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par Patrice63
#2647430
Janvier 2021, Enfin, le graal...

Début Janvier.
Marine rentre du boulot et à peine arrivée me lance de loin :
_ Chéri ! Le big boss nous offre une soirée avec dîner dans un domaine vers Issoire. Il y aura tout le personnel de la région et les conjoints sont invités...
_ Ah ! Et en quel honneur ?
_ Pour redonner le moral après ce foutu confinement.
Là je me marre, déjà que Fabien avait réussi à aller voir des clients alors que normalement, il devait être chez lui, tu parles d’un confinement ! La boite avait fermé les yeux vu que tout s’était bien passé, tout le monde y avait trouvé son compte. Quand Marine m’en avait parlé, j’avais trouvé ça gonflé mais bon...
_ C’est quand ?
_ Le vendredi 29 !
_ Et on sera combien ?
_ Pfff je ne sais pas moi, une quarantaine de personnes si tout le monde vient mais ça m’étonnerai que ce soit le cas... Il organise la même chose pour les autres unités situées dans le nord.
_ Ben dis donc, ca va coûter une blinde à ta boite ! C’est pas une multinationale, même si ça marche bien !
Elle vient enfin se blottir dans mes bras pour me faire un bisou.
_ Pffff, s’il le fait, c’est qu’il en a les moyens...
_ Mouai, il y en a qui ont bien su gérer les confinements... Il peut bien fêter ça.
Elle rigole, dépose vite fait un dernier bisou sur ma bouche puis s’éloigne vers la cuisine.
_ Fabien m’a dit que Sophie ne viendrait sûrement pas, elle n’aime pas ce genre de truc...
Je la rejoins vite fait.
_ Et ?
Elle me regarde, les sourcils relevés :
_ Ben et rien ! C’était juste pour que tu le saches, c’est tout !
Je réfléchis vite fait. Cela fait un bon moment qu’on ne l’a pas vu à la maison, confinement respecté de ce coté là. Mais coté échanges de photos sur WhatsApp, c’est devenu de plus en plus chaud. Je me dis que cette soirée pourrait bien nous réserver une bonne surprise, une très bonne occasion pour que je face avancer les choses de manière plus concrète. Je me sens soudain très bien !
_ Du côté d’Issoire... C’est vers chez lui... On pourrait le prendre en passant, tu en penses quoi ?
Elle réfléchi quelques secondes.
_ Ben pourquoi pas, on lui en parle et on verra bien si ça l’intéresse.
Tu parles que ça va l’intéresser ! Je vais me charger de son intérêt moi...

Deux jours plus tard.
Ca l’intéresse, il est d’accord pour faire le trajet avec nous et il confirme qu’il sera bien seul !

Vendredi 22.
Je n’arrête pas de penser à cette sortie. Bien que je ne sois pas fan des soirées où je ne connais pas grand monde, celle-ci m’excite terriblement. J’ai élaboré des dizaines de scénarios en sachant que je me fais peut-être des idées mais je veux y croire. Il est un peu plus de 17h et j’envisage de débaucher quand Marine me glisse un message sur whatsapp. Elle est dans sa voiture sur le parking de sa boite. Elle aussi rentre à la maison mais elle est visiblement en contact avec Fabien. Il lui demande visiblement une petite photo et Marine, pour une fois, veut me faire participer en directe à l’échange. Je me mets à trembler et la conversation s’engage :

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J’ai terriblement chaud. Je jette un coup d’œil vers mes collègues mais personne ne fait attention à moi. Je bande comme un fou. La petite coquine, elle prend visiblement énormément de plaisir à s’exhiber devant lui maintenant... Et lui qui ne conduisait pas et qui lui envoie une vidéo où il se branle dans les toilettes! Je n’en reviens pas. C’est tellement évident qu’il a envie de se la faire. Je range mon bureau, prêt à partir, quand un collègue me sollicite pour un calcul. Je n’ai pas du tout la tête à cela mais je fais l’effort de me plonger dans son affaire. Une demi heure plus tard, je me précipite dehors, je n’ai qu’une envie, rejoindre Marine à la maison. Un ralentissement de la circulation me fait bouillir tant je suis pressé et finalement j’arrive à destination, enfin !
Elle est assise sur le canapé et m’invite à m’assoir près d’elle. Je me penche et l’embrasse avec envie sur la bouche. Elle finit par me repousser en riant.
_ Tu me sembles bien nerveux, je me demande ce qui a bien pu te mettre dans un tel état...
Je pouffe de rire et lui montre la bosse déformant mon jean. Marine se penche et tout en défaisant mon pantalon :
_ Mais qu’est-ce que je vois là ! C’est pas bon d’être tout comprimé...
Elle ouvre mon pantalon et je lève mon basin afin de lui permettre de le baisser ainsi que mon caleçon.
Elle saisit ma bite dans sa main et la caresse avec tendresse. Elle me regarde et me demande :
_ Tu as aimé que je le fasse bander ? C’est ça ?
Je souffle un coup et lui réponds d’une voix tremblante.
_ J’ai adoré... Et toi ? Tu as vraiment mouillé ta jupe ? Ca t’a vraiment chauffé de le voir se masturber pour toi ? Tu t’es branlée toi aussi ?
Je la noie de questions. Elle me sourit puis plonge sa tête vers ma queue. Elle l’empoigne d’une main et la prend dans sa bouche. Elle me suce lentement tout en caressant mes bourses de son autre main. Je ferme les yeux, c’est trop bon. Je suis tellement excité que j’arrive très vite au sommet, prêt à exploser. Je le lui indique dans un souffle, elle se redresse et me sourit de nouveau en approchant son visage de mon oreille. Sa voix est douce, un chuchotement :
_ Oui, j’ai vraiment mouillé… Oui, j’ai adoré le voir se masturber pour moi et… puisque tu veux tout savoir, j’avais envie de ses mains sur moi… Juste ses mains partant à la découverte… Pour finir, j’étais tellement excitée que je n’ai pas eu besoin de me masturber pour mouiller ma jupe !
Elle se redresse, me regarde avec un petit sourire espiègle et plonge de nouveau vers ma bite toujours dressée. Elle reprend ses caresses et de nouveau, je suis au bord de l’explosion. N’en pouvant plus, je saisis ses cheveux et tire sa tête en arrière pour éviter d’éjaculer dans sa gorge mais saisissant mon bras, elle tourne la tête afin de se dégager et plonge de nouveau sur ma queue pour la pomper de plus belle. Je comprends qu’elle me veut dans sa bouche jusqu’au bout et me laisse aller…
J’explose ! Je sens les contractions de ma bite lâchant des jets de sperme dans la gorge de ma coquine qui ne me lâche pas pour autant. Elle me suce jusqu’à ce que je sois entièrement vidé, épuisé, détendu, mort. Elle finit par se redresser, un sourire sur ses lèvres fermées laissant échapper, à leurs commissures, un peu de sperme. Puis elle se lève et va dans la cuisine pour recracher ce qu’elle m’a aspiré.

Vendredi 29.
La bâtisse est impressionnante, immense. Une demeure du 18ème sur 3 niveaux avec au rez de chaussée des salles de restauration et de réunion destinées à des séminaires et autres congrès. Le plan indique que le premier étage se partage en plusieurs chambres pour accueillir les participants si besoin ainsi que des bureaux pour ceux voulant s’isoler. Le dernier étage étant privé. Apparemment, nous sommes en saison basse et seules deux salles de restauration sont actives. La notre avec une quarantaine de personnes et une autre, accueillant beaucoup plus de gens, une entreprise plus importante sans doute. Une autre salle semble avoir été préparée pour une fin de soirée dansante.
J’ai beau regarder autour de moi, je ne connais personne à part trois ou quatre collègues de Marine dont Fabien. Fabien que nous avons pris au passage pour l’amener avec nous et qui n’a pas dit grand chose durant le trajet d’environ une demi-heure.
Elle est superbe, ma petite femme. Des bottes avec une jupe noire laissant voir, lorsqu’elle se relève trop, des bas aux motifs originaux tenus par des porte-jarretelles.

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Lorsqu’elle m’a demandé mon avis, assise sur notre lit, je lui ai dit que c’était parfait, sexy sans être vulgaire et que cela devrait plaire aussi à notre ami. Tout comme l’espèce de juste au corps rouge laissant ses épaules nues, enfilé sans soutien-gorge ce qui permet de deviner les rondeurs parfaites de sa poitrine. J’étais sûr qu’elle le savait et assumait cela sans problème.
Elle m’a regardé, un sourire au coin des lèvres pendant que je prenais une petite photo de ses cuisses.
_ Toi tu as des envies particulières... Au sujet de Fabien et moi... Je te préviens, je veux bien lui montrer certaines choses, après tout, je ne lui cache plus rien sur les photos... Mais pas plus que ça, compris ? Je ne veux pas qu’il me touche... Du moins pas de la manière que tu imagines, sale pervers !
Elle rit devant ma mine faussement outré.
_ Pfff, je ne vois pas ce que tu veux dire.
Je ne m’étais pas trompé, elle envisageait visiblement un moment particulier où elle pourrait s’exhiber devant lui, la coquine...
En arrivant, elle a passé son temps à tirer sa jupe vers le bas pour éviter que son entourage ne voit ces accessoires d’un érotisme fou. La dite jupe arrivant juste au dessus des genoux, il n’y avait pourtant aucun risque. Je la sens nerveuse comme si elle regrettait d’avoir osé s’habiller ainsi.

