- 15 févr. 2010, 11:01
#21900
Nous connaissons tous au moins une cocufieuse dans notre entourage ; famille, amis, collègues ou voisins. Je tiens par ce post à leur rendre hommage en dressant le portrait de quelques unes de ces délicieuses femmes que j’ai pu croiser…
Tout d’abord J. la femme du frère de mon père soit ma tante par alliance.
Il y a une 20aine d’année alors que j’étais ado cette femme me fascinait ; superbe petite brune à la peau mate toujours apprêtée et à l’air hautain âgée à l’époque d’une 30aine d’années elle exerçait la profession d’infirmière en chef dans une clinique privée
Quelques années plus tard J’appris par une petite amie, infirmière elle aussi, que tatie était le 5 à 7 favori de certains médecins de la clinique dans laquelle elle travaillait et qu’une rumeur courrait parmi le personnel qu’un soir après un pot bien arrosé elle passa la nuit dans une chambre inoccupée avec deux chefs de service.
Aujourd’hui quand je croise ma tante à l’occasion d’un repas de famille je ne peux m’empêcher de penser quelle magnifique chaudasse que ma tatie et quel cocu que ce tonton.
M. la mère de C. un des gars de la bande d’amis d’enfance.
Nous avions tous 19, 20 ans et cette très belle blonde d’une 40 aine d’années au faux air de Sarah Palin faisait bien fantasmer la bande de petits males pleins de testostérone que nous étions mais cette femme mariée et respectable restait pour nous inaccessible.
P. le beau gosse sportif de la bande après qui toutes les filles courraient était celui avec qui j’avais le plus d’affinités
et qui reste aujourd’hui encore mon meilleur ami, m’avoua un jour qu’il s’envoyait M. et que maintenant j’étais le seul à le savoir de notre bande de copains.
Abasourdi je n’en croyais pas un mot pensant qu’il fanfaronnait. P. me prouva et de fort belle manière qu’il était bien l’amant de M.
Une fin d’après midi, un jeudi alors que j’étais dans ma petite chambre d’étudiant rouennais P. m’appela et me demanda de passer impérativement à 18 heures à la maison de ses parents chez qui il habitait.
Quand j’arrivais il me demanda de monter à l’étage et de ne surtout pas faire de bruit ni de bouger. Ce que je fis. Une dizaine de minute plus tard la porte d’entrée sonna, quelqu’un entra et je reconnus immédiatement la voix de M.
Ca fait une 15aine d’années maintenant et je ne me rappelle plus exactement ce qu’ils se disaient mais je me souviendrai toujours les avoir entendu baiser pendant plus d’une heure et que les gémissements et les cris qu’elle poussait prouvent qu’elle prit beaucoup de plaisir.
Pendant tout ce temps je n’ai pas bougé, inutile de dire que je me suis beaucoup branlé.
Je suis redescendu une fois qu’elle fut partie.
P était allongé à poil dans le canapé, l’air rigolard je me souviendrai toujours de ses paroles
« Alors tu me crois maintenant ? tu l’as entendu gueuler ??? c’est une super chienne à baiser cette salope »
Voilà, cette très belle femme mure, bourgeoise à l’air stricte s’envoyait en l’air au dépend de son mari avec un gamin arrogant qui aurait pu être son fils.
P. fut encore l’amant de M. durant les deux années qui suivirent jusqu’à ce qu’il parte aux Etats-Unis continuer ses études de commerce et qu’il finisse par s’installer là-bas.
Durant ses deux années P. s’amusait parfois à me raconter avec force détails salaces comment dans sa voiture M. le suçait à fond dans des parkings souterrains le soir avant qu’il ne rentre chez ses parents, lui laissant du rouge à lèvre sur sa queue mais le top pour P c’est lorsque le mari de M et son fils C notre pote, partaient en week-end voile ou ski alors P. passait des nuits torrides à lu faire l’amour dans la maison conjugale.
Etant resté en contact avec C. il m’arrive encore de croiser sa mère qui malgré le temps qui passe a su garder toute sa classe
dans ces moments je regarde C et son père et je me dis intérieurement si vous saviez comme ce jeudi il y a une quinzaine d’années j’ai entendu votre épouse et mère prendre son pied.
J’ai jusqu’à mes 35 ans croisé d’autres cocufieuses dont certaines que j’ai pratiqué, j’en ferai ici peut-être un jour le portrait
J’aimerai pour terminer rendre hommage à la plus belle cocufieuse, ma femme depuis 11 ans. Trop occupé par mon travail et mes aventures extraconjugales je l’avais ces deux dernières années quelque peu délaissée.
J’ai découvert qu’elle me trompait depuis 6 mois avec un beau gosse de sa boite, ce type l’a complètement débridée physiquement et sexuellement, je vivais avec une magnifique salope à la maison et je ne m’en rendais même pas compte. Désormais je suis le plus heureux des hommes.
