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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par mohican
#904930
Merci steeve, ça change un peu des "oh, oui, c'est bon, continuez, c'est bon quand ça fait mal ! ;)

je ne suis pas femme et ne voudrais pas l'être et je ne partage pas vos expériences, donc mon analyse n'est qu'un point de vu sans plus de prétention que de l'exprimer. Je ne connais pas de soucis physiques : érections fiables et rapides, endurance limite excessive, répétition possible même si pas dans la minute non plus (mais ma femme n'est pas multi orgasmique, son orgasme suffit à la combler et éteint sa libido)... mes 20 sont loin. Je partage avec la moyenne des mensurations sans démesure ni dans un sens, ni dans l'autre.

Dans la dialectique du candauliste complexé la référence anatomique est récurrente. Les performances de l'amant sont idéalisées, celles du mari, dévalorisées, par lui-même ou par son épouse. Cette mécanique relève bien plus de la psychologie que de la réalité anatomique.
Nous avons chacun nos physiques et caractères avec qualités et défauts. C'est vrai pour nous comme pour nos épouses. J'ai épousé une personne, pas qu'un physique. Je peux fantasmer sur un type de femme présentant des qualités différentes, elle(s) ont les droit d'aspirer à d'autres hommes que leur mari. L'attrait de la nouveauté, le contraste, la jeunesse parfois, l'absence de routine dans le "compagnonnage de la brosse à dents et des pantoufles", la transgression, la complaisance du mari, la maturité (elles connaissent mieux leur corps), la disparition de certain tabous (inutile de préserver aux yeux de l'amant une image de "respectabilité" qui interdit certains laissé-allé)… font de l'amant un dieu du sexe, le messie de l'orgasme à côté duquel le mari finit par passer pour le passe temps pour chef de gare ("à côté du vice des formes parfaites, la cocaïne n'est qu'un passe-temps pour chef de gare" Céline).
Si le mari est autorisé à voir son épouse se transformer en amante ardente débridée comme une chrysalide devient papillon, le choc psychologique est sans appel : torpillage définitif de l'image de soi, de la confiance en soi et panne du désir unilatéral ou réciproque.
L'un des risques majeurs du candaulisme se trouve bien dans l'incapacité de certains à maintenir une sexualité de couple, qui même si elle s'appuit sur le fantasme ou les souvenirs d'expériences candaulistes, devrait rester active et épanouissante. Combien de témoignages relèvent de cette évolution qui conduit inévitablement à une privation sexuelle du mari plus ou moins anticipée ?
Le mari est à la fois intimidé par la femme qui l'a vu éclore avec son amant, et fou de désir pour cette dernière, d'autant plus qu'elle est inaccessible : le désir ne se décrète pas, il se vit ! et on ne désire rien autant que ce qui est inaccessible justement. Quant à la femme, suivant son tempérament, sa libido passe en mode "absent" sur la page d'accueil lorsqu'elle est avec son mari.
Suivant les caractères des membres du couple et leurs ressources, la confiscation de la sexualité du mari menace. S'il y a chez le mari un fond de masochisme latent et chez la femme un narcissisme larvé… l'évolution est invariable. Le mari est convaincu de sa prétendue infériorité, la femme de la supériorité incontestable de son amant ! Peut s'y greffer toutes sortes de fantaisies comme la frustration du mari qui lui assure une soumission totale vaguement compensée et toutes sortes de joyeusetés qui font le bonheur des disciples de ces pratiques.
Pourtant, rien n'est écrit, rien n'est interdit.
On peut m'opposer les soucis de micro-pénis, d'EJP,… il n'y a peut-être pas de solution à tout mais il existe une sexualité pour tous pas forcément dans la privation (qui est une forme de sexualité, bien entendu).
Il n'y a qu'une chose que je rejette, c'est la souffrance et une frustration subie, non choisie. Un couple quoiqu'on en dise ce sont deux personnes et pas plus, qui se sont choisies et s'aiment au-delà de tout : "être amoureux c'est ne plus aimer personne" (Proust), c'est aussi "l'oubli de soi dans le soin de l'autre" à condition que ce soit bilatéral !
La femme, investie de tous les pouvoirs doit arbitrer avec finesse, délicatesse, intuition et intelligence ce qui est délétère ou bénéfique à l'homme qu'elle a choisi pour époux. Si tel n'est pas le cas, c'est qu'il n'y a pas ou plus de couple à mon sens. A moins que la privation ou la confiscation de la sexualité soit un choix délibéré et partagé, elle ne devrait pas exister pour la simple raison que l'amour s'exprime aussi physiquement et que la fusion des corps est un besoin, quand bien même l'extase qu'il procure serait moins intense qu'avec l'amant. La jouissance fruit de la pénétration n'est certainement pas le seul possible. Révoqué son mari au prétexte qu'il ne permet pas d'atteindre un orgasme par la vigueur de ses pénétrations est une négation de l'amour. Encore faut-il que le mari sache aussi imposer cette réalité et ne s'enferme pas dans cette logique hasardeuse. De plus, en termes de sexualité, la facilité est toujours cultivée. Et moins on le fait moins on désire le faire. Avec mon amant c'est rapide, explosif et rapide, avec mon mari c'est laborieux, long et moins intense, je n'ai pas envie de me fatiguer pour "si peu"… où est le partage où se trouve l'amour alors ?

