- 31 déc. 2022, 11:51
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Bien sur ce scénario ne devrait pas se produire, comme le dit l'adage "ne fais pas de tes amis des libertins, mais des libertins tes amis". Julien est un ami trop proche donc ce récit sera plutôt à ranger dans la catégorie fantasme...mais qui sait ?
Depuis que Julien nous a « réservé » la chambre d’ami pour le réveillon, je ne cesse de te taquiner avec le fait de faire déraper notre fin de soirée.
D’une blague au départ, cette idée m’a quand même bien excité au point de t’en parler plusieurs fois par jour. La raison devrait faire disparaître cette idée folle, mais au contraire braver les interdits rajoute de l’excitation à mes yeux.
Au fil des jours, et de mes incessantes boutades à ce sujet, mon scénario se mets en place, et mercredi soir pour la première fois tu me dit qu’en fin de soirée, l’alcool aidant, si on ne se retrouve que tous les trois ça pourrait effectivement déraper, mais que la gêne du lendemain serait trop importante.
Jeudi je t’en parle dès le réveil, ainsi que quelques fois dans la journée, mais je sens à présent de l’énervement quand je dis son prénom. J’ai compris que j’étais allé trop loin et que je te saoulais avec cet improbable scénario.
Samedi pendant que tu te prépares, je te rejoins dans la salle de bains en te disant de te faire belle pour lui, et de te faire toute lisse au cas où, tu décroches un sourire en réponse, mais un sourire ironique qui semble dire arrête de me faire chier avec ça.
La soirée se déroule très bien, les verres s’additionnent, et comme je te l’avais évoqué tu taquines ton Julien Il a du répondant, et te rends coups pour coups enfin plutôt chatouille pour chatouilles.
Les douze coups de minuit, et la traditionnelle bise de bonne année sont une nouvelle occasion pour lui de te pincer les flancs. Mais cette fois tu ne réponds pas et reste sobre.
Peu à peu chacun de nos invités s’en vont et à 3h, nous restons plus que tous les trois. Nous prenons un dernier verre ensemble avant d’aller se coucher.
On se cale tranquillement dans le lit, on s’embrasse et je te lance un : « alors chiche ou pas ? ». Tu sais bien sûr de quoi je te parle mais contre toute attente tu sembles cette fois un peu hésitante. J’insiste à peine et en réponse tu me dis un « tu es sûr ? » auquel je réponds par l’affirmative.
Tu te lèves et enfile ta nuisette bleue et file dans la chambre d’ami. Je te hais de m’avoir fait enlever la caméra !!!
Je tends l’oreille au maximum pour essayer de ne rien rater des bruits et des mots. Et je t’entends dire « tu ne crois pas que tu allais t’en tirer comme ça quand même » alors que j’entends le bruit du sommier. Je comprends alors que tu es montée sur le lit.
J’apprendrai plus tard, de ta bouche, que tu l’as enjambé pour te mettre à califourchon sur lui par dessus la couette.
S’en suivit plusieurs craquement du lit me laissant deviner un « combat » à qui prendrait le dessus sur l’autre, puis un oups et un éclat de rire. En te débattant, un sein était sorti de ta nuisette. Il pris le dessus sur toi et se retrouva sur toi, enfin plutôt entre tes cuisses en te plaquant les mains sur le matelas. Seul son caleçon servait de barrière entre vos sexes dans cette position plus qu’évocatrice avec ta nuisette qui ne masquait même plus tes seins.
Pour te « débattre » ou par provocation tu essayais de bouger le bassin et ta chatte frottait contre son anatomie.
Je cru entendre un « oh, il est en forme le Julien» suivi de quelques rires. Tes ondulations devinrent plus ciblées et sexuelles contre son sexe maintenant bien dressé. Il lâcha tes mains pour empoigner tes seins et gober un de tes tétons pendant que tu fit glisser son caleçon. Sa queue presque plantée entre tes lèvres, de tes pieds tu lui fit s’enfoncer lentement en toi, au plus profond de toi dans un gémissement sans équivoque pour moi. Le grincement du lit m’indiquait un rythme lent dans ses coups de reins ponctué à chaque fois d’un long soupir.
La cadence s’accéléra peu à peu, et tes cris masquèrent les bruit de la literie.
Une petite pause avant que la partie de sexe résonne de plus belle dans la maison, mais le clapotis me fit comprendre que cette fois c’est en levrette qu’il te fit jouir avant d’à son tour se répendre en toi…