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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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#2218702
Après Juillet, Aout et Septembre, j'ose espèrer que "Et la prochaine étape promet d'être une nouvelle marche de mon évolution." est pour Octobre.

Apparemment, tu as vraiment soif. Mais comme dit @jeanrp "mais n'allez pas trop vite, il reste quelques dessins en suspens 0=)" Savoure les choses, ne sois pas trop gourmande :x :)
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par Nymphette
#2218721
MissCroclavie a écrit :Après Juillet, Aout et Septembre, j'ose espèrer que "Et la prochaine étape promet d'être une nouvelle marche de mon évolution." est pour Octobre.

Apparemment, tu as vraiment soif. Mais comme dit @jeanrp "mais n'allez pas trop vite, il reste quelques dessins en suspens 0=)" Savoure les choses, ne sois pas trop gourmande :x :)

Mon PateL veille à tempérer mon appétit, ne serait que pour préserver sa propre santé :x J'ai des tendances boulimiques :)
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par Nymphette
#2218744
- LA CIGARETTE, LA SUITE -

Elle n'est pas certaine que ce soit lui mais il lui semble. Il faut dire que la veille son attention était mobilisée par quelqu'un d'autre et l'effet de surprise ne lui a pas permis d'être très attentive. Hier il était debout, là il est assis. Elle le voit de loin, il ne regarde pas dans leur direction ... Comment savoir ? Tout va très vite dans sa tête. Certes elle est venue pour le croiser de nouveau mais jamais elle n'osera l'aborder, contrairement à son époux qui est bien plus avenant. Et si elle avait l'audace d'aller lui parler et que ce n'était pas lui, elle passerait pour une idiote. Elle doit trouver une solution, vite, ne pas rester plantée là.

Ils se trouvent sur une place à la croisée de plusieurs allées. Au centre, un bassin au milieu duquel quatre nymphes batifolent au bord de l'eau. Autour, des bancs. Alors elle tire son époux par le bras pour l'emmener s'asseoir de l'autre côté du bassin avant que l'inconnu ne les remarque. De là, elle pourra l'observer plus discrètement.

Une fois assise, elle reprend ses esprits et retrouve son calme. Avec cette situation inattendue, l'excitation revient. Il fait encore doux en plein soleil. Elle se laisse aller, et son époux accompagne sa détente de quelques caresses dans son cou. Elle est si jolie dans la lumière qui fait rayonner sa peau. Très vite, il dégage un sein pour jouer avec, très délicatement. La Nymphette en profite pour jeter un coup d'œil furtif en direction de l'homme toujours assis. Il ne semble pas les regarder. Un peu déçue, elle se dit qu'elle s'est peut-être trompée, excitée par ses envies et ses souvenirs.

Les caresses se poursuivent et elle se laisse de plus en plus aller. Aucune crainte d'être dérangés, à cette saison les touristes ne s'aventurent plus dans cette partie isolée du parc. Son époux continue à la dénuder, dévoilant un deuxième sein, ne s'occupant nullement de savoir s'il était observé. Il avait déjà son opinion sur la question. Il aventure une main sur ses cuisses, remontant vers sa toison à l'air libre. Elle ferme les yeux, ne pense plus à rien, se livre tout entière à ses sensations.

- Peut-être auriez-vous besoin d'un peu d'aide Monsieur pour vous occuper de votre charmante femme ?

La Nymphette sursaute, elle ne l'a pas attendu s'approcher tant elle est enveloppée dans sa bulle de plaisir. Cette fois, pas de doute, c'est lui, elle a reconnu sa voix ...

- Bien sûr, je suis très partageur.


