- 10 oct. 2012, 09:42
#1214427
J'étais bien naïf quand j'étais jeune. Alors que Nadia, ma future femme, me refusait tout rapport sexuel avant le mariage, je supposais que c'était normal, et que c'était là une attitude tout à fait respectable de sa part, la réaction naturelle d'une gentille fille bien élevée et fidèle à son éducation.
Ce ne fut que plus tard que je découvris que Nadia n'était pas si "respectable" que ça !
Mais pour le moment, j'étais aveuglé par les courbes douces de ses larges seins, fermement tenues par de fins soutiens-gorge, ou par les merveilleuses rondeurs de ses fesses attirantes.
Nadia adorait que je joue avec ses seins, et m'y encourageait même. Elle riait devant mes nerveuses et tremblantes tentatives de toucher ses tétons, dignes d'un adolescent, mais elle permettait presque toujours à mes mains baladeuses de trouver leur chemin sous son pull de laine. Comme c'était agréable de sentir le poids de ses globes dans la paume de mes mains ! Toucher et caresser le nylon tendu de son soutien-gorge me mettait l'estomac sens dessus dessous !
Même maintenant, cela me fait de l'effet de repenser à ces moments où mes doigts en mouvement approchaient petit à petit de ses petits tétons compressés sous le tissu soyeux. Nadia appréciait lorsque je les malaxais, les faisant rouler entre mes doigts. Bien sûr, tout ceci me donnait une érection terrible, mais je n'étais jamais autorisé à me soulager devant elle, de quelque manière que ce soit : alors évidemment, cela ne me venait même pas à l'esprit que je puisse la baiser...
"Attends que nous soyons mariés, chéri, et tu verras, je te rendrai heureux !", me répétait-elle régulièrement.
Elle me laissait faire ainsi des heures, lui caressant ses superbes seins, mes testicules comprimés par le désir, et mes débuts d'éjaculation tâchant régulièrement mes sous-vêtements : cependant je n'osais jamais prendre le risque de déplaire à cette déesse en tentant de lui suggérer d'aller plus loin.
Chaque nuit, dans mon lit, je me masturbais comme un fou, en pensant à elle. Le simple fait de m'imaginer être autorisé à sucer ses énormes tétons était suffisant pour me faire éjaculer à grands coups de sperme inutile dans ma main.
Enfin, vint le jour où Nadia consentit à se marier avec moi. Je marchais vers l'autel avec un pénis dur comme du bois dans mon pantalon, pensant au moment où je me retrouverais enfin au lit avec Nadia, pendant notre nuit de noces : heureusement, j'arrivais à arranger mon allure pour que mon érection ne se remarque pas trop.
De toute manière, tout le monde avait les yeux fixés sur Nadia, resplendissante dans sa tenue blanche, plutôt que sur moi.
La première nuit de notre lune de miel ne se passa pas trop mal : bien sûr, je jouis trop vite, en fait avant même que je réussisse à déshabiller entièrement Nadia. Hé oui, le seul fait de sucer ses merveilleux seins m'avait amené à l'éjaculation ! Heureusement, Nadia fut compréhensive et, en peu de temps, elle fit en sorte que mon érection revienne : bientôt notre mariage fut consommé avec succès.
Ce qui, même à l'époque, me sembla plutôt inhabituel, était que pendant tout le reste de notre lune de miel, je ne fus pas autorisé à rééditer les ébats de cette première nuit. Nadia me maintenait éloigné avec ses bras, déclarant qu'il n'était pas normal qu'un mari veuille importuner sa femme trop souvent, en tout cas, pas s'il la respectait réellement.
Du respect, j'en avais certainement pour elle et elle le savait bien. Avoir eu ma première nuit d'amour avec elle m'avait rendu complètement dingue d'elle. Elle était devenue ma déesse, j'étais tombé fou amoureux d'elle. J'aurais fait n'importe quoi pour elle. Bien sûr, elle était toujours douce et gentille avec moi, et à chaque fois que l'on se retrouvait seuls, elle baissait la fermeture éclair de mon pantalon, glissant sa main à l'intérieur pour me caresser et me mettait ainsi dans un état d'excitation intense...
Mais pour me laisser tomber ensuite, frustré, en allant chercher un verre ou prendre un bain dans la piscine. Je la suivais partout comme un chien obéissant, à l'écoute de chacun de ses désirs, hypnotisé pas les courbes sveltes de ses hanches et les doux globes de ses irrésistibles seins.
Je me retrouvai à me masturber moi-même pour soulager cette tension sexuelle. Je ne pouvais y croire : c'était mon voyage de noces avec la plus magnifique des femmes, et pourtant, je devais me masturber comme un adolescent pour m'empêcher de devenir fou de désir.
Incapable de posséder Nadia, j'en étais réduit à lui dérober ses petites culottes sexy en soie. Je gâchai ainsi des quantités incalculables de sperme dans ses culottes satinées, m'imaginant poussant mon sexe en elle, comme la première et unique fois où elle me l'avait permis.
Ensuite, je cachais les slips tâchés dans la pile de linge sale, espérant que personne n'irait y regarder de trop près !
Quand Nadia m'expliqua un soir qu'elle voulait, après le dîner, danser avec moi, mais également avec d'autres hommes, je le pris très calmement. J'avais confiance en elle et j'étais décidé à afficher une attitude ouverte et libérale face à son désir.
Ainsi, elle se mit à danser à côté d'autres touristes, mais sans aucun contact physique avec ses autres partenaires. Mais alors que les deux semaines de notre lune de miel s'écoulaient, et qu'il était devenu évident que je n'insisterais plus, ni sur mes "droits" conjugaux, ni sur son envie de danser avec d'autres hommes, Nadia commença à rester sur la piste de danse même durant les séries de slows.
Cela me bouleversa complètement. J'étais obligé de regarder ma nouvelle femme se frotter à d'autres hommes, souvent plus beaux que moi, et qui de plus semblaient être plus confiants et expérimentés. Je m'assis à une table, surveillant le verre de Nadia, pendant qu'elle se blottissait contre d'autres types. Je regardais avec horreur les mains de ces hommes qui se posaient sur son dos pour attirer son corps doux contre eux.
C'était maintenant l'avant-dernière nuit avant la fin de notre séjour.
Comme chaque soir, je m'assis à ma table pendant que ma femme dansait et je remarquai alors qu'un nouvel étranger, de type latin (et qui, je dois le reconnaître, était vraiment beau, grand et sombre), était avec elle et lui caressait son dos dénudé, pressant ses divins seins contre sa large poitrine.
Puis je m'aperçus qu'il s'arrangeait pour entraîner, petit à petit, Nadia vers la partie la moins éclairée de la boîte de nuit. Je plissai mes yeux pour mieux suivre leurs mouvements. J'avais du mal à les distinguer à travers la foule des danseurs, mais je crus les apercevoir avec horreur s'embrasser sur la bouche.
J'étais au désespoir. Je n'étais pas sûr de ce que j'avais vu, et j'essayai de me persuader que j'avais tout imaginé, ou bien que Nadia était complètement saoule. Je pensai un instant me battre avec cet homme...
Mais je décidai que ce n'était pas possible. Il avait l'air grand et musclé, et si je tentais de m'interposer entre lui et "sa conquête", il aurait peut-être été capable de sortir un couteau ou pire encore. J'étais terrifié par la tournure que prenait notre mariage et effrayé par une éventuelle confrontation. Enfin, je décidai de m'avancer seul vers la piste de danse et me mis à me trémousser de façon pathétique au rythme de la musique, en essayant de me diriger dans leur direction, avec des gestes nerveux et saccadés.
Mes pires craintes furent confirmées. J'étais tout proche d'eux maintenant, et même dans la demie obscurité, je pouvais voir la main droite de l'homme se faufiler à l'intérieur de la minijupe de Nadia, caressant les merveilleux globes de ses fesses. En frottant le derrière de Nadia, il attira ses hanches contre les siennes, et avec une horreur croissante, je vis soudain la bosse de ce qui ne pouvait être qu'un énorme phallus sous son pantalon.
