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(Suite)
Avec le temps qui émousse les ardeurs, la fréquence des visites à son amant diminuèrent. Nous en parlions moins, le sujet s’épuisant, j’en connaissais tous les détails ; mais elle aimait toujours autant passer la nuit avec lui. Il aurait fallu du neuf ! Un jour de juillet elle demanda si P pouvait passer la nuit à la maison, la sienne étant pleine d’enfants de cousins et de famille en vacances. N’ayant pas de chambre libre, il ne restait que la nôtre ! On pourrait tenter une expérience nouvelle en se partager le lit à trois, il est bien assez large, me dit-elle provocante. Je lui ai demandé si c’était une plaisanterie, mais non !.. J’ai senti mon cœur battre comme un tambour : que voulait-elle au juste ? Oh my God ! que je participe ou que j’assiste ? La nuit vint, l’excitation montait, on avait bu, on avait fumé quelques pétards. Nous étions tous les trois bourrés, affalés sur les divans, attendant que les enfants s’endorment. Dans un délire elle essayait d’expliquer que ce serait bon de booster ma libido un peu en panne selon elle, que je la voie se faire pénétrer par lui, jouir avec lui, que je la touche si j’avais envie !.. Je lui ai demandé si c’était un de ses fantasmes dont elle n’avait pas encore voulu me parler. C’était bien ça, faire l’amour avec deux hommes, de préférence pas avec son mari , mais faute de mieux…! Ça ne me plaisait pas, ce n’était pas mon truc, j’étais plus lucide qu’elle et je l’ai plantée là pour aller prendre le frais, histoire de me dégriser un peu. Elle s’est moquée de moi, genre… Hé ! fais attention, tu ne pourras plus me baiser si ta queue est en berne comme ta libido ! Elle était fin saoûle et je n’ai rien répondu, inutile de discuter quand on est dans cet état car ça pouvait dégénérer. A mon retour ils étaient au lit ; je les ai trouvé endormis en « petites cuillères », sa queue mollement encastrée en elle. Je les ai laissés dormir et me suis endormi de mon côté sur le sofa. Le lendemain midi ils dormaient toujours et je me souviens avoir empoigné les enfants pour faire un tour en prétextant que maman était un peu malade. A notre retour, P avait disparu et V était sous la douche. J’ai saisi une serviette et l’ai essuyée; elle avait du sperme séché qui collait à sa toison. Il y en avait un peu qui s’écoulait par saccades de son vagin dilaté . Une fois dégrisée elle s’est excusée , me jurant que ça n’arriverait plus. Mais je m’en souviens, je réalisai que j’avais peut-être manqué quelque chose… J’ai évoqué avec elle le souvenir de cette aventure, n’ayant retrouvé aucune note prise à cette occasion, mais elle n’en avait qu’un vague souvenir (et pour cause !). Tout au plus elle se rappelait qu’ils étaient si « pétés » que la baise avait été un fiasco pour elle ! Pas étonnant.