©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
C'est par ici que vous les couples, les femmes, et les hommes du forum pour faire et publier une fil perso, une sorte d'histoire ou de journal intime de leur couple qui évolue au fil du temps.
Amusez vous bien
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par SwedenForCandice
#2875494
Toujours plaisant de lire des récits en des lieux connus même si nous préférons l'arrière pays.

Comme Candice, Miss sait piloter les jeux avec finesse et malice, ancrée dans le présent. Délicieux.

Hâte de lire la suite de ce duel complice
Patrice63 a liké
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par Dionysos06
#2876926
@Patrice63, complicité fusionnelle et amoureuse sont les termes qui vous définissent le mieux. Et vous les approfondissez sans cesse, comme en témoignent vos confidences lors de nos échanges. Vous avez trouvé la pierre philosophale du bonheur libertin.
Et les formes de Marine sont toujours aussi bandantes. <3 :x
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2877505
Cher @SwedenForCandice , avec le recul, je pense que l'arrière pays de cette région est moins propice aux rencontres coquines inopinées :x . Mais sur le plan "touristique" nous sommes d'accord, pour nous aussi, c'est plus joli quand on s'éloigne de la côte. Nous envisageons de visiter les Corbières dès que nous en aurons l'occasion.
Merci cher poète @Dionysos06 , pour ce compliment. Très heureux que Marine soit aussi attrayante pour toi :) .
Quoi de plus beau pour un mari candauliste que de voir sa femme provoquer une belle érection chez les autres mâles. :cuck:
par Patrice63
#2877657
Août 2024, une expérience très particulière... Suite 1

Finalement, on a bien fait de s’y prendre tôt ! Les accès ne sont pas nombreux et même si notre camping car est petit, pas facile de s’approcher de la mer. Il y a aussi encore un peu de monde, bref on tourne en rond, on essaie des chemins mais rien ne se passe comme je l’avais prévu. On reprend la route côtière et on descend plus bas. Là aussi, pas d’endroit tranquille côté mer mais côté étang de Leucate, un espoir. On roule, on teste des chemins, on tourne en rond et je finis par ne plus trop savoir où je suis exactement. Finalement, on finit par trouver un coin perdu avec un peu de végétation et un endroit pour se garer près d’un accès à ce qui ressemble à une petite plage. J’aperçois quelques planches à voile mais elles sont loin, de l’autre coté de l’étang... On grignote vite fait en guettant le passage mais rien ne se passe. L’endroit est vraiment tranquille, c’est parfait. On prend nos draps de bain et c’est parti.
C’est une sorte de crique avec une plage de sable très petite et... déjà occupée ! Il y a un autre accès que nous n’avions pas vu car le chemin amorçait une courbe. On devine à l’autre bout les toits de deux fourgons. La surprise est totale, on avait rien entendu ! Ils sont 6, 4 mecs et 2 filles, tous jeunes, dans les 25 ans, sauf un mec qui fait un peu plus âgé. Ils sont tous en jeans, torse nu, même les filles! Sur le sable, une grosse glacière et deux tables de camping pliantes avec ce qui semble être de la bouffe. Des serviettes et des nattes étalées un peu autour et même une guitare posée sur sa boite, ça ressemble fort à un petit camp de base. C’est à peine s’ils nous jettent un coup d’œil. Ils sont assis et discutent en buvant des bières.
J‘hésite, je regarde Marine qui les observe quelques secondes avant de tourner la tête vers moi :
_ On peut bien se poser un peu et on verra plus tard pour...
_ C’est leur coin pour bivouaquer le soir, c’est évident. Même si c’est interdit...
_ On fait quoi alors ?
_ Ben on reste... J’en ai marre de rouler.
Je suis à la fois déçu et un peu intrigué ! En fait, je flaire le bon plan. Pour faire des rencontres coquines, soit on va en club, soit on va dans des endroits propices à ce genre de rencontres, le cap d’Agde par exemple. Mais il arrive que la chance nous amène à nous retrouver dans des situations où tout peut arriver. Ca se sent. Des gens « libérés » affichant une certaine désinvolture, aimant la fête, ce que j’appelle une atmosphère hippie qui effraie les bien-pensants ou les familles avec des enfants. Bref, le genre d’opportunité que les libertins ne peuvent pas laisser passer. Et là, je me dis que c’en est peut-être une.
J’étale ma serviette et m’assois dessus. Marine fait aussitôt de même. Elle me regarde avec un petit sourire et me glisse :
_ Peut-être qu’on va tous se baigner à poil finalement !
