Janvier 2021, Enfin, le graal...
Début Janvier.
Marine rentre du boulot et à peine arrivée me lance de loin :
_ Chéri ! Le big boss nous offre une soirée avec dîner dans un domaine vers Issoire. Il y aura tout le personnel de la région et les conjoints sont invités...
_ Ah ! Et en quel honneur ?
_ Pour redonner le moral après ce foutu confinement.
Là je me marre, déjà que Fabien avait réussi à aller voir des clients alors que normalement, il devait être chez lui, tu parles d’un confinement ! La boite avait fermé les yeux vu que tout s’était bien passé, tout le monde y avait trouvé son compte. Quand Marine m’en avait parlé, j’avais trouvé ça gonflé mais bon...
_ C’est quand ?
_ Le vendredi 29 !
_ Et on sera combien ?
_ Pfff je ne sais pas moi, une quarantaine de personnes si tout le monde vient mais ça m’étonnerai que ce soit le cas... Il organise la même chose pour les autres unités situées dans le nord.
_ Ben dis donc, ca va coûter une blinde à ta boite ! C’est pas une multinationale, même si ça marche bien !
Elle vient enfin se blottir dans mes bras pour me faire un bisou.
_ Pffff, s’il le fait, c’est qu’il en a les moyens...
_ Mouai, il y en a qui ont bien su gérer les confinements... Il peut bien fêter ça.
Elle rigole, dépose vite fait un dernier bisou sur ma bouche puis s’éloigne vers la cuisine.
_ Fabien m’a dit que Sophie ne viendrait sûrement pas, elle n’aime pas ce genre de truc...
Je la rejoins vite fait.
_ Et ?
Elle me regarde, les sourcils relevés :
_ Ben et rien ! C’était juste pour que tu le saches, c’est tout !
Je réfléchis vite fait. Cela fait un bon moment qu’on ne l’a pas vu à la maison, confinement respecté de ce coté là. Mais coté échanges de photos sur WhatsApp, c’est devenu de plus en plus chaud. Je me dis que cette soirée pourrait bien nous réserver une bonne surprise, une très bonne occasion pour que je face avancer les choses de manière plus concrète. Je me sens soudain très bien !
_ Du côté d’Issoire... C’est vers chez lui... On pourrait le prendre en passant, tu en penses quoi ?
Elle réfléchi quelques secondes.
_ Ben pourquoi pas, on lui en parle et on verra bien si ça l’intéresse.
Tu parles que ça va l’intéresser ! Je vais me charger de son intérêt moi...
Deux jours plus tard.
Ca l’intéresse, il est d’accord pour faire le trajet avec nous et il confirme qu’il sera bien seul !
Vendredi 22.
Je n’arrête pas de penser à cette sortie. Bien que je ne sois pas fan des soirées où je ne connais pas grand monde, celle-ci m’excite terriblement. J’ai élaboré des dizaines de scénarios en sachant que je me fais peut-être des idées mais je veux y croire. Il est un peu plus de 17h et j’envisage de débaucher quand Marine me glisse un message sur whatsapp. Elle est dans sa voiture sur le parking de sa boite. Elle aussi rentre à la maison mais elle est visiblement en contact avec Fabien. Il lui demande visiblement une petite photo et Marine, pour une fois, veut me faire participer en directe à l’échange. Je me mets à trembler et la conversation s’engage :
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J’ai terriblement chaud. Je jette un coup d’œil vers mes collègues mais personne ne fait attention à moi. Je bande comme un fou. La petite coquine, elle prend visiblement énormément de plaisir à s’exhiber devant lui maintenant... Et lui qui ne conduisait pas et qui lui envoie une vidéo où il se branle dans les toilettes! Je n’en reviens pas. C’est tellement évident qu’il a envie de se la faire. Je range mon bureau, prêt à partir, quand un collègue me sollicite pour un calcul. Je n’ai pas du tout la tête à cela mais je fais l’effort de me plonger dans son affaire. Une demi heure plus tard, je me précipite dehors, je n’ai qu’une envie, rejoindre Marine à la maison. Un ralentissement de la circulation me fait bouillir tant je suis pressé et finalement j’arrive à destination, enfin !
Elle est assise sur le canapé et m’invite à m’assoir près d’elle. Je me penche et l’embrasse avec envie sur la bouche. Elle finit par me repousser en riant.
_ Tu me sembles bien nerveux, je me demande ce qui a bien pu te mettre dans un tel état...
Je pouffe de rire et lui montre la bosse déformant mon jean. Marine se penche et tout en défaisant mon pantalon :
_ Mais qu’est-ce que je vois là ! C’est pas bon d’être tout comprimé...
Elle ouvre mon pantalon et je lève mon basin afin de lui permettre de le baisser ainsi que mon caleçon.
Elle saisit ma bite dans sa main et la caresse avec tendresse. Elle me regarde et me demande :
_ Tu as aimé que je le fasse bander ? C’est ça ?