Voilà pour mon hommage à quelques cocufieuses que j’ai pu croiser et je vous invite à faire de même à la suite de mon post car il y a bien autour de vous, famille, amis, collègues ou voisins une ou des cocufieuses à qui vous voudrez rendre hommage tout en faisant attention, bien sur, à ne pas les rendre trop facilement identifiables
Tout d’abord J. la femme du frère de mon père soit ma tante par alliance.
Il y a une 20aine d’année alors que j’étais ado cette femme me fascinait ; superbe petite brune à la peau mate toujours apprêtée et à l’air hautain âgée à l’époque d’une 30aine d’années elle exerçait la profession d’infirmière en chef dans une clinique privée
Quelques années plus tard J’appris par une petite amie, infirmière elle aussi, que tatie était le 5 à 7 favori de certains médecins de la clinique dans laquelle elle travaillait et qu’une rumeur courrait parmi le personnel qu’un soir après un pot bien arrosé elle passa la nuit dans une chambre inoccupée avec deux chefs de service.
Aujourd’hui quand je croise ma tante à l’occasion d’un repas de famille je ne peux m’empêcher de penser quelle magnifique chaudasse que ma tatie et quel cocu que ce tonton.
M. la mère de C. un des gars de la bande d’amis d’enfance.
Nous avions tous 19, 20 ans et cette très belle blonde d’une 40 aine d’années au faux air de Sarah Palin faisait bien fantasmer la bande de petits males pleins de testostérone que nous étions mais cette femme mariée et respectable restait pour nous inaccessible.
P. le beau gosse sportif de la bande après qui toutes les filles courraient était celui avec qui j’avais le plus d’affinités
et qui reste aujourd’hui encore mon meilleur ami, m’avoua un jour qu’il s’envoyait M. et que maintenant j’étais le seul à le savoir de notre bande de copains.
Abasourdi je n’en croyais pas un mot pensant qu’il fanfaronnait. P. me prouva et de fort belle manière qu’il était bien l’amant de M.
Une fin d’après midi, un jeudi alors que j’étais dans ma petite chambre d’étudiant rouennais P. m’appela et me demanda de passer impérativement à 18 heures à la maison de ses parents chez qui il habitait.
Quand j’arrivais il me demanda de monter à l’étage et de ne surtout pas faire de bruit ni de bouger. Ce que je fis. Une dizaine de minute plus tard la porte d’entrée sonna, quelqu’un entra et je reconnus immédiatement la voix de M.
Ca fait une 15aine d’années maintenant et je ne me rappelle plus exactement ce qu’ils se disaient mais je me souviendrai toujours les avoir entendu baiser pendant plus d’une heure et que les gémissements et les cris qu’elle poussait prouvent qu’elle prit beaucoup de plaisir.
Pendant tout ce temps je n’ai pas bougé, inutile de dire que je me suis beaucoup branlé.
Je suis redescendu une fois qu’elle fut partie.
P était allongé à poil dans le canapé, l’air rigolard je me souviendrai toujours de ses paroles
« Alors tu me crois maintenant ? tu l’as entendu gueuler ??? c’est une super chienne à baiser cette salope »
Voilà, cette très belle femme mure, bourgeoise à l’air stricte s’envoyait en l’air au dépend de son mari avec un gamin arrogant qui aurait pu être son fils.
P. fut encore l’amant de M. durant les deux années qui suivirent jusqu’à ce qu’il parte aux Etats-Unis continuer ses études de commerce et qu’il finisse par s’installer là-bas.
Durant ses deux années P. s’amusait parfois à me raconter avec force détails salaces comment dans sa voiture M. le suçait à fond dans des parkings souterrains le soir avant qu’il ne rentre chez ses parents, lui laissant du rouge à lèvre sur sa queue mais le top pour P c’est lorsque le mari de M et son fils C notre pote, partaient en week-end voile ou ski alors P. passait des nuits torrides à lu faire l’amour dans la maison conjugale.
Etant resté en contact avec C. il m’arrive encore de croiser sa mère qui malgré le temps qui passe a su garder toute sa classe
dans ces moments je regarde C et son père et je me dis intérieurement si vous saviez comme ce jeudi il y a une quinzaine d’années j’ai entendu votre épouse et mère prendre son pied.
J’ai jusqu’à mes 35 ans croisé d’autres cocufieuses dont certaines que j’ai pratiqué, j’en ferai ici peut-être un jour le portrait
J’aimerai pour terminer rendre hommage à la plus belle cocufieuse, ma femme depuis 11 ans. Trop occupé par mon travail et mes aventures extraconjugales je l’avais ces deux dernières années quelque peu délaissée.
J’ai découvert qu’elle me trompait depuis 6 mois avec un beau gosse de sa boite, ce type l’a complètement débridée physiquement et sexuellement, je vivais avec une magnifique salope à la maison et je ne m’en rendais même pas compte. Désormais je suis le plus heureux des hommes.
Voilà pour mon hommage à quelques cocufieuses que j’ai pu croiser et je vous invite à faire de même à la suite de mon post car il y a bien autour de vous, famille, amis, collègues ou voisins une ou des cocufieuses à qui vous voudrez rendre hommage tout en faisant attention, bien sur, à ne pas les rendre trop facilement identifiables