Il y a un fétichisme du gros sexe commun à beaucoup de candaulistes, symbole absolue du mâle et tout le tralala que ça supppose, ce qui me fait toujours bien sourire. Il n'y a qu'à voir le comportement des supposés "mâles" confrontés à une quelconque autorité ou dépendant d'une quelconque compétence pour comprendre que force, virilité et tout ce que vous voudrez, ne dépendra jamais de quelques centimètres ici au ailleurs !! Je ne m'étendrais pas sur l'homosexualité prétendument refoulée ou assumée de certains. Ce fétichisme est tel qu'il envahit toute la sexualité des deux partenaires incapables de penser sexe sans cette composante. Ce n'est pourtant pas un impératif au plaisir (la preuve étant qu'Uta est bisexuelle…)!
Les réalités anatomiques sont ce qu'elles sont, les performances également mais ces dernières n'ont aucune raison de ne pas connaître d'amélioration à la condition minimale de s'y employer. Chacun d'entre nous a un talent pour telle ou telle chose. Pour certains ce sont les sports de l'intime, ce qui n'interdit à aucun de s'y adonner et de progresser, d'y prendre plaisir et d'en donner ce qui constituent les bases de l'amour. Si on ne pratiquait que ce en quoi on excelle, ça ne ferait pas grand-chose, idem pour nos femmes ! Si seuls des Picasso, Renoir ou Dali avaient le droit de dessiner ou peindre ce serait très limité.
Non steeve, vous n'avez pas raison. Que vous trouviez dans votre privation et frustration un plaisir particulier, dont acte. Qu'il trouve sa justification dans ce que vous avancez, certainement pas, même si ces notions sont interdépendantes et étroitement imbriquées.
S'aimer, trouver avec la personne que l'on aime les clés d'une sexualité épanouissante à deux, ce n'est que du bonheur. S'ouvrir à des pratiques atypiques, transgresser les règles : candaulisme, triolisme, échangisme et tous les trucs en "isme" qu'on voudra sans parler de la bisexualité, participe à une lutte efficace contre une routine destructrice. Maintenant chacun est libre de ses choix et les adeptes des relations D/S comme les autres. Préserver le désir au sein du couple m'apparaît toujours comme une mesure conservatoire indispensable à un épanouissement sexuel bilatéral et non unilatéral comme on le lit trop souvent cher Uto…. ! Je reste convaincu qu'Uta à ce titre ne fait pas ce qu'il faut et que vous l'y encouragez. Mais que cela peut changer ! il vous "suffit" (y à cas.. il suffit de... faut qu'on... je sais, je sais c'est facile !) que vous en preniez l'initiative ! ;)
(pardonnez mon orthographe défaillante) :)
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par utoeuta
#907031
mohican a écrit :1) Dans la dialectique du candauliste complexé la référence anatomique est récurrente. Les performances de l'amant sont idéalisées, celles du mari, dévalorisées, par lui-même ou par son épouse. Cette mécanique relève bien plus de la psychologie que de la réalité anatomique.

2) Si le mari est autorisé à voir son épouse se transformer en amante ardente débridée comme une chrysalide devient papillon, le choc psychologique est sans appel : torpillage définitif de l'image de soi, de la confiance en soi et panne du désir unilatéral ou réciproque.

3) L'un des risques majeurs du candaulisme se trouve bien dans l'incapacité de certains à maintenir une sexualité de couple, qui même si elle s'appuit sur le fantasme ou les souvenirs d'expériences candaulistes, devrait rester active et épanouissante. Combien de témoignages relèvent de cette évolution qui conduit inévitablement à une privation sexuelle du mari plus ou moins anticipée ?