Bientôt l'entrejambes de Nadia se frotta contre son pénis maintenant clairement excité, alors qu'ils ondulaient au rythme de la musique. Elle devait bien être capable de sentir le sexe de cet homme se frotter contre elle ! Alors que diable était-elle en train de faire ? Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas là ? Comment devais-je réagir ?
J'étais comme pétrifié par l'indécision. Puis, le visage de l'homme puissant s'approcha de celui de Nadia à nouveau et ils commencèrent à échanger un long et profond baiser. Oh mon dieu, pensai-je, il lui met la langue dans sa bouche ! Si c'est ce qu'il faisait, il était évident que Nadia ne cherchait pas à lui résister. Ce baiser passionné dura encore et encore.
Je pouvais clairement maintenant voir l'homme passant sa main à l'intérieur de la culotte de Nadia et, avec une tension grandissante, je réalisai qu'il poussait ses doigts entre ses jambes, de l'arrière vers l'avant, pressant la motte de ma femme contre son sexe congestionné, tout en gardant sa bouche rivée à celle de Nadia.
Ma femme était en train de se faire prendre par une espèce d'italien, sous mes propres yeux ! Je sentis mon corps se contracter sous le choc mais, en même temps, je notai que mon sexe était en train de grossir...
Je regardais sans réagir Nadia se faire pratiquement baiser sur la piste de danse, mais je pensai à mon propre désir de lui faire l'amour. C'en était trop.
J'étais déboussolé. Je voulais désespérément baiser ma femme, mais si je ne pouvais le faire, la voir se faire prendre par un autre m'apparaissait presque comme une compensation. L'idée de ma femme ouvrant ses jambes pour cet homme, pour être ensuite remplie de sa puissante semence après l'avoir transformée en femme soumise et "baisable", donnait lieu à des sentiments tellement contradictoires en moi qu'ils devenaient presque impossibles à supporter.
Nadia ne m'avait pas encore vu mais, soudain, son partenaire m'aperçut. Il me regarda sans paraître troublé, et sa seule réaction fut de dire, avec une voix forte, à ma femme : "Je vais te mettre maintenant un doigt dans ton cul et ensuite, tu me suivras dans ma chambre !"
Je vis dans la pénombre son index faire de lents mouvements dans sa culotte. Nadia émit un gémissement profond, lourd de désir sexuel. Il attira le corps de ma femme vers lui alors qu'elle remuait ses fesses, empalée sur son doigt.
Les lèvres de Nadia dessinèrent un rond, épais et sensuel, comme elle projetait sa tête en arrière, en pleine extase.
Qu'elle soit en train de jouir ou non n'était pas sûr, par contre, à ma grande honte, moi, je me mis à jouir !
Je sentais que je venais d'avoir la plus belle érection de ma vie, avec une impression très sensuelle procurée par le contact du bout de mon sexe contre le haut de mon pantalon. Puis, je me mis à éjaculer inutilement.
Mon sperme jaillissait, tâchant mon pantalon, tombant sur la piste de danse. Je me sentais bien, j'avais presque perdu conscience avec le plaisir de la jouissance. Même après mon éjaculation, alors que mon sexe reprenait doucement sa taille à travers mon sperme répandu dans le pantalon, je me sentais satisfait.
Cependant, c'était la tempête dans mon crâne. Ma femme se dirigeait maintenant vers la chambre de son amant, n'ayant même pas remarqué ma présence. J'étais en lutte avec des sentiments de jalousie, mais je ressentais également une plénitude sexuelle et physique après cette scène. Si c'était ce qu'on ressentait lorsque l'on était trompé...
Alors, j'étais intéressé d'en savoir plus !
Voir ainsi ma femme, après seulement deux semaines de mariage, quitter la boîte avec un amant me laissait abasourdi. J'avais conscience, avec embarras, de mon pantalon souillé par mon sperme, et bien que j'étais pratiquement sûr que personne n'avait pu remarquer quoi que ce soit dans la faible lumière de la discothèque, je rentrai vers notre chambre, avec les genoux tremblants, à la fois troublé et excité par cette nouvelle expérience que je venais de vivre.
Pendant que je me nettoyais et me préparais pour aller me coucher, je pensais à ce que cet étranger puisse être en train de faire en ce moment avec ma femme Nadia.
Je ne pouvais retirer de mon esprit la vision de son sexe énorme en train de la pénétrer. Je l'imaginais au-dessus d'elle, titillant ses seins merveilleux avec sa bouche, et poussant sa virilité lentement à l'intérieur de sa douce intimité. Je le voyais presser ses lèvres rudes sur celles de Nadia, faisant disparaître son rouge à lèvres avec voracité, sa langue forçant le passage dans sa bouche.
Puis, je pensais à son sperme jaillissant de son sexe, faisant ainsi irruption dans l'intimité de « sa » femme qui savourait chaque minute de cette pénétration.
Comment allait-elle réagir lorsqu'elle rentrerait cette nuit (en supposant qu'elle rentre !), et qu'elle me retrouverait encore éveillé dans le lit ? Ferait-elle comme si rien ne s'était passé, se promenant dans la chambre, remplie de la semence de cet homme ?
Je ne pouvais m'endormir et l'attendis ainsi des heures, avec un sexe excité que je n'osais calmer.
Enfin, aux environs de cinq heures du matin, j'entendis une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel. Je ne prononçai pas un mot, mais écoutai avec attention alors que Nadia se dirigeait silencieusement vers son côté de notre lit nuptial. Elle essayait visiblement de ne pas me réveiller, mais j'avais besoin de lui parler et de voir dans quel état d'esprit elle était.
Je me sentais tout à la fois nerveux, en colère, apitoyé sur mon propre sort et attiré par le corps de Nadia. Me décidant à la confrontation, j'allumai ma lampe de chevet.
Nadia s'immobilisa. Elle se préparait juste à se coucher à côté de moi et eut l'air étonné. Cependant, à part la surprise, son visage ne semblait pas exprimer de culpabilité. Elle avait apparemment pris le temps de se remettre après avoir été comblée par le sexe de cet autre homme.
C'était quand même la première fois que je voyais Nadia sembler manquer un tant soit peu d'assurance et, enhardi par son visage surpris, j'eus le courage de lui faire la scène du mari trompé.
"Qu'est-ce que tu foutais ?" lui criai-je dessus.
Une grimace de colère déforma fugitivement son beau visage.
Avant que je n'aie pu ajouter quoi que ce soit, la paume ouverte de sa main me gifle lourdement la joue, ses longs ongles rouges lacérant ma peau comme des griffes.
"Ne me parle plus jamais sur ce ton !" prononça ma femme en gardant difficilement son calme, contrôlant tant bien que mal un tremblement de colère dans sa voix.
C'est à ce moment précis que ma vie changea. Même à cet instant, je le savais. Allai-je essayer de battre Nadia ? Allai-je lui montrer qui était le patron dans notre couple ? Ou alors, allai-je simplement abandonner et partir ?
J'hésitai un instant mais, au fond de moi, je savais ce que j'avais à faire. Je me mis à ramper vers elle, Nadia ma déesse. Je lui implorai son pardon, et pleurnichai en lui disant que je devais apprendre à contrôler ma jalousie stupide de mâle. Si seulement elle acceptait de me pardonner et de me garder à ses côtés ! Je lui dis que j'étais prêt à la servir docilement, jour après jour, que je travaillerai dur pour qu'elle ait ma paye sur son compte chaque mois. Je ferai n'importe quoi mais, par pitié Nadia, permets-moi de rester auprès de toi !
Comme je multipliais mes excuses, j'avais de plus en plus peur qu'elle me quitte réellement, elle la seule femme avec qui j'aie fait l'amour !
Pour prouver ma soumission, je me mis à ramper littéralement vers elle, puis m'agenouillai devant elle. Comme elle ne disait rien, je fus effrayé au début, mais son silence persistant m'encouragea dans cette voie...