Je souffle un coup et lui réponds d’une voix tremblante.
_ J’ai adoré... Et toi ? Tu as vraiment mouillé ta jupe ? Ca t’a vraiment chauffé de le voir se masturber pour toi ? Tu t’es branlée toi aussi ?
Je la noie de questions. Elle me sourit puis plonge sa tête vers ma queue. Elle l’empoigne d’une main et la prend dans sa bouche. Elle me suce lentement tout en caressant mes bourses de son autre main. Je ferme les yeux, c’est trop bon. Je suis tellement excité que j’arrive très vite au sommet, prêt à exploser. Je le lui indique dans un souffle, elle se redresse et me sourit de nouveau en approchant son visage de mon oreille. Sa voix est douce, un chuchotement :
_ Oui, j’ai vraiment mouillé… Oui, j’ai adoré le voir se masturber pour moi et… puisque tu veux tout savoir, j’avais envie de ses mains sur moi… Juste ses mains partant à la découverte… Pour finir, j’étais tellement excitée que je n’ai pas eu besoin de me masturber pour mouiller ma jupe !
Elle se redresse, me regarde avec un petit sourire espiègle et plonge de nouveau vers ma bite toujours dressée. Elle reprend ses caresses et de nouveau, je suis au bord de l’explosion. N’en pouvant plus, je saisis ses cheveux et tire sa tête en arrière pour éviter d’éjaculer dans sa gorge mais saisissant mon bras, elle tourne la tête afin de se dégager et plonge de nouveau sur ma queue pour la pomper de plus belle. Je comprends qu’elle me veut dans sa bouche jusqu’au bout et me laisse aller…
J’explose ! Je sens les contractions de ma bite lâchant des jets de sperme dans la gorge de ma coquine qui ne me lâche pas pour autant. Elle me suce jusqu’à ce que je sois entièrement vidé, épuisé, détendu, mort. Elle finit par se redresser, un sourire sur ses lèvres fermées laissant échapper, à leurs commissures, un peu de sperme. Puis elle se lève et va dans la cuisine pour recracher ce qu’elle m’a aspiré.
Vendredi 29.
La bâtisse est impressionnante, immense. Une demeure du 18ème sur 3 niveaux avec au rez de chaussée des salles de restauration et de réunion destinées à des séminaires et autres congrès. Le plan indique que le premier étage se partage en plusieurs chambres pour accueillir les participants si besoin ainsi que des bureaux pour ceux voulant s’isoler. Le dernier étage étant privé. Apparemment, nous sommes en saison basse et seules deux salles de restauration sont actives. La notre avec une quarantaine de personnes et une autre, accueillant beaucoup plus de gens, une entreprise plus importante sans doute. Une autre salle semble avoir été préparée pour une fin de soirée dansante.
J’ai beau regarder autour de moi, je ne connais personne à part trois ou quatre collègues de Marine dont Fabien. Fabien que nous avons pris au passage pour l’amener avec nous et qui n’a pas dit grand chose durant le trajet d’environ une demi-heure.
Elle est superbe, ma petite femme. Des bottes avec une jupe noire laissant voir, lorsqu’elle se relève trop, des bas aux motifs originaux tenus par des porte-jarretelles.
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Lorsqu’elle m’a demandé mon avis, assise sur notre lit, je lui ai dit que c’était parfait, sexy sans être vulgaire et que cela devrait plaire aussi à notre ami. Tout comme l’espèce de juste au corps rouge laissant ses épaules nues, enfilé sans soutien-gorge ce qui permet de deviner les rondeurs parfaites de sa poitrine. J’étais sûr qu’elle le savait et assumait cela sans problème.
Elle m’a regardé, un sourire au coin des lèvres pendant que je prenais une petite photo de ses cuisses.
_ Toi tu as des envies particulières... Au sujet de Fabien et moi... Je te préviens, je veux bien lui montrer certaines choses, après tout, je ne lui cache plus rien sur les photos... Mais pas plus que ça, compris ? Je ne veux pas qu’il me touche... Du moins pas de la manière que tu imagines, sale pervers !
Elle rit devant ma mine faussement outré.
_ Pfff, je ne vois pas ce que tu veux dire.
Je ne m’étais pas trompé, elle envisageait visiblement un moment particulier où elle pourrait s’exhiber devant lui, la coquine...
En arrivant, elle a passé son temps à tirer sa jupe vers le bas pour éviter que son entourage ne voit ces accessoires d’un érotisme fou. La dite jupe arrivant juste au dessus des genoux, il n’y avait pourtant aucun risque. Je la sens nerveuse comme si elle regrettait d’avoir osé s’habiller ainsi.