4) Le mari est à la fois intimidé par la femme qui l'a vu éclore avec son amant, et fou de désir pour cette dernière, d'autant plus qu'elle est inaccessible : le désir ne se décrète pas, il se vit ! et on ne désire rien autant que ce qui est inaccessible justement. Quant à la femme, suivant son tempérament, sa libido passe en mode "absent" sur la page d'accueil lorsqu'elle est avec son mari.

5) La femme, investie de tous les pouvoirs doit arbitrer avec finesse, délicatesse, intuition et intelligence ce qui est délétère ou bénéfique à l'homme qu'elle a choisi pour époux.

6) ./.Ce n'est pourtant pas un impératif au plaisir (la preuve étant qu'Uta est bisexuelle…)!
Les réalités anatomiques sont ce qu'elles sont, les performances également mais ces dernières n'ont aucune raison de ne pas connaître d'amélioration à la condition minimale de s'y employer. )


Cher Mohican
je reprends en les numérotant les passages qui me paraissent les plus intéressants de votre post.

En 1) " la référence anatomique est récurrente..."Bien sur. Je l'ignore bien pour ce qui est des autres couples de candaulistes que vous pouvez connaître, mais pour ce qui est des couples candaulistes que nous connaissons physiquement, et pour ce qui nous concerne (Uta, moi-même et son amant JJ), aussi bien les performances des amants des femmes de ces couples que celles de JJ l'amant de ma femme, ne me semblent aucunement idéalisées. Voir l'un à côté de l'autre un pénis "normal" et un gros pénis parle aussitôt à n'importe qui. Quand aux performances, soit les maris candaulistes sont comme moi - et ne font pas jouir leurs femmes avec leur pénis - soit ils ne font pas jouir leurs femmes autant que leurs amants. Sans doute par l'écrit d'aucun peuvent exagérer lesdites performances, mais quand vous êtes à côté, en tant que spectateur, le plaisir que donne l'amant est tout aussi immédiatement visible...

En 2) je suis à 200% d'accord avec vous. Le choc psychologique est intense. Alors que c'est devenu un souvenir un peu flou pour Uta (qui s'en excuse au motif légitime que cela fait pas loin de 19 ans que cela lui "est arrivé"), je me souviens comme si cela s'était passé hier soir de son premier orgasme "pénétratif". Je me souviens d'absolument tout. De la tête de l'homme, de son corps, de sa queue énorme, de la tête de ma femme, de ses cris, du lieu... Tout est gravé dans ma mémoire. La "panne du désir unilatéral ou réciproque" est née ce soir là, c'est un fait.

En 3) vous avez encore raison. Chacun d'entre nous se rejette régulièrement la faute du "manque de désir de l'autre". Uta me reproche de ne pas la désirer "assez". De fait, comme je me sais incapable d'être physiquement à la hauteur de ses besoins, elle n'arrive pas à se rendre compte qu'elle m'impressionne. De mon côté, je sens, je vois, je sais bien, qu'Uta n'a pas de désir physique pour moi.

Le 4) complémente le 3). Uta a beau s'en défendre de plus en plus mollement, je ne fais plus partie de sa libido. Physiquement c'est immédiatement perceptible. Déshabillez JJ, placez ma femme nue à côté de lui. Observez... Leurs seins respectifs "bandent". Le sexe de JJ est raide, et celui de ma femme si mouillé que son humidité est visible par chacun. Habillée, c'est pire. Un après midi d'été de l'année dernière, nous prenions tous les 3 un café sur une terrasse. Uta portait un "leggins" gris pâle, et alors qu'elle en porte régulièrement elle avait pour ne pas montrer de marques avait décidé de ne pas mettre de string. Un couple assit à côté la regardait avec insistance. JJ n'y faisait pas attention. J'étais intrigué. Uta et JJ s'étaient tenu la main à plusieurs reprises, machinalement. Je compris quand ma femme se leva et que nous partions. Elle était si excitée par JJ, que son entrecuisse était trempée. Une large tâche gris foncé auréolait son leggins... Un joyeux "bonne fin d'après midi" salua notre départ.

En 5) je dois reconnaître que ce n'est pas facile pour une femme que d'arbitrer entre son plaisir et celui de son mari (ou amant). Uta revendique son égoïsme.