Marine se retrouve assise entre nous deux et rayonne visiblement de plaisir. Elle parle avec tous ceux situés autour de nous, de boulot mais aussi de choses diverses plus personnelles. De temps en temps, je me penche et jette un coup d’œil à Fabien qui visiblement ne semble pas plus à l’aise que moi. Lui aussi semble s’ennuyer et il me le fait comprendre avec des mimiques appuyées d’un clin d’œil ce qui me distrait un peu. Le repas s’écoule lentement, trop lentement à mon goût. Heureusement, le vin est bon et je dois me contrôler pour ne pas en abuser. Je me retrouve plongé dans l’observation du plafond d’époque de la salle quand mon téléphone m’indique l’arrivée d’un message WhatsApp.
Discrètement, je sors mon téléphone sur mes genoux et le consulte. C’est Fabien qui me confirme que lui aussi s’ennuie. Je me penche et lui adresse un sourire. Marine, entre nous deux, discute avec une nana en face d’elle. Une secrétaire qui lui raconte ses malheurs avec son fils ado.
Je me dis qu’on peut éventuellement donner un peu de piment à tout cela…
Je tape rapidement un message pour Fabien lui demandant de comparer discrètement sous la table, la douceur des bas avec celle des cuisses de Marine. J’envoie et me penche discrètement pour l’observer.
Je le vois pencher sa tête vers ses genoux manipuler son téléphone puis relever la tête pour me regarder en se penchant légèrement lui aussi. Il esquisse un large sourire puis tourne sa tête de l’autre coté. Je me recule très légèrement afin d’agrandir mon champ de vision vers le bas.
Je n’ai pas à attendre longtemps. Je vois soudain la main de Fabien apparaître et se poser sur la cuisse gauche de Marine qui sursaute et marque un petit temps d’arrêt dans ce qu’elle disait. Intérieurement, je jubile. C’est terriblement excitant et je sens ma queue tenter de se redresser dans mon jean. Imperturbable, Marine reprend le fil de la conversation comme si de rien n’était tout en repoussant la main de Fabien. Je devine facilement le désarroi de ma coquine et en tire un plaisir intense. Je regarde la main de Fabien revenir à l’assaut, caresser les bas puis remonter sur la peau nue de la cuisse. Marine glisse de nouveau sa main sous la table et repousse celle de Fabien qui n’insiste pas.
Je suis aux anges, c’est trop bon. Elle a les joues rouges de confusion et fait visiblement des efforts pour contrôler sa voix qui me semble tout de même un peu tremblante. Sa collègue n’a visiblement rien vu et continue la discussion. Je me penche en arrière et regarde du côté de Fabien qui en fait de même et m’adresse un petit clin d’œil complice.
Le repas continue et à trois reprises, Fabien recommence son petit jeu. A chaque fois, Marine le repousse après un temps que je trouve de plus en plus long. Après le dernier « test », Marine se penche vers moi et me chuchote :
_ Fabien n’arrête pas de me caresser les cuisses… C’est trop horrible. Tu imagines si quelqu’un s’en aperçoit ! Ce sont des gens avec qui je bosse !
Je pouffe de rire et pour toute réponse, lui fait un petit bisou sur la joue avant qu’elle ne se redresse pour se tourner vers Fabien. Elle lui parle à l’oreille puis se redresse pour se concentrer sur son assiette. A partir de ce moment, Fabien reste sage et j’en déduis qu’elle l’a sermonné et lui a demandé d’arrêter son petit jeu.
Les cafés servis, certains commencent à réclamer de la musique tout en se levant pour se diriger vers la salle d’à coté. Je m’aperçois que certaines convives de l’autre salle de restauration s’y trouvent déjà. Les deux entreprises vont donc fusionner pour la fin de soirée ce qui donne un nombre de danseurs non négligeable. Je me dis qu’il sera donc d’autant plus facile de s’éclipser pour rentrer et donc de profiter peut-être de quelques imprévus sur la route…
Marine papillonne entre les différents groupes et danse un peu avec les uns et les autres. Je l’observe discrètement en rongeant mon frein. Fabien, debout à mes côtés l’observe également. Je me penche vers lui et dans le brouhaha environnant, lui glisse à l’oreille :
_ Alors ? C’est quoi le plus doux ?
Il me regarde, surpris, puis explose de rire avant de se pencher à son tour vers moi.
_ J’ai pas bien senti… Il me faudrait plus de temps ! Mais la peau de ses cuisses me semble beaucoup plus agréable au touché.
Je ris à mon tour et lui répond.
_ Ouai, ce serait bien qu’on se retrouve dans un endroit plus tranquille.
Il me sourit en acquiesçant d’un haussement de sourcils. Je commence à me demander quand nous aurons cette opportunité quand je vois Marine venir vers nous. Elle attire quand même les regards ma coquine et ça me fait du bien. Je remarque quand même que sa démarche n’est pas vraiment assurée. Nous avons beaucoup bu et je sais par expérience reconnaître les symptômes d’un début d’ivresse chez ma petite femme. Elle n’est pas vraiment ivre mais suffisamment détendue pour se laisser aller et paraître très à l’aise.
_ Ca va vous ?
Je lui réponds aussitôt que je commence à m’ennuyer un peu. Fabien fait de même et soudain j’ai une idée.
_ Ca vous dit qu’on aille faire un tour à l’étage pour visiter ? Ca n’a pas l’air compliqué de passer la corde qui barre l’escalier…
Surprise, elle hésite puis se tourne vers Fabien qui hausse les épaules avant de répondre.
_ Pourquoi pas, je n’aime pas danser…
Marine me regarde de nouveau :
_ Ben... Si tu veux, oui ! Pourquoi pas...
Elle pouffe de rire avant de continuer :
_ Hi hi, on va faire un truc interdit. Vous avez vu ? il y a une pancarte qui dit qu’on ne doit pas y aller.. La haut…
C’est bien ça, elle est prête à tout maintenant.
Sans réfléchir davantage, elle prend nos main et nous entraîne, Fabien et moi, derrière elle. Comme si l’idée venait d’elle.
Nous voilà au bas de l’escalier. Le hall est désert à l’exception de trois mecs discutant devant la porte d’entrée en nous tournant le dos. Rapidement, nous passons au-dessus de la corde et grimpons rapidement les marches avant de prendre le couloir de droite. Sur le sol, un épais tapis étouffe le bruit de nos pas et on se retrouve rapidement devant une première porte, fermée à clé, ainsi que la suivante… Je me dis que c’est peine perdue mais de voir mes deux comparses rire comme des collégiens me rassure. Faire une chose interdite, quoi de plus excitant pour des enfants. Et là, nous sommes tous les trois revenus en enfance. J’essaie sans conviction d’ouvrir une autre porte, l’avant dernière avant le bout du couloir quand, miracle ! Elle s’ouvre.
Nous déboulons dans une pièce visiblement faite pour une réunion en petit comité avec vidéo projecteur et tableau blanc. Le clair de lune éclaire l’ensemble au travers de deux fenêtres sans volets. Une grande table pouvant accueillir une dizaine de personnes et au fond, une autre porte. Je referme la première derrière nous et Fabien ouvre la deuxième. Un bureau, tout petit, meublé à l’ancienne, en bois massif. Même le plancher semble d’époque. C’est mimi tout plein ! Là aussi, une fenêtre laisse passer une douce lumière. Deux fauteuils font face au bureau et une chaise trône derrière celui-ci. Une petite table et un classeur vertical, en bois également, complète le mobilier.
Marine circule dans la pièce en passant la main sur le bois ciré tandis que Fabien s’assoit dans un fauteuil afin d’en tester le confort. Je m’avance et m’assois sur le rebord du bureau, face à Fabien, tout en observant l’endroit. Le contraste entre ce petit coin et la salle de réunion bien moderne est amusant. Marine s’assoit dans l’autre fauteuil, fait mine de tirer sur un gros cigare et en riant me dit :
_ Vous comprenez bien, mon cher, que nous ne pouvons pas continuer ainsi, les affaires sont les affaires !
On se met à rire tous les trois, excité par le fait que nous sommes dans un endroit qui nous est interdit.
Marine se lève, passe devant moi et contourne le bureau afin de s’assoir sur la chaise. Prenant une voix grave elle nous murmure :
_ L’heure est grave... Voulez-vous un cigare, très cher ?
Elle ouvre le tiroir du bureau, en inspecte l’intérieur puis relève la tête avec un air dépité.
_ Désolé, pas de cigare, Nous ne pouvons donc pas signer le moindre accord !
On rit de son imitation, on se sent en sécurité ici dans ce petit coin caché. Elle se relève, contourne de nouveau le bureau et au moment où elle passe devant moi, je l’attrape pour la plaquer contre moi, son dos contre mon torse. J’ai agi par instinct, par envie de la sentir contre moi, dans un geste d’affection. Je lui fais un petit bisou dans le cou et la sert tendrement dans mes bras. Elle ne bouge plus, tourne la tête vers la mienne et dépose sur ma bouche un long baiser d’amoureuse. Puis elle recule sa tête pour me regarder droit dans les yeux avec un petit sourire. Il y a des moments où il n’est pas nécessaire de se parler pour se comprendre. Je connais ce regard un peu provocateur. Il veut dire « Je me sens bien, j’ai envie de jouer... A toi de diriger la partie ».
En quelques secondes, mon corps s’éveille, mon cœur s’emballe, ma gorge se sert et je me mets à respirer plus fort. Une envie de sexe terrible me submerge.