Marine se retrouve assise entre nous deux et rayonne visiblement de plaisir. Elle parle avec tous ceux situés autour de nous, de boulot mais aussi de choses diverses plus personnelles. De temps en temps, je me penche et jette un coup d’œil à Fabien qui visiblement ne semble pas plus à l’aise que moi. Lui aussi semble s’ennuyer et il me le fait comprendre avec des mimiques appuyées d’un clin d’œil ce qui me distrait un peu. Le repas s’écoule lentement, trop lentement à mon goût. Heureusement, le vin est bon et je dois me contrôler pour ne pas en abuser. Je me retrouve plongé dans l’observation du plafond d’époque de la salle quand mon téléphone m’indique l’arrivée d’un message WhatsApp.
Discrètement, je sors mon téléphone sur mes genoux et le consulte. C’est Fabien qui me confirme que lui aussi s’ennuie. Je me penche et lui adresse un sourire. Marine, entre nous deux, discute avec une nana en face d’elle. Une secrétaire qui lui raconte ses malheurs avec son fils ado.
Je me dis qu’on peut éventuellement donner un peu de piment à tout cela…
Je tape rapidement un message pour Fabien lui demandant de comparer discrètement sous la table, la douceur des bas avec celle des cuisses de Marine. J’envoie et me penche discrètement pour l’observer.
Je le vois pencher sa tête vers ses genoux manipuler son téléphone puis relever la tête pour me regarder en se penchant légèrement lui aussi. Il esquisse un large sourire puis tourne sa tête de l’autre coté. Je me recule très légèrement afin d’agrandir mon champ de vision vers le bas.
Je n’ai pas à attendre longtemps. Je vois soudain la main de Fabien apparaître et se poser sur la cuisse gauche de Marine qui sursaute et marque un petit temps d’arrêt dans ce qu’elle disait. Intérieurement, je jubile. C’est terriblement excitant et je sens ma queue tenter de se redresser dans mon jean. Imperturbable, Marine reprend le fil de la conversation comme si de rien n’était tout en repoussant la main de Fabien. Je devine facilement le désarroi de ma coquine et en tire un plaisir intense. Je regarde la main de Fabien revenir à l’assaut, caresser les bas puis remonter sur la peau nue de la cuisse. Marine glisse de nouveau sa main sous la table et repousse celle de Fabien qui n’insiste pas.
Je suis aux anges, c’est trop bon. Elle a les joues rouges de confusion et fait visiblement des efforts pour contrôler sa voix qui me semble tout de même un peu tremblante. Sa collègue n’a visiblement rien vu et continue la discussion. Je me penche en arrière et regarde du côté de Fabien qui en fait de même et m’adresse un petit clin d’œil complice.
Le repas continue et à trois reprises, Fabien recommence son petit jeu. A chaque fois, Marine le repousse après un temps que je trouve de plus en plus long. Après le dernier « test », Marine se penche vers moi et me chuchote :
_ Fabien n’arrête pas de me caresser les cuisses… C’est trop horrible. Tu imagines si quelqu’un s’en aperçoit ! Ce sont des gens avec qui je bosse !
Je pouffe de rire et pour toute réponse, lui fait un petit bisou sur la joue avant qu’elle ne se redresse pour se tourner vers Fabien. Elle lui parle à l’oreille puis se redresse pour se concentrer sur son assiette. A partir de ce moment, Fabien reste sage et j’en déduis qu’elle l’a sermonné et lui a demandé d’arrêter son petit jeu.
Les cafés servis, certains commencent à réclamer de la musique tout en se levant pour se diriger vers la salle d’à coté. Je m’aperçois que certaines convives de l’autre salle de restauration s’y trouvent déjà. Les deux entreprises vont donc fusionner pour la fin de soirée ce qui donne un nombre de danseurs non négligeable. Je me dis qu’il sera donc d’autant plus facile de s’éclipser pour rentrer et donc de profiter peut-être de quelques imprévus sur la route…
Marine papillonne entre les différents groupes et danse un peu avec les uns et les autres. Je l’observe discrètement en rongeant mon frein. Fabien, debout à mes côtés l’observe également. Je me penche vers lui et dans le brouhaha environnant, lui glisse à l’oreille :
_ Alors ? C’est quoi le plus doux ?
Il me regarde, surpris, puis explose de rire avant de se pencher à son tour vers moi.
_ J’ai pas bien senti… Il me faudrait plus de temps ! Mais la peau de ses cuisses me semble beaucoup plus agréable au touché.
Je ris à mon tour et lui répond.
_ Ouai, ce serait bien qu’on se retrouve dans un endroit plus tranquille.
Il me sourit en acquiesçant d’un haussement de sourcils. Je commence à me demander quand nous aurons cette opportunité quand je vois Marine venir vers nous. Elle attire quand même les regards ma coquine et ça me fait du bien. Je remarque quand même que sa démarche n’est pas vraiment assurée. Nous avons beaucoup bu et je sais par expérience reconnaître les symptômes d’un début d’ivresse chez ma petite femme. Elle n’est pas vraiment ivre mais suffisamment détendue pour se laisser aller et paraître très à l’aise.