Là, elle marque un point. Je ne m’attendais pas du tout à cette réflexion de sa part. Je rigole en l’observant. C’est incroyable qu’elle ait eu les mêmes pensées que moi ! Pour en avoir le cœur net, je poursuis le jeu.
_ Et peut-être qu’ensuite tu te feras baiser par un ou deux types...
Elle pouffe de rire et :
_ Hummm, va savoir...
Je ris franchement. Elle est à fond, comme moi. Alors je continue :
_ Toujours envie d’être une salope ce soir ?
Elle rit plus fort, penche la tête et avec un petit regard plein de malice me répond :
_ Plus que jamais mon amour.
Là, je ne sais plus quoi dire. Je la regarde et je me mets à bander dans mon jean trop serré.
_ Mais je ne crois pas que tu auras l’occasion de soulager ta nature perverse ce soir mon chéri.
Surpris je lui demande aussitôt pourquoi ?
_ Ils sont beaucoup trop jeunes pour s’intéresser à des vieux comme nous, tout simplement !
Et elle se remet à rire devant ma mine déconfite.
_ Par contre, toi, tu pourras faire tout ce que tu veux de moi quand on sera dans le noir.
Elle me fixe avec un grand sourire puis s’allonge sur sa serviette sans se soucier de sa robe qui remonte et me laisse entrevoir sa petite chatte...
Je reste un moment à la contempler, j’ai envie d’elle, envie de sexe, c’est terrible.
_ Si je comprends bien, tu y avais pensé alors...
Toujours son petit sourire en coin.
_ Hum oui, je l’avoue... Quand je les ai vus, ça m’a rappelé une certaine soirée... Au Portugal... Avec Franck. Tu te souviens ?
Je ferme les yeux et je revois les images défiler dans ma tête. Tu parles si je m’en souviens, un truc de fou. Bon, on peu dire un parmi tant d’autres maintenant... (cf Aout 2022, Soirée portugaise).
_ Tu as raison, un coin perdu, des gens un peu roots, il y a des similitudes…
Silence. Elle reprend:
_ Toi aussi tu y avais pensé, pas vrai?
Je rigole un peu.
_ Oui, j’en ai trop envie en fait!
Silence. Je continue:
_ Et toi, tu en as envie?
_ Pffff, tu n’arrête pas de m’en parler depuis quelques jours... Alors forcément... J’y pense un peu.
Elle éclate de rire avant d’avouer :
_ Beaucoup même, maintenant. Surtout en me rappelant Franck.
Tu m’étonnes, vu ce qu’elle avait subi... Il m’avait épaté ce type, un vrai pro du sexe. C’était grandiose. Je me laisse aller en arrière et contemple le lac mais ma tête est ailleurs, au Portugal.
Quelques nuages font irruption dans le ciel et la luminosité diminue un peu ainsi que la chaleur. Il fait bon maintenant. Je regarde le groupe à la dérobée, ils ont l’air de bien s’amuser. Ils ont sorti d’autres canettes de bière de la glacière et picolent en rigolant fort. Soudain, le plus « vieux » tourne la tête vers nous, comme s’il avait senti que je les observais. Nos regards se croisent et il me fait un petit salut en levant sa bière. Je lui réponds d’un petit hochement de tête. Puis il se tourne vers les autres, l’instant est passé et Marine n’a rien vu car elle contemple le ballet d’une planche à voile loin devant nous. Le temps passe et je sens que c’est foutu pour ce soir. Foutu pour les vacances même puisqu’on remonte demain. Je me dis qu’il reste Fab et Sophie pour qu’on délire dès notre retour mais j’aime tellement ces rares occasions si excitantes avec des inconnus... Finalement, c’est pas grave, ce soir, je vais quand même « baiser ». Ma petite femme m’a bien fait comprendre qu’elle avait envie de sexe mais pas de faire l’amour. On va « jouer » alors !
Je me tourne vers elle et lui murmure :
_ Tu as sûrement raison, on est trop vieux pour eux... Si ta proposition tient toujours, on pourrait s’éloigner un peu à pied et trouver un petit coin dans les fourrés...
_ Quelle proposition ?
_ Ben tu m’as dit que je pourrais faire tout ce que je voulais de toi quand on sera dans le noir !
Elle pouffe de rire avant de me répondre :
_ Mais il ne fait pas encore noir !
Je décide de jouer au petit garçon qui en a marre d’attendre.
_ Oui mais le temps de trouver le bon endroit... Et on peut bien commencer avec un peu de jour, non ?
Là elle rit franchement.
_ Bon, puisque tu as été sage et que tu insistes...
