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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2677853
Bien sur ce scénario ne devrait pas se produire, comme le dit l'adage "ne fais pas de tes amis des libertins, mais des libertins tes amis". Julien est un ami trop proche donc ce récit sera plutôt à ranger dans la catégorie fantasme...mais qui sait ?

Depuis que Julien nous a « réservé » la chambre d’ami pour le réveillon, je ne cesse de te taquiner avec le fait de faire déraper notre fin de soirée.
D’une blague au départ, cette idée m’a quand même bien excité au point de t’en parler plusieurs fois par jour. La raison devrait faire disparaître cette idée folle, mais au contraire braver les interdits rajoute de l’excitation à mes yeux.
Au fil des jours, et de mes incessantes boutades à ce sujet, mon scénario se mets en place, et mercredi soir pour la première fois tu me dit qu’en fin de soirée, l’alcool aidant, si on ne se retrouve que tous les trois ça pourrait effectivement déraper, mais que la gêne du lendemain serait trop importante.
Jeudi je t’en parle dès le réveil, ainsi que quelques fois dans la journée, mais je sens à présent de l’énervement quand je dis son prénom. J’ai compris que j’étais allé trop loin et que je te saoulais avec cet improbable scénario.

Samedi pendant que tu te prépares, je te rejoins dans la salle de bains en te disant de te faire belle pour lui, et de te faire toute lisse au cas où, tu décroches un sourire en réponse, mais un sourire ironique qui semble dire arrête de me faire chier avec ça.

