Ce matin, j'ai essayé de cuisiner Clara pour en savoir plus sur une éventuelle vidange prochaine.
- "Je n'ai pas décidé, tu verras, ce n'est pas planifié"
- "Et tu crois qu'il y a des choses que je pourrais faire pour mériter une vidange ?"
- "Non mon lapin, c'est juste moi qui décide, et je n'ai pas décidé. Peut-être avant que je vois mon amant, on verra ! Tu peux continuer les massages par contre, c'est très bien"
Pour tous ceux qui se demandent ce qu'on peut bien ressentir à ce moment là quand on est le mari de cette espiègle cocufieuse, eh bien, je ne sais pas trop comment expliquer les sentiments qui me parcourent.
Souvent, le moment où la machine est occupée à nous faire des cafés, je me présente debout devant Clara qui inspecte ma culotte du jour et ma cage. J'ai souvent droit à un bisous dessus, des caresses à travers la culotte, elle soupèse tout le paquet avec un sourire qui en dit long sur le fait que c'est vraiment ainsi qu'elle préfère me voir, en culotte dentelle et petite cage rose, les jambes rasées et hydratées. Curieux que ça me donne autant de plaisir, curieux que j'aime lorsqu'elle est ferme voire autoritaire, je me sens serein lorsqu'elle a décidé.
Clara a décidé de me laisser aux portes de la jouissance en continu. Hier soir après un massage qui a un peu dérapé et la jouissance de Clara de mes doigts amoureux (je n'avais pas le droit de la lécher) j'ai mis du temps à trouver le sommeil. L'excitation ne redescend plus. Quand Clara jouit, je suis rassasié de plaisir et je ne voudrais échanger ma place avec personne. Peut-être avec son chien