... à suivre ...
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par PateL
#2218757
MissCroclavie a écrit ::) A Mon PateL veille à tempérer mon appétit, ne serait que pour préserver sa propre santé :x J'ai des tendances boulimiques :)
Ta boulimie appelle ma soif :x d en savoir plus :)

Pour comprendre, je ne suis pas certain que l'usage du cerveau soir requis... Un simple coup d'oeil sur cette piètre photo devrait suffire je pense... Enfin, c'est à vous de me le dire après tout... ;)
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par PateL
#2218760
Ceci dit, en relisant les propos de la Nymphette, je trouve qu'elle devient de plus en plus explicite... :
Nymphette a écrit :N'ayez crainte, j'ai encore beaucoup à apprendre et toujours très envie de baiser <3
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par Nymphette
#2218808
PateL a écrit :Ceci dit, en relisant les propos de la Nymphette, je trouve qu'elle devient de plus en plus explicite... :
Nymphette a écrit :N'ayez crainte, j'ai encore beaucoup à apprendre et toujours très envie de baiser <3

Je confirme :)
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par croclavie82
#2218842
LA CIGARETTE (suite)

Vous êtes là, assise devant moi. Ma voix vous a sorti de la torpeur dans laquelle vous étiez quelques secondes auparavant, et la réponse de votre mari vous a figée. Vous tentez tant bien que mal de faire bonne figure mais vous êtes gênée et ça se voit. Vos mains tentent de replacer votre jupe pour masquer votre intimité découverte, et vous en oubliez que vos petits seins sont offerts à ma vue. Vos tétons sont encore tendus des caresses qu’ils ont reçues peu avant. Mais oui ! vous rougissez, c’est touchant, et vous n’osez pas me regarder.

La réponse de votre mari a cependant sonné pour moi comme un signe d’approbation. Hors de question de laisser passer une telle occasion. Même si je n’en mène pas large non plus, Il est hors de question de me dégonfler maintenant que j’ai réussi à vous aborder. Je vous tends la main, comme pour vous inviter à la saisir et à vous lever. Vous pouvez la refuser et mettre ainsi fin à ce moment et à mes espoirs. Ou vous pouvez la saisir et vous abandonner à moi, sous l’œil approbateur de votre époux qui semble attendre votre réaction.

Vous levez les yeux, regardez ma main, et sans dire un mot, relevez votre main droite pour la joindre à la mienne. Je suis ravi, et comme pour que vous ne changiez pas d’avis, je vous invite d’une petite traction à vous lever et à me suivre. Nous marchons doucement vers une petite allée qui part de ce rond, elle est bordée de haies assez hautes et se termine quelques dizaines de mètres plus loin en cul de sac circulaire. Au centre, une statue de femme regarde vers le chemin, sur les côtés et au fond, trois bancs. Votre mari qui nous a suivi à quelques pas s’installe sur celui du fond, face à l’allée, comme pour veiller à ce que personne ne vienne nous déranger. Vous êtes face à lui, je vous laisse faire un pas vers l’avant pour me placer derrière vous. Mes mains écartent vos cheveux tombant dans votre dos pour dégager votre cou. J’y dépose un doux baiser délicat, puis saisit vos hanches. Je sens un frisson parcourir votre corps, vous êtes encore tendue, mais votre homme vous regarde en souriant, et vous adresse un clin d’œil. L’effet est immédiat, vous fermez les yeux et vous détendez.
Ma main gauche dégage à nouveau vos cheveux, alors que la droite glisse délicatement vers votre ventre pour vous plaquer contre moi. J’attrape entre mes lèvre le lobe de votre oreille, je le pince légèrement. Ma langue tourne doucement autour, puis derrière. Je sens que vous voudriez vous retourner pour me faire face, mais pas encore. Ma main droite remonte doucement le long de votre ventre, puis de votre poitrine pour venir s’amuser avec un de vos petits seins restés offerts jusqu’à maintenant. Vous penchez la tête en arrière, vous abandonnez à mes caresses, ça y est, vous vous détendez enfin. C’est le moment que je choisis pour attraper à nouveau votre main et vous faire retourner. Vos yeux s’ouvrent et cette fois, ils se plantent dans les miens…

... à suivre
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par Nymphette
#2219115
casper7742 a écrit :Effectivement photo simple mais belle et parlante

Merci. L'avantage, c'est que pourrez me reconnaître si un jour vous me croisez dans cette position :)
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par PateL
#2219132
@MissCroclavie
La Nymphette s'exprimera d'elle-même mais je crois savoir qu'elle a pris pas mal de choses aujourd'hui... :roll:
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par croclavie82
#2219134
Je crois qu'il est question de la couleur du pseudo :)
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par croclavie82
#2219509
Ça sent la nouvelle histoire ça :)
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par Nymphette
#2219896
croclavie82 a écrit :Ça sent la nouvelle histoire ça :)


