser son foutre au fond de sa gorge. Elle peinait à respirer et des larmes perlaient à ses yeux suppliants. Elle eut un haut le cœur au moment où Romain retirait son boudin noir ramolli. Mais en bonne salope elle avala tout le sperme.
« BHV » que malgré tout la scène avait bien excité, vint lui aussi devant Margot, la bite dressée, et finit de se branler sur elle. Sans qu’il ait été nécessaire de lui dire, elle ouvrit gentiment la bouche. Mais soit par maladresse, soit volontairement, c’est sur son visage que vint s’écraser le jet de foutre gluant et chaud de son mentor. Cela lui coulait sur le menton et tombait sur ses nibards, puis sur son ventre et enfin entre ses cuisses se perdant dans la toison du pubis.
- Alors ma douce, comment avez-vous trouvé ce petit exercice ? Vous n’avez pas trop souffert d’être accrochée ainsi ? Et pardonnez-moi, je manque à tous mes devoirs, je ne vous ai même pas présenté Romain. Romain, Margot, Margot Romain. Voilà c’est réparé. J’espère que vous ne m’en voulez pas ?
- Euh … De quoi ? Pourquoi vous en vouloir ?
- Et bien diable !! Il vous a quand même bien enculée avant que je ne vous le présente !
- Ah ! Oui, évidemment. Mais au point où j’en suis, quelle importance, non ?
- Je crois oui en effet que les convenances ne sont plus trop de mise désormais. Mais vous ne m’avez pas répondu, comment avez-vous trouvé l’exercice ?
- Euh, surprenant au début. Je ne m’attendais pas du tout à être enchaînée de la sorte, je l’avoue. Par contre je dois dire que Karim lèche divinement bien. Et même si j’ai eu un peu mal au départ, c’était un régal d’avoir ces deux queues en moi. Cette position que me faisait prendre ma suspension, m’a permis de vraiment sentir les pénétrations. En même temps, vu les gabarits, je ne risquais pas de les rater.
- Très bien, je vois que vous êtes satisfaite de ces messieurs. Vous-même j’ai l’impression que vous vous êtes dépassée, je me trompe ?
- Non, vous avez raison Maître, depuis hier je fais des choses que je n’imaginais pas auparavant. Je ne me savais d’ailleurs pas capable de les faire, je m’étonne moi-même.
- Mais êtes-vous déçu de ce que vous faîtes ?
- Non, non, pas du tout. Je dois dire que j’en ai honte, mais force m’est d’avouer que j’aime ça. C’est plus fort que moi, je veux continuer.
- Et bien c’est parfait, nous allons, mes amis et moi, tenter de vous faire plaisir. Demain c’est repos, mais lundi on remet ça. Nous essaierons de vous faire découvrir autre chose. Je veux dire un autre appareil. Si vous en êtes d’accord bien sur.
- Bien sur que je suis d’accord. J’ai hâte à lundi pour voir ce que vous me réservez.
KneelDown, zztop, Noste a liké
#122439
Bonjour à tous. Me revoilou!!! Désolé de vous avoir fait attendre, mais j'avais bien droit à quelques jours de congé. Voici donc l'épisode 13. Bonne lecture et merci de vos commentaires.

Quand Margot devient chienne.
De mieux en mieux.