Elle se lève et pli sa serviette, m’invitant à en faire de même. Un petit bisou sur la bouche et nous voilà parti, nos serviettes sous le bras. Je bande déjà rien qu’à l’idée de ce que nous allons faire vu qu’elle en a autant envie que moi. Un dernier coup d’œil vers les jeunes et de nouveau, je croise le regard du « plus vieux ». Il crie :
_ hey! Vous pouvez venir avec nous si vous voulez, on a assez de carburant pour vous aussi!
Les autres rigolent et certains nous font signe de les rejoindre. C’est la surprise totale et on reste là, tous les deux figés.
Le « vieux » se lève et viens vers nous. Je me sens un peu fébrile tout d’un coup et me demande ce qu’il nous veut. Un beau mec, athlétique, souriant, il s’arrête devant nous :
_ Salut !
On lui répond la même chose.
_ On veut surtout pas vous chasser ! Vous pouvez venir avec nous, plus on est de fous plus on rigole comme on dit, il y a de la place pour tous ici".
Je ne sais trop quoi répondre. Putain, j’avais échafaudé plein de scénarios et fini par les abandonner et maintenant que l’opportunité se présente, je reste là comme un con apeuré, incapable de dire un mot. Moi et mes envies, j’ouvre ma gueule mais quand il s’agit de se bouger, plus rien. Je regarde Marine qui me sourit l’air de dire « c’est toi qui décide ! ». Finalement, je finis par balancer la formule type :
_ Non... C’est gentil mais on ne va pas vous déranger.
Il rit et rétorque :
_ Pour nous déranger, faut y aller fort !
Et il rit de plus belle avant de continuer :
_ On revient ici tous les soirs, c’est tranquille. Vous pourrez dormir ici, vous ne risquez rien, les flics semblent nous tolérer. Et comme je viens de vous le dire, il y a de la place pour tous.
Petit silence.
_ Franchement, c’est comme vous voulez...
Il est vraiment cool. Je regarde de nouveau Marine qui hausse les épaules. Tout en la regardant :
_ Ok ! On peut pas refuser une invitation aussi sympa, c’est cool !

On a à peine rejoint les autres qu’on se retrouve chacun avec une bière, sorties de la glacière. Ils sont hyper sympas en fait. Ils viennent de Mulhouse, sont tous étudiants sauf le plus vieux qui lui est éducateur. Les filles sont plutôt mignonnes, une blondinette avec des cheveux courts et une brune avec des cheveux longs bouclés. On a échangé nos prénoms que j’ai vite oubliés. Au début, on a essayé avec Marine de comprendre qui était en couple mais impossible d'y arriver. Au bout d’un certain temps, on a compris qu'il n'y avait pas de couple. Les 4 mecs se partageaient les deux filles ! Apparemment, ils avaient décidé de partir en vacances ensemble et les deux nanas n'étant pas particulièrement "sauvages"... Ce constat me remplissait de joie, allez donc savoir pourquoi.
On discute de musique, de sport, de film, de nos vacances respectives. On picole aussi, de la bière mais, aussi du vin en grignotant des gâteaux secs. J’ai l’impression de remonter le temps !
Tout d’un coup, un des mecs sort tout un attirail et tout en discutant, commence à rouler des joins. Houaaa, il fallait s’y attendre mais là, je me sens un peu dépassé. Je regarde Marine qui observe, elle aussi le type concentré sur son affaire. Le gars en roule trois, énormes. Les joins circulent, chacun tirant une taffe avant de le passer au voisin-voisine. Vient notre tour et après une brève hésitation, de peur de paraitre ridicule, je décide de participer au rituel. Après avoir inspiré la fumée, je le passe à Marine qui ne se démonte pas. Le problème, c’est que nous, on ne fume pas ! J’ai toute les peines du monde pour ne pas tousser, de peur d’être ridicule. Un nouveau coup d’œil vers ma chérie me permet de constater qu’elle tient le choc, elle semble avoir fait cela toute sa vie, je suis stupéfait. On continue de discuter et picoler en se passant les joins. Finalement, je trouve que c’est pas si terrible car je ne ressens rien de particulier. Suis presque déçu. En fait, si, j’ai la tête qui tourne un peu... Mais à part ça, rien. Je me sens parfaitement bien, un peu euphorique même. A côté de moi, Marine discute avec Alex, l’éducateur assis face à nous, le seul dont je me souviens du prénom. Il parle d’un bouquin que je ne connais pas. Je regarde les autres et constate que les joins ne circulent plus, partis en fumée. Le rouleur de joins me fait un grand sourire et se penche en arrière pour s’emparer de la guitare. Il joue bien, très bien ! Il commence par des mélodies connues que l’on fredonne tous. La lumière baisse mais c'est encore loin de faire nuit. Au bout d’un moment, je me penche vers ma chérie pour lui demander comment elle se sent. Elle pouffe de rire, semble réfléchir et finit par me dire :
_ Détendue... Très détendue... Et toi ?
