- 20 janv. 2023, 00:51
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Ce fut la rentrée scolaire, la vie de famille repris. Je travaillais beaucoup en évitant les absences trop longues. Elle me tenait au courant . Ils se rencontraient presque tous les midis chez lui. Le soir quand nous nous retrouvions au lit, elle était encore « chaude » et je la reprenais avec une fougue redoublée, plongeant avec délice dans sa chatte si douce, jamais je ne l’avais baisée avec autant de passion. Elle me disait qu’ils avaient fait ceci et ça, ne réalisant pas que ça me faisait jouir trop vite, alors qu’elle, le fait de se raconter semblait retarder sa jouissance. Aussi on n’en parlait qu’après qu’elle ait eu un premier orgasme ; elle devenait volubile, me donnant des détails et des précisions qui me rendaient fou d’excitation. J’adorais ça ! Elle était de plus en plus accroc : tout en se faisant baiser quotidiennement, elle passait une ou deux nuits par semaine chez lui, rentrant suffisamment tôt matin pour que je puisse la prendre à mon tour avant de lever les enfants. Mais elle appréciait mollement que je la prenne au retour de chez son amant, se plaignant que dans sa tête elle était toujours avec lui, il fallait quelques heures pour qu’elle évacue sa présence dans son esprit.. Et puis il fallait s’occuper des enfants…Moi je m’en fichait pas mal, je ne voulais pas manquer l’occasion de pénétrer fougueusement sa chatte chaude et humide et boxer de mon gland le col de son utérus ! Elle était heureuse, épanouie, ravissante. Tout nos amis le lui faisait remarquer, moi comme eux. On me demandait la recette, avais-je une formule magique ? Je souriais modestement…Eh oui mes amis aurais-je pu leur dire si je l’avait su, la formule magique c’est le candaulisme,. Mais ils n’auraient pas compris que cela me rendait heureux. P était d’une discrétion absolue. Il couchait si souvent avec V qu’il n’aurait pas pu gérer une autre relation. Je le rencontrais parfois chez des amis communs, nous parlions comme des potes que nous étions. Il était inutile d’aborder le sujet de la relation avec V car il savait forcément que je savais. Je ne désirais pas particulièrement les voir à l’œuvre tous les deux quoique ça me travaillait l’esprit, mais je craignais ma réaction. Une courte séquence filmée m’aurait peut-être plus mais à l’époque c’était techniquement impossible. Je me contentais de la photographier si possible nue ou en petite tenue, faisant développer les pellicules sans les faire imprimer car je n’osais pas. Il est bien dommage que son amant n’ai pas eu l’idée ou l’envie de prendre en photos sa partenaire de jeu. Aujourd’hui, grâce à ce forum et à l’intérêt que vous portez à mon histoire, vos autres mes amis et complices, j’ai commencé à fouiller dans mes archives photographiques et j’ai ainsi pu scanner quelques négatifs-couleur vous dévoilant les courbes de V.. mon épouse à l’époque de sa période nymphomaniaque.