Elle m'écoutait ! J'essayais de mon mieux de mesurer l'impact de chacun de mes mots sur elle, regardant à la dérobée son corps magnifique depuis ma position à ses pieds. Il était clair qu'elle m'écoutait maintenant, et qu'elle était intéressée.
Après quelques minutes, je pus apercevoir du coin de l'oeil l'expression de colère intense qu'elle avait montrée quitter son visage, pour laisser place à quelque chose proche de la satisfaction et même du triomphe. Elle avait gagné et elle le savait.
A présent, je lui disais que je savais que je n'avais pas le droit de la questionner sur ses faits et gestes. Je devais avoir confiance en ma femme, et si elle désirait danser avec d'autres hommes, bien sûr, je n'y verrai aucune objection.
Si elle voulait laisser un autre homme la draguer, hé bien, j'étais d'accord.
Si elle voulait discuter avec d'autres hommes dans leur chambre, qui étais-je pour oser protester ?
Elle sourit. J'étais heureux ! J'adorais cette femme qui était capable de me pardonner après que j'eus osé lever le ton sur elle.
S'allongeant sur le dos, Nadia écarta ses jambes et attira ma tête entre ses cuisses.
Je ne résistai pas, rampant vers elle et me glissant sous les draps. Nadia prit mes cheveux dans ses mains et poussa ma tête vers son pubis garni de poils châtain clair. Puis, elle poussa mon nez entre les lèvres de son sexe et me maintint ainsi. L'odeur de son intimité était très forte. J'inspirai fortement et mon petit sexe ratatiné commença à se relaxer et à grossir à nouveau.
Nadia me maintint ainsi dans cette position pendant plusieurs minutes. Elle ne disait rien, mais elle parut satisfaite que je ne cherche pas à bouger, aussi lâcha-t-elle mes cheveux et commença à caresser doucement ma tête, tout en promenant ses exquis ongles pointus sur mon dos nu.
Comme les minutes passaient, le rythme de mon coeur s'apaisa. J'étais aux anges. Nadia m'aimait, même si c'était d'une manière étrange, et nous allions trouver une façon de vivre ensemble. J'essayai de montrer mon acceptation de cette situation en commençant à lécher les lèvres humides du sexe de Nadia, mais elle me donna un petit coup sur la tête pour me faire comprendre d'arrêter.
Encore quelques minutes passèrent, puis elle recommença à me parler, et j'appris comment les choses allaient se passer entre nous à partir de cet instant.
"Tu n'as pas à t'en faire au sujet de Frédéric," me dit-elle fermement. "Tu es mon mari, et aussi longtemps que tu m'es soumis, obéissant et dévoué, je resterai avec toi. Mais tu dois savoir également que je ne t'ai pas choisi pour ton corps ! Je t'ai choisi pour ta qualité principale : la soumission. Je me réserve le droit de baiser qui je veux. Par contre, toi tu ne baiseras personne sans mon accord. Je pourrai également décider de te faire l'amour à l'occasion. Ou bien non... De n'importe quelle manière, il faudra que tu apprennes à contrôler cette sale habitude que tu as de te masturber. Et ne crois pas que je ne sois pas au courant !"
Durant tout ce temps pendant lequel elle m'édictait ces règles, Nadia tapotait ma tête et mes épaules. Elle me maintenait fermement entre ses magnifiques cuisses et poussait régulièrement mon nez de plus en plus fort sur l'entrée douce et humide de son intimité. "Je vais te donner beaucoup de règles à suivre" continuait-elle, "et tu devras prendre du plaisir à obéir si tu veux rester avec moi."
"Maintenant, cela va être ton premier test. Tu dois bien avoir deviné que, Frédéric et moi, nous avons couché ensemble."
Comme si je ne le savais pas déjà !
"Nous avons fait l'amour, plusieurs fois, et j'ai beaucoup apprécié. Frédéric est apparemment un amant très expérimenté et sait vraiment comment satisfaire une femme. Il le fait mieux que tu ne sauras jamais le faire ! En plus, il est vraiment bien monté. Son magnifique sexe de mâle est tellement plus gros que le tien, chéri ; tu ne pourras jamais arriver à sa hauteur. Il a un torse superbe, large et plat, des yeux sombres, puissants et fascinants, et ses couilles sont immenses. Sa bite doit être au moins trois fois plus longue et plus large que ton zizi.
Quand il m'a pénétrée, j'ai presque failli jouir de suite, je le sentais qui m'étirait. A chaque fois qu'il faisait monter et descendre en moi son puissant engin, j'étais au paradis. Il m'a fait jouir trois. J'étais à lui. Il a attendu que je sois épuisée par mes orgasmes et, seulement alors, il a envoyé la sauce !
C'était fantastique, chéri. Je pouvais sentir ses couilles énormes pendre entre mes jambes, pour se raidir au moment où il a commencé à me remplir avec sa semence. Alors qu'il éjaculait, j'étais trop épuisée pour jouir à nouveau, mais il me fixa dans les yeux au moment où son sperme me remplissait en jaillissant de son sexe énorme, en me dit que je lui appartenais, et je savais que c'était la vérité. Après qu'il eut fini de jouir, il me fit lécher son adorable tige pour la nettoyer. Pendant que j'avais la bouche remplie par sa bite, il me fit promettre de ne pas t'autoriser à utiliser ton sexe sans sa permission, mais je sais que tu m'aimes, et je sais que tu adoreras m'obéir sur ce point, chéri.
"Maintenant, prouve-moi que tu acceptes tout ça en me suçant. Bien sûr, ma chatte est remplie du sperme de Frédéric, mais je veux que tu me lèches à fond quand même et sans te masturber !"
Disant cela, Nadia prit mon menton et glissa légèrement sur le lit. Avant que j'aie le temps de réaliser quoi que ce soit, j'avais son pubis pressé contre ma bouche. Presque malgré moi, je m'aperçus que ma langue commençait son travail, ouvrant le passage liquoreux.
Inexpérimenté, je cherchai à respirer tout en essayant de satisfaire de mon mieux ma femme dominatrice. Puis, je sentis le sperme. C'était vrai, il l'avait littéralement remplie ! Elle était pleine de son jus. D'épaisses et filandreuses gouttes de semence envahirent mes lèvres, et je dus les avaler. Le goût n'était pas si désagréable, mais la pensée que c'était le jus d'un autre homme que j'étais en train de sucer dans le vagin de ma propre femme me rendait le sexe dur.
Comme j'aurais voulu me mettre sur Nadia et plonger mon zizi dans son trou, joignant mon propre liquide à celui de son amant. Je pensais à mon pénis, apparemment trop petit et inadéquat, glissant à travers le vagin humide et rempli de sperme, mais je devais accepter que cela ne me serait pas autorisé.
Enfin, Nadia se mit à jouir et s'estima satisfaite de la soumission que je venais de lui prouver.
"Mais ce n'est qu'un début," se dépêcha-t-elle d'expliquer. "J'ai des idées pour aider mon petit mari à rester un homme chaste, propre et respectable, et je suis sûre qu'il adorera ! Il existe un tas de trucs pour aider les femmes à garder leur mari cocu, docile et heureux, ce qui me permettra de respecter la promesse que j'ai faite à Frédéric. Cela te semblera peut-être un peu étrange au début, mais je suis sûre que tu finiras par me remercier de te laisser dans un état permanent de désir sexuel. Toi et moi, nous irons faire quelques courses demain, alors n'oublie pas ta carte de crédit, chéri. Je vais dépenser un peu d'argent pour te rendre heureux !"