_ Ca va vous ?
Je lui réponds aussitôt que je commence à m’ennuyer un peu. Fabien fait de même et soudain j’ai une idée.
_ Ca vous dit qu’on aille faire un tour à l’étage pour visiter ? Ca n’a pas l’air compliqué de passer la corde qui barre l’escalier…
Surprise, elle hésite puis se tourne vers Fabien qui hausse les épaules avant de répondre.
_ Pourquoi pas, je n’aime pas danser…
Marine me regarde de nouveau :
_ Ben... Si tu veux, oui ! Pourquoi pas...
Elle pouffe de rire avant de continuer :
_ Hi hi, on va faire un truc interdit. Vous avez vu ? il y a une pancarte qui dit qu’on ne doit pas y aller.. La haut…
C’est bien ça, elle est prête à tout maintenant.
Sans réfléchir davantage, elle prend nos main et nous entraîne, Fabien et moi, derrière elle. Comme si l’idée venait d’elle.
Nous voilà au bas de l’escalier. Le hall est désert à l’exception de trois mecs discutant devant la porte d’entrée en nous tournant le dos. Rapidement, nous passons au-dessus de la corde et grimpons rapidement les marches avant de prendre le couloir de droite. Sur le sol, un épais tapis étouffe le bruit de nos pas et on se retrouve rapidement devant une première porte, fermée à clé, ainsi que la suivante… Je me dis que c’est peine perdue mais de voir mes deux comparses rire comme des collégiens me rassure. Faire une chose interdite, quoi de plus excitant pour des enfants. Et là, nous sommes tous les trois revenus en enfance. J’essaie sans conviction d’ouvrir une autre porte, l’avant dernière avant le bout du couloir quand, miracle ! Elle s’ouvre.
Nous déboulons dans une pièce visiblement faite pour une réunion en petit comité avec vidéo projecteur et tableau blanc. Le clair de lune éclaire l’ensemble au travers de deux fenêtres sans volets. Une grande table pouvant accueillir une dizaine de personnes et au fond, une autre porte. Je referme la première derrière nous et Fabien ouvre la deuxième. Un bureau, tout petit, meublé à l’ancienne, en bois massif. Même le plancher semble d’époque. C’est mimi tout plein ! Là aussi, une fenêtre laisse passer une douce lumière. Deux fauteuils font face au bureau et une chaise trône derrière celui-ci. Une petite table et un classeur vertical, en bois également, complète le mobilier.
Marine circule dans la pièce en passant la main sur le bois ciré tandis que Fabien s’assoit dans un fauteuil afin d’en tester le confort. Je m’avance et m’assois sur le rebord du bureau, face à Fabien, tout en observant l’endroit. Le contraste entre ce petit coin et la salle de réunion bien moderne est amusant. Marine s’assoit dans l’autre fauteuil, fait mine de tirer sur un gros cigare et en riant me dit :
_ Vous comprenez bien, mon cher, que nous ne pouvons pas continuer ainsi, les affaires sont les affaires !
On se met à rire tous les trois, excité par le fait que nous sommes dans un endroit qui nous est interdit.
Marine se lève, passe devant moi et contourne le bureau afin de s’assoir sur la chaise. Prenant une voix grave elle nous murmure :
_ L’heure est grave... Voulez-vous un cigare, très cher ?
Elle ouvre le tiroir du bureau, en inspecte l’intérieur puis relève la tête avec un air dépité.
_ Désolé, pas de cigare, Nous ne pouvons donc pas signer le moindre accord !
On rit de son imitation, on se sent en sécurité ici dans ce petit coin caché. Elle se relève, contourne de nouveau le bureau et au moment où elle passe devant moi, je l’attrape pour la plaquer contre moi, son dos contre mon torse. J’ai agi par instinct, par envie de la sentir contre moi, dans un geste d’affection. Je lui fais un petit bisou dans le cou et la sert tendrement dans mes bras. Elle ne bouge plus, tourne la tête vers la mienne et dépose sur ma bouche un long baiser d’amoureuse. Puis elle recule sa tête pour me regarder droit dans les yeux avec un petit sourire. Il y a des moments où il n’est pas nécessaire de se parler pour se comprendre. Je connais ce regard un peu provocateur. Il veut dire « Je me sens bien, j’ai envie de jouer... A toi de diriger la partie ».
En quelques secondes, mon corps s’éveille, mon cœur s’emballe, ma gorge se sert et je me mets à respirer plus fort. Une envie de sexe terrible me submerge.
Mécaniquement, mes mains viennent se placer sous ses seins et je commence à les palper tout doucement. J’entends son souffle s’accélérer tandis qu’elle bombe le torse tout en continuant de me fixer droit dans les yeux. Son sourire s’efface peu à peu. Elle rentre dans son rôle...