En 6) vous évoquez d'autres plaisirs. Bien sur, Uta prend du plaisir avec d'autres femmes. De même avec n'importe quel homme performant sexuellement. Cela ne la console pas pour autant (et moi avec), de ne pas pouvoir partager avec moi de plaisir via la pénétration...

Tout l'intérêt du candaulisme nous semble se situer là. Le plaisir n'est pas complet, certes, mais chacun y trouve son compte. Uta en se faisant donner du plaisir "pénétratif" par d'autres. Moi en la regardant prendre un plaisir que je ne sais pas lui donner...
par mohican
#907271
merci Uto pour cette présentation et l'attention que vous avez bien voulu m'accorder.

Votre obsession de l'absolue nécessité d'obtenir un orgasme "pénétratif" en dehors duquel rien ne peut exister ou presque entre un homme et une femme me consterne toujours autant. Il vaut mieux d'ailleurs que je ne reagisse pas comme vous, sinon il y a longtemps que je ne ferais plus l'amour à ma femme... Si elle jouit à chacun de nos rapports, à peu d'exception prés suivant son humeur, ce n'est jamais le produit de mes gesticulations toutes endurantes qu'elles soient ! De ce point de vu, je vis une frustration toute pareille à la votre mais elle ne justifie pas un confiscation du rapport. M'accueillir est un plaisir pour elle et me fondre en elle une indicible joie pour moi. L'orgasme sera obtenu "artificiellement" par stimulation clitoridienne associé mais il sera là et c'est la seule chose qui compte. Le reste n'est qu'états d'âmes et phylosophie. Et puis qui sait ? un jour ? ne ne sommes ensemble que depuis 20 ans après tout ! ;) (l'illustraion par ma propore expérience de couple ne signifie pas qu'elle a valeur d'exemple, bien entendu).

"Chacun d'entre nous se rejette régulièrement la faute du "manque de désir de l'autre"".

Je sais que Uta a de l'amour pour vous et il est évident que vous l'aimez mais cette situation me laise perplexe invariablement. Je crois que vous sous-estimez votre femme et vous-même à prendre du plaisir ensemble et plus vous démissionnez, plus elle pense que c'est mieux comme ça.. vous tournez en rond et c'est un jeu de dupe !

Certes votre voyeurisme, commun à beaucoup d'hommes, trouve une certaine compensation mais qui ne sera jamais à la hauteur d'une véritable fusion de vos corps dont elle devrait avoir besoin, et vous aussi, bien au delà de la promesse d'un orgasme attendu - - ou pas - à son issu. En clair, passez outre ! et faites lui l'amour ! elle ne vous en voudra pas ! et recommencez ... de toute façon elle est infatiguable, non ? Son égoïsme avéré doit trouver un pendant dans le votre parfois. En vous imposant, vous ferez céder le sien et elle appréciera incontestablement cette marque de désir pour elle. Au fond, n'attend-elle pas que cela ? d'autant plus que cela ne remettrait en rien en cause ses relations avec JJ !

sans vouloir être désobligeant, s'il y a un exemple dans lequel la concrétisation du fantasme candaulisme ou plus exactement du libertinage à eu de facheuse conséquences au sein du couple c'est bien le votre. Par pour Uta me direz-vous ? Je n'en suis pas si sûr, d'une certaine façon... Je ne développerai pas ce point, je vous sais me comprendre et cela demanderai des explications lassantes

Je vous souhaite bien sincèrement un très joyeux Noël.
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par NocesX
#921383
sans vouloir être désobligeant, s'il y a un exemple dans lequel la concrétisation du fantasme candaulisme ou plus exactement du libertinage à eu de facheuse conséquences au sein du couple c'est bien le votre. Par pour Uta me direz-vous ? Je n'en suis pas si sûr, d'une certaine façon... Je ne développerai pas ce point, je vous sais me comprendre et cela demanderai des explications lassantes


mohican ,
Je lis avec intérêt chacune de tes interventions. Elles sont le fruit de longues réflexions, je n'en doute pas, mais aussi, me semble-t-il d'une expérience douloureuse... Je ne te demande pas de dévoiler tes expériences passées, elles t'appartiennent.
Par contre, J'aimerai que tu développes le fameux point...

Il me semble qu'Uta se prive d'une partie de l'amour de son époux. Serait-ce ton avis ?
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par Erosverde76
#935314
J'ai donc lu toute la page d'accueil (on dirait un"Monsieur Cassandra" ayant pris des neuroleptiques!!!)

et j'ai retenu ce qu'il en dit lui même en guise de conclusion vers la fin de son "manifeste"

Une libération de Madame par l’enfermement psychologique et physique de Monsieur ?