Après avoir dit ça, Nadia m'ordonna de dormir. Mais pendant que je l'entendais respirer paisiblement sans son sommeil, et bien que je sois complètement épuisé par la tension nerveuse de ces dernières heures et par le manque de repos, mon désir brûlant pour elle m'empêchait de dormir. Ca, plus la question qui me turlupinait de savoir ce que Nadia m'achèterait le lendemain ! Une chose était claire pour moi maintenant : je venais d'accepter que Nadia prenne le contrôle de ma vie, qu'elle m'humilie d'une manière que la plupart des hommes n'accepteraient jamais, et pourtant, ce que je ressentais était un bonheur profond, presque béat, balayant tout ce qui pouvait rester de ma jalousie puérile. Nadia avait promis de me garder à son service pour toujours si je lui obéissais, et c'était tout ce qui comptait pour moi !
Le matin suivant, Nadia et moi dormîmes tard. Nous étions tous deux fatigués après les événements de la nuit passée, et Nadia ne se réveilla pas avant onze heures.
Je m'étais réveillé avec une superbe érection vers neuf heures et demie, mais je ne m'étais pas soulagé, me rappelant ce que Nadia avait dit à propos de l'interdiction de me masturber : je ne voulais pas risquer de la mettre en colère. Ainsi, je restai allongé dans le lit, à côté de ma femme et Maîtresse pendant plus d'une heure, m'empreignant de la chaleur douce de son corps si féminin, et pensant à elle et à Frédéric, son amant de la veille.
J'avais décidé qu'il m'était agréable d'obéir à Nadia, même quand elle m'interdisait le sexe, mais j'avais beaucoup moins de certitudes à propos du rôle de Frédéric dans cette nouvelle situation. Il avait dit à Nadia qu'il ne me permettrait pas d'avoir du plaisir sexuel sans sa permission ? Qui était-il pour dire une telle chose ?
Il était évident que Nadia était très attirée par son corps, mais j'étais toujours son mari, me disais-je. C'était une chose que d'attendre une période indéterminée avant d'être autorisé par sa femme à avoir du plaisir sexuel, mais c'était une chose bien différente quand c'était dicté, même de façon indirecte, par son amant.
De toutes manières, que pouvais-je y faire ? Rien ! Cependant, le temps était de mon côté, pensais-je. Notre voyage de noces allait toucher à sa fin d'ici quelques jours, et nous devrions rentrer chez nous pour retrouver le ciel triste et gris de notre ville avec sa vie routinière.
Au moins, laisserions-nous ce Frédéric loin derrière nous ! Nadia continuerait sans aucun doute à affirmer son droit maintenant établi de baiser de temps en temps avec les personnes de son choix, mais je me serai habitué à cette idée à ce moment, et peut-être, réussirai-je même à trouver des trucs pour mieux supporter cette situation.
Quand Nadia s'éveilla, elle me rappela sa proposition de courses.
Puis, elle me donna une chiquenaude sur le bout de mon membre turgescent avec ses longs ongles vernis, ce qui la fit éclater de rire. "Laisse donc ton clitoris tranquille !" me dit-elle. "D'ailleurs à ce sujet, je ne voudrais pas que quelqu'un apprenne que mon mari a un zizi d'une taille insuffisante !"
Je grimaçai sous l'insulte, mais je pensai qu'il valait mieux pour moi rester silencieux.
"Ne t'inquiète pas," me rassura-t-elle. "Bien sûr, tu n'as pas le droit de te tripoter, mais nous allons faire en sorte aujourd'hui que cette chasteté temporaire soit un peu plus supportable pour toi".
Je n'en sus pas plus : Nadia a toujours adoré rester mystérieuse !
Après un petit déjeuner tardif, nous prîmes le chemin du centre commercial local. "Les boutiques ne sont vraiment pas terribles ici, chéri," me dit Nadia en faisant la moue, "mais je suis quasiment sûre que nous trouverons ce que j'ai en tête pour commencer ton dressage."
J'avais été trop occupé à admirer les lèvres parfaitement maquillées de Nadia pour bien me concentrer sur ce qu'elle disait, mais ce mot "dressage" attira mon attention. "Maintenant, marche juste un pas derrière moi, et ne prends la parole que si on s'adresse à toi, à moins que ce ne soit vraiment nécessaire !"
J'entendis ces mots, mais j'avais du mal à croire qu'elle me parlait ainsi, et en public en plus ! Une partie de moi ressentit de la colère, mais ce traitement provoquait également chez moi un début d'érection, aussi je me contentai d'approuver de la tête avec soumission. Après quelques minutes, nous arrivâmes devant une boutique de lingerie et de vêtements de mariage pour femmes. Après un bref coup d'oeil à la vitrine, Nadia m'entraîna à l'intérieur. J'adorais regarder les dessous féminins, comme la plupart des hommes, et mes yeux se baladaient sur les délicates petites culottes et soutiens gorges ornant les mannequins du magasin.
La plupart de ces mannequins avaient des perruques, et quelques-uns avaient même le visage maquillé, ce qui les rendait presque réels. Alors que mon regard vagabondait sur l'un d'eux, avec de longues jambes fines gainées de basse résille et d'une culotte de satin noir, Nadia attira l'attention d'une vendeuse. "Je recherche une gaine de maintien, de taille standard," l'entendis-je dire. "Je voudrais un modèle couvrant une large partie du corps, mais dans une petite taille, du 38 ou peut-être du 36." La vendeuse disparut rapidement derrière le comptoir et revint, après quelques secondes, avec plusieurs paquets.
"Voici la Berlei, Madame," expliqua-t-elle. "Elle a une bande extra ferme sur le devant. 79 % nylon polyamide, 21 % élastine, disponible en noir ou blanc uniquement."
Je ressentis un grand froid dans l'estomac. Nadia avait l'intention de contrôler mon sexe en le maintenant comprimé, me semblait-il ! Ceci dit, je préférais la noire.
"La blanche sera parfaite," décida Nadia. "Je vais en prendre deux, une de taille 36 et une de taille 38." Je restais silencieux, n'osant pas me manifester. Nadia m'ordonna ensuite de payer et, une demie heure après, nous étions rentrés à l'hôtel.
"Très bien," me félicita ma femme lorsque nous eûmes regagné notre chambre. "Tu n'as pas protesté, ce qui était préférable pour toi, parce que sinon, j'avais l'intention de dire à la vendeuse à qui était destiné ces deux gaines !"
Tout de suite, elle me les fit essayer, par-dessus mon slip de coton. Je réussis à enfiler la première, avec beaucoup de difficultés dues à son étroitesse. A ma grande surprise, Nadia mit alors sa main entre mes jambes, empoigna mon pénis en demi érection, et le poussa rudement vers l'arrière, de façon à ce que le bout de mon sexe se retrouve tout près de mon anus.
Puis, elle tira ma gaine vers le haut encore de quelques centimètres : mes testicules semblaient avoir disparu à l'intérieur de mon corps. C'était très inconfortable, jusqu'à ce que mon début d'érection disparaisse. Vu de devant, mes hanches avaient pris maintenant un aspect féminin.
"Tu devras toujours porter une de ces deux gaines sur toi à partir de maintenant !" m'indiqua-t-elle. "Porter ainsi une gaine en dessous de ton pantalon devrait de faire passer toute idée de draguer d'autres femmes, n'est-ce pas chéri ? Et de même, je pense que cela devrait t'aider à combattre toute velléité de défier un de mes amants en cherchant à te battre avec lui, ou une idiotie de ce genre, n'est-ce pas ? Maintenant tu ne pourras plus pisser debout, et tu devras utiliser des toilettes fermées pour ça. Et attention, je vérifierai à tout instant que cette jolie gaine est bien en place, et que ton sexe est bien sous contrôle, alors ne triche pas, sinon je ne te ferai plus jamais l'amour, compris ? Plus tard, tu pourras peut-être t'acheter toute une panoplie de lingerie, mais ces gaines feront l'affaire pour l'instant. Même au lit, tu devras en porter une, que je sois là ou non. Cela t'aidera à résister contre tes envies dégoûtantes de te tripoter sans arrêt. Mon petit mari se doit de réserver pour sa femme toute sa production de sperme, n'est-ce pas chéri ?" conclue-t-elle en m'embrassant voracement sur les lèvres, avec sensualité. Mon sexe comprimé était douloureux, alors que je ressentais une poussée de désir envers le corps de ma femme maîtresse.