_ Ben pareil...
On rigole, on est bien. Je me penche pour attraper ma bouteille de bière quand soudain, le type en face de moi attrape par l’épaule la fille brune assise à ses côtés. Elle se laisse aller contre lui et ils s’embrassent sur la bouche. Un baiser qui dure... Les autres semblent indifférents mais je ne peux m’empêcher de les fixer surtout que tout en l’embrassant, il lui caresse les seins !
C’est terrible, je ressens comme un tiraillement dans mon ventre, un vrai coup de chaud. Je regarde du côté de la petite blonde et là, j’ai un choc. Elle aussi me regarde mais elle détourne aussitôt les yeux et parle avec son voisin qui se marre. Les deux autres types discutent comme s’ils étaient seuls.
_ Ca va ? Vous passez une bonne soirée ?
Je regarde Alex et constate qu’il a posé la question en regardant Marine. Elle lui répond en souriant que la soirée est franchement agréable. Je lève aussitôt le pouce pour lui signifier que je suis tout à fait d'accord avec elle. A son tour, il nous sourit, se lève et se tient un instant immobile, debout devant ma chérie qu’il fixe d’en haut. Assise à ses pieds, sa robe bien remontée sur ses cuisses et un tel décolleté, je devine qu’il a une vue très plongeante sur ses seins. Je suis sûr qu’elle le sait ! Finalement ; il se baisse et s’assoit près d’elle, de l’autre côté par rapport à moi. On continue d'écouter la guitare pendant que le type en face de nous continue de tripoter la poitrine de la fille...
Tout d’un coup, je sens la main de Marine se poser sur mon bras et le serrer fortement. Je tourne la tête et retiens ma respiration. Tête inclinée vers l’avant, elle fixe la main de son voisin posée sur sa cuisse et qui la caresse doucement. Je lève les yeux et rencontre ceux d’Alex. Il me sourit et me dit que ma femme a une peau très douce. Marine pouffe de rire sans rien faire d'autre et moi je lui réponds bêtement que je le sais. Et c'est tout. Ou presque... en fait, je me mets à bander comme un malade. C'est hyper brutal, c'est terrible! C’est ce dont j’avais envie depuis le début mais c’est quand même très violent.
Marine se comporte comme si c’était normal et je me dis que même si elle aussi n’attendait que ça, sa réaction est plutôt « modérée », comme si c’était juste amusant qu’un inconnu vous caresse les cuisses...
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par SwedenForCandice
#2877720
La vraie vie sem le apporter naturellement des opportunités qu'il faut savoir saisir. Un doux frémissement du temps qui d'un seul coup se dressé en tempête.

Comme une érection terrible à lire cette caresse prémices d'une suite sublime à venir.
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2877815
Effectivement, nous aimons partager en "avant première " le récit de certaines de nos petites rencontres coquines avec toi, cher @Dionysos06 . Et celle-ci en faisait partie car très intense en émotions. Tu connais certains de nos petits secrets...
J'attire également ton attention sur le fait que tu as un concurrent potentiel sur ce forum,@SwedenForCandice , ses commentaires ressemblent fortement à de la jolie poésie! :)
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par Dionysos06
#2877816
@Patrice63 la poésie constitue un délice coquin communicatif et très réjouissant. Il faut dire que vos aventures, et les courbes sensuelles de Marine y contribuent grandement. <3
par Patrice63
#2878749
Août 2024, une expérience très particulière... Suite 2

Je regarde la main qui remonte de plus en plus haut et j'entends Marine qui respire de plus en plus fort. Je réalise qu'elle ne porte pas de culotte donc s’il continue, il va tomber directe sur sa chatte! J'ai une grosse bouffée de chaleur et mon cœur s’emballe. C’est étrange, je me sens à la fois très zen et hyper sensible. Tout me parait naturel dans ce que je vois et en même temps, je suis très excité. Un bruit à mes côtés et je me retrouve avec la petite blonde assise à mes côtés. Je commence sérieusement à avoir chaud. En face, les choses évoluent aussi, la brune est penchée sur son voisin et lui suce carrément sa queue sortie de sa braguette pendant que le guitariste continue de jouer comme si de rien n’était.
Je regarde de nouveau du côté de Marine et croise le regard d'Alex. Tout en me souriant, il remonte complètement la robe de Marine. C'est un peu comme si il me testait pour voir jusqu'où on est prêt à aller.
