[jeanrp]

Vendredi soir, j'avais besoin d'un peu de chaleur… direction un sauna de la banlieue Est… Du monde, pas trop d'activité. Après une frugale collation, un hammam pour me détendre, je parcoure les alcoves… J'aperçois une femme allongée sur le ventre, à la peau couleur caramel, son mari à son côté et deux hommes de part et d'autres… Je ne savais pas si j'arrivais à la pause, ou si la consigne était la sagesse, mais l'un des hommes caressait nonchalamment sa jambe gauche et l'autre son épaule droite ! Il me restait une jambe, je m'approchais et me mis à lui masser le pied. J'aime ce contact de la peau, elle était si douce, asiatique du sud, peut être vietnamienne…. Je massais, massais son mollet, car je n'avais accès qu'à une seule jambe, et lentement glissais mes mains autour de ses cuisses, activant la circulation sanguine en remontant vers ses fesses… mes doigts frôlaient ses lèvres, effleuraient son sexe, le mari ma précisa – pas de pénétration… j'aime masser, j'aimais cette peau au grain si fin, à l'odeur envoutante, car je commençais à embrasser légèrement sa jambe, promenant ma langue en une exquise ballade, léchant depuis le pied, remontant jusqu'à ses fesses, sillonant ce sillon, m'immisçant… Je sentais enfin son corps se détendre à l'avancement de mes caresses, me laissant légèrement écarter ses jambes pour parvenir à goûter plus profondément ses trésors et à mesure que je parcourais la suavité de ses fruits, elle m'offrait dans une cambrure obscène l'accessibilité à ses trésors… mais la position ne me permettais pas de complètement la satisfaire. Soudain, elle se mit à bouger, s'assit , je craignais que ce fut là la fin de nos jeux succulents, mais elle s'allongeait sur le dos, m'offrant son sexe entrouvert au plaisir des regards et de mes lèvres… je m'aperçus que depuis un moment j'étais seul au festin et je repris ma dégustation, en ayant profité pour me régaler de la magnificence de ses courbes… je me replongeais vers le calice et glissais une main sous ses fesses pour rehausser un peu son bassin et en profitais pour caresser son périné, zone si sensible à la conjoncture des orifices de plaisir… puis j'effleurais le plus petit des 2, l'interdiction à l'autre m'ayant été précédemment précisé ! Qu'il est bon de caresser en boucle ce petit bourellet de chair si serré, replié sur lui même, un peu frileux mais si réactif !! … je déteste plus que tout aller là ou femme ne désire et je n'insistais pas, demeurant dans une caresse superficielle avec le pouce… Mais je sentis peu à peu sa cambrure accentuer la pression, je résistais un peu et je la sentis s'empaler sur mon doigt, de plus en plus profondément à mesure que s'ouvrait l'œillet délicieux… Délice de cette offrande nous allâmes ainsi attachés jusqu' à des plaisirs grandissant et saccadés, elle retombant finalement pour un repos conjugal dans les bras de son mari…. je les laissais à leurs étreintes et continuais ma route… ma soirée fut, ce soir là fort étrange car, un peu plus loin, je me retrouvais dans une configuration analogue… Deux jeune femmes, une exquise japonaise toute fine et une blonde très sensuelle, ventre contre ventre, seins contre seins, s'embrassaient pendant que leurs hommes les caressaient… je n'eus qu'à me glisser entre elles… et de la même manière, massant et laissant mes lèvres remonter vers les siennes alors qu'en écartant ses cuisses elle m'invitait à cette offrande, je fus bientôt à dévorer la blonde, cette fois… et tout pareillement, dans une exquise danse ponctuées de râles envoûtants, elle s'empallait sur mes doigts avec violence et fougue s'ouvrant avec générosité et passion ! Elle chevauchait mes doigts en elle dans une course effrénée vers un orage bruyant et apaisant…

Ce fut donc une soirée fort thématique où je donnais plus de plaisir que n'en prit au sens propre, mais le thème était charmant, je ne regrette rien !!!