Ce ne fut que plus tard que je découvris que Nadia n'était pas si "respectable" que ça !
Mais pour le moment, j'étais aveuglé par les courbes douces de ses larges seins, fermement tenues par de fins soutiens-gorge, ou par les merveilleuses rondeurs de ses fesses attirantes.
Nadia adorait que je joue avec ses seins, et m'y encourageait même. Elle riait devant mes nerveuses et tremblantes tentatives de toucher ses tétons, dignes d'un adolescent, mais elle permettait presque toujours à mes mains baladeuses de trouver leur chemin sous son pull de laine. Comme c'était agréable de sentir le poids de ses globes dans la paume de mes mains ! Toucher et caresser le nylon tendu de son soutien-gorge me mettait l'estomac sens dessus dessous !
Même maintenant, cela me fait de l'effet de repenser à ces moments où mes doigts en mouvement approchaient petit à petit de ses petits tétons compressés sous le tissu soyeux. Nadia appréciait lorsque je les malaxais, les faisant rouler entre mes doigts. Bien sûr, tout ceci me donnait une érection terrible, mais je n'étais jamais autorisé à me soulager devant elle, de quelque manière que ce soit : alors évidemment, cela ne me venait même pas à l'esprit que je puisse la baiser...
"Attends que nous soyons mariés, chéri, et tu verras, je te rendrai heureux !", me répétait-elle régulièrement.
Elle me laissait faire ainsi des heures, lui caressant ses superbes seins, mes testicules comprimés par le désir, et mes débuts d'éjaculation tâchant régulièrement mes sous-vêtements : cependant je n'osais jamais prendre le risque de déplaire à cette déesse en tentant de lui suggérer d'aller plus loin.
Chaque nuit, dans mon lit, je me masturbais comme un fou, en pensant à elle. Le simple fait de m'imaginer être autorisé à sucer ses énormes tétons était suffisant pour me faire éjaculer à grands coups de sperme inutile dans ma main.
Enfin, vint le jour où Nadia consentit à se marier avec moi. Je marchais vers l'autel avec un pénis dur comme du bois dans mon pantalon, pensant au moment où je me retrouverais enfin au lit avec Nadia, pendant notre nuit de noces : heureusement, j'arrivais à arranger mon allure pour que mon érection ne se remarque pas trop.
De toute manière, tout le monde avait les yeux fixés sur Nadia, resplendissante dans sa tenue blanche, plutôt que sur moi.
La première nuit de notre lune de miel ne se passa pas trop mal : bien sûr, je jouis trop vite, en fait avant même que je réussisse à déshabiller entièrement Nadia. Hé oui, le seul fait de sucer ses merveilleux seins m'avait amené à l'éjaculation ! Heureusement, Nadia fut compréhensive et, en peu de temps, elle fit en sorte que mon érection revienne : bientôt notre mariage fut consommé avec succès.
Ce qui, même à l'époque, me sembla plutôt inhabituel, était que pendant tout le reste de notre lune de miel, je ne fus pas autorisé à rééditer les ébats de cette première nuit. Nadia me maintenait éloigné avec ses bras, déclarant qu'il n'était pas normal qu'un mari veuille importuner sa femme trop souvent, en tout cas, pas s'il la respectait réellement.
Du respect, j'en avais certainement pour elle et elle le savait bien. Avoir eu ma première nuit d'amour avec elle m'avait rendu complètement dingue d'elle. Elle était devenue ma déesse, j'étais tombé fou amoureux d'elle. J'aurais fait n'importe quoi pour elle. Bien sûr, elle était toujours douce et gentille avec moi, et à chaque fois que l'on se retrouvait seuls, elle baissait la fermeture éclair de mon pantalon, glissant sa main à l'intérieur pour me caresser et me mettait ainsi dans un état d'excitation intense...
Mais pour me laisser tomber ensuite, frustré, en allant chercher un verre ou prendre un bain dans la piscine. Je la suivais partout comme un chien obéissant, à l'écoute de chacun de ses désirs, hypnotisé pas les courbes sveltes de ses hanches et les doux globes de ses irrésistibles seins.
Je me retrouvai à me masturber moi-même pour soulager cette tension sexuelle. Je ne pouvais y croire : c'était mon voyage de noces avec la plus magnifique des femmes, et pourtant, je devais me masturber comme un adolescent pour m'empêcher de devenir fou de désir.
Incapable de posséder Nadia, j'en étais réduit à lui dérober ses petites culottes sexy en soie. Je gâchai ainsi des quantités incalculables de sperme dans ses culottes satinées, m'imaginant poussant mon sexe en elle, comme la première et unique fois où elle me l'avait permis.
Ensuite, je cachais les slips tâchés dans la pile de linge sale, espérant que personne n'irait y regarder de trop près !
Quand Nadia m'expliqua un soir qu'elle voulait, après le dîner, danser avec moi, mais également avec d'autres hommes, je le pris très calmement. J'avais confiance en elle et j'étais décidé à afficher une attitude ouverte et libérale face à son désir.
Ainsi, elle se mit à danser à côté d'autres touristes, mais sans aucun contact physique avec ses autres partenaires. Mais alors que les deux semaines de notre lune de miel s'écoulaient, et qu'il était devenu évident que je n'insisterais plus, ni sur mes "droits" conjugaux, ni sur son envie de danser avec d'autres hommes, Nadia commença à rester sur la piste de danse même durant les séries de slows.
Cela me bouleversa complètement. J'étais obligé de regarder ma nouvelle femme se frotter à d'autres hommes, souvent plus beaux que moi, et qui de plus semblaient être plus confiants et expérimentés. Je m'assis à une table, surveillant le verre de Nadia, pendant qu'elle se blottissait contre d'autres types. Je regardais avec horreur les mains de ces hommes qui se posaient sur son dos pour attirer son corps doux contre eux.
C'était maintenant l'avant-dernière nuit avant la fin de notre séjour.
Comme chaque soir, je m'assis à ma table pendant que ma femme dansait et je remarquai alors qu'un nouvel étranger, de type latin (et qui, je dois le reconnaître, était vraiment beau, grand et sombre), était avec elle et lui caressait son dos dénudé, pressant ses divins seins contre sa large poitrine.
Puis je m'aperçus qu'il s'arrangeait pour entraîner, petit à petit, Nadia vers la partie la moins éclairée de la boîte de nuit. Je plissai mes yeux pour mieux suivre leurs mouvements. J'avais du mal à les distinguer à travers la foule des danseurs, mais je crus les apercevoir avec horreur s'embrasser sur la bouche.
J'étais au désespoir. Je n'étais pas sûr de ce que j'avais vu, et j'essayai de me persuader que j'avais tout imaginé, ou bien que Nadia était complètement saoule. Je pensai un instant me battre avec cet homme...
Mais je décidai que ce n'était pas possible. Il avait l'air grand et musclé, et si je tentais de m'interposer entre lui et "sa conquête", il aurait peut-être été capable de sortir un couteau ou pire encore. J'étais terrifié par la tournure que prenait notre mariage et effrayé par une éventuelle confrontation. Enfin, je décidai de m'avancer seul vers la piste de danse et me mis à me trémousser de façon pathétique au rythme de la musique, en essayant de me diriger dans leur direction, avec des gestes nerveux et saccadés.
Mes pires craintes furent confirmées. J'étais tout proche d'eux maintenant, et même dans la demie obscurité, je pouvais voir la main droite de l'homme se faufiler à l'intérieur de la minijupe de Nadia, caressant les merveilleux globes de ses fesses. En frottant le derrière de Nadia, il attira ses hanches contre les siennes, et avec une horreur croissante, je vis soudain la bosse de ce qui ne pouvait être qu'un énorme phallus sous son pantalon.