Il baisse les yeux et regarde la chatte de ma coquine. J’ai toujours la tête qui tourne un peu tout en étant très conscient. Sans réfléchir je demande à ma petite salope d’ouvrir davantage ses cuisses. J’ai une envie incontrôlable de la voir se faire baiser devant moi. On en a tellement parlé et elle en a autant envie que moi, j’en suis sûr et certain. Sa réaction ne laisse aucun doute sur ses envies, comme je l’imaginais... Elle me regarde en souriant et les doigts toujours agrippés à mon bras, lentement écarte ses jambes pour mieux s’offrir au regard de l’autre.
Il pouffe de rire, pose sa main sur la vulve exposé et commence à la visiter de ses doigts. Marine lâche un gros soupir et se mord sa lèvre inférieure.
_ Houaaaa comme tu mouilles... Je sens qu’on va bien s’amuser...
Sa voix est basse, pleine de trémolo traduisant une émotion intense. Et c’est en me regardant qu’il finit sa phrase, sans doute définitivement rassuré vis-à-vis de moi.
Je transpire de partout la sueur dégouline sur tout mon corps. J’observe Marine qui, la bouche grande ouverte se laisse visiter avec un plaisir évident.
Le guitariste continue de jouer tandis qu’à ses côtés, la fille brune se fait prendre en levrette tout en suçant le quatrième qui nous observe en même temps avec un sourire au coin des lèvres. Soudain, il se dégage de la bouche gourmande, se lève et sans hésiter, son sexe se balançant, vient s'assoir juste derrière Marine. Il glisse une jambe entre moi et ma coquine, l'attrape par les épaules et l'amène à s'adosser contre son torse. Tranquillement, sans à-coup, il baisse le haut de la robe pour mettre à l'air la poitrine gonflée de ma petite femme qui en cet instant n'a strictement aucune envie de s'opposer à quoi que ce soit. Ni moi non plus d’ailleurs. J'ai une vision d'enfer. Les deux mecs tripotent ma salope en rigolant et elle se laisse faire, bras et jambes bien écartés. Alex la doigte carrément et dit:
_T'a l'air d'avoir envie d'une queue...
La réaction de Marine est instantanée, elle pouffe de rire et lui répond:
_ Tu pourrais me la montrer alors!
Il éclate de rire.
_ Ça au moins, c'est directe!
Une petite voix dans ma tête pleine de brume murmure « C’est bizarre qu’elle parle comme ça, c’est pas dans ses habitude ». Il y a un truc qui cloche, une chose qui me parait enfin anormale. J’ai beau être un peu dans le cirage, je devine quand même que le truc qu’on a fumé est à l’origine d’un état de désinhibition totale chez elle, comme chez moi... Mon analyse s’arrête là, je m’en fou, mes envies sont trop fortes.
Alex se lève et enlève son jean devant elle et exhibe sa bite déjà tendue. Il se laisse tomber à genoux devant elle et:
_ Alors? T'en penses quoi?
Elle rigole en regardant le membre en érection.
_ Je dirai... intéressant...
Elle se dégage des bras de l'autre et se lève à son tour. Je la trouve superbe, pleine d’assurance, totalement libre. Elle prend sa robe et la fait glisser sur le sol pour se retrouver complètement nue. Avec une petite note de provocation dans la voix, elle fixe les deux types et leur dit:
_ Et vous? Vous en pensez quoi ?
On rigole tous mais leurs regards sont sans équivoque. Elle pouffe de rire et :
_ Houlà... J’ai besoin de me rafraichir un peu là...
Et, comme voulant échapper à nos regards trop gourmands, elle part vers l’étang et se jette à l’eau.
Les deux autres rigolent. Alex me regarde :
_ Elle est vraiment chaude... Tu dois pas t’ennuyer avec elle.
J’ai déjà entendu ça mais je ne me souviens plus où et qui avait eu la même réflexion. L’autre type continue de fixer ma coquine qui fait quelques brasses et murmure :
_ Vous êtes vraiment mariés ?
Je ne me souviens pas de lui avoir dit ça mais pas facile de me souvenir de tout vu l’espèce d’état second dans lequel je me trouve. Des sensations étranges de contrôle et de non contrôle de mes pensées.
_ Oui, depuis pas mal d’année.
Il me regarde :
_ Et ça ne te fait rien de la voir... se faire... de nous voir la... Toucher ?
Je pouffe de rire devant ses hésitations. Là, j’ai brusquement les idées claires.
_ Ben non, au contraire... Ca vous gêne que je sois là ?
Alex me regarde avec un sourire au coin des lèvres :
_ Moi, j’en ai rien à faire, chacun son truc. En tous cas, si c’est ton kif, tu vas être servi parce que j’ai une envie de dingue de la baiser ta meuf !
