nananette a écrit :oncle-dave a écrit :
J'adore cette photo.
Simple.
Le vent est tjrs la quand on as besoin de lui 
Merci pour tes commentaires !!
Comme l'avait suggéré amyh nous pourrions faire un petit jeux :
Il y a le récit de Nana avec son nouvel amant de vacances sur la page précédente. Qui pourrait faire la suite du récit, histoire de savoir si vous allez deviner.
En attendant voici une petite photo de piètre qualité, certes, mais de Nana nue en mode invit' :
Hier, je me connecte sur ma messagerie et je découvre un mail étrange :
"Je sais tout ! Si tu veux que je me taise, viens seule ce soir me rejoindre rue des nanettes."
Dans ma tête, je me demande qui c'est ce blaireau du forum qui se prend un coup de sang, mais en ouvrant la pièce jointe, un truc m'intrigue. C'est une photo prise dans l'avion quand mon haïtien était en train de ma peloter la cuisse sous sa veste.
J'ai beau essayer de refaire le plan de l'avion : impossible. Levée à 4 heures du mat', j'avais déjà la tête dans le colletard, mais en plus avec les caresses de l'autre, j'ai plané pendant tout le voyage.
Bof! On verra bien!
Je ne risque rien, mon tendre époux est déjà au courant et d'ailleurs, mon petit trou s'en souviens encore.
L'anonyme m'avait donné rendez-vous à 22 heures. Au moment où j'arrivais dans la rue, mon portable vibre pour indiquer qu'un nouveau mail vient d'arriver :
"Continues vers le boulevard Belleville et remonte vers la station Ménilmontant".
J'ai affaire à un agent secret ...
Inutile de chercher autour de moi, le gars doit être dans un coin, planqué en train de se branler.
Je remonte ce fichu boulevard et une autre vibration :
"Stop! Tu es arrivée! Rentre dans l'hôtel et demande la clé de la chambre 203 au nom de Castor".
En effet, il y a bien un hôtel juste là, celui des Chansonniers.
Cette affaire devient de plus en plus glauque !
Le gars à l’accueil me regarde bizarrement. Je ne sais pas, ou plutôt, je ne veux pas imaginer ce qu'il pense.
Il me file la clé, et un "merci" lui aurait certainement arraché la g..... langue.
Je monte, je trouve cette fichue chambre, j'ouvre, j'entre : personne.
J'allume et sur le lit de la chambre minuscule, il y a un mot :
"Déshabilles toi, mets cette nuisette, le bandeau sur les yeux, tu éteins la lumière et tu t'attaches les mains avec les menottes. Les mains dans le dos!"
Un pervers!
Un refoulé du concours de police.
Mais mine de rien, ce truc m'émoustille. Je sens comme une douce moiteur dans ma culotte ... hi hi, que je vais garder : le gars m'a dit de me déshabiller, pas de me mettre à poils ... hi hi !
J'ôte ma veste, ma robe, mes chaussures et je saisis la nuisette : un papier en tombe : "retires tout, tes sous vêtements aussi !"
Crotte !
Ca fait dix minutes maintenant que je suis nue sous la nuisette, le bandeau sur les yeux et les menottes attachées dans le dos. Et c'est dingue comme quoi, privé de la vue, l'ouïe devient plus sensible.
J'ai comme l'impression qu'il y a quelqu'un, et pourtant la porte ne s'est pas ouverte.
Et puis je sens un souffle...
Je rêve !
Un frôlement ... j'en suis sûr.
Je frisonne, et pourtant, je sens mon entre cuisse nue s'humidifier de plus en plus, au point qu'une goutte commence à couler le long de ma cuisse.
Je pousse un cri de surprise !
Une main vient de me toucher, mais de suite, une bouche me fait "chutttt" à mon oreille.
On me mordille l'oreille.
On flatte mon cul sous le nuisette, mes seins.
Une main descend, soulève la nuisette et commence à partir à la recherche de mon clito.
Au contact, je m'électrifie !
Le doigt me masse et une bouffée de chaleur monte à mes joues. Je soupire, mon souffle devient court.
L'homme me soulève et projette face contre le matelas. Il relève complètement ma nuisette, m'écarte les cuisses et me tire par les pieds. Je me retrouve à genoux contre le lit, et je sens qu'il vient dans mon dos.
Une queue me pénètre : heureusement coiffée d'un préservatif.
La pénétration est brutale, presque violente, mais ma mouille facilite ce passage en force.
Sa queue coulisse, il bute contre mon cul. Il empoigne mes mains attachées dans le dos et accélère.
C'est bestiale, mais j'aime, et je ne peux m'empêcher de commencer à gémir.
Je le sens qu'il cogne au fond de ma matrice : il doit être monté comme un taureau.
Putain qu'il est endurant. Je suis en nage et je mords le couvre lit pour ne pas ameuter tout l'hôtel.
Enfin il est venu en grognant comme un ours. Moi je n'en pouvais plus. J'ai joui en silence pour ne pas lui donner le change, mais j'ai honte de dire que je n'ai qu'une envie : qu'il recommence.
J'entends qu'il s'habille et il me détache les menottes. Avant même que j'ai pu enlever mon bandeau, la porte de la chambre s'est reclaquée et mon baiseur fou a déjà disparu.
Sur le lit, une enveloppe rouge. Je l'ouvre et y trouve un bristol :
"Sois au rendez-vous que je te fixerai demain. Si ton mari est au courant, je ne crois pas que tes collègues, du moins tous, le soient, eux!"
Mes collègues ?
Du voyage, il n'y en avait qu'un ... !
Putain !
L'autre, le vieux garçon de 50 ans ?
Non ?
Ce serait lui ?
Il serait monté comme ça ?
Non ?
Il est du style à se laver au savon de marseilles dans son lavabo et à se branler devant un porno de Nana Mouskouri.
En rentrant à l'appart, j'ai bien sûr tout raconté à mon homme. Nous en avons fantasmé toute la nuit et mon cul a été révisé...
Alors, vivement ce soir !