Bientôt l'entrejambes de Nadia se frotta contre son pénis maintenant clairement excité, alors qu'ils ondulaient au rythme de la musique. Elle devait bien être capable de sentir le sexe de cet homme se frotter contre elle ! Alors que diable était-elle en train de faire ? Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas là ? Comment devais-je réagir ?
J'étais comme pétrifié par l'indécision. Puis, le visage de l'homme puissant s'approcha de celui de Nadia à nouveau et ils commencèrent à échanger un long et profond baiser. Oh mon dieu, pensai-je, il lui met la langue dans sa bouche ! Si c'est ce qu'il faisait, il était évident que Nadia ne cherchait pas à lui résister. Ce baiser passionné dura encore et encore.
Je pouvais clairement maintenant voir l'homme passant sa main à l'intérieur de la culotte de Nadia et, avec une tension grandissante, je réalisai qu'il poussait ses doigts entre ses jambes, de l'arrière vers l'avant, pressant la motte de ma femme contre son sexe congestionné, tout en gardant sa bouche rivée à celle de Nadia.
Ma femme était en train de se faire prendre par une espèce d'italien, sous mes propres yeux ! Je sentis mon corps se contracter sous le choc mais, en même temps, je notai que mon sexe était en train de grossir...
Je regardais sans réagir Nadia se faire pratiquement baiser sur la piste de danse, mais je pensai à mon propre désir de lui faire l'amour. C'en était trop.
J'étais déboussolé. Je voulais désespérément baiser ma femme, mais si je ne pouvais le faire, la voir se faire prendre par un autre m'apparaissait presque comme une compensation. L'idée de ma femme ouvrant ses jambes pour cet homme, pour être ensuite remplie de sa puissante semence après l'avoir transformée en femme soumise et "baisable", donnait lieu à des sentiments tellement contradictoires en moi qu'ils devenaient presque impossibles à supporter.
Nadia ne m'avait pas encore vu mais, soudain, son partenaire m'aperçut. Il me regarda sans paraître troublé, et sa seule réaction fut de dire, avec une voix forte, à ma femme : "Je vais te mettre maintenant un doigt dans ton cul et ensuite, tu me suivras dans ma chambre !"
Je vis dans la pénombre son index faire de lents mouvements dans sa culotte. Nadia émit un gémissement profond, lourd de désir sexuel. Il attira le corps de ma femme vers lui alors qu'elle remuait ses fesses, empalée sur son doigt.
Les lèvres de Nadia dessinèrent un rond, épais et sensuel, comme elle projetait sa tête en arrière, en pleine extase.
Qu'elle soit en train de jouir ou non n'était pas sûr, par contre, à ma grande honte, moi, je me mis à jouir !
Je sentais que je venais d'avoir la plus belle érection de ma vie, avec une impression très sensuelle procurée par le contact du bout de mon sexe contre le haut de mon pantalon. Puis, je me mis à éjaculer inutilement.
Mon sperme jaillissait, tâchant mon pantalon, tombant sur la piste de danse. Je me sentais bien, j'avais presque perdu conscience avec le plaisir de la jouissance. Même après mon éjaculation, alors que mon sexe reprenait doucement sa taille à travers mon sperme répandu dans le pantalon, je me sentais satisfait.
Cependant, c'était la tempête dans mon crâne. Ma femme se dirigeait maintenant vers la chambre de son amant, n'ayant même pas remarqué ma présence. J'étais en lutte avec des sentiments de jalousie, mais je ressentais également une plénitude sexuelle et physique après cette scène. Si c'était ce qu'on ressentait lorsque l'on était trompé...
Alors, j'étais intéressé d'en savoir plus !
Voir ainsi ma femme, après seulement deux semaines de mariage, quitter la boîte avec un amant me laissait abasourdi. J'avais conscience, avec embarras, de mon pantalon souillé par mon sperme, et bien que j'étais pratiquement sûr que personne n'avait pu remarquer quoi que ce soit dans la faible lumière de la discothèque, je rentrai vers notre chambre, avec les genoux tremblants, à la fois troublé et excité par cette nouvelle expérience que je venais de vivre.
Pendant que je me nettoyais et me préparais pour aller me coucher, je pensais à ce que cet étranger puisse être en train de faire en ce moment avec ma femme Nadia.
Je ne pouvais retirer de mon esprit la vision de son sexe énorme en train de la pénétrer. Je l'imaginais au-dessus d'elle, titillant ses seins merveilleux avec sa bouche, et poussant sa virilité lentement à l'intérieur de sa douce intimité. Je le voyais presser ses lèvres rudes sur celles de Nadia, faisant disparaître son rouge à lèvres avec voracité, sa langue forçant le passage dans sa bouche.
Puis, je pensais à son sperme jaillissant de son sexe, faisant ainsi irruption dans l'intimité de « sa » femme qui savourait chaque minute de cette pénétration.
Comment allait-elle réagir lorsqu'elle rentrerait cette nuit (en supposant qu'elle rentre !), et qu'elle me retrouverait encore éveillé dans le lit ? Ferait-elle comme si rien ne s'était passé, se promenant dans la chambre, remplie de la semence de cet homme ?
Je ne pouvais m'endormir et l'attendis ainsi des heures, avec un sexe excité que je n'osais calmer.
Enfin, aux environs de cinq heures du matin, j'entendis une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel. Je ne prononçai pas un mot, mais écoutai avec attention alors que Nadia se dirigeait silencieusement vers son côté de notre lit nuptial. Elle essayait visiblement de ne pas me réveiller, mais j'avais besoin de lui parler et de voir dans quel état d'esprit elle était.
Je me sentais tout à la fois nerveux, en colère, apitoyé sur mon propre sort et attiré par le corps de Nadia. Me décidant à la confrontation, j'allumai ma lampe de chevet.
Nadia s'immobilisa. Elle se préparait juste à se coucher à côté de moi et eut l'air étonné. Cependant, à part la surprise, son visage ne semblait pas exprimer de culpabilité. Elle avait apparemment pris le temps de se remettre après avoir été comblée par le sexe de cet autre homme.
C'était quand même la première fois que je voyais Nadia sembler manquer un tant soit peu d'assurance et, enhardi par son visage surpris, j'eus le courage de lui faire la scène du mari trompé.
"Qu'est-ce que tu foutais ?" lui criai-je dessus.
Une grimace de colère déforma fugitivement son beau visage.
Avant que je n'aie pu ajouter quoi que ce soit, la paume ouverte de sa main me gifle lourdement la joue, ses longs ongles rouges lacérant ma peau comme des griffes.
"Ne me parle plus jamais sur ce ton !" prononça ma femme en gardant difficilement son calme, contrôlant tant bien que mal un tremblement de colère dans sa voix.
C'est à ce moment précis que ma vie changea. Même à cet instant, je le savais. Allai-je essayer de battre Nadia ? Allai-je lui montrer qui était le patron dans notre couple ? Ou alors, allai-je simplement abandonner et partir ?
J'hésitai un instant mais, au fond de moi, je savais ce que j'avais à faire. Je me mis à ramper vers elle, Nadia ma déesse. Je lui implorai son pardon, et pleurnichai en lui disant que je devais apprendre à contrôler ma jalousie stupide de mâle. Si seulement elle acceptait de me pardonner et de me garder à ses côtés ! Je lui dis que j'étais prêt à la servir docilement, jour après jour, que je travaillerai dur pour qu'elle ait ma paye sur son compte chaque mois. Je ferai n'importe quoi mais, par pitié Nadia, permets-moi de rester auprès de toi !
Comme je multipliais mes excuses, j'avais de plus en plus peur qu'elle me quitte réellement, elle la seule femme avec qui j'aie fait l'amour !
Pour prouver ma soumission, je me mis à ramper littéralement vers elle, puis m'agenouillai devant elle. Comme elle ne disait rien, je fus effrayé au début, mais son silence persistant m'encouragea dans cette voie...
