- 03 janv. 2013, 21:05
#1268362
Hier soir fut le grand soir... Après 3 semaines d'abstinence, ô surprise, ma femme réclame ma queue ! Pour l'occasion, elle enfile même pour moi sa petite nuisette Lise Charmel, cela faisait bien longtemps que je n'avais plus pu me délecter de ses tétons bandés sous la transparence de la tulle. Elle se couche sur le ventre après avoir dégagé les draps, les bras croisés sous son front et les jambes bien droites, serrées l'une contre l'autre, pour réclamer comme il en est d'usage quand elle adopte cette position un massage en bonne et due forme. Je me place à califourchon sur le haut de ses cuisses pour m'exécuter, ivre de désir comme on peut l'imaginer mais bien conscient aussi que si je ne suis pas à la hauteur, elle peut encore me retirer l'immense privilège dont elle me fait l'honneur ce soir: la pénétrer ! La queue bien tendue juste à hauteur de son cul, j'entame mon massage. Pas facile de rester concentré à la tâche, mais l'enjeu est de taille, je m'applique donc de toute mon âme et de toute la puissance de mes mains, car madame les aimes fermes et entreprenantes sur la peau de son dos et de son cul.
Après 15 minutes de ce traitement, elle me signifie son intention de se retourner, signe pour moi de victoire. La queue toujours tendue, et bien qu'éminemment impatient de la voir s'engouffrer entre ses cuisses, je ne manque pas d'aller préparer le terrain du bout de la langue. Là encore je m'applique malgré l'empressement qui me tenaille chaque millimètre carré du gland. Enfin vient le moment tant attendu. Je remonte pour présenter le gland à l'orée des grandes lèvres détremprées. Je la chatouille gentiment du bout, un petit peu sur son bouton, puis tout le long de sa fente. Ma queue est si raide que je n'ai pas besoin de la guider avec mes mains. Enfin je la pénètre lentement. J'observe avec délectation la hampe ressortir luisante de cyprine. Après quelques va et vient, ma femme m'attire dans ses bras. Au passage, j'accroche du bout des lèvres son téton durcit par l'envie. Puis j'enfouis ma tête dans le creux de son cou pour la pomper fermement, au corps à corps comme on aime à le faire dans ses moments de tendresse et de désir.
Puis elle me demande de venir au-dessus: Andromaque est sa position favorite, la mienne aussi. Elle s'empale sur ma queue, toujours raide à souhait, et fait onduler son cul doucement. Moi, je fais déborder ses deux seins de la nuisette. Le décolleté les resserre l'un vers l'autre, lui donnant un côté obscène qui me fait bander jusqu'au désespoir. Je lui suce les tétons tour à tour pendant qu'elle accélère ses vas et viens. Je lui pétris le cul, et je reviens à ses seins quand je sens son orgasme monter, je sais que sentir le bout de ma langue sur son téton décuple sa jouissance. Elle explose et hurle son plaisir, je suis très fier de l'avoir fait jouir et je partage l'effusion de son plaisir. Elle s'effondre sur moi et après quelques allers-retours paresseux et extatique, elle se retire. Elle me susurre à l'oreille: "Va faire la vaisselle et reviens vite je suis fatiguée..."
Je me lève et je défais patiemment les boucles du gode-ceinture. Dans ma cage, ma petite bite cogne contre les barreaux à chaque battement de mon coeur. Je nettoie le tout, et reviens me blottir contre elle, en chien de fusil déjà, sa position habituelle pour s'endormir. Je la prend dans mes bras, nous nous endormons ainsi.
Après 15 minutes de ce traitement, elle me signifie son intention de se retourner, signe pour moi de victoire. La queue toujours tendue, et bien qu'éminemment impatient de la voir s'engouffrer entre ses cuisses, je ne manque pas d'aller préparer le terrain du bout de la langue. Là encore je m'applique malgré l'empressement qui me tenaille chaque millimètre carré du gland. Enfin vient le moment tant attendu. Je remonte pour présenter le gland à l'orée des grandes lèvres détremprées. Je la chatouille gentiment du bout, un petit peu sur son bouton, puis tout le long de sa fente. Ma queue est si raide que je n'ai pas besoin de la guider avec mes mains. Enfin je la pénètre lentement. J'observe avec délectation la hampe ressortir luisante de cyprine. Après quelques va et vient, ma femme m'attire dans ses bras. Au passage, j'accroche du bout des lèvres son téton durcit par l'envie. Puis j'enfouis ma tête dans le creux de son cou pour la pomper fermement, au corps à corps comme on aime à le faire dans ses moments de tendresse et de désir.
Puis elle me demande de venir au-dessus: Andromaque est sa position favorite, la mienne aussi. Elle s'empale sur ma queue, toujours raide à souhait, et fait onduler son cul doucement. Moi, je fais déborder ses deux seins de la nuisette. Le décolleté les resserre l'un vers l'autre, lui donnant un côté obscène qui me fait bander jusqu'au désespoir. Je lui suce les tétons tour à tour pendant qu'elle accélère ses vas et viens. Je lui pétris le cul, et je reviens à ses seins quand je sens son orgasme monter, je sais que sentir le bout de ma langue sur son téton décuple sa jouissance. Elle explose et hurle son plaisir, je suis très fier de l'avoir fait jouir et je partage l'effusion de son plaisir. Elle s'effondre sur moi et après quelques allers-retours paresseux et extatique, elle se retire. Elle me susurre à l'oreille: "Va faire la vaisselle et reviens vite je suis fatiguée..."
Je me lève et je défais patiemment les boucles du gode-ceinture. Dans ma cage, ma petite bite cogne contre les barreaux à chaque battement de mon coeur. Je nettoie le tout, et reviens me blottir contre elle, en chien de fusil déjà, sa position habituelle pour s'endormir. Je la prend dans mes bras, nous nous endormons ainsi.