Le dimanche, on a fait la grasse matinée. Il faut dire que la veille on était sorti avec des amis. On s’était fait un bon resto et on avait fini dans un piano-bar à écluser quelques rhums arrangés des plus savoureux. Les derniers jours de « pose » qu’avait subis Margot semblaient avoir eu un effet positif sur sa libido. Je la trouvais de plus en plus amoureuse d’une part, mais surtout, durant toute la soirée, déjà au resto, elle collait sa cuisse contre la mienne, elle me tenait le genou, voire même s’égarait vers ma braguette se sachant dissimulée par la nappe, avec de petits sourires en coin. Et dans le piano-bar, pareil. En plus on était dans un coin canapé un peu plus sombre et elle s’était pelotonnée sur moi. L’alcool aidant, l’ambiance, notre situation abritée, bref elle avait le feu au cul et tentait de me le faire comprendre.
Après avoir prétexté un gros coup de fatigue, nous quittions nos amis pour rentrer à la maison. Alors là, je vous dis pas ! Heureusement qu’on avait pas beaucoup de kilomètres à faire, sinon nous aurions dû nous arrêter en route. Cette cochonne avait sorti ma queue de mon pantalon et m’a branlé tout le long du voyage. Elle avait sorti aussi ses nichons et me les mettait sous le nez en me demandant si ça m’excitait. Ils sont pas beaux mes seins, hein ? Me demandait-elle. T’as envie de me les sucer, hein ? Et ma chatte, tu vas me la bouffer, hein, dis, t’en as envie de ma p’tite foufounette ? Comme elle est grosse ta queue mon chéri ! Tu veux que je te suce ? Tu vas me la mettre dans le ventre, hein ? Tu vas bien me bourrer dis ?
Je n’avais même pas le temps de répondre. D’abord j’étais concentré sur la route. Malgré l’heure tardive, à Paris ça circule toujours et puis, concentré il faut le dire vite. Quand vous conduisez et qu’une main vous tire sur l’élastique, la concentration est toute relative. Mais bon, tant bien que mal, on a fini par arriver à la maison sans que j’éjacule sur mon volant. En montant les escaliers sur les pas de ma cochonne de femme, j’en profitais pour lui foutre la main au cul. Putain !!! Elle n’avait pas mis de culotte la salope ! Si ça se trouve nos amis s’en sont aperçu. Merde alors, je n’en revenais pas. Qu’elle le fasse chez nous, OK, mais là, en sortie avec des amis, ça me la coupait.
- Dis donc, je ne rêve pas, t’as le cul à l’air ?
- Ben oui pourquoi ?
- Comment ça pourquoi ? On n’est pas dans l’intimité que je sache. Que tu le fasses entre nous c’est une chose mais là, quand même….
- Oh chéri ! Ce n’est rien, personne n’a rien vu et je me sens tellement plus à l’aise. Tu ne dis rien quand on fait du naturisme alors qu’on voit tout et là tu me fais un fromage !
- Ben c’est que quand on fait du naturisme tout le monde est à poil.
- Oui, et ben moi je suis à poil quand on fait du naturisme tous les deux, je suis à poil quand je pose pour « BHV », alors j’ai plus l’habitude de m’habiller, excuses-moi.
- Ah d’accord ! Alors dorénavant tu seras toujours la chatte à l’air ?
- Pourquoi pas ? Cela te dérange vraiment ?
- Je suppose que je devrai m’y faire.
- Et bien voilà, tu vois quand tu veux…
Je crois que j’ai bien joué le coup sur cette affaire. J’étais plutôt content de moi. Elle pensait que c’est elle qui m’imposait cette situation et que je l’acceptais. Cela dit, la garce y prenait goût. « BHV » connaissait son affaire manifestement. Je connaissais tous les détails sur ses journées de « pose » et Margot ne m’en soufflait pas un mot. Elle me racontait ses journées sans problème. Tout allait bien. Elle s’était habituée à garder la pose sans trop souffrir. Parfois il lui faisait prendre des poses un peu osées, mais rien de bien méchant disait-elle. Bref tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Je n’insistais donc pas et profitais de l’occasion pour lui insérer un doigt dans la chatte tout en finissant de monter les escaliers.
- Mais tu es toute mouillée ma salope !
J’utilisais à dessein ce mot afin de voir sa réaction. Jusqu’à maintenant je n’avais jamais traité ma femme de salope même dans nos ébats amoureux. Mais vu ce qu’elle a fait tous ces derniers jours, je crois que j’aurai dû le faire plus tôt.
- Ben oui, c’est toi qui m’excite à me caresser les fesses, coquin !
Et voilà le travail ! Même pas offusquée. Même pas un reproche d’avoir utilisé ce mot qu’elle n’a jamais entendu de ma bouche envers elle. Décidément elle a bien changée la Margot !
Je suis rentré dans l’appartement derrière elle et alors qu’elle avait à peine posé son sac dans l’entrée, j’ai soulevé sa robe jusqu’à ses hanches et me suis collé à elle afin qu’elle sente l’érection qu’elle avait fait naître dans mon pantalon.
- Ben dis donc, on dirait que tu as une raideur disgracieuse. Il faudrait que tu me fasses voir ça, je vais te soigner mon chéri !
- Oui mon amour, tu as raison, je crois que c’est grave.
Là, elle s’est retournée et m’a complètement déshabillé en quelques secondes. Alors qu’elle m’aidait à retirer mon pantalon et mon caleçon de mes chevilles, elle me prit la bite en bouche sans attendre. Elle m’enfourna en entier quasiment d’un coup. Certes, je n’ai pas une queue monstrueuse mais tout de même ! Les cours de « BHV » sont efficaces. J’avais légèrement écarté les jambes pour être plus stable et Margot en profita pour passer une main et jouer avec ma rondelle. Je bandais encore plus. De son autre main elle me tripotait les couilles comme elle sait si bien le faire et de temps à autre, levait les yeux vers moi. Sentant le plaisir monter, je la prenais aux épaules pour la faire remonter à mon niveau. Je lui prenais la bouche et lui roulais une pelle d’anthologie. En même temps j’avais une main sur un nichon et l’autre qui écartait les fesses essayant d’y aventurer un doigt fureteur. Finalement, excité comme un étalon qui voit une jument de l’autre côté de la clôture, je la retournais et l’obligeais à se mettre à quatre pattes sur le tapis de l’entrée. Je me mettais moi-même à genoux derrière elle et l’empalais d’un seul coup jusqu’au fond de sa chatte trempée. Après quelques allers et retours je sentais de nouveau le plaisir arriver au grand galop, normal pour un étalon me direz-vous. Je faisais mon maximum pour ne pas éclater de suite lorsque Margot, l’air de rien, me dit, la respiration légèrement haletante :
- Chéri, tu veux bien m’enculer ?
Putain ! J’ai faillis débander. Je n’en revenais pas. Pour un peu je lui aurais posé des questions sur ce désir soudain. Et puis je me suis quand même rapidement ressaisi, je lui ai demandé si elle était sur, si elle n’avait pas peur d’avoir mal, etc … Je ne pouvais pas trop m’étendre de peur de faire une gaffe et de devoir m’expliquer. Mais elle me répond tout simplement qu’elle avait envie d’essayer. Tu parles ! Quelle salope ! Je savais ce qu’elle avait déjà pris dans le fion et elle, elle vient me dire qu’elle veut « essayer ». Ben ma foi, allons-y. J’ai donc encore limé deux, trois fois histoire de reprendre une érection correcte. Elle m’avait quand même un peu coupé les pattes. Et la bite enduite de son jus je me positionnais à l’entrée de son œillet brunâtre. Elle, tout naturellement, elle posa son front sur le tapis pour conserver sa position et de ses deux mains, écarta ses fesses. Ben nom de dieu ! Elle aime ça cette chienne. Du coup, son cul s’est ouvert un peu et j’ai introduit mon gland aussitôt avalé. Je restais immobile afin de la laisser s’habituer à l’objet, mais c’est elle qui a reculé sur ma queue pour se l’enfoncer à fond. Pas d’un coup d’accord, mais doucement sans discontinuer. Une fois que mes couilles ont tapé sa chatte je l’ai saisi aux hanches et là bordel, je lui ai bourré son cul de grosse salope qu’elle devenait à vitesse grand V. J’étais comme fou. D’abord parce que c’était la première fois que je l’enculais. Ensuite parce que je savais ce qu’elle avait déjà pris dans le cul et de quelle taille. Et puis tout simplement parce que de voir ma bite lui rentrer dans le fion m’excitait au plus haut point.
Malheureusement cela n’a pas duré autant que je le souhaitais. C’était tellement fort que j’ai joui rapidement en crachant mon foutre par longs jets dans son boyau. Mais putain que c’était bon ! Ce petit trou du cul serré, quel bonheur ! J’espère qu’elle me laissera encore faire, c’est trop bon.
Et là, ce dimanche matin, en me réveillant, je pense encore à ça. Margot dort encore à côté de moi, une jambe en dehors du lit, la moitié du corps découvert. Elle est quand même belle, merde ! Une belle salope oui ! Bon du calme, c’est pas ce que tu voulais, alors. Oui, oui c’est vrai, je veux même plus, alors on se calme et on prend sur soi. Je vais pisser mais en revenant, c’est plus fort que moi, j’y repense encore et ça me fait bander. Je retourne au lit, Margot est maintenant sur le ventre, la tête perdue dans l’oreiller et le drap sous les fesses. Inutile de vous dire que je ne peux pas résister à l’appel de la forêt. Quand l’odeur d’une belle biche me chatouille les naseaux, je fonce. Alors je tire le drap complètement, je saisis les chevilles de la dormeuse et les écarte . Je me mets à genoux entre ses cuisses. De mes pouces j’écarte les deux lobes fessiers et je plonge mon nez au milieu, la langue en avant. Hardi les gars !!! Bouffez-moi tout ça !!!
Évidemment elle s’est instantanément réveillée, mais dormait-elle encore vraiment ? Et elle s’est cambrée autant que sa position le lui permettait.
- Oh oui chéri, vas-y, bouffes-moi la chatte !!
Que vouliez-vous que je fasse ? Et ben oui, je lui ai bouffée ! Mes deux pouces lui ouvraient le trou du cul et ma langue léchait son clito alors que mon nez écartait ses grandes lèvres. Putain, d’un coup elle s’est mise à mouiller, impressionnant ! J’ai relevé la tête pour voir un peu, incroyable comment ça coulait. J’ai approché ma main, mis un doigt dans sa moule baveuse, puis deux, puis un troisième. Elle s’est alors relevée sur les coude afin de se cambrer à fond et elle m’a demandé d’enfoncer toute ma main. Là encore, j’ai demandé si elle était sure mais elle m’a répondu oui, oui, vas-y, mets-la moi. J’ai donc tenté de resserrer mes doigts pour que ce soit moins gros et en tournant, petit à petit, j’ai fini par mettre ma main dans son vagin jusqu’au poignet. La encore, grande première pour moi. Pour elle non, mais moi, j’étais soufflé. Je faisais quelques vas et viens qui la faisaient gémir et de mon autre main, je forçais son trou de balle avec deux doigts. Elle s’est mise à gueuler que c’était bon, que je ne devais pas arrêter, qu’elle allait jouir et des « oui, oui » comme s’il en pleuvait. Après un instant une nouvelle fontaine a jaillit alors qu’elle braillait sa jouissance. J’ai retiré ma main et mes doigts de là où ils étaient, me suis avancé en attrapant ses hanches et profitant du distributeur de lubrifiant, j’enduisais ma queue et l’enfonçais d’un coup dans son trou du cul à peine refermé.