Mécaniquement, mes mains viennent se placer sous ses seins et je commence à les palper tout doucement. J’entends son souffle s’accélérer tandis qu’elle bombe le torse tout en continuant de me fixer droit dans les yeux. Son sourire s’efface peu à peu. Elle rentre dans son rôle...
Je continue mes caresses en tournant la tête vers Fabien qui ne rate rien du spectacle. J’ai soudain une envie folle de lui montrer tous les trésors de ma femme, là, maintenant ! Mes mains sont moites et je tremble de partout. Je ne reconnais pas ma voix quand je lui dit :
_ J’ai vu que les dernières photos de Marine t’avaient fait beaucoup d’effet...
Marine pouffe de rire, sans bouger, tout en regardant Fabien, elle aussi. Celui-ci se trémousse sur son fauteuil comme s’il le trouvait tout d’un coup inconfortable. Il finit par nous sourire et nous répond d’une voix tout aussi mal assurée :
_ Heu oui... Beaucoup d’effet, c’est ça...
Je caresse la poitrine de ma coquine à pleine main puis ajoute :
_ J’imagine que ce serait pire encore si tu voyais pour de vrai...
Il rit un peu avant de répondre.
_ J’ose pas imaginer.
Je sens le corps de Marine trembler contre le mien. Elle est visiblement autant excitée que moi par ma proposition. Lentement, je descends mes mains vers le bas de son juste au corps et le remonte doucement jusqu’à son cou sans qu’elle ne fasse le moindre geste pour s’y opposer. Fabien est de nouveau immobile et fixe la poitrine nue de ma coquine. Les bruits de nos respirations oppressées emplissent la pièce. Je remonte encore le juste au corps plus haut, sur ses bras par-dessus sa tête et lui enlève. Elle est torse nue, magnifique, superbe ! Sa poitrine gonflée avec ses mamelons dressés est une véritable invitation aux caresses. Je glisse mes mains sous les seins, un dans chaque paume et les présente à Fabien. Tout en les caressant, je pince doucement ses tétons, durcis par une excitation évidente.
_ Alors ? Tu en penses quoi ?
Il reste un moment silencieux et dégluti péniblement avant de souffler :
_ C’est encore plus beau que dans mes rêves... Je... C’est superbe...
_ Tu veux voir le reste ?
Fabien hoche lentement la tête, le regard fixe. Je lui lance d’une voix rauque :
_ Juste la jupe... Ensuite... on verra...
Marine tourne la tête vers moi, Les paupières mi-closes, bouche entrouverte, totalement soumise. J’attends quelques secondes puis descend une main vers le haut de la jupe, sur sa hanche droite. Je tâtonne un peu et finit par trouver la fermeture éclair que je descends lentement. Je la sens tressaillir puis, le souffle court, sa main serre plus fort mon autre bras tandis que je baisse sa jupe, la faisant glisser sur son ventre frémissant, ses hanches puis le haut de ses cuisses. Je fléchis légèrement les genoux pour la baisser encore plus bas jusqu’à ce qu’elle tombe sur ses chevilles. Durant tout ce temps, Marine n’a pas esquisser le moindre geste pour me retenir.
Fabien semble hypnotisé. Immobile il fixe ma coquine en petite culotte avec ses bas, son porte-jarretelles et ses bottes. Plus sexy que ça, tu meurs !
J’ai les jambes en coton et je bande comme un fou. Mais je ne suis sûrement pas le seul ! Je décide de m’en assurer :
_ Tu pourrais peut-être lui montrer pour de vrai toi aussi...
Il semble sortir de son état d’hypnose et me regarde. Il hésite, se lève puis se rassoit. Il regarde Marine comme s’il guettait une réaction de sa part. Celle-ci le fixe, hagarde, cherchant son souffle. De nouveau plaquée contre moi, je sens son cœur battre la chamade. Voyant son hésitation, elle finit par lui dire d’une voix rauque à peine audible :
_ Pourquoi il n’y aurait que moi...
Il dégluti péniblement et d’une voix un peu tremblante :
_ Je peux pas… Je… J’ai…
Je le fixe droit dans les yeux :
_ Tu bandes… C’est ça qui te gêne ?
Il hoche la tête légèrement, rouge de confusion.
_ Elle t’a déjà vu… en photo et en vidéo, non ?
Il redresse la tête et regarde de nouveau Marine, guettant une réaction. Elle esquisse un léger sourire, comme pour le rassurer et l’encourager.
En maitre du jeu, je lui balance d’une voix tremblante :
_ Si tu veux voir le reste, tu lui montres d’abord… C’est la règle.
Je veux le voir nu devant ma coquine, je veux qu’elle regarde sa queue, qu’elle ait envie de lui !
Fabien hésite encore puis semble enfin se résigner. Il se relève et avec des gestes mal assurés, baisse son pantalon. Une bosse énorme déforme son caleçon. Marine l’observe, fixement, comme si elle se délectait de ce qu’il lui montre.
_ C’est moi qui provoque ça ?
Fabien hésite une dernière fois puis hausse les épaules et enlève enfin le dernier rempart de tissu.
Sa queue est superbe, dressée dans une érection parfaite ! Je tourne la tête vers Marine qui a les yeux fixés sur le sexe bien raide. Elle ne rit plus et de nouveau, je la sens trembler dans mes bras. Je ne dis rien, laissant chacun apprécier ce moment sublime. Fabien est à moins de deux mètres de nous. Après un long moment, il esquisse lentement deux pas et se retrouve tout proche. Il regarde Marine, détaillant son corps d’un regard gourmand. Il ne bouge plus, incapable de prendre la moindre initiative. Marine l’observe aussi, le souffle court, sa main toujours crispée sur mon bras gauche.
Lentement, il redresse la tête et tout en me regardant droit dans les yeux :
_ A toi, maintenant… Montre la moi…
Marine respire plus fort, bouche entrouverte. Les yeux rivés sur ceux de Fabien, tout en gardant le sein gauche de ma coquine dans ma main, Je glisse la droite sous l’élastique de sa culotte et la descend lentement. La main de Marine se crispe plus fort sur mon bras tandis que son souffle devient plus saccadé.
Fabien baisse de nouveau les yeux et fixe la petite chatte que je viens de lui dévoiler. La culotte reste à mi-cuisse car je ne peux la descendre plus bas. Cachés comme des collégiens dans un bureau minuscule théoriquement inaccessible, nous jouons à un jeu terriblement excitant.
J’ai envie d’aller plus loin, beaucoup plus loin... Je lève doucement ma main droite vers celle de Fabien, la saisit et la remonte lentement pour la poser sur le sein droit de Marine. Elle semble totalement hypnotisée par mes gestes. Dès qu’elle la sent sur elle, elle tressaille et murmure d’une voix hachée :
_ Non... On avait dit juste regarder...
Mais le ton manque de conviction et surtout, elle ne fait aucun geste pour le repousser. Pire encore, elle rejette sa tête en arrière sur mon épaule, les yeux fermés, serrant plus fort mon bras de sa main tandis qu’il commence à lui pétrir le sein avec douceur.
Nos regards se croisent, lui et moi sommes désormais complices, je le devine, je le sens. Je le considère comme un ami, j’ai confiance en lui et ce que je vois me plait. Il est doux, gentil, respectueux et en plus, il est très bien équipé ! Son autre main se pose sur le ventre de ma belle, juste au dessus du porte-jarretelle. Pendant de longues minutes, il la caresse, ses seins, son ventre, ses cuisses sans jamais s’approcher de sa chatte. Marine, toujours en appui sur mon ventre, a de plus en plus de mal à respirer et lâche de temps en temps de tout petits gémissements. Le souffle de Fabien se mêle au mien créant une ambiance hautement érotique. Je sens le poids de ma coquine qui a de plus en plus de mal à se tenir debout. Je l’embrase dans le cou pendant que Fabien continue ses caresses. Marine redresse enfin la tête, le souffle court, et fixe Fabien dans les yeux. Il approche sa bouche de celle de ma petite femme. Leurs lèvres se touchent à quelques centimètres de mes yeux. Leurs langues se cherchent, s’emmêlent. Leur bouches se dévorent dans un bruit de sucions qui provoque en moi de véritables spasmes au niveau de l’estomac. Leur baiser n’en finit pas tant ils avaient faim l’un de l’autre. Des mois qu’ils se cherchent, se provoquent, s’exhibent. Soudain, Fabien redresse la tête, laissant Marine pantelante, haletante, le regard voilé.
De nouveau il me regarde puis lentement se laisse glisser à genoux sur le sol, son visage face au trésor tant convoité. Il saisit la culotte et la descend jusqu’aux chevilles. Marine, tête baissée, le regarde et lève lentement ses pieds, l’un après l’autre pour qu’il la débarrasse de ce petit bout de dentelle désormais inutile. Elle ne pouvait pas mieux s’y prendre pour nous indiquer son consentement sans prononcer la moindre parole. Je sais qu’elle a envie de lui, envie de sa bouche sur sa chatte, envie de ses mains sur ses cuisses, ses fesses, envie de le toucher elle aussi sans doute. Mais a-t-elle envie de se faire enfin baiser devant moi ?
Je tremble de partout. Je l’embrasse dans le cou puis fléchi mes jambes tout en glissant mes mains sous ses cuisses. D’un coup de rein je me relève en la soulevant et en lui écartant les jambes pour mieux la tenir. La position est terriblement inconfortable pour moi mais je m’en moque. A moitié assis sur le bureau, je la porte, ses fesses sur ma queue comprimée dans mon jean. Elle se laisse faire, ses mains accrochées à mes bras, la tête penchée en avant pour regarder Fabien s’approcher. Je regarde par-dessus son épaule, moi aussi je veux voir…