Elle m'écoutait ! J'essayais de mon mieux de mesurer l'impact de chacun de mes mots sur elle, regardant à la dérobée son corps magnifique depuis ma position à ses pieds. Il était clair qu'elle m'écoutait maintenant, et qu'elle était intéressée.
Après quelques minutes, je pus apercevoir du coin de l'oeil l'expression de colère intense qu'elle avait montrée quitter son visage, pour laisser place à quelque chose proche de la satisfaction et même du triomphe. Elle avait gagné et elle le savait.
A présent, je lui disais que je savais que je n'avais pas le droit de la questionner sur ses faits et gestes. Je devais avoir confiance en ma femme, et si elle désirait danser avec d'autres hommes, bien sûr, je n'y verrai aucune objection.
Si elle voulait laisser un autre homme la draguer, hé bien, j'étais d'accord.
Si elle voulait discuter avec d'autres hommes dans leur chambre, qui étais-je pour oser protester ?
Elle sourit. J'étais heureux ! J'adorais cette femme qui était capable de me pardonner après que j'eus osé lever le ton sur elle.
S'allongeant sur le dos, Nadia écarta ses jambes et attira ma tête entre ses cuisses.
Je ne résistai pas, rampant vers elle et me glissant sous les draps. Nadia prit mes cheveux dans ses mains et poussa ma tête vers son pubis garni de poils châtain clair. Puis, elle poussa mon nez entre les lèvres de son sexe et me maintint ainsi. L'odeur de son intimité était très forte. J'inspirai fortement et mon petit sexe ratatiné commença à se relaxer et à grossir à nouveau.
Nadia me maintint ainsi dans cette position pendant plusieurs minutes. Elle ne disait rien, mais elle parut satisfaite que je ne cherche pas à bouger, aussi lâcha-t-elle mes cheveux et commença à caresser doucement ma tête, tout en promenant ses exquis ongles pointus sur mon dos nu.
Comme les minutes passaient, le rythme de mon coeur s'apaisa. J'étais aux anges. Nadia m'aimait, même si c'était d'une manière étrange, et nous allions trouver une façon de vivre ensemble. J'essayai de montrer mon acceptation de cette situation en commençant à lécher les lèvres humides du sexe de Nadia, mais elle me donna un petit coup sur la tête pour me faire comprendre d'arrêter.
Encore quelques minutes passèrent, puis elle recommença à me parler, et j'appris comment les choses allaient se passer entre nous à partir de cet instant.
"Tu n'as pas à t'en faire au sujet de Frédéric," me dit-elle fermement. "Tu es mon mari, et aussi longtemps que tu m'es soumis, obéissant et dévoué, je resterai avec toi. Mais tu dois savoir également que je ne t'ai pas choisi pour ton corps ! Je t'ai choisi pour ta qualité principale : la soumission. Je me réserve le droit de baiser qui je veux. Par contre, toi tu ne baiseras personne sans mon accord. Je pourrai également décider de te faire l'amour à l'occasion. Ou bien non... De n'importe quelle manière, il faudra que tu apprennes à contrôler cette sale habitude que tu as de te masturber. Et ne crois pas que je ne sois pas au courant !"
Durant tout ce temps pendant lequel elle m'édictait ces règles, Nadia tapotait ma tête et mes épaules. Elle me maintenait fermement entre ses magnifiques cuisses et poussait régulièrement mon nez de plus en plus fort sur l'entrée douce et humide de son intimité. "Je vais te donner beaucoup de règles à suivre" continuait-elle, "et tu devras prendre du plaisir à obéir si tu veux rester avec moi."
"Maintenant, cela va être ton premier test. Tu dois bien avoir deviné que, Frédéric et moi, nous avons couché ensemble."
Comme si je ne le savais pas déjà !
"Nous avons fait l'amour, plusieurs fois, et j'ai beaucoup apprécié. Frédéric est apparemment un amant très expérimenté et sait vraiment comment satisfaire une femme. Il le fait mieux que tu ne sauras jamais le faire ! En plus, il est vraiment bien monté. Son magnifique sexe de mâle est tellement plus gros que le tien, chéri ; tu ne pourras jamais arriver à sa hauteur. Il a un torse superbe, large et plat, des yeux sombres, puissants et fascinants, et ses couilles sont immenses. Sa bite doit être au moins trois fois plus longue et plus large que ton zizi.
Quand il m'a pénétrée, j'ai presque failli jouir de suite, je le sentais qui m'étirait. A chaque fois qu'il faisait monter et descendre en moi son puissant engin, j'étais au paradis. Il m'a fait jouir trois. J'étais à lui. Il a attendu que je sois épuisée par mes orgasmes et, seulement alors, il a envoyé la sauce !
C'était fantastique, chéri. Je pouvais sentir ses couilles énormes pendre entre mes jambes, pour se raidir au moment où il a commencé à me remplir avec sa semence. Alors qu'il éjaculait, j'étais trop épuisée pour jouir à nouveau, mais il me fixa dans les yeux au moment où son sperme me remplissait en jaillissant de son sexe énorme, en me dit que je lui appartenais, et je savais que c'était la vérité. Après qu'il eut fini de jouir, il me fit lécher son adorable tige pour la nettoyer. Pendant que j'avais la bouche remplie par sa bite, il me fit promettre de ne pas t'autoriser à utiliser ton sexe sans sa permission, mais je sais que tu m'aimes, et je sais que tu adoreras m'obéir sur ce point, chéri.
"Maintenant, prouve-moi que tu acceptes tout ça en me suçant. Bien sûr, ma chatte est remplie du sperme de Frédéric, mais je veux que tu me lèches à fond quand même et sans te masturber !"
Disant cela, Nadia prit mon menton et glissa légèrement sur le lit. Avant que j'aie le temps de réaliser quoi que ce soit, j'avais son pubis pressé contre ma bouche. Presque malgré moi, je m'aperçus que ma langue commençait son travail, ouvrant le passage liquoreux.
Inexpérimenté, je cherchai à respirer tout en essayant de satisfaire de mon mieux ma femme dominatrice. Puis, je sentis le sperme. C'était vrai, il l'avait littéralement remplie ! Elle était pleine de son jus. D'épaisses et filandreuses gouttes de semence envahirent mes lèvres, et je dus les avaler. Le goût n'était pas si désagréable, mais la pensée que c'était le jus d'un autre homme que j'étais en train de sucer dans le vagin de ma propre femme me rendait le sexe dur.
Comme j'aurais voulu me mettre sur Nadia et plonger mon zizi dans son trou, joignant mon propre liquide à celui de son amant. Je pensais à mon pénis, apparemment trop petit et inadéquat, glissant à travers le vagin humide et rempli de sperme, mais je devais accepter que cela ne me serait pas autorisé.
Enfin, Nadia se mit à jouir et s'estima satisfaite de la soumission que je venais de lui prouver.
"Mais ce n'est qu'un début," se dépêcha-t-elle d'expliquer. "J'ai des idées pour aider mon petit mari à rester un homme chaste, propre et respectable, et je suis sûre qu'il adorera ! Il existe un tas de trucs pour aider les femmes à garder leur mari cocu, docile et heureux, ce qui me permettra de respecter la promesse que j'ai faite à Frédéric. Cela te semblera peut-être un peu étrange au début, mais je suis sûre que tu finiras par me remercier de te laisser dans un état permanent de désir sexuel. Toi et moi, nous irons faire quelques courses demain, alors n'oublie pas ta carte de crédit, chéri. Je vais dépenser un peu d'argent pour te rendre heureux !"
Après avoir dit ça, Nadia m'ordonna de dormir. Mais pendant que je l'entendais respirer paisiblement sans son sommeil, et bien que je sois complètement épuisé par la tension nerveuse de ces dernières heures et par le manque de repos, mon désir brûlant pour elle m'empêchait de dormir. Ca, plus la question qui me turlupinait de savoir ce que Nadia m'achèterait le lendemain ! Une chose était claire pour moi maintenant : je venais d'accepter que Nadia prenne le contrôle de ma vie, qu'elle m'humilie d'une manière que la plupart des hommes n'accepteraient jamais, et pourtant, ce que je ressentais était un bonheur profond, presque béat, balayant tout ce qui pouvait rester de ma jalousie puérile. Nadia avait promis de me garder à son service pour toujours si je lui obéissais, et c'était tout ce qui comptait pour moi !