La soirée se déroule très bien, les verres s’additionnent, et comme je te l’avais évoqué tu taquines ton Julien Il a du répondant, et te rends coups pour coups enfin plutôt chatouille pour chatouilles.
Les douze coups de minuit, et la traditionnelle bise de bonne année sont une nouvelle occasion pour lui de te pincer les flancs. Mais cette fois tu ne réponds pas et reste sobre.
Peu à peu chacun de nos invités s’en vont et à 3h, nous restons plus que tous les trois. Nous prenons un dernier verre ensemble avant d’aller se coucher.
On se cale tranquillement dans le lit, on s’embrasse et je te lance un : « alors chiche ou pas ? ». Tu sais bien sûr de quoi je te parle mais contre toute attente tu sembles cette fois un peu hésitante. J’insiste à peine et en réponse tu me dis un « tu es sûr ? » auquel je réponds par l’affirmative.
Tu te lèves et enfile ta nuisette bleue et file dans la chambre d’ami. Je te hais de m’avoir fait enlever la caméra !!!
Je tends l’oreille au maximum pour essayer de ne rien rater des bruits et des mots. Et je t’entends dire « tu ne crois pas que tu allais t’en tirer comme ça quand même » alors que j’entends le bruit du sommier. Je comprends alors que tu es montée sur le lit.
J’apprendrai plus tard, de ta bouche, que tu l’as enjambé pour te mettre à califourchon sur lui par dessus la couette.
S’en suivit plusieurs craquement du lit me laissant deviner un « combat » à qui prendrait le dessus sur l’autre, puis un oups et un éclat de rire. En te débattant, un sein était sorti de ta nuisette. Il pris le dessus sur toi et se retrouva sur toi, enfin plutôt entre tes cuisses en te plaquant les mains sur le matelas. Seul son caleçon servait de barrière entre vos sexes dans cette position plus qu’évocatrice avec ta nuisette qui ne masquait même plus tes seins.
Pour te « débattre » ou par provocation tu essayais de bouger le bassin et ta chatte frottait contre son anatomie.
Je cru entendre un « oh, il est en forme le Julien» suivi de quelques rires. Tes ondulations devinrent plus ciblées et sexuelles contre son sexe maintenant bien dressé. Il lâcha tes mains pour empoigner tes seins et gober un de tes tétons pendant que tu fit glisser son caleçon. Sa queue presque plantée entre tes lèvres, de tes pieds tu lui fit s’enfoncer lentement en toi, au plus profond de toi dans un gémissement sans équivoque pour moi. Le grincement du lit m’indiquait un rythme lent dans ses coups de reins ponctué à chaque fois d’un long soupir.
La cadence s’accéléra peu à peu, et tes cris masquèrent les bruit de la literie.
Une petite pause avant que la partie de sexe résonne de plus belle dans la maison, mais le clapotis me fit comprendre que cette fois c’est en levrette qu’il te fit jouir avant d’à son tour se répendre en toi…
#2677868
Ma belle a pris de l'avance...
E. et moi ne pouvons être ensemble cette fin d'année car je dois être auprès de mon père à 800 km de chez nous.
Cet éloignement nous coute beaucoup et E. m'a fait par de ses envies de faire l'amour. Nos petites discutions ou échanges de messages étaient chauds et reflétaient le manque de sexe de part et d'autre.
J'apprend qu'avant hier soir (jeudi 29) un de nos amis est passé chez nous lui rendre visite et lui souhaiter une bonne fin d'année.
Il faut savoir que c'est un libertin et je discute avec lui en toute complicité. J'ai aussi avoué à E. que nous avons parlé candaulisme et elle est au courant qu'il est sensible à ses charmes. Cependant elle me dit ne pas en vouloir.
Il est arrivé en fin d'après midi avec 2 bières de Noël qu'ils ont bu sur la terrasse tout en discutant. Bien entendu la conversation a dévié. Notre ami c'est absenté quelques minutes et sentant ma coquine très chaude il est revenu à poils. "ho surprise".
E. l'a accueilli en riant beaucoup et l'a invité à rentrer pour qu'il ne prenne pas froid et pour se cacher des voisins.
Experte en chaleur humaine, elle lui a vite réchauffé les extrémités, en tous cas une plus particulièrement que les autres en ayant la délicatesse d'offrir sa bouche chaude et humide.
Son expertise a vite mis sous pression notre ami.
E. s'est vite retrouvée déshabillée. Allongée sur le canapé les cuisses largement ouvertes il l'a pénétrée à cru.
Ils étaient tous deux très excités et il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle lui propose de rester au fond d'elle pour qu'il jouisse.
Elle a accueilli sa semence dans un cri de plaisir.
Ils ont été obligé de mettre un terme à leurs ébats car notre ami était attendu.
J'ai appris tout cela par notre ami.
Bien entendu j'ai questionné E. qui au début m'a menti en me disant qu'il n'était passé que 5 minutes.
J'ai insisté longuement et elle a fini par avouer qu'elle avait pris un pied incroyable.
Je lui ai dit que j'adore quand elle est salope et qu'elle me fasse cocu en se faisant baiser par d'autres mais pas en cachette. J'aime quand c'est partagé ou tout au moins qu'elle m'en fasse part.
Voilà notre histoire récente. Elle sera disponible ce soir aussi, j'espère qu'elle prépare quelque chose...
Olivierito, Bernard68, ephemere et 2 autres a liké
#2677898
Moi, je suis comme @ jul57 :Je vais rester encagé pour le réveillon que nous passons chez des amis !
elle y sera provocante et allumeuse comme à chaque fois mais cela se limitera (je pense) à pelles et pelotage (poussé ou non ) l'alcool aidant. Elle a la réputation d'être "la chaudasse" de la bande et tous savent que nous sommes libertins et cela les fait bien fantasmer .
Mois je passe pour le "mari-open-conciliant -pas jaloux " à leurs yeux ...Mais ils sont loin de se douter de nos rapports D/s actuels .
Je pense d'ailleurs qu'elle voudra me sodomiser de retour chez nous pour bien marquer son nouveau territoire et mon statut de soumis en ce début d'année nouvelle....
#2677916
Je ne vais pas l'être et ça deviendra impossible mais j'ai imaginé aller en club ce jour pour qu'elle se fasse ravager par de nombreux hommes ce soir là.
Par contre le jour de nos 10 ans de mariage et à une saint Valentin je l'ai emmenée voir un homme pour qu'elle se fasse démonter.
Maintenant elle ne veut plus de sexe pour le sexe et si elle trouve un amant à aimer, je pense qu'elle passera les fêtes et les vacances avec lui pour les plaisirs du corps et du coeur.
#2678072
Lausas84 a écrit :Bien sur ce scénario ne devrait pas se produire, comme le dit l'adage "ne fais pas de tes amis des libertins, mais des libertins tes amis". Julien est un ami trop proche donc ce récit sera plutôt à ranger dans la catégorie fantasme...mais qui sait ?