Je continue mes caresses en tournant la tête vers Fabien qui ne rate rien du spectacle. J’ai soudain une envie folle de lui montrer tous les trésors de ma femme, là, maintenant ! Mes mains sont moites et je tremble de partout. Je ne reconnais pas ma voix quand je lui dit :
_ J’ai vu que les dernières photos de Marine t’avaient fait beaucoup d’effet...
Marine pouffe de rire, sans bouger, tout en regardant Fabien, elle aussi. Celui-ci se trémousse sur son fauteuil comme s’il le trouvait tout d’un coup inconfortable. Il finit par nous sourire et nous répond d’une voix tout aussi mal assurée :
_ Heu oui... Beaucoup d’effet, c’est ça...
Je caresse la poitrine de ma coquine à pleine main puis ajoute :
_ J’imagine que ce serait pire encore si tu voyais pour de vrai...
Il rit un peu avant de répondre.
_ J’ose pas imaginer.
Je sens le corps de Marine trembler contre le mien. Elle est visiblement autant excitée que moi par ma proposition. Lentement, je descends mes mains vers le bas de son juste au corps et le remonte doucement jusqu’à son cou sans qu’elle ne fasse le moindre geste pour s’y opposer. Fabien est de nouveau immobile et fixe la poitrine nue de ma coquine. Les bruits de nos respirations oppressées emplissent la pièce. Je remonte encore le juste au corps plus haut, sur ses bras par-dessus sa tête et lui enlève. Elle est torse nue, magnifique, superbe ! Sa poitrine gonflée avec ses mamelons dressés est une véritable invitation aux caresses. Je glisse mes mains sous les seins, un dans chaque paume et les présente à Fabien. Tout en les caressant, je pince doucement ses tétons, durcis par une excitation évidente.
_ Alors ? Tu en penses quoi ?
Il reste un moment silencieux et dégluti péniblement avant de souffler :
_ C’est encore plus beau que dans mes rêves... Je... C’est superbe...
_ Tu veux voir le reste ?
Fabien hoche lentement la tête, le regard fixe. Je lui lance d’une voix rauque :
_ Juste la jupe... Ensuite... on verra...
Marine tourne la tête vers moi, Les paupières mi-closes, bouche entrouverte, totalement soumise. J’attends quelques secondes puis descend une main vers le haut de la jupe, sur sa hanche droite. Je tâtonne un peu et finit par trouver la fermeture éclair que je descends lentement. Je la sens tressaillir puis, le souffle court, sa main serre plus fort mon autre bras tandis que je baisse sa jupe, la faisant glisser sur son ventre frémissant, ses hanches puis le haut de ses cuisses. Je fléchis légèrement les genoux pour la baisser encore plus bas jusqu’à ce qu’elle tombe sur ses chevilles. Durant tout ce temps, Marine n’a pas esquisser le moindre geste pour me retenir.
Fabien semble hypnotisé. Immobile il fixe ma coquine en petite culotte avec ses bas, son porte-jarretelles et ses bottes. Plus sexy que ça, tu meurs !
J’ai les jambes en coton et je bande comme un fou. Mais je ne suis sûrement pas le seul ! Je décide de m’en assurer :
_ Tu pourrais peut-être lui montrer pour de vrai toi aussi...
Il semble sortir de son état d’hypnose et me regarde. Il hésite, se lève puis se rassoit. Il regarde Marine comme s’il guettait une réaction de sa part. Celle-ci le fixe, hagarde, cherchant son souffle. De nouveau plaquée contre moi, je sens son cœur battre la chamade. Voyant son hésitation, elle finit par lui dire d’une voix rauque à peine audible :
_ Pourquoi il n’y aurait que moi...
Il dégluti péniblement et d’une voix un peu tremblante :
_ Je peux pas… Je… J’ai…
Je le fixe droit dans les yeux :
_ Tu bandes… C’est ça qui te gêne ?
Il hoche la tête légèrement, rouge de confusion.
_ Elle t’a déjà vu… en photo et en vidéo, non ?
Il redresse la tête et regarde de nouveau Marine, guettant une réaction. Elle esquisse un léger sourire, comme pour le rassurer et l’encourager.
En maitre du jeu, je lui balance d’une voix tremblante :
_ Si tu veux voir le reste, tu lui montres d’abord… C’est la règle.
Je veux le voir nu devant ma coquine, je veux qu’elle regarde sa queue, qu’elle ait envie de lui !
Fabien hésite encore puis semble enfin se résigner. Il se relève et avec des gestes mal assurés, baisse son pantalon. Une bosse énorme déforme son caleçon. Marine l’observe, fixement, comme si elle se délectait de ce qu’il lui montre.
_ C’est moi qui provoque ça ?
Fabien hésite une dernière fois puis hausse les épaules et enlève enfin le dernier rempart de tissu.