Patience, nous ne sommes pas encore vendredi :)

MissCroclavie a écrit :Tu nous titilles @Nymphette
Un petit rappel de tes aventures et une petite pause.....
Quelle mise en bouche :x @Nymphette raconte nous ;)

Je me dis que de nouveaux lecteurs pourraient passer par là et profiter de mon petit sommaire ;)
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par gentilvoyeur
#2219950
Nymphette a écrit :Je me dis que de nouveaux lecteurs pourraient passer par là et profiter de mon petit sommaire ;)

Ou d'un (pas gentil) retardataire pour commenter ce joli récit de votre deuxième rencontre, La Cigarette...
J'avais pris un énorme plaisir à lire votre récit, le jour même de sa parution, de cette rencontre selon votre angle de vue et de vos ressentis. Je l'avais même relu trois fois de suite tellement j'ai adoré découvrir vos émois de cet après-midi là. Mais j'étais bien trop affairé à finir les derniers préparatifs d'un long et rapide périple du weekend qui arrivait, et pas assez de temps pour pouvoir vous laisser un commentaire (hors de question d'en faire un bâclé en deux minutes)...
Vous décrivez si bien les situations et les sensations, qu'en fermant les yeux j'arrive à voir les différentes scènes: vos petits sourires timides lors des présentations, intimidés l'un par l'autre; votre attitude toute guillerette en vous plaçant entre les deux hommes lors la promenade dans le parc, puis quand vous lui preniez sa main et de ses petites caresses du bout de ses doigts sur votre main offerte; vous trois assis sur le banc, lui un peu gêné par la situation de voir PateL vous caresser et vous embrasser ouvertement et sans gêne alors que des personnes passaient devant vous...
Par contre j'ai du mal à imaginer que ce soit lui qui est venu poser sa main sur votre cuisse. :???: Ça ne colle pas au début de votre récit, à votre hardiesse qui montait au fur et à mesure de votre excitation grandissante. Êtes vous sûre que ce n'était pas plutôt vous qui lui aviez pris sa main pour la poser sur votre cuisse? 8-) Pour qu'il se désinhibe et qu'il prenne de l'assurance pour vous caresser la cuisse au travers de votre jupe, puis faisant glisser sa main vers votre jambe pour sentir le doux contact de votre bas, et remonter à nouveau vers votre cuisse tout en relevant votre jupe jusqu'à la limite de votre peau nue... Bon, ce n'est juste que ma vision de votre récit, je peux me tromper :D
Je vous rejoins de nouveau en imaginant la scène des passants méprisants envers le pervers à casquette collé au couple de tourtereaux... :) Et ça ne m'étonnerait pas non plus que votre mari ait caressé votre téton avec sa langue, en libérant votre sein de son léger rempart de tissu, ayant appris à le connaître par ses écrits et vos récits sur le forum ;)
Cela doit être très jouissif de pouvoir regarder le mari retrousser la jupe de sa femme dans un parc public, et découvrir ses trésors cachés en dessous, des bas soutenus par un porte-jarretelle, et une petite culotte qu'il fait glisser le long de ses jambes... :oops:
Je m'imagine de nouveau, à la place de ce chanceux complice vous embrassant, tout en vous enlaçant debout dans une allée discrète, puis faisant glisser les mains derrière votre dos pour atteindre vos fesses, la main droite poursuivant sa descente jusqu'au bas de votre jupe pour s'infiltrer en dessous et caresser votre peau toute douce, puis elle commence sa remontée vers votre Mont de Vénus, pour enfin sentir vos poils pubiens qui m'ont tant fait fantasmer jusqu'à là. Bravant alors la situation du moment, l'index et le majeur partent à la recherche de votre clitoris, le trouvent, le titillent pour votre plus grand plaisir, sous l'oeil complaisant du mari...
Je trouve étonnant que vous n'avez pas cherché à constater de l'émoi du complice, peut-être aurons nous la clé de l'énigme... :D

ce fut le moment de se quitter. Un dernier baiser, aussi tendre que le premier, vint clore cette première rencontre, laissant un très fort désir de le revoir, dans un contexte plus intime, nous permettant d'aller plus loin dans le plaisir partagé.