Depuis que Julien nous a « réservé » la chambre d’ami pour le réveillon, je ne cesse de te taquiner avec le fait de faire déraper notre fin de soirée.
D’une blague au départ, cette idée m’a quand même bien excité au point de t’en parler plusieurs fois par jour. La raison devrait faire disparaître cette idée folle, mais au contraire braver les interdits rajoute de l’excitation à mes yeux.
Au fil des jours, et de mes incessantes boutades à ce sujet, mon scénario se mets en place, et mercredi soir pour la première fois tu me dit qu’en fin de soirée, l’alcool aidant, si on ne se retrouve que tous les trois ça pourrait effectivement déraper, mais que la gêne du lendemain serait trop importante.
Jeudi je t’en parle dès le réveil, ainsi que quelques fois dans la journée, mais je sens à présent de l’énervement quand je dis son prénom. J’ai compris que j’étais allé trop loin et que je te saoulais avec cet improbable scénario.

Samedi pendant que tu te prépares, je te rejoins dans la salle de bains en te disant de te faire belle pour lui, et de te faire toute lisse au cas où, tu décroches un sourire en réponse, mais un sourire ironique qui semble dire arrête de me faire chier avec ça.

La soirée se déroule très bien, les verres s’additionnent, et comme je te l’avais évoqué tu taquines ton Julien Il a du répondant, et te rends coups pour coups enfin plutôt chatouille pour chatouilles.
Les douze coups de minuit, et la traditionnelle bise de bonne année sont une nouvelle occasion pour lui de te pincer les flancs. Mais cette fois tu ne réponds pas et reste sobre.
Peu à peu chacun de nos invités s’en vont et à 3h, nous restons plus que tous les trois. Nous prenons un dernier verre ensemble avant d’aller se coucher.
On se cale tranquillement dans le lit, on s’embrasse et je te lance un : « alors chiche ou pas ? ». Tu sais bien sûr de quoi je te parle mais contre toute attente tu sembles cette fois un peu hésitante. J’insiste à peine et en réponse tu me dis un « tu es sûr ? » auquel je réponds par l’affirmative.
Tu te lèves et enfile ta nuisette bleue et file dans la chambre d’ami. Je te hais de m’avoir fait enlever la caméra !!!
Je tends l’oreille au maximum pour essayer de ne rien rater des bruits et des mots. Et je t’entends dire « tu ne crois pas que tu allais t’en tirer comme ça quand même » alors que j’entends le bruit du sommier. Je comprends alors que tu es montée sur le lit.
J’apprendrai plus tard, de ta bouche, que tu l’as enjambé pour te mettre à califourchon sur lui par dessus la couette.
S’en suivit plusieurs craquement du lit me laissant deviner un « combat » à qui prendrait le dessus sur l’autre, puis un oups et un éclat de rire. En te débattant, un sein était sorti de ta nuisette. Il pris le dessus sur toi et se retrouva sur toi, enfin plutôt entre tes cuisses en te plaquant les mains sur le matelas. Seul son caleçon servait de barrière entre vos sexes dans cette position plus qu’évocatrice avec ta nuisette qui ne masquait même plus tes seins.
Pour te « débattre » ou par provocation tu essayais de bouger le bassin et ta chatte frottait contre son anatomie.
Je cru entendre un « oh, il est en forme le Julien» suivi de quelques rires. Tes ondulations devinrent plus ciblées et sexuelles contre son sexe maintenant bien dressé. Il lâcha tes mains pour empoigner tes seins et gober un de tes tétons pendant que tu fit glisser son caleçon. Sa queue presque plantée entre tes lèvres, de tes pieds tu lui fit s’enfoncer lentement en toi, au plus profond de toi dans un gémissement sans équivoque pour moi. Le grincement du lit m’indiquait un rythme lent dans ses coups de reins ponctué à chaque fois d’un long soupir.
La cadence s’accéléra peu à peu, et tes cris masquèrent les bruit de la literie.
Une petite pause avant que la partie de sexe résonne de plus belle dans la maison, mais le clapotis me fit comprendre que cette fois c’est en levrette qu’il te fit jouir avant d’à son tour se répendre en toi…


Malgré nos efforts et la tenue de mon épouse qui en disait long, quelques allusions tout au long de la soirée, la fin de soirée n’a pu déraper : un autre couple est resté également dormir chez nous.
Mais mon épouse lui a quand même proposé de l’aide pour se déshabiller mais c’était dans un moment de fou rire ou trop d’humour rendait la proposition pas très sérieuse du coup.
Olivierito a liké

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