Sa queue est superbe, dressée dans une érection parfaite ! Je tourne la tête vers Marine qui a les yeux fixés sur le sexe bien raide. Elle ne rit plus et de nouveau, je la sens trembler dans mes bras. Je ne dis rien, laissant chacun apprécier ce moment sublime. Fabien est à moins de deux mètres de nous. Après un long moment, il esquisse lentement deux pas et se retrouve tout proche. Il regarde Marine, détaillant son corps d’un regard gourmand. Il ne bouge plus, incapable de prendre la moindre initiative. Marine l’observe aussi, le souffle court, sa main toujours crispée sur mon bras gauche.
Lentement, il redresse la tête et tout en me regardant droit dans les yeux :
_ A toi, maintenant… Montre la moi…
Marine respire plus fort, bouche entrouverte. Les yeux rivés sur ceux de Fabien, tout en gardant le sein gauche de ma coquine dans ma main, Je glisse la droite sous l’élastique de sa culotte et la descend lentement. La main de Marine se crispe plus fort sur mon bras tandis que son souffle devient plus saccadé.
Fabien baisse de nouveau les yeux et fixe la petite chatte que je viens de lui dévoiler. La culotte reste à mi-cuisse car je ne peux la descendre plus bas. Cachés comme des collégiens dans un bureau minuscule théoriquement inaccessible, nous jouons à un jeu terriblement excitant.
J’ai envie d’aller plus loin, beaucoup plus loin... Je lève doucement ma main droite vers celle de Fabien, la saisit et la remonte lentement pour la poser sur le sein droit de Marine. Elle semble totalement hypnotisée par mes gestes. Dès qu’elle la sent sur elle, elle tressaille et murmure d’une voix hachée :
_ Non... On avait dit juste regarder...
Mais le ton manque de conviction et surtout, elle ne fait aucun geste pour le repousser. Pire encore, elle rejette sa tête en arrière sur mon épaule, les yeux fermés, serrant plus fort mon bras de sa main tandis qu’il commence à lui pétrir le sein avec douceur.
Nos regards se croisent, lui et moi sommes désormais complices, je le devine, je le sens. Je le considère comme un ami, j’ai confiance en lui et ce que je vois me plait. Il est doux, gentil, respectueux et en plus, il est très bien équipé ! Son autre main se pose sur le ventre de ma belle, juste au dessus du porte-jarretelle. Pendant de longues minutes, il la caresse, ses seins, son ventre, ses cuisses sans jamais s’approcher de sa chatte. Marine, toujours en appui sur mon ventre, a de plus en plus de mal à respirer et lâche de temps en temps de tout petits gémissements. Le souffle de Fabien se mêle au mien créant une ambiance hautement érotique. Je sens le poids de ma coquine qui a de plus en plus de mal à se tenir debout. Je l’embrase dans le cou pendant que Fabien continue ses caresses. Marine redresse enfin la tête, le souffle court, et fixe Fabien dans les yeux. Il approche sa bouche de celle de ma petite femme. Leurs lèvres se touchent à quelques centimètres de mes yeux. Leurs langues se cherchent, s’emmêlent. Leur bouches se dévorent dans un bruit de sucions qui provoque en moi de véritables spasmes au niveau de l’estomac. Leur baiser n’en finit pas tant ils avaient faim l’un de l’autre. Des mois qu’ils se cherchent, se provoquent, s’exhibent. Soudain, Fabien redresse la tête, laissant Marine pantelante, haletante, le regard voilé.
De nouveau il me regarde puis lentement se laisse glisser à genoux sur le sol, son visage face au trésor tant convoité. Il saisit la culotte et la descend jusqu’aux chevilles. Marine, tête baissée, le regarde et lève lentement ses pieds, l’un après l’autre pour qu’il la débarrasse de ce petit bout de dentelle désormais inutile. Elle ne pouvait pas mieux s’y prendre pour nous indiquer son consentement sans prononcer la moindre parole. Je sais qu’elle a envie de lui, envie de sa bouche sur sa chatte, envie de ses mains sur ses cuisses, ses fesses, envie de le toucher elle aussi sans doute. Mais a-t-elle envie de se faire enfin baiser devant moi ?
Je tremble de partout. Je l’embrasse dans le cou puis fléchi mes jambes tout en glissant mes mains sous ses cuisses. D’un coup de rein je me relève en la soulevant et en lui écartant les jambes pour mieux la tenir. La position est terriblement inconfortable pour moi mais je m’en moque. A moitié assis sur le bureau, je la porte, ses fesses sur ma queue comprimée dans mon jean. Elle se laisse faire, ses mains accrochées à mes bras, la tête penchée en avant pour regarder Fabien s’approcher. Je regarde par-dessus son épaule, moi aussi je veux voir…
Il avance son visage vers la petite toison brune et soudain, Marine se tétanise. Les mains crispées sur mes bras, elle laisse échapper un petit « oh ! ».