Il avance son visage vers la petite toison brune et soudain, Marine se tétanise. Les mains crispées sur mes bras, elle laisse échapper un petit « oh ! ».
Au mouvement de la tête de Fabien, je devine qu’il lèche la vulve totalement offerte. Un cuni terrible dans une position totalement folle. Je ne peux imaginer une meilleure façon d’offrir ma femme à un autre mec. Ma queue me fait mal, écrasée par le poids de ma coquine qui halète tout en tremblant de tout son corps. Les secondes défilent et Fabien continue de déguster ce met de choix tout en caressant l’intérieur des cuisses de ses mains. Elle gémit de plus en plus. Je la sens prête, prête à jouir, prête à se faire baiser. J’en ai envie, une envie folle, une envie obsédante. Je me dis que si cela n’arrive pas maintenant alors c’est que ça ne se fera jamais. Je ne pense plus qu’à cela en la regardant lâcher prise peu à peu. Fabien se relève enfin, la bouche humide et me regarde. Il semble me demander mon avis, ma permission… Je baisse la tête et observe sa bite, bien raide, gonflée de désir. Je le regarde de nouveau dans les yeux tandis que Marine relève la tête, elle aussi. Le souffle court elle penche la tête sur le coté et nous observe l’un après l’autre. Nous sommes tous les trois immobiles et les secondes s’écoulent. Je me dis qu’elle sait parfaitement ce dont nous avons envie Fabien et moi ? J’attends, de plus en plus fatigué au niveau des bras en me demandant si elle est prête à franchir le pas. Tout d’un coup, Fabien s’avance tout doucement entre les cuisses largement écartées. Je sens tout son corps se raidir, ses mains se crisper plus fort sur mes bras. Elle me regarde et je devine comme un début de panique. Elle tourne la tête vers Fabien, baisse ses yeux et fixe sa bite à quelques centimètres de sa chatte. Elle relève la tête et lui murmure :
_ Attends… J’ai jamais…
Elle ne peut achever sa phrase. Fabien l’embrasse de nouveau à pleine bouche. D’abord passive, elle finit par lui répondre avec la même fougue, comme si elle renonçait enfin à toute forme de résistance. Tête penchée en avant par-dessus son épaule, je vois la queue de Fabien s’appuyer sur la toison et se frotter doucement sur les poils bruns. Marine, la bouche pleine de celle de Fabien lâche un « hummm » qui en dit long sur ce qu’elle ressent. Il relève la tête tout en continuant de frotter sa queue sur le ventre offert. Elle le regarde, se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux en posant sa tête en arrière sur mon épaule. C’est le moment, elle est prête, j’en suis sûr ! Tout dans son attitude évoque la soumission. Je regarde Fabien et lui indique mon accord d’un signe de tête. A son tour, il glisse ses mains sous les cuisses grandes ouvertes et les soulève, me soulageant un peu. Les bottes, le porte-jarretelle, les cuisses écartelées, tout est là pour augmenter encore, si besoin était, le coté excitant de la scène. Je me dis que c’est du délire, de la folie, un rêve qui va enfin se réaliser !
Lentement il avance sa queue. Je suis hypnotisé par ce que je vois, c’est géant ! J’étouffe, la gorge prise dans un étau, les poumons en feu. S’il n’y avait pas le bureau, je m’écroulerai sur le sol tellement je me sens faible. J’ai l’impression que des décharges électriques parcourent tout mon corps dont je ne contrôle plus les tremblements. C’est terrible. Avec fascination, je regarde Fabien saisir sa bite d’une main et la positionner sur les grandes lèvres rouges. Marine se cabre en lâchant un gémissement. Elle garde les yeux fermés et happe l’air, bouche grande ouverte. Je regarde, halluciné, le gland gorgé de sang s’insinuer entre les lèvres qui s’écartent doucement pour le laisser entrer puis s’enfoncer doucement dans le ventre offert. Marine se cabre de nouveau en frissonnant de tout son être tandis que Fabien s’enfonce en elle jusqu’à ce que leur pubis se touche. Tendue comme un arc, Marine est en apnée. C’est fabuleux, quel plaisir intense pour moi de voir enfin cela ! Ma femme se fait baiser par un autre homme et c’est moi qui la maintien bien ouverte pour l’offrir à sa queue. Elle semble électrisée, des spasmes agitent tout son corps tandis que Fabien commence ses mouvements de va et vient. Il la baise lentement, consciencieusement, tout en douceur ; C’est parfait ! Je les observe l’un et l’autre, je ne veux rien rater de leurs émotions, tout garder en mémoire. A chaque coup de rein, je sens les mains de marine se crisper sur mes bras et un grognement rauque s’échappe de sa bouche grande ouverte. Elle se laisse prendre sans aucune retenue et c’est divin ! Soudain elle redresse la tête puis la penche en avant. La lèvre inférieur dans sa bouche, elle fixe la queue qui va et vient dans son ventre comme si elle voulait être sûre que ce soit celle d’un autre. De nouveau elle relève la tête et la laisse retomber sur mon épaule, les yeux fermés. Bouche grande ouverte, elle souffle sur le rythme des pénétrations successives.
Fabien ondule des hanches et semble avoir du mal à se contrôler. Il s’arrête, ressort et pousse un long soupir. Puis de nouveau il la pénètre, lentement, profondément mais je devine qu’il ne va pas tenir le coup bien longtemps. C’est évident, il ne peut se retenir... Soudain il accélère, je comprends qu’il va craquer. Les gémissements de Marine se transforment en une sorte de « han ! » étouffé à chaque coup de queue. Je la sens se contracter de plus en plus fort et le frottement de ses fesses sur ma braguette m’amène, moi aussi, au bord de l’éjaculation. Elle redresse enfin la tête, les yeux fixés sur Fabien qui la pénètre le plus profondément possible. Elle laisse échapper un long râle, le corps agité de petits soubresauts, les mains crispées sur mes bras, tandis qu’il joui en elle. Mon excitation est telle que je me vide moi aussi dans mon caleçon.
Je réalise alors qu’il n’a pas mis de préservatif... Je me dis « Qu’importe, ce n’est pas un inconnu, s’il avait un problème, il nous l’aurait dit ! ». Je fixe sa queue qui se retire et j’attends patiemment que ma coquine reprenne son souffle et ses esprits. Puis je la repose lentement sur le sol, je n’ai plus de bras. Elle vacille un peu, se retourne vers moi puis reste debout, du sperme ,s’écoulant sur ses cuisses tremblantes. Elle s’avance et vient se blottir dans mes bras. On s’observe, en silence. Fabien semble gêné. Il lance d’une petite voix :
_ Désolé... C’était... trop intense pour moi. J’aurai voulu durer plus longtemps mais...
Marine ne dit rien, moi non plus, on s’en moque.
C’est elle qui rompt enfin le silence.
_ Ne dis pas de bêtise... C’était... C’était très bien...
Elle enfouie sa tête dans mon épaule comme si elle avait honte. Je sens que je dois dire quelque chose pour la rassurer, pour les rassurer ! Un truc pour dédramatiser, si besoin est, ce moment fabuleux pour moi.
_ Ben moi... J’ai bien aimé... C’était... génial !
Fab me regarde et me sourit, il semble libérer d’un poids.
_ Je... La prochaine fois je ferai mieux... C’est sûr !
Marine redresse la tête et pouffe de rire avant de lui répondre :
_ J’ai pas dit que je voulais d’une prochaine fois...
Silence. Puis elle rajoute d’une petite voix :
_ Ou alors... Il faudra bien faire attention... Etre très discret au boulot... Faire comme si on se connaissait à peine...
Il retrouve son sourire et lui lance :
_ Bien sûr... Je suis pas fou quand même.
Silence. Elle se tourne vers moi et m’embrasse tendrement sur la bouche. Puis elle le regarde de nouveau et lui lance :
_ Et je ne sais pas si mon mari sera d’accord !
On rit tous les trois, de nouveau détendus. Marine se détache enfin de moi, ramasse sa culotte et l’utilise pour s’essuyer les cuisses sous les yeux toujours gourmands de Fabien. Puis elle réenfile son juste au corps et remet sa jupe, sans sa culotte qu’elle garde serrée dans sa main. A son tour, il remet son caleçon puis son pantalon. De nouveau habillée, ma coquine lisse ses cheveux, réajuste ses vêtements et nous sortons enfin du bureau. Nous redescendons discrètement les escaliers et nous retrouvons devant l’entrée de la salle prévu pour danser. La musique est assourdissante et je n’ai qu’une hâte, quitter cet endroit. Marine nous laisse, le temps d’aller chercher son manteau et dire au revoir à quelques collègues puis nous filons vers le parking et la voiture.
Le trajet nous semble encore plus court qu’à l’aller. Arrivé non loin de chez Fabien, je m’arrête sur le trottoir. Il fait nuit noir et il n’y a pas un chat. Il descend et se penche par la vitre baissée du coté de Marine. Il l’embrasse rapidement sur la bouche et murmure :
_ J’aimerai trop un souvenir de cette sortie... Une petite photo particulière peut-être.
Elle se met à rire puis lui répond :
_ Tu veux quoi ?
Il réfléchi puis chuchote :
_ Tes seins !
Elle rit de nouveau puis sans enlever sa ceinture, baisse le haut de son juste au corps afin d’exhiber sa poitrine. Il sort rapidement son portable, prend une photo et le range dans sa poche en souriant.