Le lundi matin, elle est repartie, le sourire aux lèvres, toute guillerette dans sa petite robe à bretelles, sans soutien-gorge ni culotte, elle avait soulevé sa robe pour me faire voir, impatiente de retrouver « BHV », Karim et Romain et découvrir de quelle manière ils allaient s’occuper d’elle cette fois-ci.
zztop, Noste a liké
#123138
Merci pour ce texte grandiose , plein d'imagination ,d'une cérébralité rare et raffinée , vraiment bravo, si vous êtes

à la hauteur de vos personnages , ma femme ne devrait pas s'ennuyer avec vous !!

Ne vous arrêtez pas en si bon chemin

Amicalement
#123431
Grand merci famo2461, vos compliments me touchent beaucoup. Je profite également de l'occasion pour remercier tous ceux qui m'ont gentiment écrit un petit mot d'encouragement. J'ai plaisir à écrire certes, mais les encouragements sont toujours les bienvenus.
J'espère que vous aurez autant de plaisir à lire la suite. Je suis en train d'écrire l'épisode 16 et ce n'est pas fini, alors pour les accrocs, vous voyez il y a encore de la lecture en perspective.
Encore merci à tous.
Cordialement
Noste a liké
#124520
Merci à tous de vos petits mots. Mais avant le 16 il y a l'épisode 14 que voici. Moi je retourne m'atteler à l'écriture du 17. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Le grand moment.

Pendant quelques jours, « BHV » fit découvrir à Margot la plupart de ses trésors moyenâgeux. Parfois seul, parfois assisté de ses deux aides de camp. Elle se retrouva suspendu, écartelée, pliée, offerte, baisée, enculée, tous ses trous furent sollicités de nombreuses fois. Elle connaissait par cœur l’antre des sévices. Ses chairs pétries, ses muqueuses malmenées et pourtant, toujours, elle en redemandait. Elle était devenue accroc au sexe. Elle avait eu droit à une double vaginale avec un plug dans le cul en prime et sans doute dans peu de temps, une double anale ne lui fera pas peur.
A la maison, rien de vraiment changé. Nous parlons chacun de notre journée comme si de rien n’était. Elle, la modèle d’un peintre racontant la banalité de ses journées et moi les miennes.
Par contre les parties de baise sont devenues assez torrides, mais Margot laisse entendre que c’est là le fruit de sa maturité, de son évolution normale de femme amoureuse. Elle a vraiment pris goût à la sodomie sans pour autant délaisser sa petite chatte mouillée. Maintenant elle ne met pratiquement plus jamais de culotte. En même temps elle ne fait pas plus attention lorsqu’elle se baisse ou qu’il y a du vent. Est-ce que ça semble la gêner ? Pas du tout ! Je ne dirais pas au contraire mais plutôt qu’elle s’en fout qu’on voit son cul dans la rue. Elle n’est pas plus gênée que dans un camp naturiste.
Un jour pourtant, elle est rentrée beaucoup plus tôt que prévu. Moi j’étais au boulot et « BHV » m’avait prévenu par téléphone qu’il entrait dans la seconde phase. Je suis donc rentré et feins la surprise de la trouver déjà là.
- Que se passe-t-il ma chérie, tu as une sale mine, es-tu malade ? Tu es rentrée quand ?
Le fait est qu’elle avait l’air tristounette ma petite chérie. Je savais qu’elle avait trouvé porte close au château et déçue, avait dû rebrousser chemin.
- Non, non, je ne suis pas malade. Je n’ai pas posé aujourd’hui, « BHV » n’était pas là. Mais c’est curieux, il ne m’avait même pas prévenue. J’espère qu’il n’a rien.
- Ne t’inquiètes pas, il a sans doute eu un empêchement. Il sera là demain.
- Mais non justement. Quand je suis arrivée au château, c’est son larbin qui m’a ouvert comme d’habitude, mais il ne m’a pas laissée entrer. Il m’a dit que le maître n’était pas là. J’ai dit que je repasserai demain, mais il m’a répondu que ce n’était pas nécessaire, qu’il ne serait pas là demain non plus. Il paraît qu’il aurait dit qu’il m’appellerait quand il sera de nouveau disponible.
- Et bien tu vois, rien de grave. Il a dû devoir s’absenter momentanément et ce n’était vraisemblablement pas prévu. Viens dans mes bras mon amour que je te console. Cela te manque à ce point de ne pouvoir poser ?
- Oui. Euh, non. Ce n’est pas ça. Enfin si quand même. J’avais pris l’habitude, comme un vrai boulot, tu vois.
- Oui je vois.
Tu parles que je vois ma salope. Tu fais la gueule parce que tu ne vas plus te prendre autant de bites dans le cul que tu le voudrais, oui, c’est plutôt ça.
Le lendemain, bien qu’elle savait qu’il serait absent elle y retourna quand même. Elle a attendu que je sois parti sachant pertinemment que je lui conseillerai de rester à la maison. Bien entendu l’accueil fut le même. Le larbin ne la laissa pas pénétrer dans le château, lui confirma l’absence du maître et lui fit remarquer qu’il l’avait prévenue hier déjà. Elle proposa de revenir le lendemain mais une nouvelle fois le larbin lui notifia qu’elle serait appelée au téléphone lorsque le maître serait de nouveau disponible.
Elle se résigna à rentrer. Tout en conduisant elle ne pouvait s’empêcher de se demander pourquoi « BHV » était absent et surtout, pourquoi il ne l’en avait pas informée. C’était de sa faute ! C’est ça. C’est à cause d’elle qu’il ne veut plus la voir. J’ai fait un truc de travers, c’est ça. Il est mécontent. C’est vrai que je n’ai pas réussi à avaler tout son sperme la dernière fois. Il a dû le voir. Il me punit. C’est pour ça, c’est obligé.
Là encore, perdue dans ses raisonnements, elle faillit avoir des accrochages. Elle finit néanmoins par rentrer à bon port sans encombre. A peine la porte refermée derrière elle, Margot se précipita sur le téléphone et tenta d’obtenir le château. Un fois encore c’est le larbin qui décrocha. Et non le maître n’était pas là. Et non il ne se cachait pas d’elle. Et non il n’était pas fâché contre elle. Et oui il ferait part de son appel. Et oui elle serait appelée dès son retour.
Le calvaire, du moins pour elle, dura plus d’une semaine. Son humeur s’en ressentait bien qu’elle fit des efforts pour le dissimuler. Nous faisions l’amour certes, mais l’enthousiasme des derniers jours n’était plus là. Je me gardais bien de faire des remarques, ne voulant pas la mettre en porte à faux. Et puis le but était bien qu’elle soit en manque. Et surtout qu’elle soit sans nouvelles de son mentor. C’est encore plus stressant de ne pas savoir. Pendant plus d’une semaine donc elle a tourné en rond comme une lionne en cage. Elle est même retournée au château mais pas jusqu’à la porte. Elle s’arrêtait avant, dissimulait sa voiture dans les bois et faisait le reste du chemin à pied. Ensuite elle se cachait de buisson en buisson jusqu’à pouvoir surveiller la propriété sans être vue. Parfois, accroupie derrière un laurier rose ou autre, comme en position de faire pipi, tout en épiant les fenêtres, elle se laissait aller à mettre sa main sur sa chatte et de constater qu’elle mouillait. Elle se disait qu’elle était vraiment devenue une belle salope accroc à la queue. Mais comme devant une boîte de chocolat où on se dit que c’est le dernier qu’on mange, elle finissait par se caresser et s’enfonçait autant de doigts que sa position lui permettait au fond de son vagin affamé.