Au mouvement de la tête de Fabien, je devine qu’il lèche la vulve totalement offerte. Un cuni terrible dans une position totalement folle. Je ne peux imaginer une meilleure façon d’offrir ma femme à un autre mec. Ma queue me fait mal, écrasée par le poids de ma coquine qui halète tout en tremblant de tout son corps. Les secondes défilent et Fabien continue de déguster ce met de choix tout en caressant l’intérieur des cuisses de ses mains. Elle gémit de plus en plus. Je la sens prête, prête à jouir, prête à se faire baiser. J’en ai envie, une envie folle, une envie obsédante. Je me dis que si cela n’arrive pas maintenant alors c’est que ça ne se fera jamais. Je ne pense plus qu’à cela en la regardant lâcher prise peu à peu. Fabien se relève enfin, la bouche humide et me regarde. Il semble me demander mon avis, ma permission… Je baisse la tête et observe sa bite, bien raide, gonflée de désir. Je le regarde de nouveau dans les yeux tandis que Marine relève la tête, elle aussi. Le souffle court elle penche la tête sur le coté et nous observe l’un après l’autre. Nous sommes tous les trois immobiles et les secondes s’écoulent. Je me dis qu’elle sait parfaitement ce dont nous avons envie Fabien et moi ? J’attends, de plus en plus fatigué au niveau des bras en me demandant si elle est prête à franchir le pas. Tout d’un coup, Fabien s’avance tout doucement entre les cuisses largement écartées. Je sens tout son corps se raidir, ses mains se crisper plus fort sur mes bras. Elle me regarde et je devine comme un début de panique. Elle tourne la tête vers Fabien, baisse ses yeux et fixe sa bite à quelques centimètres de sa chatte. Elle relève la tête et lui murmure :
_ Attends… J’ai jamais…
Elle ne peut achever sa phrase. Fabien l’embrasse de nouveau à pleine bouche. D’abord passive, elle finit par lui répondre avec la même fougue, comme si elle renonçait enfin à toute forme de résistance. Tête penchée en avant par-dessus son épaule, je vois la queue de Fabien s’appuyer sur la toison et se frotter doucement sur les poils bruns. Marine, la bouche pleine de celle de Fabien lâche un « hummm » qui en dit long sur ce qu’elle ressent. Il relève la tête tout en continuant de frotter sa queue sur le ventre offert. Elle le regarde, se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux en posant sa tête en arrière sur mon épaule. C’est le moment, elle est prête, j’en suis sûr ! Tout dans son attitude évoque la soumission. Je regarde Fabien et lui indique mon accord d’un signe de tête. A son tour, il glisse ses mains sous les cuisses grandes ouvertes et les soulève, me soulageant un peu. Les bottes, le porte-jarretelle, les cuisses écartelées, tout est là pour augmenter encore, si besoin était, le coté excitant de la scène. Je me dis que c’est du délire, de la folie, un rêve qui va enfin se réaliser !
Lentement il avance sa queue. Je suis hypnotisé par ce que je vois, c’est géant ! J’étouffe, la gorge prise dans un étau, les poumons en feu. S’il n’y avait pas le bureau, je m’écroulerai sur le sol tellement je me sens faible. J’ai l’impression que des décharges électriques parcourent tout mon corps dont je ne contrôle plus les tremblements. C’est terrible. Avec fascination, je regarde Fabien saisir sa bite d’une main et la positionner sur les grandes lèvres rouges. Marine se cabre en lâchant un gémissement. Elle garde les yeux fermés et happe l’air, bouche grande ouverte. Je regarde, halluciné, le gland gorgé de sang s’insinuer entre les lèvres qui s’écartent doucement pour le laisser entrer puis s’enfoncer doucement dans le ventre offert. Marine se cabre de nouveau en frissonnant de tout son être tandis que Fabien s’enfonce en elle jusqu’à ce que leur pubis se touche. Tendue comme un arc, Marine est en apnée. C’est fabuleux, quel plaisir intense pour moi de voir enfin cela ! Ma femme se fait baiser par un autre homme et c’est moi qui la maintien bien ouverte pour l’offrir à sa queue. Elle semble électrisée, des spasmes agitent tout son corps tandis que Fabien commence ses mouvements de va et vient. Il la baise lentement, consciencieusement, tout en douceur ; C’est parfait ! Je les observe l’un et l’autre, je ne veux rien rater de leurs émotions, tout garder en mémoire. A chaque coup de rein, je sens les mains de marine se crisper sur mes bras et un grognement rauque s’échappe de sa bouche grande ouverte. Elle se laisse prendre sans aucune retenue et c’est divin ! Soudain elle redresse la tête puis la penche en avant. La lèvre inférieur dans sa bouche, elle fixe la queue qui va et vient dans son ventre comme si elle voulait être sûre que ce soit celle d’un autre. De nouveau elle relève la tête et la laisse retomber sur mon épaule, les yeux fermés. Bouche grande ouverte, elle souffle sur le rythme des pénétrations successives.