img2.jpg


Il nous regarde l’un après l’autre et nous lance :
_ Merci pour cette merveilleuse soirée !
Je lui réponds :
_ N’oublies pas de m’envoyer cette photo, moi aussi je veux un souvenir.
Je démarre, c’était vraiment une soirée fabuleuse !
canlib, hommessexy, fan69bis et 52 autres a liké
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par Dionysos06
#2647438
@Patrice63 la bascule magique dont tu rêvais, que tu espérais. Enfin la voici ! Ce complice sûr, sérieux, fiable, respectueux et joueur qui a su vous conquérir à pénétré, nature qui plus est !, ta femme chérie et vous a conduit au paradis.
Tu m'avais parlé de ce moment lors de nos discussions ; mais l'émotion et l'intensité avec lesquelles tu le décris le rend encore plus beau.
Un très merci à toi pour nous les faire partager.
par Patrice63
#2647548
Merci @fan69bis , heureux de partager cela avec vous.

@Dionysos06 , pour être intense, ce fut intense! Pas facile de dire tout ce que j'ai ressenti... Décrire de tels instants, c'est très compliqué.
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par dane
#2647624
Définitivement, tu es un grand conteur. Quel bonheur de te lire. Complètement à croc. À croc de cette écriture, à croc de Marine-magique, à croc de vous et des chemins que vous débroussaillez, empruntez ensemble.
Patrice63 a liké
par Lefou123
#2647774
@Patrice63 Ah ben magnifique ! Quelle écriture vraiment ! Quel texte ! Dommage qu'il n'y ait pas un peu plus de photo pendant l'action (tu sais bien qu'on est des gourmands) mais vu que c'est pour la prochaine fois on a déjà hâte !
Patrice63, sergio a liké
par Patrice63
#2647870
Merci à vous tous de suivre notre histoire avec tant d'intérêt. Vos commentaires sont trop sympa, vraiment.
.Dommage qu'il n'y ait pas un peu plus de photo pendant l'action

Je dois te dire, @Lefou123 , que prendre des photos dans l'action n'est pas toujours évident. Surtout avec des rencontres imprévus. Nos "compagnons de jeux" étaient plutôt méfiants, voir opposés à cela, discrétion obligé.
Là, c'était la première fois avec Fabien et dans le feu de l'action, je n'ai absolument pas penser à en faire.
Par contre, nous en avons discuté, après, avec Fabien avec qui nous avons un vrai lien d'amitié. Lui aussi aime les photos souvenirs.
Donc, lors de notre deuxième rendez-vous coquin, nous avons pris le temps d'en faire, lui et moi, pour les partager ensuite... :x
Je pense que Vous ne serez pas déçu...
sergio, regardiscret, Lefou123 et 3 autres a liké
Avatar de l’utilisateur
par sergio
#2647875
C'est sur que ce long texte n'est pas beaucoup illustré mais s'il n'y a pas le "choc de photos", il y a le "poids des mots" qui nous font monter en température.
Je ne sais pas si j'enviais la place de Patrice ou celle de Fabien dans ce bureau.
Tout en sachant qu'il y a du monde en dessous qui fait la fête.
par Patrice63
#2647879
.Tout en sachant qu'il y a du monde en dessous qui fait la fête

C'est sûr, @sergio , que cela rajoutait du piquant à la situation déjà très intense d'un point de vue émotionnel! :x
Avatar de l’utilisateur
par SwedenForCandice
#2648123
Une lecture retardée et un plaisir décuplé.

Pour avoir osé franchir le pseudo avec un amis, le laisser devenir un amant dans une réalisation parfaitement candauliste en plus tou en lui donnant tous deux la perspective d'une suite régulière. Bravo et merci de cette retransciption si délicieuse de détails.

Aux plaisirs e la suite :x
Patrice63 a liké
par Lefou123
#2648601
@Patrice63 Oui j'ai bien conscience que c'est pas évident mais vos textes sont tellement incroyable que vous pourriez viser la perfection en ajoutant quelques clichés surtout lorsqu'on a une si belle femme. ;)
Patrice63 a liké
par cffj14
#2648849
Superbe récit, je ne suis qu'a la page 20 mais j'adorais que ma femme s'offre ainsi au retour d'une soirée en boîte ou ailleurs, avec un jeune ou un homme de notre âge peu importe.
:D ;)
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2648879
.Pour avoir osé franchir le pseudo avec un amis, le laisser devenir un amant dans une réalisation parfaitement candauliste en plus tou en lui donnant tous deux la perspective d'une suite régulière.

@SwedenForCandice , Marine a toujours dit qu'elle ne pourrait se donner totalement à un autre que si elle avait entièrement confiance en lui, quelqu'un de respectueux, doux, gentil avec qui on s'entendait bien... C'est la définition d'un ami!
Fabien a mis du temps à venir mais il répondait à tous les critères. Il avait le profil idéal pour en faire un complice "durable" capable de nous accompagner dans notre vie coquine. :x

@cffj14 , je ne peux que te souhaiter de réaliser ton rêve... :cuck:
Avatar de l’utilisateur
par SwedenForCandice
#2648895
@Patrice63 Candice est de même et pourtant le physique compte beaucoup pour elle.

Ainsi, un Fabien :x avait su la séduire sur Wyylde mais trop pressant, trop confiant, il n'a pas eu de suite malgré des atouts physiques parfaits :x :cuck: :x
viewtopic.php?p=2636334#p2636334

Belle continuation à Marine dans ces jeux si épanouissant pour nos compagnes <3 :oops: <3
Patrice63, sergio, nizo a liké
par Patrice63
#2654278
Février 2021, Le premier trio endiablé.

Un mois, cela fait un mois que ce truc de fou est arrivé ! Bien sûr, il y avait eu des tas de moments mémorables auparavant mais là, j’avais atteint le but ultime pour un mari candauliste... Marine renonçant à ses ultimes réticences pour se laisser baiser devant moi, le plaisir suprême pour moi ! Depuis, beaucoup de discussions, à deux, à trois parfois via whatsapp. La première semaine, Fabien nous avait contactés à plusieurs reprises, séparément, pour savoir si tout allait bien. Il semblait à la fois inquiet et euphorique comme un gamin ayant reçu un merveilleux cadeau. Je n’eu aucun mal à le convaincre que pour nous aussi, ce fut une soirée fantastique. Marine resta toutefois plus discrète. Non pas qu’elle regretta quoi que ce soit mais elle avait besoin d’un peu de temps pour « assimiler » tout cela, s’habituer à ses « nouveaux repères ». Nos discussions suivantes l’amenèrent à m’avouer qu’elle se sentait à la fois comme libérée et encore plus proche de moi, plus complice. Elle me fit comprendre aussi qu’elle ne voulait pas que cela devienne trop fréquent non plus. Elle voulait conserver le coté « exceptionnel » pour profiter pleinement de l’excitation intense lié aux évènements occasionnels.
Mais je ne suis qu’un homme et Fabien aussi... En fait, lui et moi, on n’avait qu’une envie, recommencer le plus rapidement possible ! On ne parlait que de ça, par mail ou sur whatsapp. Il était toujours en déplacement à droite ou à gauche en semaine, donc, compliqué de se voir en vrai. Avec Marine, leurs conversations étaient en général plus soft mais il y avait quand même de temps en temps de petites allusions sans équivoque et ma coquine en riait. Et je sentais quand même qu’elle cogitait de plus en plus...