Y aurait il une suite d'envisager? :D Du moins une autre suite que celle de la cigarette, que j'ai moins bien appréciée, peut-être que le complice a disparu dans cette suite là... :roll:
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par Nymphette
#2220000
@gentilvoyeur Merci d'avoir pris le temps d'écrire ce commentaire très détaillé <3
C'est l'inconvénient de ces moments de plaisir partagé, riches en émotions ... il se passe tant de choses que ma mémoire ne peut pas tout enregistrer.
Vous avez raison, la Nymphette toute à son audace nouvelle a du prendre la main de son complice pour la diriger là où elle en avait envie. Ma mémoire n'a fait que révéler ce que j'aurais voulu qu'il se passe ;)

gentilvoyeur a écrit :Je trouve étonnant que vous n'avez pas cherché à constater de l'émoi du complice, peut-être aurons nous la clé de l'énigme... :D

La Nymphette est naïve ... j'assume. J'ai longtemps hésité mais je brulais de savoir si mon audace provoquait quelques émois physiques chez mon partenaire qui ne laissait rien paraître. Ce jour-là, je n'ai pas osé descendre une main vers son entrejambe, je me suis contentée de déplacer ma cuisse à la recherche d'une zone plus dure ... que j'ai trouvée. J'en ai été ravie.
Mais plus tard, lors de nos échanges écrits autour de ce que nous avions vécu, j'ai appris qu'il ne s'agissait que de sa clef de voiture lol Oui, vous avez le droit de rire de ma naïveté :)
J'en ai tiré une leçon, toujours suivre ses envies ... la prochaine fois, j'utiliserai ma main.

gentilvoyeur a écrit :Y aurait il une suite d'envisager? :D Du moins une autre suite que celle de la cigarette, que j'ai moins bien appréciée, peut-être que le complice a disparu dans cette suite là... :roll:

La Nymphette a besoin d'explorer, de découvrir, ce qui n'exclut pas de revenir goûter à des sensations plus connues ;)

Cette suite imaginaire n'est pas terminée, mais mes histoires se bousculent ces temps-ci ...
Oh, on est vendredi ... quelle histoire vais-je publier aujourd'hui ?
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par PateL
#2220020
@gentilvoyeur
C'est un détail mais pour ma part j'ai bien rigolé avec la description de la scène du pervers à casquette profitant du couple de tourtereaux... ;) J'imagine assez bien la scène, cela doit être assez salace à vivre...

PS : attention parfois certaines casquettes sont en réalité des "masques"... Si, si... La formule peut surprendre mais je m'explique : il s'agit en fait de postiches capillaires collés à l'intérieur de la coiffe... Ainsi la pose et dépose du postice en est facilité... Bref, on saisit l'objet et on enfile sa moumoute comme on enfile sa Nymphette... euuuh, non je voulais dire sa basket... Bien entendu c'est un modèle luxe de la chose à la griffe spéciale siglée : J. Cahuzac - N. Lauda... La classe, non ?
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par Nymphette
#2220110
- LA LECTRICE -

La Nymphette était assise timidement sur la méridienne, son livre sur ses genoux, le regard baissé. Le lampadaire à proximité diffusait une lumière suffisante pour lui permettre de lire et assez douce pour éclairer avec tendresse les courbes de son visage. Elle écoutait les battements de son cœur dans le silence. Pourtant, elle n'était pas seule.

À différents endroits de la pièce étaient installés trois hommes et son époux, trois invités choisis avec soin, conviés à venir écouter et regarder sa Nymphette. Assis à bonne distance d'elle, ils se trouvaient dans la pénombre. Elle distinguait à peine leurs visages mais sentait leurs regards posés sur elle, mélange de bienveillance, d'impatience et de plaisir. Elle sentait sa gorge se resserrer jusqu'à ne plus laisser passer qu'un mince filet d'air. Pourtant, il allait falloir parler. Elle ouvrit doucement le livre là où se trouvait le marque-page; elle avait choisi ce passage où les deux protagonistes de l'histoire vivaient avec passion leurs sentiments à travers une relation platonique. Elle aimait ces mots simples mais qui traduisaient la fougue de leur amour, la sensualité de leurs échanges.