L’autre se met à rire aussi. Marine revient tranquillement vers nous. Je repense à ma bouffée de chaleur de tout à l’heure et me dit qu’elle aussi doit se sentir submergée par des envies incontrôlables. Elle me regarde, me sourit puis se rassoit sur la natte entre Alex et Moi. L’autre étant légèrement en retrait derrière nous. Je bande à mort, impatient de les voir en action.
Marine ne bouge pas, toujours assise en regardant l’étang. Lentement, Alex se laisse aller sur le dos, sa queue dressée comme un appel. De sa main, il saisit celle de marine et la pose sur sa bite. Elle pouffe de rire et commence à le caressait doucement, les yeux maintenant fixé, sur le membre bien raide. Il la regarde en souriant :
_ Si tu as faim, surtout ne te gêne pas !
On rigole tous les quatre, comme si c’était une petite blague anodine.
_ Hummm, je ne sais pas trop... Mon mari est là quand même !
_ Pas grave, il nous a dit que tu aimais manger... et être manger aussi.
Sans s’arrêter de le branler doucement, elle tourne sa tête vers moi :
_ C’est vrai ? tu leur as dis ça ?
_ Je crois bien que oui...
Grosse bouffée de chaleur, je transpire de partout et mon cardiaque est à fond.
_ Je peux... profiter alors ?
Quelle salope, j’en peux plus.
_ Oui... Autant que tu veux...
Elle tourne la tête et regarde sa main aller et venir en serrant l’objet de sa convoitise. Et soudain, sans hésiter, elle se penche en avant et ouvrant sa bouche, englouti le gland gonflé de sang. Alex laisse échapper un long soupir de satisfaction. Juste le temps de trouver mon portable et sans me poser de question, j’immortalise la scène. Ma chérie dégustant une belle bite bien dure, quel pied !

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Je me fou du reste du monde. Je veux regarder, voir de plus près encore. Je m’approche, tourne autour d’eux. J’aime le bruit de succion, les souffles traduisant cette excitation indescriptible.

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Putain que c’est bon de la voir se lâcher comme ça, totalement soumise à ses propres envies. Elle le lèche partout. ses bourses, sa verge, son gland. Elle le suce, le pompe tout en le branlant bien serré. Alex respire fort tandis que l’autre regarde la scène en souriant, son sexe bien raide lui aussi. Je me dis qu’il a tort d’attendre son tour, qu’il devrait y aller lui aussi pour bien se faire sucer en même temps qu’Alex. Ma chérie est en mode salope débridée, ne l’as-t-il pas vu ? Je suis sur le point de l’inviter à participer quand je devine un mouvement sur ma gauche, tourne la tête et découvre la petite blonde qui se rapproche de moi. Je l’avais oublié ! Elle est jolie, bien faite pour ne pas dire carrément bandante et me regarde en souriant. Elle pose sa main sur ma cuisse se penche vers moi et me dit d'une voix tranquille "j'ai jamais couché avec un vieux.". Je reste sans voix, à la fois surpris et amusé. Elle me regarde comme si elle attendait une réponse. Je suis complètement à la ramasse, c'est un truc de fou ! Sans réfléchir davantage et avec la même franchise je lui réponds que c'est l'occasion d'essayer. C’est comme si elle n’attendait que ça ! Sans rien dire de plus, toujours en souriant elle pose sa main sur ma braguette. Elle descend la fermeture éclaire, ouvre bien mon short et tout en baissant mon slip d'une main, sort délicatement ma queue de l'autre. Je bande depuis un bon moment et c’est comme une libération pour moi. Elle regarde ma bite pendant quelques secondes et j’en profite pour me déshabiller totalement. Avec un sourire, elle en fait de même puis se penche en avant pour me prendre aussitôt dans sa bouche. Quelle sensation de dingue, c'est terrible, ça va tellement vite... Je me laisse aller sur le dos, cette gamine est d’une redoutable efficacité. Je sens sa langue tourner autour de mon gland puis sa bouche me pomper en aspirant. J’ai la tête en vrac, j’aurai jamais du fumer cette saloperie... Quoi que... Débridés, nous sommes tous complètement débridés. Je tourne la tête et découvre Marine, à quatre pattes toujours penchées au-dessus d’Alex. Bien cambrée, elle s’offre à l’autre qui lui dévore sa chatte et son cul.
C’est comme une décharge électrique qui agite mon corps et s’ajoute au reste. Je suis au bord de l’explosion. Sans quitter des yeux Marine, Je repousse doucement la jolie tête blonde qui m’observe quelques secondes en souriant. Elle suit mon regard et son sourire s’amplifie. Elle a compris, tout compris ! Elle pouffe de rire. En plus d’être bandante, elle est fine mouche !