Ce n’est qu’au bout de dix jours que « BHV » attrapa le combiné.
- Margot ? C’est Bertrand, comment allez-vous ?
- Ah Maître !! Mais où étiez-vous ? Cela fait une éternité que je tente de vous joindre. Vous ne voulez plus de moi ? Qu’est-ce que je vous ai fait ?
- Holà, holà, calmez-vous ma chère. De quoi parlez-vous ? Vous ne m’avez rien fait mais sachez que je n’ai pas à vous dire où je suis ni ce que je fais.
- Oui, pardon Maître. Excusez-moi, mais je n’avais aucune nouvelle, vous ne m’aviez rien dit, je me posais tellement de questions.
- Bon cela suffit ! Je ne vous dois rien alors restons-en là, au revoir.
- Non ! Non ! Ne raccrochez pas ! Maître s’il vous plaît, dites-moi ce que je dois faire. Que voulez-vous ? Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne me laissez pas je vous en supplie !
- Tout ce que je veux ?
- Oui ! je vous le promets je serais sage, obéissante.
- Sur ?
- Oui, sur ! Je le jure.
- Bien, nous en reparlerons.
- D’accord ! Oui, demain ?
- Demain ?... Euh, non, demain je ne peux pas.
- S’il vous plaît !
- C’est ça que vous appelez être obéissante ? Au revoir.
- Noooonnnn !!! J’obéis, j’obéis ! Quand vous voulez !
- Bon, je vais voir, je vous rappelle plus tard, au revoir.
- Au revoir Maître, merci.

Malgré le stresse subit durant l’entretien, Margot se sentit toute ragaillardie. Elle se rua dans la salle de bain pour se rafraîchir sous la douche. Toute cette émotion l’avait fait transpirer et c’est sous la douche qu’elle était convaincue de retrouver la sérénité. Bien entendu elle ne pu s’empêcher de jouer avec la douchette et se fit jouir rien qu’avec le jet d’eau sur ses lèvres gonflées de désir.
Le soir je la retrouvais toute pimpante, le sourire au lèvres (les autres), excitée, virevoltante et amoureuse. Elle me sauta au cou et me gratifia d’une fricassée de museau avant que j’aie pu poser mon attaché-case et ma veste.
Une fois qu’elle me lâcha un peu et que je pu retrouver mon souffle, je lui demandais ce qui la rendait si gaie, alors que je le savais déjà, avisé par Bertrand. Elle m’annonça donc que « BHV » l’avait appelée mais sans entrer dans les détails de leur conversation qu’elle aurait d’ailleurs eu beaucoup de mal à m’expliquer. Elle me confirma qu’il allait la rappeler pour sans doute reprendre les séances de pose. Je lui répondais que tout rentrait dans l’ordre alors, et qu’elle avait eu tort de s’inquiéter et qu’il ne nous restait plus qu’à fêter dignement l’événement.


De nouveau, Margot attendait à la porte du château que le larbin vienne lui ouvrir. « BHV » l’avait appelée la veille au soir. Il avait été laconique. Pas de fioriture, il avait juste dit qu’il fallait qu’elle soit là à dix heure pétantes. Il lui aurait donné rendez-vous au pôle nord qu’elle y serait allée. Elle attendait donc, le cœur battant la chamade comme une collégienne à sa toute première heure de cours. Son chemisier quasi transparent laissait deviner des tétons prêts à péter sous la tension. Rien sous sa micro jupe. D’ailleurs en voiture plus d’un routier avait dû se rincer l’œil car une fois assise elle avait la chatte complètement à l’air. Au bout de quelques instants qui lui paraissèrent un siècle la porte s’ouvrit.
Margot ne jeta pas un œil au larbin et fila en direction de l’atelier du haut afin de se déshabiller. Elle avait à peine franchi le hall d’entrée qu’une voix la rattrapa.
- Margot ! S’il vous plaît venez par ici.
- Ah, Maître, vous êtes là, j’allais me préparer.
- Nous verrons cela plus tard. Venez dans mon bureau pour l’instant.

