- 08 mai 2012, 14:22
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Le scénario était le suivant: Tu vas dans la chambre, tu t'installes à quatre pattes, les fesses nues orientées vers la porte. Puis tu m'envoies un sms pour me demander de monter. Si tu n'es pas assez convaincante, tu devra me redemander.
Il ne lui a fallu que 2 sms pour me convaincre d'accourir vers la chambre.
Dès la porte ouverte, un petit chemin de préservatifs, comme les cailloux du petit Poucet, indiquait le chemin à suivre pour trouver le temple des fesses.
Et la vue était grandiose. Je me suis arrêté quelques secondes à contempler et à lui dire combien elle était belle ainsi offerte.
Il faut préciser un point. La charge qui lui incombait était de se faire un lavement anal la veille, d'acheter la crème pour pouvoir bien lubrifier son anus et d'apporter les préservatifs qui me serviront à la prendre.
Elle s'est parfaitement acquittée de sa part. La mienne était uniquement d'apporter le joli bijou émeraude qui se retrouvera figé dans ses fesses.
Je me suis entièrement déshabillé en lui parlant de ses fesses et de ce qui allait arriver ensuite. Je vais te lécher, je vais mettre de l'huile et ton anus va se détendre, se détendre jusqu'à être dompté pour engloutir ton bijou.
Elle miaulait d'impatience. Alors, nu, le sexe si dur que je me demandais si j'arriverais à faire ce qui était prévu ou si j'allais simplement la violer sur place, à la hussarde, je me suis attelé à lui lécher la chatte qui ruisselait déjà abondamment, tant elle était excitée.
L'huile coulait à flot et son anus pris rapidement deux doigts, puis trois doigts. Elle ruisselait, les fesses luisaient de mouille et d'huile... on se croyait dans un rêve d'été, mouillé sur une plage déserte.
Puis, le bijou, qui au préalable avait été réchauffé par mes mains, fut introduit dans cet anus souple mais à la résistance permanente. Le spectacle était à tomber par terre. Je lui dit que je ne pouvais plus attendre et que j'allais la baiser maintenant. Les préservatifs par terre, il devait bien y en avoir six, m'ont fait du coin de l'oeil, 'nous sommes là pour toi !'
Mais, l'huile a l'avantage de lubrifier et l'inconvénient d'empêcher les doigts d'adhérer sur l'enveloppe du préservatif quand on doit la découper. Il m'a fallu demander à mon esclave sexuelle à l'oeillade émeurade de m'en découper un. Elle aussi n'attendait que cela, elle le déchira avidemment et me le tendit.
A peine avais-je la verge recouverte que je la pénétrais, là au bord du lit. Un profond soupir de soulagement nous prit tous les deux. Quel délice ! Je sentais cet objet dans son cul et elle aussi le sentait, lui tirant plus de plaisir que de coutume.
La saillie fut brutale, ferme, et elle dura longtemps afin de profiter pleinement de ce plaisir rare.
Puis, les variantes s'enchainèrent, avec toujours pour moi le magnifique point de vue de son cul paré de vert.
Je jouais de temps en temps avec son jouet anal pour le sortir et le rentrer, pour l'enculer délicatement et voir son oeillet s'écarter et, clac, se refermer d'un coup. Cela me rendit de plus en plus fou et je lui dis que j'allais y mettre quelque chose de plus gros, qu'elle allait se sentir autrement remplie.
Alors, elle vint sur moi. Je continuais de jouer avec son anus, celui-ci se contractait, puis se dilatait, acceptait que je place mon membre sur son entrée mais refusait de céder le passage, alors, je le retravaillais, je rajoutais des décilitres d'huile.
Nos corps frottant l'un contre l'autre brillaient d'huile. Puis, d'un coup, ce petit récalcitrant s'entrouvrit et accepta le nez de ma verge, puis les joues, puis la tête, puis les épaules, puis le torse, puis, je lui dit de reculer pour qu'elle s'encule elle-même. Elle recula d'un coup et s'empala totalement, pleinement. Plus rien n'empêchait ses intestins de me gouter jusqu'au plus profond de son être.
Mais cela ne lui suffisait pas, elle se redressa, s'assit complètement sur moi. Elle ne pouvait pas être plus enculée. Tout était en elle. Elle m'écrasait le pubis, voulant certainement en connaître encore plus. Alors, comme folle, elle se mit à remuer sur moi, à frotter au plus fort son cul et son clitoris et le plaisir explosa d'un coup, violemment. Les soubresauts continuèrent ensuite de l'agiter au grè des contractions que je faisais pour voir son corps répondre à mes signaux.
Nous nous embrassames, d'abord délicieusement, puis petit à petit, parce que ma rage de la baiser était encore totalement en moi, de plus en plus fougueusement. Mes mouvements recommencèrent, son cul, si bon, me recevait de nouveau, il s'offrait sans compter.
Elle se redressa encore une fois pour sentir cette queue si bonne quand l'anneau est détendu et ses mains toutes huileuses vinrent caresser mes cuisses.
C'était très agréable de la sentir bouger et d'avoir cette caresse tendre qui montait et descendait. Mais, ses mains étaient guidées par des pensées enfouies en elle et qui avaient un but. Ses mains continuèrent à descendre sur la ligne de mes cuisses, arrivèrent aux niveaux de mes couilles, s'y attardèrent un instant, délicates et un peu indécises, puis, elles descendirent encore plus bas.
Son corps était cambré en arrière, ses mains descendaient, descendaient, elle avait un objectif, elle recherchait le contact avec un lieu qui actuellement se sentait très sollicité chez elle. Elles le trouvèrent et une seule de ses mains se mit à tourner autour de mon anneau.
Elle avait les yeux fermés mais elle attendait ma réaction. Je lui dit 'Mets de l'huile sur ton doigt'.
Dotée de mon assentiment, elle lança une étape inattendue de notre scénario. Et, à mon tour, j'eus le plaisir de me sentir fouillé et pénétré. Ce fut divin. Nous échangeames nos plaisirs, variant encore plus les possibilités offertes à deux êtres de sexe opposé, mais qui évaluent toutes les opportunités de leurs corps.
Cela fut si fort que finalement, le plaisir me vint en position missionnaire, se dévorant bouche à bouche, enfoncé en elle. Quelque chose de simple. A se demander pourquoi faire compliqué quand on prend son plaisir si banalement. En réalité, c'est l'ensemble de ces diverses sensations, plaisirs, chocs, émotions qui fit que l'on finit par une position de face, corps contre corps, dans les bras l'un de l'autre.
Une dure après-midi. Heureusement que le 8 mai est férié.