- 07 mars 2013, 17:42
#1309900
Deuxième séance BDSM chez Maître Gérard.
Chantal reçu dans la demeure de son Maître. Il lui demande de s'habiller en nuisette et escarpins. Elle ressemble ainsi à une parfaite Bourgeoise prête pour aller tranquillement dormir.
A la place d'un lit douillet et d'une bonne nuit de rêves, il l'emmène de nouveau dans sa cave sordide. Il fait allonger cette femme mariée en tenue chic sur un matelas pouilleux et lui ordonne de se masturber avec deux godes mis à sa disposition. Elle va s'exécuter et utiliser les deux godes, l'un sur son clito, l'autre dans l'entrée de son trou d'anus.
Puis Maitre Gerard lui fait signe de se mettre à quatre pattes, il va alors lui infliger de nombreux coups de martinets sur son cul tandis qu'elle doit continuer de se masturber. Le mélange du plaisir et de la douleur. On entend ses petits râles de plaisir après chaque coup. Elle doit comprendre que son plaisir devient indissociable de la douleur, que sa beauté devient indissociable de la laideur. Progressivement, plus les coups sont marqués, plus elle tente de s'écarter du martinet pour échapper aux coups.
Enfin, Maitre Gérard lui ordonne de se faire jouir. Comme une véritable chienne en rut, elle nous offre un orgasme bruyant.
Chantal reçu dans la demeure de son Maître. Il lui demande de s'habiller en nuisette et escarpins. Elle ressemble ainsi à une parfaite Bourgeoise prête pour aller tranquillement dormir.
A la place d'un lit douillet et d'une bonne nuit de rêves, il l'emmène de nouveau dans sa cave sordide. Il fait allonger cette femme mariée en tenue chic sur un matelas pouilleux et lui ordonne de se masturber avec deux godes mis à sa disposition. Elle va s'exécuter et utiliser les deux godes, l'un sur son clito, l'autre dans l'entrée de son trou d'anus.
Puis Maitre Gerard lui fait signe de se mettre à quatre pattes, il va alors lui infliger de nombreux coups de martinets sur son cul tandis qu'elle doit continuer de se masturber. Le mélange du plaisir et de la douleur. On entend ses petits râles de plaisir après chaque coup. Elle doit comprendre que son plaisir devient indissociable de la douleur, que sa beauté devient indissociable de la laideur. Progressivement, plus les coups sont marqués, plus elle tente de s'écarter du martinet pour échapper aux coups.
Enfin, Maitre Gérard lui ordonne de se faire jouir. Comme une véritable chienne en rut, elle nous offre un orgasme bruyant.