Sans doute, sans doute.


Mon cher Steeve, ce système de pensée basée sur la dialectique je jouis/ tu souffres (ou je souffre/tu jouis, c'est pareil) est figée dans sa négation de l'humanité qui s'est construite au travers de mille luttes de libération!
On n'en sort jamais! Pourquoi faudrait-il à tout prix que la libération de la femme et sa sublimation passe par le déni d'orgasme de l'homme? En quoi est-ce que cela la libère?
Tant qu'on raisonnera en ces termes on maintiendra les deux partenaires dans l'aliénation...
par mohican
#936536
Idem qu'Erosverde.

Dans ce cas la santé mentale de la dame est manifestement complètement altérée puisqu'elle ne jouit qu'en faisant souffrir son partenaire physiquement. C'est un ressort obligatoire. Et plus il souffre, plus elle est excitée. Il y a une vraie perversité au sens médical du terme. On peut y opposer toute les consentements du monde, une personne qui ne jouit qu'en voyant une autre se tordre de douleur ou en le maintenant dans un état de frustration constant c'est incontestablement pathologique et relève ni plus ni moins que d’une prise en charge psychiatrique.
La composante narcissique de cette tortionnaire est également omniprésente puisqu'elle voit son orgasme être proportionnel au niveau de désir - non exprimé et défendu d'exprimer - de son mari. Son pouvoir l'a grisé au delà de toute raison.
Ce dernier n'est pas non plus totalement intègre puisqu'il se laisse entraîner dans une autodestruction irréversible : sexe devenu insensible à force de sévices délétères, érections spontanées effacées... Il est triste qu'il se demande jusqu'où cela pourrait le conduire… Je pense à la fable du type qui saute du dixième étage. Il allait encore bien pendant la chute, mais une fois aplati sur le macadam, il est beaucoup moins en forme ! Si on saute dans le vide, mieux vaut avoir sérieusement réfléchi avant !

Une fois qu'elle lui aura "brisé" les testicules (en général cela se termine par des torsions, qui dans un contexte de douleur ne sont pas facile à distinguer des douleurs consécutives aux coups, sauf qu'un tel évènement doit faire l'objet d’une prise en charge chirurgicale dans un délai inférieur à deux heures pour espérer sauver quelque chose…), que restera-t-il de sa belle mécanique orgasmique. Qu’est ce qui nourrit le fantasme de l’émasculation chez ce type asservi psychologiquement ?

Encore une perverse narcissique qui a éclot dans une configuration conjugale favorable et dans laquelle, les verrous habituels et les auto-contrôles destinés à nous protéger les uns les/des autres ont explosé ou n’ont pas fonctionné comme ils auraient dus…terrifiant !
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par Erosverde76
#952338
Tu as besoin d'elle (ou plutôt de lui) pour penser? :?:
Elle (il ) n'intervient plus parce qu'il n'a plus rien de neuf à dire, nous sommes allés au bout du débat, je pense.
Maintenant, il est vrai comme dirait Woody Allen que deux ans de psychanalyse c'est très peu, elle (il ) peut encore s'épancher pendant 15 ans, mais Steeve est-il le meilleur docteur? j'en doute!! ;)
#1141384
Erosverde76 a écrit :Tu as besoin d'elle (ou plutôt de lui) pour penser? :?:
Elle (il ) n'intervient plus parce qu'il n'a plus rien de neuf à dire, nous sommes allés au bout du débat, je pense.
Maintenant, il est vrai comme dirait Woody Allen que deux ans de psychanalyse c'est très peu, elle (il ) peut encore s'épancher pendant 15 ans, mais Steeve est-il le meilleur docteur? j'en doute!! ;)

Et deux ans ou plus d'asile psychiatrique, ça te dirait?
Il y a d'autres forums, politiques ou médicaux...
On est tous là pour s'amuser!
#1143401
Erosverde76 a écrit :En tout cas cela n'a pas l'air d'être ton cas! :mrgreen:
t'es vachement amusant comme mec! :roll:


Et encore, tu n'imagines même pas!
Mais si nous pouvions faire un débat d'idées,
je pense qu'une nuit (la journée, on a tous d'autres choses à faire) n'y suffirait pas!
#1143468
mohican a écrit :Idem qu'Erosverde.

