- 17 mai 2012, 15:31
#1097128
Etant moi-même atteint par ce virus, je me suis posé la question de ce qu’est le candaulisme.
La première des choses est de savoir ce qu’il n’est pas. Deux idées, malheureusement communément répandues sur ce forum, sont à combattre : 1) il ne s’agit en aucun cas de l’attelage d’une salope et d’un cocu : par définition, le cocu est trompé, et ignore le plus souvent qu’il l’est. C’est exactement le contraire avec le candauliste, puisqu’il est l’instigateur des évènements : mon expérience, et la vôtre, montrent bien comme il est parfois difficile d’entraîner nos femmes sur ce terrain ! 2) L’humiliation de qui que ce soit n’a rien à voir dans l’affaire, sauf bien entendu s’il s’agit de jeux choisis par le couple.
Car le candaulisme est avant tout affaire de couple : les deux partenaires doivent prendre du plaisir à leurs jeux. Plaisir dangereux, parfois, trouble, souvent, complexe, toujours, variable en fonction du niveau d’avancée dans la démarche, qui peut aller de l’exhibition virtuelle à la partouze en club, en passant par toutes les formes d’exhibition réelle. Plaisirs pouvant également se situer sur des plans différents pour les deux partenaires. Chez la femme, l’affaire est plus simple, avec trois composantes majeures : plaisir de satisfaire les désirs de son partenaire, toujours, excitation de se savoir observée et jouissance physique, éventuellement, avec un ou des partenaires accessoires – le mot est important – sous les yeux de son mari ou amant.
Chez l’homme, tout se complique, au point que de nombreux psys se sont penchés sur le cas des malheureux pervers que nous sommes. Personne ne niera le côté « piment dans les relations », en particulier avant le passage à l’acte, qui vaut aussi pour la femme, ni l’excitation liée au côté voyeur, quant à lui typiquement masculin. Mais qu’est ce qui pousse un homme – qu’est ce qui me pousse – à offrir sa femme, ou du moins son image, à d’autres ? La fierté, sans doute : regardez comme ma femme est belle, jouissez d’elle. Et montrez le moi, bien entendu !
La pratique peut également rassurer : ma femme avait peut-être envie d’autre partenaires, je les lui offre ! Mais sous mon contrôle. J’ai en outre l’espoir que son/ses amant(s) soient moins performants que moi. Et l’opération me permet d’explorer en même temps des goûts sexuels qu’elle pourrait m’avoir cachés.
Et puis… cela ne concerne peut-être que moi, mais rien ne m’excite plus que de filmer ma petite amie en train de jouir, et l’intervention d’un tiers m’offre en ce domaine un recul incroyablement intéressant…
La première des choses est de savoir ce qu’il n’est pas. Deux idées, malheureusement communément répandues sur ce forum, sont à combattre : 1) il ne s’agit en aucun cas de l’attelage d’une salope et d’un cocu : par définition, le cocu est trompé, et ignore le plus souvent qu’il l’est. C’est exactement le contraire avec le candauliste, puisqu’il est l’instigateur des évènements : mon expérience, et la vôtre, montrent bien comme il est parfois difficile d’entraîner nos femmes sur ce terrain ! 2) L’humiliation de qui que ce soit n’a rien à voir dans l’affaire, sauf bien entendu s’il s’agit de jeux choisis par le couple.
Car le candaulisme est avant tout affaire de couple : les deux partenaires doivent prendre du plaisir à leurs jeux. Plaisir dangereux, parfois, trouble, souvent, complexe, toujours, variable en fonction du niveau d’avancée dans la démarche, qui peut aller de l’exhibition virtuelle à la partouze en club, en passant par toutes les formes d’exhibition réelle. Plaisirs pouvant également se situer sur des plans différents pour les deux partenaires. Chez la femme, l’affaire est plus simple, avec trois composantes majeures : plaisir de satisfaire les désirs de son partenaire, toujours, excitation de se savoir observée et jouissance physique, éventuellement, avec un ou des partenaires accessoires – le mot est important – sous les yeux de son mari ou amant.
Chez l’homme, tout se complique, au point que de nombreux psys se sont penchés sur le cas des malheureux pervers que nous sommes. Personne ne niera le côté « piment dans les relations », en particulier avant le passage à l’acte, qui vaut aussi pour la femme, ni l’excitation liée au côté voyeur, quant à lui typiquement masculin. Mais qu’est ce qui pousse un homme – qu’est ce qui me pousse – à offrir sa femme, ou du moins son image, à d’autres ? La fierté, sans doute : regardez comme ma femme est belle, jouissez d’elle. Et montrez le moi, bien entendu !
La pratique peut également rassurer : ma femme avait peut-être envie d’autre partenaires, je les lui offre ! Mais sous mon contrôle. J’ai en outre l’espoir que son/ses amant(s) soient moins performants que moi. Et l’opération me permet d’explorer en même temps des goûts sexuels qu’elle pourrait m’avoir cachés.
Et puis… cela ne concerne peut-être que moi, mais rien ne m’excite plus que de filmer ma petite amie en train de jouir, et l’intervention d’un tiers m’offre en ce domaine un recul incroyablement intéressant…