Je repense à tout cela en guettant l’arrivée de Fabien. Quand il m’a signalé ce matin qu’il était de passage vers chez nous dans l’après midi, j’ai tout de suite appelé Marine pour lui dire qu’on pouvait peut-être en profiter pour lui proposer de passer boire un café à la maison. Après tout, cela faisait longtemps qu’on ne s’était pas vu et le fait de débaucher plus tôt un vendredi n’avait rien d’exceptionnel. Je jouais les hypocrites en lui disant que si son boulot ne lui permettait pas de se libérer ben tant pis, on boirait un coup sans elle... Elle m’avait répondu qu’elle essaierait mais que ce n’était pas gagné ! Puis, un peu plus tard que c’était bon, elle pouvait débaucher plus tôt elle aussi.
Quand je rappelais Fabien, nous fumes tout de suite d’accord, on allait en profiter un max !
On était hyper excité, sûr qu’il allait se passer un truc. C’était obligé, ce serait la première fois qu’on se retrouverait physiquement ensemble depuis notre folle soirée, un mois auparavant.

Une voiture passe le portail et se gare devant le garage. C’est Marine. Elle n’a pas chômé la coquine, j’en étais sûr ! Elle me rejoint sur le pas de la porte et me plaque un bisou sur la bouche avant d’entrer. Je referme vite la porte, l’air est glacial aujourd’hui.
De la cuisine elle me lance :
_ Tu sais vers quelle heure il passe ?
_ Ben il ne devrait pas tarder vu ce qu’il m’a dit tout à l’heure. Dans une petite demi-heure.
Je l’entends ouvrir un placard et je devine qu’elle prépare la cafetière. Je regarde autour de moi, tout est nickel, mon portable est là et je compte bien m’en servir cette fois ! Trop envie de me faire quelques photos souvenir, Fabien est d’accord... Je me sens fébrile et je commence à trembler d’un peu partout. Il ne faut pas que Marine voit ça donc je m’éclipse dans la chambre et j’attends. Je tourne en rond dans la pièce en me posant des tas de questions. Et si elle ne voulait pas. Et si elle n’avait pas envie. Et si Fabien n’osait rien faire malgré tout ce qu’il m’avait dit. Je bande déjà en m’imaginant des tas de chose. Putain je deviens maboul.
Un bruit de moteur, ça y est, c’est lui ! Je retourne dans le hall et ouvre la porte dès la première sonnerie. Il est là, debout devant moi avec un bouquet de fleurs. Je lui serre la main et le fait entrer. Marine sort de la cuisine et lui fait u grand sourire :
_ Salut toi ! Houaaa c’est pour moi ces jolies fleurs ?
Fabien lui sourit en lui tendant sont bouquet :
_ Désolé, je n’en ai pas trouvé d’aussi jolies que toi.
Marine éclate de rire en s’emparant du petit cadeau :
_ Je vois, toujours aussi flatteur...
Elle s’approche et l’embrasse sur les deux joues avant de se retourner pour aller chercher un vase.
Fabien enlève son blouson et je l’invite à se mettre à l’aise dans un fauteuil du salon. On discute un peu, de son circuit de la semaine, de ses clients et autres banalités qui ne m’interressent pas vraiment. Je le sens aussi tendu que moi et je me dis que ce n’est pas gagné !
Marine nous rejoint avec le café et quelques biscuits. Ils discutent boulot et j’écoute en les observant. Fabien ne la quitte pas des yeux et pour moi, c’est évident qu’il a envie d’elle. Ca se voit dans son regard, son attitude, ses mains qui tremblent un peu en prenant sa tasse. Marine semble à l’aise et se comporte « normalement ».
Le temps passe, on parle de tout et de rien et je commence à me dire que rien de ce que j’avais espérer n’arrivera. Un petit silence s’installe et j’en profite pour servir un deuxième café. Soudain Marine se met à pouffer de rire et interpelle Fabien :
_ Pourquoi tu me regarde comme ça ? J’ai un truc qui ne va pas ?
Fabien lui répond par un sourire puis d’une voix un peu hésitante :
_ Non, non, tu es... Superbe... Je... Je te trouve hyper jolie comme toujours.
_ Merci, c’est gentil... Je ne suis pourtant pas très bien habillée...
Je l’observe et je remarque qu’effectivement, elle porte un jean et un chemisier tout ce qu’il y a de banal. Fabien la détaille de nouveau et lui jette :
_ C’est vrai que la dernière fois... Tes bas, ta petite jupe... C’était chaud...
Elle pouffe de rire de nouveau :
_ Oui mais pour le boulot, ça ne colle pas vraiment !
On rit doucement tous les trois. Petit silence. Je sirote mon café, attendant la suite. Fabien me jette un rapide coup d’œil comme s’il attendait de l’aide de ma part. Je cherche un truc à dire pour que cette conversation ne s’arrête pas là quand soudain Marine lance à Fabien :
_ Tu l’aimais tant que ça ma tenue ?
_ Oh que oui ! Tu étais... hyper bandante. Comme tu avais pu le remarquer, non ?
On rit de nouveau et il enchaîne :
_ J’aimerai trop que... Que tu la remettes...
_ Si ca peut te faire plaisir... j’essaierai d’y penser à la prochaine occasion.
_ Perso, je préfère nettement les femmes en jupe qu’en pantalon.
Il tourne la tête vers moi :
_ Pas toi ?
Je ris et lui répond sur le ton de la confidence :
_ Tout à fait d’accord ! Une femme qui cache ses jolies jambes, ça devrait être interdit !
On rigole tous les deux sous le regard médusé de Marine qui finit par se lever.
_ Bon, j’ai compris, je vais me changer !
Elle se retourne et se dirige vers le couloir menant aux chambres. Fabien me regarde avec un grand sourire. Je lui fais un clin d’œil et me penche vers lui.
_ On devrait la suivre pour voir. Tu pourrais peut-être l’aider à se changer...
Il hésite, regarde vers le couloir puis se lève. Il se retourne vers moi et avec un sourire me demande :
_ Tu crois qu’elle sera d’accord ?
_ J’en sais rien mais tu peux toujours essayer. En tous cas, moi je n’y vois aucun inconvénient.
Il se retourne de nouveau et se dirige à son tour vers les chambres. Je le suis et lui montre la porte entrouverte d’où s’échappe un peu de lumière. Il s’approche et pousse la porte. Marine se tient debout, en sous vêtements devant le dressing. Elle se retourne brusquement et nous regarde, surprise. Elle finit par sourire et lance :
_ Je ne pensais pas que tu étais pressé à ce point là !
Fabien la regarde des pieds à la tête. Je jubile intérieurement. Mon idée était bonne, l’accueille de ma coquine ne me laisse aucun doute sur ce sujet. Je reste derrière lui et l’observe. Ma tension nerveuse vient de grimper d’un seul coup et je commence à avoir du mal à respirer...
_ Heu... Je me dis que finalement, tu es très bien habillé comme tu es là, maintenant !
Marine éclate de rire, fait un demi-tour sur place afin de se montrer sous tous les angles puis lui lance :
_ Tu es sûr ?
Il pouffe de rire.
_ Oui, tout à fait... Il y a certaines choses qui m’indiquent que tu as trouvé la bonne tenue pour me faire plaisir...
_ Tiens donc ! Et je peux en savoir plus sur ces... Choses ?
Je sens mes jambes trembler, c’est plutôt bien parti ! Très bien parti même...
Je regarde ma coquine qui se mord la lèvre inférieure. Je connais parfaitement bien ce signe. Là, elle est dans la provocation et j’adore ça !
Fabien doit l’avoir deviner aussi car il ne se dégonfle pas. J’adore ce type !
_ Ben je ressens comme des démangeaisons et une sorte de raideur... Là.
Placé dans son dos, je ne vois pas l’endroit qu’il indique mais je le devine facilement. Je me sens de plus en plus excité et c’est une merveilleuse sensation. J’adore ces « préliminaires » vocaux. Un jeu de questions-réponses où personne n’est dupe.
Marine reste silencieuse quelques seconde puis un sourire au coin des lèvres :
_ Je devine un peu ce que tu veux dire...
_ Tu veux voir ?
Là, je sens carrément mon sexe essayer de s’échapper de mon jean tout serré. Je retiens mon souffle, attendant la réponse de ma coquine.
_ Hummmoui, je voudrai être sûr de ne pas m’être trompée...
Fabien se met à rire, un rire nerveux, saccadé, discret. Je le vois bouger ses bras au niveau de son bassin et entends le bruit d’une fermeture éclair. Je devine aisément, une fois de plus, ce qu’il fait.
Il défait sa ceinture, ouvre le bouton de son jean puis baisse le zip de sa braguette. Les gestes suivants me confirme tout cela. Il saisit le haut de son pantalon et le baisse en même temps que son caleçon.
Je regarde Marine qui les yeux fixés sur ce qui lui est présenté pouffe de rire.
_ Rhhhhôôôô, mais c’est vrai que tu es....
Elle ne termine pas sa phrase, immobile, le regard fixe, ne sachant quoi dire de plus. Fabien s’exhibe un moment en silence puis murmure :
_ Si je me souviens bien, la règle du jeu, c’était que quand l’un de nous montre quelque chose, l’autre en fait autant...
Marine sort de sa torpeur et avec un petit sourire malicieux lui répond sur le même ton :
_ Je ne sais pas si c’est le bon moment ! Mais je ne veux pas tricher non plus ! La règle doit être respectée. Peut-être que... Que tu pourrais m’aider...
Fabien se débarrasse de son pantalon et s’avance vers elle, le cul à l’air. Je le suis, ne voulant rien perdre du spectacle qui s’annonce. Enlaçant ma coquine, il dégrafe son soutien gorge et le laisse tomber sur le sol, libérant la poitrine déjà gonflée par l’excitation. Puis fléchissant les genoux, il saisit la culotte et la descend jusque sur les chevilles. Se redressant, il plaque ses mains sur les hanches de ma chérie et l’attire contre lui. Leurs bouches se rejoignent et se collent l’une à l’autre dans baiser plein de fougue. C’est comme un barrage qui se rompt. Ils agissent comme s’ils étaient pressés d’en découdre tout d’un coup ! Je devine leurs langues se cherchant, s’enroulant l’une autour de l’autre comme deux serpents. Le bruit de succion de leurs lèvres empli la pièce sombre. Marine en profite pour défaire la chemise de Fabien avant de la faire glisser de ses épaules et la faire tomber sur le sol. Ils sont nus tous les deux et je me dis que je dois en faire autant pour rester dans la partie. Je me déshabille à mon tour en regardant Fabien parcourir le corps de ma petite femme. Ses mains sur les seins, les fesses, je bande comme un malade...
Soudain Marine se recule et, les mains à plat sur le torse de Fabien, le pousse en arrière sur le lit défait.
Il tombe à plat dos, sa bite dressée vers le plafond, le souffle court.
Marine me jette un coup d’œil pour s’assurer que tout va bien pour moi également puis elle s’avance vers le lit. Elle y monte et se positionne la tête au-dessus de la queue bien raide.
Elle la saisit dans sa main et commence à la branler lentement.