Dans ce cas la santé mentale de la dame est manifestement complètement altérée puisqu'elle ne jouit qu'en faisant souffrir son partenaire physiquement. C'est un ressort obligatoire. Et plus il souffre, plus elle est excitée. Il y a une vraie perversité au sens médical du terme. On peut y opposer toute les consentements du monde, une personne qui ne jouit qu'en voyant une autre se tordre de douleur ou en le maintenant dans un état de frustration constant c'est incontestablement pathologique et relève ni plus ni moins que d’une prise en charge psychiatrique.
La composante narcissique de cette tortionnaire est également omniprésente puisqu'elle voit son orgasme être proportionnel au niveau de désir - non exprimé et défendu d'exprimer - de son mari. Son pouvoir l'a grisé au delà de toute raison.
Ce dernier n'est pas non plus totalement intègre puisqu'il se laisse entraîner dans une autodestruction irréversible : sexe devenu insensible à force de sévices délétères, érections spontanées effacées... Il est triste qu'il se demande jusqu'où cela pourrait le conduire… Je pense à la fable du type qui saute du dixième étage. Il allait encore bien pendant la chute, mais une fois aplati sur le macadam, il est beaucoup moins en forme ! Si on saute dans le vide, mieux vaut avoir sérieusement réfléchi avant !

Une fois qu'elle lui aura "brisé" les testicules (en général cela se termine par des torsions, qui dans un contexte de douleur ne sont pas facile à distinguer des douleurs consécutives aux coups, sauf qu'un tel évènement doit faire l'objet d’une prise en charge chirurgicale dans un délai inférieur à deux heures pour espérer sauver quelque chose…), que restera-t-il de sa belle mécanique orgasmique. Qu’est ce qui nourrit le fantasme de l’émasculation chez ce type asservi psychologiquement ?

Encore une perverse narcissique qui a éclot dans une configuration conjugale favorable et dans laquelle, les verrous habituels et les auto-contrôles destinés à nous protéger les uns les/des autres ont explosé ou n’ont pas fonctionné comme ils auraient dus…terrifiant !


Mais c'est n'importe quoi!
ou un pur fantasme de docteur (peut-être interne) ou infirmier en psychiatrie!
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par Erosverde76
#1143471
Ce qui m'interroge, c'est qu'étant inscrit depuis 2009, vous aviez donc tout le loisir d'intervenir dans ce débat qui je pense a été jusqu'au bout des choses si je puis dire, sans aucune concession entre "Cassandra" et d'autres comme moi, vous pouvez le voir en relisant tout depuis le début si le coeur vous en dit.
Mme Cassandra a fini par jeter l'éponge, et ce n'est pas faute de m'avoir "répondu" par d'autres "courtisans" interposés.
D'ailleurs certains ne se sont pas sentis de scrupules pour utiliser différents pseudos (ils se reconnaîtront n'est ce pas Isadomi alias S-----)
Alors 6 mois après, relancer le "débat" avec quelqu'un d'autre que la dame (en fait le monsieur en mal d'identité) en question ne m'intéresse pas trop.
La comédie humaine de Balzac, m'apporte plus, je pense.
Cordialement ;)
#1143559
Erosverde76 a écrit :Ce qui m'interroge, c'est qu'étant inscrit depuis 2009, vous aviez donc tout le loisir d'intervenir dans ce débat qui je pense a été jusqu'au bout des choses si je puis dire, sans aucune concession entre "Cassandra" et d'autres comme moi, vous pouvez le voir en relisant tout depuis le début si le coeur vous en dit.
Mme Cassandra a fini par jeter l'éponge, et ce n'est pas faute de m'avoir "répondu" par d'autres "courtisans" interposés.
D'ailleurs certains ne se sont pas sentis de scrupules pour utiliser différents pseudos (ils se reconnaîtront n'est ce pas Isadomi alias S-----)
Alors 6 mois après, relancer le "débat" avec quelqu'un d'autre que la dame (en fait le monsieur en mal d'identité) en question ne m'intéresse pas trop.
La comédie humaine de Balzac, m'apporte plus, je pense.
Cordialement ;)


Si c'est de moi dont tu parles, je ne relance aucun débat, je passais juste sur ce sujet par hasard!
Et ai vraiment d'autres choses à faire qu'ergoter de façon stérile,
ce n'était juste que pour discuter, vaguement, et essayer simplement d'expliquer les choses comme on les vit,
par delà le bien et le mal!
Après, effectivement, tout le reste est de la littérature.
Sans rancune.

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