La Nymphette prit une respiration ample et commença sa lecture, ajustant la hauteur de sa voix pour être entendue de tous. Son timbre était chancelant et manquait de chaleur. Mais elle continuait, se disant que cela allait s'améliorer au fil des phrases. Son époux entendant sa tension vint doucement auprès d'elle pour lui retirer ses ballerines, laissant apparaître ses petits pieds soigneusement réhaussés d'un vernis à la couleur si particulière, un roux nacré s'accordant à la perfection avec la teinte de sa peau. Il déposa un doux baiser sur chaque pied, pour mettre sa Nymphette en confiance. L'effet fut immédiat, tant ces baisers sensuels et érotiques laissaient présager la suite de la soirée. Sa voix devint plus chaude, son rythme plus fluide, elle rentrait dans son texte, mais affirmait aussi sa présence auprès de ces hommes venus pour la déguster.

Ce fut Henri qui s'approcha le premier. En veillant à ne pas la déconcentrer, il déposa à son tour quelques baisers sur ses pieds froids puis remonta délicatement sa longue jupe qui ne laissait qu'entrevoir ses frêles chevilles, jusqu'à ses genoux. Chacun put contempler ses jambes délicates, d'une pâleur lumineuse dans la pénombre. Pour lui permettre d'aller un peu plus avant dans sa découverte, et sans interrompre sa lecture, la Nymphette changea de position, s'adossant à un côté de la méridienne pour pouvoir allonger ses jambes. Henri put alors faire glisser la jupe pour découvrir les cuisses fraîches, tout aussi pâles, aux courbes rondes qui annonçaient les hanches. Mais il ne voulait pas aller trop vite et retourna s'asseoir à sa place.

La Nymphette avait ressenti avec délice les caresses sur ses jambes. Il était difficile de rester concentrée mais c'est ce qui faisait tout le charme de ce petit jeu. Elle poursuivait donc sa lecture, assise, les jambes nues légèrement repliées, offrant une charmante vue au spectateur assis face à elle ... il put découvrir qu'elle ne portait pas de dessous. Elle sentit, sans le voir, l'émoi de Louis et son envie de venir auprès d'elle. Il se leva, et après avoir planté son regard entre ses cuisses, fit le tour de la méridienne afin d'ôter le gilet de la Nymphette. Il fallut se concentrer pour continuer à lire tout en tenant le livre d'une main pour pouvoir dégager chaque bras du vêtement. Après ces contorsions, elle se trouvait seulement vêtue d'un petit haut à fines bretelles, laissant entièrement deviner sa poitrine menue aux pointes saillantes. Louis s'attarda sur son cou et ses épaules, y déposant des baisers délicats et de subtils effleurements déclenchant de violents frissons sur la peau lisse de la lectrice. Il fit de nouveau le tour du fauteuil et en passant à côté des jambes toujours allongées, il glissa rapidement ses doigts jusqu'à l'antre de la Belle pour y recueillir ce qu'il cherchait : la liqueur qui s'en échappait. Il lécha ses doigts puis retourna s'asseoir.

La Nymphette sentait maintenant pleinement son désir et celui de ces quatre hommes disposés autour d'elle. Elle continuait à lire le texte de sa voix chaude et douce, mais sa lecture se faisait presque malgré elle, tant elle était en prise avec ses sensations. Toute gêne, toute timidité avait disparu. Néanmoins, elle était toujours habillée. Ce fut à Philippe que revint l'honneur de finir ce que Henri et Louis avaient commencé. Il commença par la jupe. Pour lui faciliter la tâche, elle se mit debout. Il put alors dénouer le lien qui maintenait la jupe à sa taille puis faire glisser le tissu le long de ses hanches et dévoiler à tous sa toison noire, objet de bien des désirs. Agenouillé pour récupérer la jupe tombée au sol, il vint déposer un long baiser sur ce tapis soyeux, se retenant d'aller plus loin pour ne pas interrompre le flot de paroles. Puis, il entreprit de découvrir le buste de la Nymphette en enlevant ce petit haut si indiscret. Quelques contorsions furent nécessaires mais on en vint à bout. Cette fois, la diction retrouva un soupçon de tension. Elle se vit nue, éclairée au milieu de cette pièce, quatre hommes la regardant avec envie. Elle pouvait sentir leur souffle, leur odeur masculine, deviner leur sexe tendu. Philippe ne fit qu'effleurer la pointe de ses seins, mais la lecture s'arrêta, c'en était trop pour la Belle. Elle ferma son livre, c'était le signe que la seconde partie de la séance pouvait commencer.