Le matin suivant, Nadia et moi dormîmes tard. Nous étions tous deux fatigués après les événements de la nuit passée, et Nadia ne se réveilla pas avant onze heures.
Je m'étais réveillé avec une superbe érection vers neuf heures et demie, mais je ne m'étais pas soulagé, me rappelant ce que Nadia avait dit à propos de l'interdiction de me masturber : je ne voulais pas risquer de la mettre en colère. Ainsi, je restai allongé dans le lit, à côté de ma femme et Maîtresse pendant plus d'une heure, m'empreignant de la chaleur douce de son corps si féminin, et pensant à elle et à Frédéric, son amant de la veille.
J'avais décidé qu'il m'était agréable d'obéir à Nadia, même quand elle m'interdisait le sexe, mais j'avais beaucoup moins de certitudes à propos du rôle de Frédéric dans cette nouvelle situation. Il avait dit à Nadia qu'il ne me permettrait pas d'avoir du plaisir sexuel sans sa permission ? Qui était-il pour dire une telle chose ?
Il était évident que Nadia était très attirée par son corps, mais j'étais toujours son mari, me disais-je. C'était une chose que d'attendre une période indéterminée avant d'être autorisé par sa femme à avoir du plaisir sexuel, mais c'était une chose bien différente quand c'était dicté, même de façon indirecte, par son amant.
De toutes manières, que pouvais-je y faire ? Rien ! Cependant, le temps était de mon côté, pensais-je. Notre voyage de noces allait toucher à sa fin d'ici quelques jours, et nous devrions rentrer chez nous pour retrouver le ciel triste et gris de notre ville avec sa vie routinière.
Au moins, laisserions-nous ce Frédéric loin derrière nous ! Nadia continuerait sans aucun doute à affirmer son droit maintenant établi de baiser de temps en temps avec les personnes de son choix, mais je me serai habitué à cette idée à ce moment, et peut-être, réussirai-je même à trouver des trucs pour mieux supporter cette situation.
Quand Nadia s'éveilla, elle me rappela sa proposition de courses.
Puis, elle me donna une chiquenaude sur le bout de mon membre turgescent avec ses longs ongles vernis, ce qui la fit éclater de rire. "Laisse donc ton clitoris tranquille !" me dit-elle. "D'ailleurs à ce sujet, je ne voudrais pas que quelqu'un apprenne que mon mari a un zizi d'une taille insuffisante !"
Je grimaçai sous l'insulte, mais je pensai qu'il valait mieux pour moi rester silencieux.
"Ne t'inquiète pas," me rassura-t-elle. "Bien sûr, tu n'as pas le droit de te tripoter, mais nous allons faire en sorte aujourd'hui que cette chasteté temporaire soit un peu plus supportable pour toi".
Je n'en sus pas plus : Nadia a toujours adoré rester mystérieuse !
Après un petit déjeuner tardif, nous prîmes le chemin du centre commercial local. "Les boutiques ne sont vraiment pas terribles ici, chéri," me dit Nadia en faisant la moue, "mais je suis quasiment sûre que nous trouverons ce que j'ai en tête pour commencer ton dressage."
J'avais été trop occupé à admirer les lèvres parfaitement maquillées de Nadia pour bien me concentrer sur ce qu'elle disait, mais ce mot "dressage" attira mon attention. "Maintenant, marche juste un pas derrière moi, et ne prends la parole que si on s'adresse à toi, à moins que ce ne soit vraiment nécessaire !"
J'entendis ces mots, mais j'avais du mal à croire qu'elle me parlait ainsi, et en public en plus ! Une partie de moi ressentit de la colère, mais ce traitement provoquait également chez moi un début d'érection, aussi je me contentai d'approuver de la tête avec soumission. Après quelques minutes, nous arrivâmes devant une boutique de lingerie et de vêtements de mariage pour femmes. Après un bref coup d'oeil à la vitrine, Nadia m'entraîna à l'intérieur. J'adorais regarder les dessous féminins, comme la plupart des hommes, et mes yeux se baladaient sur les délicates petites culottes et soutiens gorges ornant les mannequins du magasin.
La plupart de ces mannequins avaient des perruques, et quelques-uns avaient même le visage maquillé, ce qui les rendait presque réels. Alors que mon regard vagabondait sur l'un d'eux, avec de longues jambes fines gainées de basse résille et d'une culotte de satin noir, Nadia attira l'attention d'une vendeuse. "Je recherche une gaine de maintien, de taille standard," l'entendis-je dire. "Je voudrais un modèle couvrant une large partie du corps, mais dans une petite taille, du 38 ou peut-être du 36." La vendeuse disparut rapidement derrière le comptoir et revint, après quelques secondes, avec plusieurs paquets.
"Voici la Berlei, Madame," expliqua-t-elle. "Elle a une bande extra ferme sur le devant. 79 % nylon polyamide, 21 % élastine, disponible en noir ou blanc uniquement."
Je ressentis un grand froid dans l'estomac. Nadia avait l'intention de contrôler mon sexe en le maintenant comprimé, me semblait-il ! Ceci dit, je préférais la noire.
"La blanche sera parfaite," décida Nadia. "Je vais en prendre deux, une de taille 36 et une de taille 38." Je restais silencieux, n'osant pas me manifester. Nadia m'ordonna ensuite de payer et, une demie heure après, nous étions rentrés à l'hôtel.
"Très bien," me félicita ma femme lorsque nous eûmes regagné notre chambre. "Tu n'as pas protesté, ce qui était préférable pour toi, parce que sinon, j'avais l'intention de dire à la vendeuse à qui était destiné ces deux gaines !"
Tout de suite, elle me les fit essayer, par-dessus mon slip de coton. Je réussis à enfiler la première, avec beaucoup de difficultés dues à son étroitesse. A ma grande surprise, Nadia mit alors sa main entre mes jambes, empoigna mon pénis en demi érection, et le poussa rudement vers l'arrière, de façon à ce que le bout de mon sexe se retrouve tout près de mon anus.
Puis, elle tira ma gaine vers le haut encore de quelques centimètres : mes testicules semblaient avoir disparu à l'intérieur de mon corps. C'était très inconfortable, jusqu'à ce que mon début d'érection disparaisse. Vu de devant, mes hanches avaient pris maintenant un aspect féminin.
"Tu devras toujours porter une de ces deux gaines sur toi à partir de maintenant !" m'indiqua-t-elle. "Porter ainsi une gaine en dessous de ton pantalon devrait de faire passer toute idée de draguer d'autres femmes, n'est-ce pas chéri ? Et de même, je pense que cela devrait t'aider à combattre toute velléité de défier un de mes amants en cherchant à te battre avec lui, ou une idiotie de ce genre, n'est-ce pas ? Maintenant tu ne pourras plus pisser debout, et tu devras utiliser des toilettes fermées pour ça. Et attention, je vérifierai à tout instant que cette jolie gaine est bien en place, et que ton sexe est bien sous contrôle, alors ne triche pas, sinon je ne te ferai plus jamais l'amour, compris ? Plus tard, tu pourras peut-être t'acheter toute une panoplie de lingerie, mais ces gaines feront l'affaire pour l'instant. Même au lit, tu devras en porter une, que je sois là ou non. Cela t'aidera à résister contre tes envies dégoûtantes de te tripoter sans arrêt. Mon petit mari se doit de réserver pour sa femme toute sa production de sperme, n'est-ce pas chéri ?" conclue-t-elle en m'embrassant voracement sur les lèvres, avec sensualité. Mon sexe comprimé était douloureux, alors que je ressentais une poussée de désir envers le corps de ma femme maîtresse.