Lentement, elle grimpe sur moi, se met en appui sur ses genoux et saisissant ma bite dressée d’une main, s’empale dessus. La petite salope me chevauche pendant que je m’empare de ses seins, un dans chaque main.
Tout en se balançant d’avant en arrière, elle se met à souffler de plus en plus fort puis à gémir tout en me parlant d’une voix entrecoupée. Toujours la même chose, elle me dit que c’est trop bon de baiser avec un vieux, que je me débrouille trop bien. Elle délire complètement sans s’arrêter de bouger. De nouveau je suis au bord de l’explosion. Près de nous, un bruit de claquements répétés mélangé à des gémissements me font tourner la tête. C’est comme un choc électrique qui me secoue ! Marine, toujours à quatre pattes se fait défoncer en levrette par l’autre tandis qu’Alex continue de lui faire sucer sa queue. Le souffle court, le ventre en feu, je tâtonne sur le sol, à la recherche de mon portable. Toujours cette obsession de garder cela pour plus tard. Ma main touche mon jean. Béni soit celui qui a inventer le déverrouillage par empreinte digital ! Ma petite salope blonde n’a rien remarqué. Les yeux fermés, le souffle court, elle continue d’osciller d’avant en arrière, les deux mains en appui sur ma poitrine. Je prends plusieurs photos à la volée en orientant au hasard mon portable vers le trio.

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A bout de résistance, je saisis ma petite blonde par les hanches et bascule sur le côté. Une envie bestiale de la tringler comme une bête s’empare de mon cerveau. Envie de la défoncer, de lui montrer ce qu’un vieux peut lui faire. Je suis hors contrôle et le fait qu’elle pourrait être largement ma fille n’a strictement aucune importance ! Allongé sur elle, je m’empare de ses petits tétons avec ma bouche, les suce, les mordille tout en la baisant comme un dingue. Putain que c’est bon ! Elle remonte ses cuisses en les ouvrant au maximum pour que je la baise le plus profondément possible. Les mains à plat sur le sol, elle grogne et gémit à chaque coup de queue que je lui donne. C’est un peu brutal mais elle aime visiblement ça. Et ça dure, encore et encore. Je la pilonne comme une machine. Soudain, elle remonte ses bras et me griffe le dos en criant. Encore un coup, puis un autre et un autre au fond de son ventre et j’explose à mon tour ! L’impression de me vider, de la remplir de sperme de.... Je réalise pendant une fraction de seconde que personne n’a de préservatif ! Tant pis, un truc de plus dont je me fou totalement.
Je finis par rouler sur le côté cherchant l’air. Ma petite blonde respire fort elle aussi, couchée en chien de fusil. Je regarde du côté des autres. Ils sont si près, là, tout proche. On les frôle même parfois. Je sens leurs odeurs corporelles, j’entends leur moindre souffle, leurs plus petits gémissements. En étendant le bras je pourrai caresser les seins de ma coquine pendant qu’elle se fait prendre. Je n’arrive plus à contrôler mon corps, mes pensées. J’ai l’impression de me statufier. Mon sexe reste en érection et je sens comme des pulsion agiter mon ventre.
Le guitariste a rejoint les deux autres et Marine est définitivement en mode salope déchaînée. Dieu qu’elle est belle quand elle est comme ça, une merveille de sensualité et de bestialité mélangée. Je ne trouve pas les mots pour décrire ce que je ressens en la regardant vivre son délire sans limite.
A tour de rôle, ils la baisent profondément, se relayant dans sa bouche et sa chatte. A tour de rôle, ils perdent le contrôle en lui parlant avec des mots crus. Ça ne me choque même pas. Et c’est à peine si je suis surpris par l’entendre répondre à leurs sollicitations vocales... La petite voix essaie bien de me dire que ce n’est pas dans ses habitudes mais il ya trop de choses à analyser pour que Je prenne conscience de ça.
A tour de rôle ils la font jouir, plusieurs fois... Je suis complètement épuisé, un tremblement incontrôlable agite mes jambes, mes bras, mes mains. Marine en levrette, Marine les chevauchant l’un après l’autre, soumise à leurs envies, soumise à son plaisir. J’essaie d’immortaliser quelques fragments de tout cela mais c’est trop compliqué. Mes tremblements, du sable partout, la pénombre qui s’installe peu à peu.

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Je regarde encore et encore leurs mains palper, fouiller tous les trésors de ma coquine. Leurs bites aller et venir, leurs coups de boutoir, ses gémissements, ses cris, sa jouissance.