Fabien ondule des hanches et semble avoir du mal à se contrôler. Il s’arrête, ressort et pousse un long soupir. Puis de nouveau il la pénètre, lentement, profondément mais je devine qu’il ne va pas tenir le coup bien longtemps. C’est évident, il ne peut se retenir... Soudain il accélère, je comprends qu’il va craquer. Les gémissements de Marine se transforment en une sorte de « han ! » étouffé à chaque coup de queue. Je la sens se contracter de plus en plus fort et le frottement de ses fesses sur ma braguette m’amène, moi aussi, au bord de l’éjaculation. Elle redresse enfin la tête, les yeux fixés sur Fabien qui la pénètre le plus profondément possible. Elle laisse échapper un long râle, le corps agité de petits soubresauts, les mains crispées sur mes bras, tandis qu’il joui en elle. Mon excitation est telle que je me vide moi aussi dans mon caleçon.
Je réalise alors qu’il n’a pas mis de préservatif... Je me dis « Qu’importe, ce n’est pas un inconnu, s’il avait un problème, il nous l’aurait dit ! ». Je fixe sa queue qui se retire et j’attends patiemment que ma coquine reprenne son souffle et ses esprits. Puis je la repose lentement sur le sol, je n’ai plus de bras. Elle vacille un peu, se retourne vers moi puis reste debout, du sperme ,s’écoulant sur ses cuisses tremblantes. Elle s’avance et vient se blottir dans mes bras. On s’observe, en silence. Fabien semble gêné. Il lance d’une petite voix :
_ Désolé... C’était... trop intense pour moi. J’aurai voulu durer plus longtemps mais...
Marine ne dit rien, moi non plus, on s’en moque.
C’est elle qui rompt enfin le silence.
_ Ne dis pas de bêtise... C’était... C’était très bien...
Elle enfouie sa tête dans mon épaule comme si elle avait honte. Je sens que je dois dire quelque chose pour la rassurer, pour les rassurer ! Un truc pour dédramatiser, si besoin est, ce moment fabuleux pour moi.
_ Ben moi... J’ai bien aimé... C’était... génial !
Fab me regarde et me sourit, il semble libérer d’un poids.
_ Je... La prochaine fois je ferai mieux... C’est sûr !
Marine redresse la tête et pouffe de rire avant de lui répondre :
_ J’ai pas dit que je voulais d’une prochaine fois...
Silence. Puis elle rajoute d’une petite voix :
_ Ou alors... Il faudra bien faire attention... Etre très discret au boulot... Faire comme si on se connaissait à peine...
Il retrouve son sourire et lui lance :
_ Bien sûr... Je suis pas fou quand même.
Silence. Elle se tourne vers moi et m’embrasse tendrement sur la bouche. Puis elle le regarde de nouveau et lui lance :
_ Et je ne sais pas si mon mari sera d’accord !
On rit tous les trois, de nouveau détendus. Marine se détache enfin de moi, ramasse sa culotte et l’utilise pour s’essuyer les cuisses sous les yeux toujours gourmands de Fabien. Puis elle réenfile son juste au corps et remet sa jupe, sans sa culotte qu’elle garde serrée dans sa main. A son tour, il remet son caleçon puis son pantalon. De nouveau habillée, ma coquine lisse ses cheveux, réajuste ses vêtements et nous sortons enfin du bureau. Nous redescendons discrètement les escaliers et nous retrouvons devant l’entrée de la salle prévu pour danser. La musique est assourdissante et je n’ai qu’une hâte, quitter cet endroit. Marine nous laisse, le temps d’aller chercher son manteau et dire au revoir à quelques collègues puis nous filons vers le parking et la voiture.
Le trajet nous semble encore plus court qu’à l’aller. Arrivé non loin de chez Fabien, je m’arrête sur le trottoir. Il fait nuit noir et il n’y a pas un chat. Il descend et se penche par la vitre baissée du coté de Marine. Il l’embrasse rapidement sur la bouche et murmure :
_ J’aimerai trop un souvenir de cette sortie... Une petite photo particulière peut-être.
Elle se met à rire puis lui répond :
_ Tu veux quoi ?
Il réfléchi puis chuchote :
_ Tes seins !
Elle rit de nouveau puis sans enlever sa ceinture, baisse le haut de son juste au corps afin d’exhiber sa poitrine. Il sort rapidement son portable, prend une photo et le range dans sa poche en souriant.
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Il nous regarde l’un après l’autre et nous lance :
_ Merci pour cette merveilleuse soirée !
Je lui réponds :
_ N’oublies pas de m’envoyer cette photo, moi aussi je veux un souvenir.
Je démarre, c’était vraiment une soirée fabuleuse !