La Nymphette s'assit au bord de la méridienne et commença à défaire le pantalon de Philippe. Une fois sa verge accessible, elle commença à le caresser doucement puis mit délicatement son gland dans sa bouche. Elle le suça délicieusement, lui se retenant de gémir, elle sentant des flots de liqueur inonder son sexe. Puis elle se recula, écarta les cuisses, s'allongea pour l'accueillir. Il la pénétra vite et s'activa en elle avec fougue. Les autres hommes assistaient au spectacle terriblement excitant, voyant la délicate Nymphette agitée par les assauts du mâle. L'image était terriblement stimulante, et elle-même se sentait très excitée par la situation. Philippe jouit rapidement, sans doute bien préparé par les baisers de la Belle.

Ce fut alors le tour de Louis. Elle le fixa du regard pour lui signifier de s'approcher. Une fois devant elle, elle se retourna, se mit à quatre pattes sur la méridienne pour lui offrir sa croupe. Il ne put résister à cette diabolique invitation et la pénétra lui aussi vivement en s'agrippant à ses hanches larges. Les coups répétés faisaient gémir la Nymphette qui se laissait aller. Lui ne cessait ses va-et-vients que pour caresser son dos et son ventre. Il profita longuement de sa position mais finit lui aussi par se laisser emporter par la vague de plaisir.

La Nymphette réservait une surprise pour Henri. Elle s'allongea entièrement sur la méridienne et commença à se caresser tout en le regardant. Il vint à ses côtés, se mit entièrement nu, à genoux et posa son gland sur la bouche de la Belle. Elle jouait de sa langue pour le lécher, le sucer par moment mais c'était lui qui menait la danse. Quelques gouttes de liqueur s'échappaient parfois, il étalait alors son précieux liquide sur ses lèvres. Ce petit jeu ne dura pas longtemps tant le désir était brûlant. Il éjacula sur sa bouche, son visage, son cou, sous le regard brillant de l'époux.

Le partage était terminé. Son époux allait maintenant reprendre sa Nymphette après l'avoir offerte. Il voulait la faire jouir, privilège qui lui était réservé ce soir. Il la fit se relever et s'allongea sur la méridienne. Elle vint sur lui, le chevauchant. Il passa un long moment à lui caresser les seins, jouant avec ses tétons, les faisant durcir et s'allonger. Elle résistait à l'envie de faire bouger son bassin. Ce fut lui qui commença à imprimer ses mouvements, la soulevant par intermittence. Puis elle prit le relais, accélérant ses mouvements peu à peu. Son buste penché vers l'avant, elle offrait ses seins à la bouche de son époux. Il les empoignait, les avalait goulûment. Elle ne résistait pas à ces baisers qui déclenchèrent un orgasme violent. Ses râles, les spasmes de son vagin, la vue de ce corps tendu de plaisir le firent jouir à son tour, intensément. Il se répandit en elle, en grande quantité.
La vue de ce si joli spectacle en avait fait redurcir certains et même éjaculer un !

La séance de lecture terminée, chacun se rhabilla, et ils finirent la soirée autour d'un verre de vin, pour célébrer dignement les plaisirs de la littérature française.
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par jeanrp
#2220135
Chère @Nymphette un fort joli texte, charmant, un programme alléchant... mais il me semble que vous posez un peu vite le livre entamé, vous laissez vos quatre spectateurs dans un supplice intenable, suspendu à vos lèvres... ils attendent le dénouement (action de jouer habilement des noeuds), je les imagine tendus en de profonds émois :) mais vous savez habilement rassurer le lecteur en tri(n)quant à la gloire de la littérature... ;)

Bravo et que le futur rattrape la poésie

Jeanquinecourtpastrèsvite
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par croclavie82
#2220151
Je partage l'avis de @jeanrp , c'est au moment ou la lecture devient difficile qu'il eut été intéressant de vous enjoindre de continuer...
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