Je bande toujours, une érection presque douloureuse. Soudain, la petite blonde roule vers moi et me prend de nouveau dans sa bouche. J’ai la sensation de tout voir au travers d’un brouillard. Je finis par me dégager et je la fait mettre à quatre pattes. La vue me tétanise, quel cul ! Bien cambrée, elle s’offre sans aucune équivoque. Je l’agrippe par les hanches et guidant ma queue, l’enfonce entre les lèvres roses de sa vulve offerte. Elle grogne de plaisir et je la baise comme un malade. La salope en veut et bien je vais lui en donner. Mes coups de rein deviennent mécaniques. Près de nous, Marine râle son plaisir dans un énième orgasme, prise par Alex et le guitariste en même temps. Je joui de nouveau, figé par un spasme énorme. J’ai pas la force de continuer, je n’en peux plus. Je me laisse aller en arrière, tant pis pour la petite blonde. Je regarde le guitariste jouir dans le cul de ma coquine et faire comme moi, se laisser aller en arrière, à bout de souffle. L’autre a du jouir lui aussi car il n’est plus là. Il ne reste qu’Alex qui roule sur le côté en entrainant ma chérie avec lui, pour se retrouver sur elle. Il se dresse sur ses bras tendus et la pilonne dans un bruit de clapotis qui me parait assourdissant. Marine, jambe relevée, totalement ouverte, tremble au rythme de ses coups de boutoir. Il finit par jouir à son tour dans son ventre sans qu’elle n’esquisse le moindre geste, visiblement épuisée.


Août 2024, une expérience très particulière... debriefing

Et après ?
On est retourné à notre camping-car sans trop savoir comment. Quand on s'est réveillé, Marine était toute poisseuse de sperme et avait des courbatures partout. Elle avait beaucoup de mal à marcher ! On s'est dit qu'on était un peu imprudents quand même, pas de préservatifs avec des gens complètement inconnus. C'était pas bien malin mais il faut bien l’admettre, c'était trop bon!
En analysant notre soirée :
_ J'ai raté plein de choses et les photos, comme annoncé dans l’intro, étaient pratiquement toutes nulles (floues, pas cadrées, prendre des photos à la volée, c’est du n’importe quoi et bonjour le nettoyage du tel dans le sable).
_ Baiser la petite blonde fut une très belle expérience pour moi (et pour elle apparemment). Mais on ne peut pas (du moins moi, je ne peux pas) se concentrer sur deux choses aussi intenses en même temps. D’un côté, le plaisir du sexe avec une jolie petite minette et de l’autre, le plaisir candauliste ! Et sur ce dernier point, avec le recul, il y a de la frustration, beaucoup de frustration.
_ Le mélange alcool- cannabis nous a amené à faire n'importe quoi... Je dirais que le mot dépravé n'est pas assez fort pour qualifier ce qu'il s'est passé, bestiale serait plus approprié (employé dans mon récit). Marine m'a dit que c'était comparable à ce que nous avions vécu en Juillet de l’année précédente (cf récit: Juillet 2023, un cadeau hors norme). Je lui ai dit que pour moi, c'était encore plus "déjanté" et que le truc qu'on avait fumé y était pour beaucoup. Je lui ai rappelé quelques phrases sorties de sa bouche et elle a admis que c'était du n'importe quoi et qu'elle ne fumerait plus de cette saloperie. J'ai répondu " dommage, pour moi, tu étais tout simplement grandiose mon amour !"
Ça nous a fait rire un bon moment.

Je reviens sur ce dernier point. Dire des grossièretés pendant qu'on baise, ça peut être super excitant. La position de Marine sur cette question est ambigüe. Parfois, elle aime, mais le plus souvent, elle n’aime pas du tout ! Avec Fabien, notre ami-amant régulier, on s'amuse beaucoup avec ça et en général, elle rentre facilement dans le jeu car on le fait par dérision. Mais jamais avec des "inconnus". Sauf que lors de cette soirée, non seulement elle a aimé (c'était évident que ça l'excitait) mais en plus, elle a sorti, elle aussi, quelques vulgarités. Je ne l'avait jamais vu comme ça!
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par Dionysos06
#2878787
@Patrice63 devant des récits et des situations aussi exceptionnels, aussi brûlants, aussi complices, difficile de dire autre chose à part que vous êtes un couple exceptionnel.
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2878830
Il y a beaucoup de couples comme nous, certains endroits en regorgent :x
Quand aux situations, il suffit de vaincre son appréhension et d'oser franchir le pas...
Traîner dans des endroits isolés, connus parfois, comme lieu de rencontre...
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