Margot suivit « BHV » qui s’installa dans son fauteuil et la pria de s’asseoir dans celui de l’autre côté de son bureau. Elle se demandait ce qu’il pouvait lui vouloir, ce n’était jamais arrivé qu’il la convoque ici. C’était même la toute première fois qu’elle y mettait les pieds. Elle était très mal à l’aise. Coincée dans son siège, elle tentait de trouver une contenance d’autant que « BHV » ne disait rien. Elle en était sur, il allait lui dire que c’était fini. Il l’avait initiée au sexe sous quasiment toutes ses formes et il allait mettre un terme à son apprentissage et lui dire qu’elle pouvait voler de ses propres ailes. Mais elle ne pourrait jamais sans son aide. Comment pouvait-il penser une chose pareille ? Elle avait encore besoin d’être guidée, dirigée peut-être même dressée afin de profiter pleinement de son corps et de toutes les sensations encore à explorer.

- Margot, j’ai quelque chose à vous proposer.

Ah super se dit-elle, il ne va pas me jeter à la rue. Mais que peut-il bien me proposer ? À part poser et encore, je ne vois pas bien.
- Oui Maître, que dois-je faire ?
- Attendez, ne soyez pas si impatiente. Je vous propose de m’occuper de vous. De votre vie sexuelle. D’être votre guide. Qu’en pensez-vous ?
- Mais je suis d’accord Maître, c’est ce que je veux aussi.
- Calmez-vous Margot. Ne vous emballez pas. Je vais vous demander de bien réfléchir à votre réponse car il y a des contraintes.
- Je les accepte !
- Margot !!! Arrêtez s’il vous plaît et écoutez moi bien. Vous ne m’interrompez pas et après avoir bien réfléchi, vous me donnerez votre réponse. Pas forcément aujourd’hui d’ailleurs. Je vous laisse le temps de digérer ce que je vais vous dire. M’avez-vous bien compris ?
- Oui Maître, tout à fait, je vous écoute.
- Margot, si je deviens votre guide ou plus exactement votre « Maître » comme vous m’appelez déjà, vous me devrez obéissance en tout. Vous ne ferez rien sans mon accord ou mon ordre. À partir de votre acceptation vous ne mettrez plus jamais ni soutien-gorge, ni culotte en ma présence. Les pantalons sont à bannir. Vous devrez être disponible en permanence, je parle de votre chatte et de votre anus. Je disposerai de vous comme ça me chante et je suis susceptible de vous prêter à d’autres. Vous viendrez avec moi lors de soirées si je le souhaite. Vous serez amenée à découcher de chez vous parfois ce qui entraine l’aveu à Laurent de votre nouvelle situation. Il pourra néanmoins participer à certaines soirées lorsque je le jugerai utile. Par contre chez vous et en mon absence vous aurez la vie que vous souhaitez, sans contrainte de ma part. Je m’engage par ailleurs à toujours veiller sur votre intégrité physique et morale. Vous ne subirez aucune violence autre que celle que vous connaissez déjà et que vous appréciez me semble-t-il. Je serai peut-être amené à vous faire faire des choses encore inconnues de vous. Dans ce cas vous pourrez refuser si ces choses ne vous conviennent pas. Dans tous les cas de figure vous pourrez mettre fin à toutes situations en me disant par exemple : « je veux voir Laurent ». Ce serait en quelque sorte notre mot de passe d’arrêt d’urgence. Si vous acceptez, c’est la totalité que vous acceptez. Si vous avez des suggestions je suis prêt à les entendre. Si vous refusez, ce que je comprendrais très bien, nous mettrions fin à notre relation, même artistique. Mais si vous acceptez, je vous soumettrai un contrat qui vous engagera jusqu’à, soit un arrêt de ma part ou si vous voulez mettre un terme définitif à votre soumission. Le mot de passe émit n’engage un arrêt que pour la situation en cours. Pour autant, selon cette situation à laquelle vous auriez mis un terme, je me réserve le droit de mettre un arrêt définitif à votre soumission si j’estime que c’est une requête injustifiée. Dernier point, à partir de votre signature au bas du contrat, je vous tutoierai et vous continuerez à me vouvoyer et à m’appeler « Maître » comme vous le faites déjà. Avez-vous bien tout compris ce que je viens de dire ou souhaitez-vous que j’éclaircisse quelques points ?
- …
- Margot ?! Avez-vous tout …
- Oui « Maître », j’ai bien tout compris.
- Très bien. Alors lorsque vous aurez pris une décision, revenez me voir pour m ‘en informer.
- J’accepte.
- Margot ! Prenez le temps de réfléchir je vous prie.
- C’est tout réfléchi.
- Margot ! Pensez aux conséquences. Votre vie va changer. Votre couple va changer. Votre sexualité va changer. Votre soumission engendre un changement de comportement. Ne perdez pas de vue que tout manquement à mon règlement entrainera une punition. En êtes-vous bien consciente ?
- Je sais tout cela. Avant de venir et même tout à l’heure, je n’avais qu’une peur, c’est que vous me renvoyiez pour toujours. Je n’espérai qu’une chose même si je n’aurai pas su la formuler, c’est ce que vous venez de me proposer. J’accepte d’être votre soumise Maître. J’accepte de faire ce que vous voulez. Vous pouvez me prendre quand vous le souhaitez, vous et vos amis. Je vous obéirai. Mon corps vous appartient et je vous fais confiance. Donnez-moi le contrat je vais signer.
KneelDown, coq a liké
#125327
Merci de votre patience. J'écris dès que je peux en effet et je me laisse deux à trois épisodes d'avance pour qu'en cas de panne cérébrale, je puisse quand même vous donner un peu de lecture en attendant que l'inspiration revienne. Je bosse actuellement sur l'épisode 17 et ce n'est pas fini, sauf si vous en avez marre. A bientôt et encore merci pour vos petits mots d'encouragements.
#126945
Voilà, voilà, j'avance dans l'écriture alors je vous livre l'épisode 15. Et n'oubliez pas, les petits mots d'encouragement font toujours plaisirs aux auteurs. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
L’aveu.

