- 19 mars 2012, 01:03
#1034499
Tellement de choses à vous raconter...
Eric94500, je ne pense pas que ce soit aussi simple. Certainement que ses fantasmes m'ont éloignée de lui un temps. Mais, je pense aussi que le temps a fait son travail, et que mes désirs pour mon mari se sont progressivement éteints. Et puis, soumission ou pas, il n'a jamais été très vaillant au lit. Je peux vous dire qu'hier après-midi je m'en suis encore rendu compte.
Ils habitent dans un très bel appartement parisien, quartier chic. Sa femme m'a ouvert. Une entrée, les portes fermées.
Elle m'a débarrassée. J'avais enfilé un imper pour cacher la tenue sexy que j'avais préparée avec mon mari.
Une robe courte rouge, asymétrique avec une épaule nue, très légère, moulante, en elasthane achetée mercredi avec mon cocu, des bas résilles coutures autofixant, et des escarpins rouge effet daim, compensés sur le devant... 12cm... Et rien d'autre !
Sans mon imper, je ressemblais à une vraie pute. Elle m'a fait faire un tour sur moi-même en me déshabillant du regard. Et m'a dit que je ne m'étais pas trompée. Elle était juste en face de moi.
Je sentais le souffle de sa voix. Elle a caressé doucement mes seins, et m'a demandée d'écarter les jambes. Ses doigts m'ont fouillée. J'étais trempée. Elle a souri. Elle m'a caressée, fouillée, doigtée, puis j'ai léché ses doigts.
Elle m'a mis un collier autour du cou, en cuire, noir, sur lequel était écrit FUCK ME. Elle y a attaché une laisse, et elle m'a demandée de la suivre.
La porte s'est ouverte. Il y avait Marc et un couple. Ils prenaient le thé. J'étais honteuse. Ils étaient habillés normalement. Ma tenue et le collier étaient sans équivoques. Sa femme leur dit simplement que la petite chienne de Marc venait d'arriver. Elle m'a conduit tout contre la table où le thé était servi. J'ai senti ses mains se sont posées sur mon dos. Elle m'a délicatement basculée sur la table, m'a fait écarter les jambes, et j'ai senti un vibromasseur se poser contre mon clito. Les vibrations étaient douces et intenses. Je me suis laissée aller, sans retenue devant ces étrangers.
J'étais ouverte, à leur merci, et c'était bon. La femme assise a été la première à me poser une question. Elle me caressait les seins, pendant que la femme de mon amant, me branlait. J'ai répondu à toutes leurs questions. Oui, je suis une salope. Oui cette tenue est pour toi, Marc. Je l'ai acheté avec, mon mari. Oui c'est un cocu ! Oui, je suis à vous...
Ils m'ont amené dans une pièce adjacente, et m'ont allongée sur une table. J'étais sur le ventre. Ils m'ont ligotée. Leurs mains me caressaient. J'étais en transe. Ils m'ont ligotée les mains, et les pieds de telle façon que mes jambes étaient écartées, mes talons recroquevillés contre mes fesses. Je ne pouvais plus bouger.
Les femmes m'ont fouillée, faisant aller et venir leurs doigts de ma bouche à ma vulve. Elles entretenaient le feu en moi. Les hommes ont fini par me présenter leur sexe. J'étais impatiente. Ma tête dépassait de la table. J'ai pris le sexe de mon amant de son ami à tour de rôle. Je voulais les rendre durs, le plus dur possible. Je voulais les exciter, et je voulais que mon amant soit fier de moi. Ce jeu a duré un certain temps, je ne pourrai vous dire.
Les femmes m'ont libérée de mes liens. Je me suis relevée. J'étais étonnée de ne pas être enquilosée. Ils m'ont basculée une dernière fois. Mes mains se sont à nouveau posées sur la table. L'ami de Marc m'a saisie les hanches, et s'est introduit en moi. Il m'a baisée debout contre cette table. Les coups étaient forts, et me faisaient vibrer tout le corps. Il s'est arrêté pour laisser place aux femmes. La femme de mon amant, me tenait fermement par le collier et me disait que je n'étais qu'un trou, une pute, une catin, une chienne, pendant que l'autre me doigtait vigoureusement le sexe. Ses doigts allaient et venaient frénétiquement dans mon vagin. L'homme reprit sa place, et me baisa sans interruption pendant une dizaine de minutes, et les femmes reprirent leurs manœuvres, jusqu'à ce que l'une d'elle me fit exploser. Je jouissais comme je n'avais jamais joui. Mon sexe coulait, j'avais l'impression d'uriner, et je ne pouvais plus rien retenir. Mon amant me prit dans ses bras, m'embrassa tendrement. Ses mains sur mon corps. Quel délice. Puis il vint en moi. Sa femme me demanda dans le creux de l'oreille, si je voulais toujours recevoir la semence de mon maître. Oui ! Elle se retourna et je l'entendis dire :"cocu t'a femme va se faire saillir" !
Mon mari était là. Je ne l'avais pas entendu arriver. Depuis combien de temps ?
Mon amant a joui en moi. J'ai senti son sexe vibrer et me remplir. On s'est écroulé sur la table. Son corps sur le mien.
Il s'est relevé, m'a aidée à me redresser. Je me suis retournée. Mon cocu était à genoux devant moi, nu, un collier et une laisse au cou. Il avait un bâillon sur la bouche que la femme de mon amant était en train de retirer. Elle lui a ordonné de nettoyer sa maîtresse. Mon mari a plaqué sa bouche contre mon sexe, et m'a nettoyée patiemment. Mon amant m'a prise dans ses bras, et m'a embrassée une dernière fois.
Il était 21h. J'étais épuisée.
Voilà,
Valérie.