FA1.jpg


Pendant de longues secondes, elle fait coulisser la peau le long de la hampe dressée, faisant jaillir le gland d’entre ses doigts serrés à quelques centimètres de sa bouche. Je prends quelques photos, j’adore mater.
Lentement, elle approche ses lèvres du gros mufle rouge gonflé de sang. Ma salope a faim, je le sais ! Elle ouvre la bouche et englouti la bite jusqu’au fond de sa gorge. Puis la ressort lentement avant de la lécher doucement, tendrement. Elle parcourt toute la queue, le gland turgescent, la hampe, les testicules. Tout est léché, sucé, dégusté comme une friandise. Puis, de nouveau, elle prend le gland dans sa bouche tout en gardant sa main serrée autour de la tige.

FA1A.jpg


Sa tête monte et descend au même rythme que sa main. Elle suce lentement cette bite avec une gourmandise évidente... De temps en temps, Fabien place sa main sur la nuque de ma coquine pour l’obliger à l’avaler plus loin. Je commence à me branler moi aussi tout en les observant. J’attends patiemment la suite, c’est si bon d’attendre dans de telles conditions...
Fabien souffle de plus en plus fort, soulevant parfois son bassin pour aller plus profond dans la bouche qui le dévore. Soudain il lâche une sorte de petit grognement et repousse la tête de Marine.
_ Oh nooonnn...
Trop tard ! Le premier jet de sperme atteint Marine au menton puis un second, plus faible et un autre qui coule doucement le long de la hampe. Il fronce les sourcils, faisant visiblement un effort pour se retenir. Je me dis que c’est trop con, il est évident que c’est trop intense pour lui et qu’il n’arrive pas à contrôler son niveau d’excitation.
Ma coquine le regarde en souriant, sans doute un peu déçue.
_ Je suis désolé, c’était trop fort... J’ai pas pu me retenir.
Marine lui pose sa main sur sa cuisse dans un geste d’apaisement.
_ C’est pas grave ! C’est normal, on fait des choses plutôt... Inhabituelles et très... Excitantes !
_ Oui mais merde, je suis trop nul ! C’est la deuxième fois ! Je suis désolé, tu dois être très frustrée...
Elle rit avant de répondre :
_ Mais non, j’ai mon homme à moi pour s’occuper de ça.
Elle me regarde avec tendresse, je fonds, je suis fou d’elle, ma petite femme chérie. Je m’avance vers elle et l’embrasse sur la bouche, un long baisé d’amoureux. Puis je me redresse et en lui souriant pour le détendre, je lance à mon malheureux complice :
_ Allez, on va boire un petit remontant. On va pas se prendre la tête pour si peu de chose, non ?
Je me lève et me dirige vers la salle à manger.
On se retrouve tous les trois à poil en train de siroter un verre de vin. Fabien nous regarde, tout penaud. Marine tente de le décontracter en plaisantant :
_ C’est ma faute aussi, j’aurai du déguster plus lentement cette jolie chose que tu m’as montré si gentiment... Mais j’avais trop faim !
On rit, ça va mieux. Fabien se tortille sur sa chaise. Il vide son verre et je lui en sers un autre. Je l’observe à la dérobée, je suis sûr qu’il va rebander rapidement. Il est encore jeune, dans les trente cinq ans...
La bouteille se vide lentement et d’un geste maladroit, je renverse mon dernier verre. Marine se lève pour aller dans la cuisine chercher une éponge afin d’essuyer la table. J’observe Fabien qui la dévore des yeux. Je décide de le chauffer davantage.
_ Elle te fait envie ?
Il me regarde, surpris. Je continue sur le même ton :
_ Si tu veux la prendre, tu as ma permission et je crois qu’elle attend que ça...
Marine revient et se penche au-dessus de la table pour l’essuyer. Face à nous, Fabien ne quitte pas des yeux ses seins qui se balancent devant lui. Il oblique la tête vers moi et je lui fait un clin d’œil.
Ma coquine fait le tour de la table et se place à côté de lui, face à moi, pour finir d’essuyer la table. Soudain je la vois se figer, un sourire au coin des lèvres. Il lui caresse les fesses et visiblement, elle apprécie... Elle reste immobile, le laissant poursuivre son exploration. Sans la voir, je devine que sa main se glisse entre ses cuisses pour se balader du coté de sa chatte. Imperceptiblement, elle écarte ses cuisses et j’entends son souffle s’accélérer. Les yeux fermés, elle se laisse tripoter, debout, sans bouger.
De nouveau, ma queue se redresse et ma gorge se serre, rendant ma respiration plus difficile. J’attends le moment où on va retourner dans la chambre, c’est inévitable !
Fabien se lève enfin et je constate qu’il est de nouveau en érection. Il saisit Marine par les épaules et la fait pivoter doucement pour qu’elle se retrouve face à lui. Il l’embrasse à pleine bouche puis descend sur ses seins qu’il parcourt du bout des lèvres. Marine frissonne de partout, haletante, totalement soumise au plaisir qu’il lui donne. Soudain, il s’empare d’un téton et le suce avec avidité, arrachant un gémissement à ma coquine qui bombe le torse afin de mieux s’offrir.
Fabien se redresse et se recul légèrement. Nos regards se croisent, nous savons tous les deux ce que nous attendons l’un de l’autre. Il esquisse un sourire. Nous sommes complices, prêts à partager cette femme qui ne demande que ça...
Marine baisse les yeux et regarde la queue fièrement dressée devant elle. Elle s’en empare de ses mains et la caresse doucement. Il se laisse faire pendant quelques secondes puis la saisissant aux hanches, il l’aide à s’assoir sur le bord de la table et s’avance entre ses cuisses.
« Nooonnnn ! Il va la baiser sur la table ! ». Je n’en reviens pas. Je vacille sur mes jambes en coton. Je ressens comme des spasmes dans mon ventre et mon sexe. La vue de ma coquine, totalement consentante, prête à se faire prendre devant moi sur une table, c’est tellement « énorme » !
Marine n’est plus apte à diriger quoi que ce soit et semble prête à suivre nos envies de baise débridée.
Lentement, elle se laisse aller en arrière, allongée sur le dos, sa tête de mon coté. Ses cuisses grandes ouvertes, elle s’offre totalement à Fabien. Je m’avance moi aussi de façon à placer ma queue juste au dessus de son visage. Les yeux fermé, elle s’empare de ma queue et commence à me branler. Je regarde avec fascination notre ami-complice saisir une cuisse d’une main pour la maintenir écartée tandis que de son autre main, il positionne sa bite sur la vulve humide de ma coquine. Je saisis mon portable pour immortaliser cet instant magique.