« BHV » la laissa repartir après qu’elle eut signé le fameux contrat. Il sentait bien qu’elle voulait qu’il la prenne, là, de suite dans son bureau. Mais elle n’osa pas le demander et de toute façon il lui ordonna de partir et surtout, de me prévenir. Sans cette partie le contrat n‘était pas valable. Elle devait non seulement me faire le récit de sa journée, mais me convaincre de venir voir « BHV » au château.
Dès qu’elle fut partie, « BHV » s ‘empressa bien sur de m’appeler. Il fallait que je soit en mesure de vérifier qu’elle me dirait tout.
- Ah ! Mon cher Laurent ne vous avais-je pas dit que j’en ferai une belle soumise. Vous voyez que je les flaire. Je vous l’avais dit, je suis un expert.
- Oui, en effet, vous l’aviez dit. Mais je ne suis pas vraiment surpris non plus, j’avais moi aussi remarqué son tempérament et de mon côté j’ai fait ce que j’ai pu pour vous aider.
- Oui c’est vrai je le reconnaît. Vous avez respecté votre partie du contrat.
- Donc elle a signé ?
- Absolument. Elle sort à l’instant de chez moi avec pour première mission et pas la moindre, vous informer de son nouveau statut. Je crois que là aussi il vous faudra manœuvrer prudemment. C’est un moment hyper difficile pour elle. Vous pourriez tout gâcher. Soit elle abandonne la soumission immédiatement, soit vous la perdez. Si vous voulez qu’elle devienne vraiment votre chienne, allez-y doucement, ne la brusquez pas. Ne vous braquez pas contre elle, même si ce n’est qu’un rôle pour donner le change.
- Croyez-vous que je dois lui avouer que j’étais au courant et même que j’en suis pratiquement l’instigateur, même si c’est vous qui m’avez tendu la perche si je puis dire ?
- Je ne sais pas trop. Peut-être. Vous connaissez votre femme mieux que moi, du moins psychologiquement. C’est à vous de réagir selon les évènements. En fonction de la façon dont elle va aborder le sujet, vous verrez ce que vous avez à faire. La vérité n’est pas toujours bonne à dire, mais c’est vous qui voyez.
- Oui, vous avez raison, je vais voir comment cela se passe et j’improviserai.
- En tout cas c’est une mordue de sexe. Elle adore ça. Je ne pense par contre pas qu’elle soit sensible à la douleur. Elle supporte bien un petit peu quelques bricoles, mais son truc c’est le sexe. Je vais donc l’orienter vers ça. Lorsque vous viendrez me voir avec elle, je vous ferai mon petit cinéma. N’en tenez pas compte bien sur. Nous nous reverrons ensuite plus tard tous les deux afin de discuter des suites à donner. J’ai quelques idées à vous soumettre mais bien sur, nous conviendrons de tout ça ensemble.
- Salut chérie, je suis crevé ? Quelle putain de journée ! J’en ai marre de ces cons au bureau. Heureusement que je t’ai mon amour, tu es mon rayon de soleil.
- Oui, salut.
- Holà ! Qui y-a-t-il ? Tu as l’air toute drôle. Es-tu souffrante ?
- Non, non.
- Ben on dirait.
- Non, non.
- Oh mais ça m’a l’air sérieux. Que se passe-t-il ? Encore un souci avec « BHV » ?
- Non, non, c’est pas ça. Ou plutôt si. Enfin non.
- Chérie !? C’est oui ou c’est non ?
- Il faut que je te dise quelque chose.
- Tu es enceinte ! C’est ça hein ?
- Mais non. C’est autre chose. Je ne sais pas comment te le dire. Je ne sais pas par où commencer.
- Peut-être par le début…
- Oui, bien sur. Mais ce n’est pas facile.
- Calmes-toi ma chérie. Je peux tout entendre tu sais bien. Je t’aime plus que tout et je n’aime pas te voir ainsi.
- C’est que tu vas m’en vouloir et peut-être même que tu ne vas plus m’aimer.
- Ah non, ça, ce n’est pas possible. Quoi que tu me dises je t’aimerai toujours.
- C’est ce que tu crois.
- Chérie ! Quoi que tu aies à me dire, rien ne changera entre nous, je te le jure.
- Oui… Bon… De toute façon il faut que je te le dise, alors, on verra bien après.
- Vas-y Margot, dis-moi.
- Tu sais mes séances de pose. Holà là ! Je ne vais pas y arriver.
- Mais si, mais si. Prends ton temps. Raconte depuis le début, calmement.
- Bon et bien mes séances de pose. En fait, elles se sont assez vite transformées en séances de sexe.
- De sexe !!!???
- Oui tu as bien entendu. De sexe.
- Tu veux dire que tu as baisée avec « BHV » ?
- Oui et pas seulement.
- ???
- Il a deux assistants, si on peut appeler ça comme ça.
- Tu veux donc dire que tu t ‘es faite sauter par trois hommes ?
- C’est un peu ça en effet. En fait, « BHV » m’a initiée au sexe sous toutes ses formes. Il est très équipé en matériel de toutes sortes.
- Mais attends, je ne comprends pas tout. Comment cela a-t-il commencé ? Il fallait bien que tu sois d’accord tout de même ? Il ne t’a pas violée j’espère ?!
- Non, non, j’étais consentante. Je me suis laissée piéger en fait. Cela a commencé sous prétexte de poses plus ou moins osées et Karim, un de ses assistants, m’a plus ou moins caressée et je me suis laissée faire et ça a été l ‘engrenage. C’était de plus en plus chaud et j’ai aimé faire ça. Après ils m’ont fait faire un tas d’expériences sexuelles différentes et je suis devenue accroc.
- Et maintenant que va-t-il se passer ? Je suis où moi dans tout ça ?
- Et bien c’est assez simple en fait. Moi je ne peux plus me passer de ça et j’ai donné autorité sur moi à « BHV » qui est en quelque sorte mon Maître « es » sexe. Toi, je t’aime toujours autant si ce n’est d’avantage et si tu veux toujours de moi tu restes mon mari et tu pourras si tu le souhaites participer à mes expériences futures.
- Si je comprends bien, en résumé, tu obéis sexuellement à « BHV ». Pour le reste du temps je suis ton mari et enfin si je suis d’accord je peux assister voir participer à tes orgies ?
- Je crois que c’est à peu près ça en effet.
- Et, tu attends quoi de moi exactement ? Je dois donner mon accord ou la chose est déjà entendue ? Si par exemple je dis que je ne suis pas d’accord, tu me quittes ?
- Ce n’est pas aussi simple chéri ! Je ne souhaite pas du tout te quitter. Je t’aime. Mais je suis devenue folle du sexe et pour tout dire, je ne voudrai pas que tu me poses un ultimatum. Je sais pertinemment que je te demande beaucoup, peut-être même trop, pourtant je voudrai vraiment que notre vie continue ainsi. Je n’ai pas anticipé ta réponse et dans le cas ou tu ne serai pas d’accord, je ne sais vraiment pas encore quelle sera ma réaction, mais …
- Oui, je crois que je comprends ce que tu veux dire.
- Chéri ! Reconnaît que dans certains de tes fantasmes si j’en crois ce que tu m’as déjà dit, tu n’es pas contre l’idée de me voir avec d’autres hommes. De plus je vois bien ton regard lorsqu’on regarde mes fesses ou même autre chose.
- C’est vrai. Tu as raison chérie. C’est juste que de passer du fantasme à la réalité c’est quand même un grand pas et que j’ignore si je suis capable de l’assumer.
- Laurent mon amour, est-ce que tu veux bien nous donner une chance de vivre ça et peut-être d’être très heureux ainsi ?
- À une condition !
- Oui, laquelle ?
- Je veux profiter de tes nouvelles aptitudes tout de suite.
- Oh !!! Espèce de petit pervers !
KneelDown a liké
#128796
Oh Milli! Pas de fausse modestie je vous en prie. Vous écrivez vous-même fort bien comme je crois vous l'avoir dit dans un petit message. Je viens d'ailleurs de lire la suite de votre récit. C'est une nouvelle fois un régal. Je vous assure que votre écriture est un régal. Que ce soit au niveau de la forme comme du fond au demeurant très envoûtant, très érotique.
Et bien sur, un grand merci à tous les autres qui me font la gentillesse de laisser un petit commentaire. C'est encourageant.
Amitiés à tous et toutes.
#130573
Bonjour à tous et une nouvelle fois, un grand merci pour vos petits mots d'encouragement.
Voici l'épisode 16. J'espère qu'il vous plaira aussi. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
C’est vraiment maintenant que tout commence.

- Vous voyez mon cher Laurent, je ne m’étais pas trompé, ni sur vous, ni sur Margot. Ou plutôt si, sur une chose. Je ne pensais sincèrement pas qu’elle y viendrait aussi vite. En quelques jours la carapace s’est fissurée et en quelques semaines elle est devenue accroc. Et pas qu’un peu. De plus, avec de sacrés clients si je puis dire. N’êtes-vous pas étonné ?
- Oui et non. Bien sur un peu quant à la rapidité. Je suis de votre avis, je ne m’attendais pas à ce que cela soit si « facile ». Je reconnais qu’elle a plongé là-dedans avec délice bien plus vite que je l’imaginais et même plus vite que peut-être je le souhaitais, je l’avoue. Sans doute une pointe de jalousie pour l’incorrigible macho que je dois être. Mais en même temps pas vraiment surpris non plus. Comme je vous l’avais dit, elle n’a jamais eu peur de se montrer nue. Elle n’a jamais fait la fière quand on la matait dans la rue ou ailleurs. Avec moi, même si on n’a jamais fait la moitié du quart de ce qu’elle a fait avec vous, elle n’a jamais rechigné à faire l’amour et elle n’a jamais craint de parler de ses fantasmes. Vous aviez aussi sans doute raison lorsque vous disiez que j’avais peut-être inconsciemment deviné ses aptitudes et que c’est ça qui nourrissait mes propres fantasmes. En tous cas je vous remercie beaucoup pour ce que vous avez réussi à faire avec elle. Elle est devenue la salope dont je rêvais en secret.
- Oh mais mon cher Laurent, ne me remerciez pas déjà. Certes c’est un premier cap de franchi, mais en fait, c’est maintenant que tout commence.
- Comment ça tout commence ??! N’avez-vous pas réussi à faire d’elle la salope affamée de sexe dont nous avions convenu ?
- Pardonnez-moi mon cher Laurent mais si vous relisez votre contrat vous constaterez que nous avions convenu d’en faire une « chienne ». Hors je suis tout à fait d’accord avec vous, pour l’instant elle n’est qu’une salope aimant le sexe. L’exemplaire du contrat que vous possédez porte également ma signature et tout comme vous je suppose, je tiens mes engagements. J’en ai fait une salope je vous l’accorde, mais maintenant je vais en faire une chienne comme d’ailleurs vous me l’avez demandé.
- Bon, bon, très bien, je suppose que vous avez raison, je ne discuterai pas le sujet. Mais devenir chienne, dans votre langage, cela implique quoi exactement ?
- Mais justement Laurent, c’est pour cela que nous sommes réunis tous les deux aujourd’hui. Nous devons fixer les limites. Hier c’était pour le folklore. Pour que Margot se sente importante, qu’elle ait l’impression d’être vraiment actrice de sa destinée. Il s’agissait aussi que vous la voyiez en action afin de conclure votre accord définitivement. Il fallait qu’elle voit que vous aviez compris et accepté que je sois son Maître. Ainsi elle a confiance en nous deux et même si elle ne connaît pas notre relation ni bien entendu nos accords, elle pense désormais que nous sommes conscients de la situation et que chacun accepte l’autre.