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Lentement il s’enfonce en elle... Extraordinaire, quel spectacle fabuleux pour le mari candau que je suis ! Je tremble de partout, j’ai la gorge sèche et mal au ventre tellement je suis crispé. J’aspire l’air à grand coup tandis que Marine me prend dans sa bouche pour me sucer en se donnant sans aucune retenue à ce type qui la baise lentement, profondément...

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Je perds la raison ! Je laisse mon coté animal prendre le dessus. J’ondule lentement du bassin comme Fabien, calquant mon rythme sur le sien. A chaque coup de sa queue dans la chatte trempée, la bouche gourmande qui me dévore m’avale plus profondément.
La pièce s’emplie du bruit de nos souffles, nos grognements, nos gémissements. Fabien tient bon, il est dans le contrôle et c’est trop bon ! Au bout de plusieurs minutes, je recule afin d’échapper à cette douce torture. Je fais le tour de la table et me positionne au coté de Fabien. J’ai envie de faire une photo, LA photo ! Il me regarde et comprends ce dont j’ai envie. Il arrête ses va et vient et s’immobilise sans sortir complètement sa queue de la vulve de ma coquine. Marine ouvre les yeux, surprise. Comprenant ce que nous sommes en train de faire, elle écarte ses cuisses au maximum pour me laisser le plus grand champ de vision possible. J’avance mon portable, tout est parfait pour assouvir mes envies candaulistes, un gros plan merveilleux !

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Je pose mon portable, les souvenirs sont là. Fabien me sourit puis se retire complètement afin de me laisser la place. Je m’avance et m’enfonce d’un seul coup dans le ventre palpitant de ma belle. A mon tour, je la baise lentement en regardant notre complice prendre ma place et se faire sucer à son tour. Marine recommence à gémir puis à grogner, la bouche pleine. Je surveille la montée de son plaisir, il n’est pas question de la laisser jouir maintenant... Je veux la voir épuisée !
Pendants de longues minutes, on se relaie avec Fabien, l’un dans sa chatte, l’autre dans sa bouche. A chaque fois qu’on la sent au bord de l’explosion, on échange nos places.
Combien de temps cela dure, combien de fois nous a-t-elle suppliés de continuer en elle « jusqu’au bout ». Je ne sais pas, je ne sais plus. Je redresse la tête et croise le regard de Fabien. Nous sommes à bout de souffle, nous aussi. Je remarque que depuis qu’il a repris sa place entre les cuisses toujours écartelées, il la baise plus vite et un peu plus fort. Je sens la bouche de ma coquine qui m’aspire sur le même rythme tout en gémissant. Je me retire afin de la laisser respirer plus librement et je lance d’une voix de gorge tremblante :
_ Vas- y, baise la bien à fond... Fait la jouir !
C’est la tempête ! Il se déchaine comme un fou, pilonnant comme un forcené. Marine redresse la tête, les yeux fermés, bouche grande ouverte. Les cheveux sur le visage, elle semble perdre la raison. Elle feule puis hurle, tête rejetée en arrière, totalement tétanisée par les coups de boutoir de Fabien. Un orgasme d’une violence inouïe alimentant une fontaine qui n’en fini pas de couler sur la table. Fabien s’arrête et se raidit brusquement en lâchant un :
_ Putain que c’est booonnnn....
Je devine, aux contractions de son ventre, qu’il éjacule tout au fond de ma coquine qui continue de trembler de tout son corps.
Fabien se retire et se laisse tomber sur une chaise, à bout de souffle. Marine reste allongée, immobile, les jambes pendantes. Elle cherche à récupérer son souffle, elle aussi et n’a visiblement pas la force de se relever. Je les observe pendant qu’ils récupèrent, ma queue toujours aussi raide. Quelle folie ! C’était tellement merveilleux...
Marine se relève enfin et nous regarde avec un petit sourire, assise sur la table. Fabien essuie sa queue avec du sopalin et nous gratifie, lui aussi, d’un sourire plein de satisfaction. Je lance d’un ton moqueur :
_ Bon, tu connais le mode d’emploi maintenant, il te faut deux séances pour que la deuxième soit réussie !
On rigole tous les trois, détendus. Fabien regarde mon sexe en demi-érection et me dit d’une petite voix.
_ Et toi ? tu, dois être hyper frustré, non ?
Marine se met debout, s’approche de moi et se penche pour m’embrasser tendrement sur la bouche. Puis elle se redresse :
_ Je vais prendre une douche et récupérer un peu. Je t’appellerai...
Elle se dirige vers le couloir menant à la salle de bain. Je la regarde, émerveillé par ses courbes. Ma femme est une perle ! Fabien m’interroge du regard. Je murmure :
_ Je n’en sais pas plus, que toi mais je pense qu’elle ne va pas me laisser dans cet état...
_ Vous êtes vraiment hors norme ! Un couple comme vous, on en rêve tous ! J’ai vraiment du bol de vous avoir rencontré... Je vous adore.
Je ris, heureux comme un roi.
Dix minutes plus tard, Marine m’appelle. Je m’avance dans le couloir, sa voix vient de la chambre. Je reste figé sur le pas de la porte, Fabien regardant par-dessus mon épaule.
_ Houaaa elle est vraiment sublime...
Son compliment me va droit au cœur. Je me délecte du nouveau spectacle qu’elle nous offre... A quatre patte sur le lit, la tête dans les oreillers, elle pouffe de rire puis me lance d’une petite voix :
_ Viens mon amour, viens me voir... C’est pour toi...
Je m’avance, mon cœur battant la chamade. Je la connais, je sais qu’elle peut avoir plusieurs orgasmes d’affilé mais là, je n’en reviens pas. C’était tellement violent tout à l’heure...
Je monte sur le lit et me positionne derrière elle. J’hésite entre son petit cul et sa chatte mais non ! J’ai envie d’une levrette. Quelle position ! Je bande de nouveau et je m’enfonce entre les pétales de la jolie fleur rouge écarlate, jusqu’au fond. Fabien s’assoit sur le lit et nous observe. Je note que sa queue ne se redresse pas, il a eu son compte ! Je commence à la baiser doucement, guettant l’apparition des premiers symptômes de plaisir chez mon adorable petite salope. Je me dis qu’elle en veut, qu’elle aime ça autant que nous, que c’est tout simplement génial... Elle souffle plus fort, son cul commence tout doucement à se balancer d’avant en arrière. Un premier gémissement suivi d’un autre puis d’un autre à chaque poussée de ma bite, le plaisir est là. Fabien s’approche de nous et glisse ses mains sous ma coquine. L’une pour pétrir ses seins, l’autre pour lui branler son clitoris. C’est divin.
Je suis à bout, marre de me retenir, j’ai envie de la tringler de toute mes forces pour la faire crier de nouveau. J’accélère la cadence et pilonne ce cul faisant claquer mes testicules sur le haut de ses cuisses. Je ne pense plus, je me concentre sur une seule chose, tenir, tenir jusqu’à ce qu’elle crie.
Elle feule comme un chat en colère et de nouveau, elle hurle son orgasme ! Je me vide au même moment, lâchant tout dans sa chatte qui ruisselle de sperme. Je continue mécaniquement mes va et viens. C’est dingue, je ne peux pas m’arrêter, c’est plus fort que moi...

C’est bon de prendre une douche, rien de mieux pour se détendre. Marine passe la première puis Fabien et moi pour finir. De retour dans le salon je vois Fabien qui se rhabille sous les yeux de Marine enroulée dans sa serviette, assise dans un fauteuil. Il me jette un coup d’œil et me sourit. Je suis sûr qu’il n’oubliera pas de sitôt son café d’aujourd’hui...
_ Bon, je dois y aller... C’était... Pfff, je trouve pas les mots. Vous êtes formidables...
Je l’attrape et le prends dans mes bras, ce complice, cet ami si particulier.
_ Toi aussi tu es formidable. C’est bon d’avoir confiance en toi.
On se fait la bise comme deux vieux potes. Marine s’avance à son tour et lui fait un petit bisou sur la bouche en murmurant :
_ Attention, si on se croise au boulot, les bisous, c’est sur la joue, ne te trompe pas, hein !
On rit tous les trois, un trio magique, c’est exactement ce qu’on recherchait !
tomes179, mmpvgm, sergevr85 et 40 autres a liké
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