La veille, j’étais venu avec Margot au château. Elle portait une petite robe sans manche très moulante, un peu comme certains tee-shirts, qui ne lui cachait en vérité pas grand chose. Le moindre geste laissait apparaître le bas des fesses et par conséquent sa chatte lisse comme un œuf depuis quelques jours. « BHV » l’avais exigé. Donc plus de ticket de métro. Dans la voiture, en position assise je ne vous raconte même pas. J’imagine que les routiers qu’on a doublés lentement dans les embouteillages devaient conduire avec un second levier de vitesse.
Bref, comme à l’accoutumé, c’est le larbin à l’air de croque-mort qui est venu nous ouvrir dès le premier coup de sonnette. Il nous a conduit dans le bureau de « BHV » et a refermé la porte en sortant.
« BHV » était installé dans un fauteuil du petit salon qu’il avait dans son bureau. Il a aussitôt fait venir Margot près de lui et a passé sa main entre ses cuisses. Sans doute pour vérifier en « Maître » et devant moi qu’elle n’avait pas mis de culotte. Il a dû faire un peu plus puisqu’il lui a tendu ses doigts pour qu’elle les suce. Ce qu’elle a d’ailleurs fait sans broncher avec toutefois un petit coup d’œil vers moi, sans doute pour voir quelle tête je devais faire. Satisfait du résultat, il la fit asseoir à ses pieds et me proposa l’autre fauteuil.
- Mon cher Laurent, si vous êtes là c’est que votre femme, Margot, vous a expliqué le changement de situation qui est intervenu dans sa vie.
- Oui, en effet. Elle m’a dit que c’est vous qui lui dictez sa conduite sexuelle, du moins en dehors de notre vie conjugale si j’ai bien compris.
- C’est à peu près ça en effet. Mais pour que les choses soient bien claires je dois vous dire qu’en fait, je décide quand elle baise, qui la baise, par où on la baise, avec combien elle baise. Je décide également quand elle m’accompagne à des soirées chez mes amis ou si elle reste ici lorsque je reçois. Est-ce que c’est bien clair pour vous car Margot a accepté et signé un contrat pour ça ?
- Oui, absolument, c’est très clair. Je ne veux pas la perdre et je lui ai dit que j’acceptais sa nouvelle condition sans restriction d’aucune sorte.
- Alors parfait ! Nous allons fêter ça dignement.
A ce moment là, « BHV » saisit une petite clochette qui était posée sur la table basse à côté de lui et l’agita. A peine trente secondes après la porte du bureau s’ouvrit. Je m’attendais à voir surgir le larbin chargé d’une bouteille de champagne et de trois flutes, mais c’est Karim qui entra et qu’il me présenta. Le marocain était déjà à poil en semi érection. Il vint s’asseoir sur le bord du bureau, face à nous, les bras en appui de chaque côté sur le bois. « BHV » dit à Margot de se lever et d’aller le sucer. Sans un mot, sans un regard pour moi, elle se leva et en deux pas fut devant Karim. Elle s’agenouilla devant lui mais « BHV » la reprit aussitôt en lui disant : « Non, pas comme ça ! ». Elle se releva donc et cette fois-ci se courba seulement et emboucha le membre qui déjà relevait la tête. Elle se mit à sucer l’engin tout en triturant les couilles de son partenaire. C’est le moment que choisit Romain pour faire son entrée. Même si je m’attendais à quelque chose dans ce goût là, j’avoue avoir été surpris par l’entrée de notre deuxième protagoniste. D’autant plus surpris qu’il est entré aussi nu que Karim mais lui, avec son braquemard en plein développement. Putain ! Quel gourdin. « BHV » m’en avait parlé et j’avais vu les photos, mais en vrai c’est quelque chose. J’avais les yeux comme des soucoupes. Je me disais que c’était impossible qu’un truc pareil entre dans un des orifices de ma si petite Margot, si fragile, si étroite, si … Nom de dieu ! Où va-t-il lui enfiler ça ? J’avais mal pour elle. Instinctivement je serrais les fesses. Comme si ce machin m’était destiné. Pourtant il avançait vers ce cul offert que la position rendait presque obscène. Il se positionna derrière elle, lui saisit les fesses et de ses énormes pouces les écarta. Son trou du cul devint apparent, grotesque, étiré par ces doigts d’ébène. Il relâcha une fesse et attrapa le tube de gel qui trônait sur le bureau à côté de Karim. Il dégagea le bouchon d’un coup d’ongle et cracha une giclée du produit sur la rondelle de ma chérie, de mon amour, de ma douce épouse, de ma salope de femme oui !!!
Après avoir reposé le flacon Romain repris possession des deux lobes laiteux et les écarta de plus belle. Ses deux pouces pénétraient le trou du cul afin d’y faire entrer un peu de lubrifiant. Il malaxait l’anneau en faisant des arcs de cercle. Sous l’effet du massage, les muscles se détendaient et il en profita pour présenter son gland à l’entrée de la béance naissante. Son pieu était raide comme la justice. La tête fut avalée en une seconde. Je n’en revenais pas. Je m’aperçus que j’avais la bouche ouverte comme un gosse devant un sapin de noël. Je reprenais mes esprits et refermais mes mâchoires. Romain était immobile. Sachant l’effet que produisait son dard il attendait un instant afin que l’étroit passage s’habitue. Puis petit à petit je vis son énorme pieu s’enfoncer centimètre par centimètre et disparaître complètement dans le cul dilaté de ma salope.
Oui de ma salope ! J’avoue que je ne savais plus trop comment l’appeler désormais. De ça j’en avais rêvé. Et maintenant c’était devant moi. Alors p’tit gars, qu’est-ce que t’en dis, hein ? Tu la vois bien ta grosse truie se faire démonter la rondelle par cette bite énorme de black ? Et cette queue de marocain qui lui chatouille les amygdales, tu la vois bien s’enfoncer ?
Et oui, ça y était. Elle était finalement devenue ce que j’avais fantasmé durant des mois. Et alors t’en penses quoi ? J’en pense quoi, j’en pense quoi, je pense que c’est bandant et malgré tout je sens bien qu’une pointe de jalousie me titille la poitrine. Mais ma perversité doit être la plus forte parce que je bande vraiment devant ce spectacle orgiaque.
Maintenant Romain fait des vas et viens d’anthologie. Parfois il sort complètement sa queue et un gros trou béant, rougit par le frottement reste en place un bon moment avant de commencer à se refermer légèrement. Mais il remet son pieu aussitôt et reprend son défonçage de cul à vive allure.
Sur un signale de « BHV », Karim retire sa queue de la bouche de Margot et s’allonge sur la moquette. Romain se retire aussi et attrape Margot par les hanches, la soulève et vient l’empaler sur la bite dressée du marocain. Puis à son tour il se met à genou derrière elle et l’encule de nouveau. A tour de rôle les deux queues s’enfoncent dans les orifices dilatés. De part et d’autre les gémissements deviennent ahanements, puis grognements. Romain le premier décharge dans le caoutchouc que chacun avait bien entendu enfilé auparavant. Il est suivi de Karim et de Margot qui explose dans un cri presque inhumain. Elle jouit comme jamais je ne l’avais vu jouir et s’effondre sur le torse de Karim avec toujours les deux bites en elle.

- Oui mon cher Bernard je pense que vous avez raison. Désormais Margot est convaincue que les choses sont acceptées en l’état par chacun de nous. Maintenant il reste en effet à déterminer jusqu’où nous pouvons tenter de la faire aller.
- Mais oui, c’est ce que je vous dis. La question que vous devez vous poser c’est : « qu’est-ce qui est supportable pour elle et pour moi ? ». Si vous trouvez la réponse à cette question, nous trouverons alors comment y parvenir. Et soyez gentil, ne me donnez pas carte blanche. Vous devez absolument être impliqué. D’autant plus que tôt ou tard c’est vous qui aurez les rênes. Alors réfléchissez et tenez moi au courant.
- OK. J’ai déjà ma petite idée mais je vais peaufiner tout ça à tête reposée et je reviens vers vous. Cela dit quand je vois ce qu’elle a pris hier dans la chatte et dans le trou du cul, ça ouvre des horizons si je puis dire.
- Oui comme vous dites. Honnêtement, je crois qu’on peut faire de très belles choses avec elle. Elle est costaud physiquement et moralement. C’est plus à vous que je pense Laurent. Saurez-vous être à la hauteur de votre femme ?
KneelDown, coq a liké
#130828
superbe suite attendue et surprenante en même temps. Encore merci pour le plaisir que cette histoire nous donnent. et vivement la suite avec toujours plus d'impatience, mais aussi de la compréhension pour que la création de ce récit reste dans la même optique.
Merci.

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